La réserve citoyenne

Problèmatique

Ministère de la Défense

Depuis la «suspension» du Service national, les armées se sont professionalisées. Le creuset national d’intégration et de formation à la citoyenneté s’est éteint avec la fermeture des casernes. C’est ainsi que dans notre ville de Montpellier, s’est établi un «désert militaire». Seule subsiste la Gendarmerie Nationale qui a investi une partie des anciens locaux de l’École d’Application Interarmes (EAI). Le reste des installations militaires a peu à peu disparu sous le béton de l’urbanisation galopante. Une partie de l’ancienne EAI va être dévorée par les bétonneurs.

Il reste aux citoyens imprégnés de l’esprit de défense à réfléchir à un engagement militaire car nos armées sont engagées dans des théatres d’opérations extérieures contre des islamistes ou des opérations intérieures anti-terroristes. Nos jeunes sont bien appelés à une «Journée d’Appel à la Défense (devenue Journée Défense et Citoyenneté). Cette brève imprégnation ne suffit pas mais pour certains jeunes femmes et hommes, des vocations de militaires se sont éveillées. Il reste les «vieux», les anciens dont les forces déclinent lentement mais dont l’expérience et les compétences sont précieuses pour assurer l’arrière : les pères conscrits ! Ou les réservistes citoyens de la Réserve citoyenne. Il existe plusieurs réserves citoyennes, selon les besoins et surtout selon les préventions plus ou mois larvées contre les «galons en zinc» (expression entendue).

Les réserves citoyennes

Les différentes administrations ou forces de sécurité ont instauré cette forme de servir pour les citoyens.

L’engagement dans la réserve citoyenne est définie par une déclaration dont nous donnons un exemple :

«La réserve citoyenne est fondée sur l’engagement personnel, désintéressé et effectué dans un esprit de neutralité de bénévoles issus de la société civile, désireux de se rendre utiles pour l’Institution et affichant un haut degré d’expertise dans les domaines juridique, des nouvelles technologies, de la communication, des finances ou de l’immobilier, entre autres.

Vivier de compétences, elle contribue au rayonnement de la gendarmerie dans la société civile, à la compréhension d’enjeux locaux ou nationaux et à l’accompagnement des décideurs, participant ainsi à la résilience de la France face aux nouvelles menaces comme au renforcement du lien Armées-Nation.»

ou

« La réserve citoyenne de défense et de sécurité est composée de volontaires agréés par les autorités militaires pour contribuer au renforcement du lien entre les armées et la société civile. Si vous souhaitez en faire partie, vous devez remplir certaines conditions, notamment d’âge et de nationalité. La participation à la réserve citoyenne n’ouvre pas droit à rémunération ou indemnisation. ».


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Un observatoire




L’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale

Introduction

Logo de l'IHEDN

Un Etablissement public administratif (EPA)

L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN) est le descendant en 1948 du Collège des Hautes-Etudes de la défense nationale (CHEDN). Ce dernier avait pour vocation de «former des hauts-fonctionnaires, civils et militaires, à la préparation et à la conduite de la guerre, dans une vision dépassant le seul cadre militaire». A l’aune de l’évolution de la doctrine de la défense de la France, l’IHEDN évolue et devient le lieu d’explications d’une défense nationale devenue globale et permanente.

La priorité devient l’initiation aux questions de défense des cadres de l’État et du secteur privé, sous l’égide du Premier Ministre (en 1979). L’IHEDN devient le foyer du rayonnement de l’esprit de défense.

En 1997, il devient un établissement public administratif, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière.

Mission élargie et rénovée

La mission actuelle est élargie aux question de défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de défense. A ce titre, l’Institut réunit des responsables de haut niveau appartenant à la fonction publique civile et militaire ainsi qu’aux différents secteurs d’activité de la Nation, des états membres de l’UE ou d’autres états, en vue d’approfondir en commun leur connaissance des questions de défense des questions de défense, de politique étrangère, d’armement et d’économie de défense.

Les sessions

L’action de l’IHEDN se manifeste par la diversité des formations dispensées dans des sessions nationales ou régionales.

La pédagogie

L’IHEDN se base sur une pédagogie originale :

  • des travaux en comités où se concrétise une riche complémentarité,
  • des conférences-débats au cours desquelles s’expriment des intervenants de haut-niveau,
  • des visites et missions d’études sur le terrain qui permettent une approche concrète de l’enseignement dispensé,
  • des exercices de mise en situation de prise de décision avec rédaction de notes de position.

Les associations régionales et l’union des associations

L’Union des associations d’auditeurs de l’IHEDN (UNION-IHEDN)  a été fondée en 1975, et regroupe et fédère l’ensemble des 43 associations d’auditeurs de l’Institut des hautes de défense nationale (IHEDN) soit

L’UNION-IHEDN a pour vocation de créer des synergies, de renforcer la communauté des auditeurs, de susciter, de développer et de coordonner les activités menées par les différentes associations, afin de sensibiliser le plus grand nombre aux questions stratégiques et de contribuer, ainsi, au rayonnement de l’esprit de défense.

AR12 – Languedoc-Roussillon

Il existe donc une Association Régionale Languedoc-Roussillon (AR-12) qui couvre les départements de l’Hérault, du Gard, de l’Aude et des Pyrénées Orientales. Elle a des correspondants pour :

  • le Trinôme académique,
  • le protocole de défense-éducation,
  • les relations avec les entreprises et l’intelligence économique,
  • des correspondants défense,
  • un animateur des études et forum des travaux d’auditeurs,
  • un chargé de communication presse et médias,
  • un délégué auditeurs-jeunes.

Un comité de réflexion et d’études se réunit régulièrement dans les quatre départements précités. L’Union participe régulièrement à des conférences de garnison organisées trimestriellement avec des associations partenaires, notamment de réservistes de différentes armes.


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Logo de l’Union-IHEDN

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Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN




Protestation contre l’antisémitisme

Explications


Luc Ferry dénonce un nouvel antisémitisme d’origine islamiste, une nouvelle source l’islamisme radical qui instaure une «purification ethnique» inadmissible.
Les télévisions arabes par satellites « «chauffent à blanc» les quartiers, Il faut un « Vatican II » de l’Islam, des versets du Coran doivent être dénoncés, exprugés et « oubliés ».

Le Parisien 22 avril 2018 et Europe I.


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L’Ecole militaire (Paris)

Introduction

Gand Hall ou rotonde Gabriel

La rotonde Gabriel

L’École Militaire est un lieu de formation et de mémoire. Il fait partie des établissements d’enseignement de la Défense Nationale.  une institution d’enseignement supérieur militaire fondée en 1750 par le roi Louis XV et l’ensemble de bâtiments construits pour la recevoir à Paris, dans le 7e arrondissement. Construit au xviiie siècle par l’architecte du roi Ange-Jacques Gabriel, cet ensemble monumental est toujours en activité. Il ferme la perspective sud-est du Champ-de-Mars, où se faisait la revue annuelle des troupes, déplacée ensuite aux Champs-Élysées. Il est classé au titre des monuments historiques depuis 1990

Bref historique

Au sortir de la guerre de succession d’Autriche, en dépit de la gloire de la bataille de Fontenoy, le commandement jugea urgent de revoir la formation militaire des officiers. Il stigmatisait «leur ignorance totale, depuis le sous-lieutenant jusqu’aux lieutenants-généraux, des devois de leur état  et de tout les détails dans lesquels ils doivent entrer».

Dès 1750, le financier Pâris-Duvernoy avait proposé à Louis XV la construction de l’Hôtel des Invalides. Puis un édit du 13 janvier 1751 dut promulgué  créant «[…] une Ecole militaire pour le logement, subsistance, entretien et éducation […] de 500 jeunes gentilshommes  de notre Royaume […].

L’Ecole militaire aujourdh’ui

L’Ecole militaire aujourdh’ui est un ensemble complet d’enseignement militaire supérieur, différencié selon les armées. Il abrite :

  • le Direction de l’Enseignement Supérieur de l’Armée de Terre (DEMSAT),
  • le Cours Supérieur d’État-Major (CESM),
  • l’Enseignement Militaire Scientifique et Technique (EMSST),
  • le Centre d’Enseignement Supérieur Aérien (CESA),
  • le Centre d’Enseignement Supérieur de la Marine (CESM,
  • le Centre d’Enseignement Supérieur de la Gendarmerie (CESG),
  • le Collège Inter-Armées de la Défense (CID),

en remplacement des anciennes écoles de Guerre.

On trouve également :

  • le Centre des Hautes-Etudes Militaires (CHEM) dont les stagiaires suivent le cursus de l’IHEDN,
  • l‘Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale (IHEDN),
  • le Centre des Hautes-Etudes de l’Armement (CHEAR), créé à l’image de l’IHEDN,
  • l’École supérieure des Officiers de Réserve du Service d’État-Major,

En effet, des associations et des amicales, en relation avec la problèmatqiue de la Défense, y sont accueillies que nous ne détaillerons pas.

Enfin, il convient de citer le SIRPA devenu de nos jous la Délégation à l’Information et à la Communication de la Défense (DICOD) qui contribue au rayonnement et à notoriété .de l’École Militaire.

Souvenir personnel

Le lieu emblématique de l’école est la Rotonde Gabriel. J’ai eu l’honneur d’être accueilli en ces lieux lors de la tenue de la session Régionale  1985 dont je faisais partie. J’ai eu l’honneur de suivre les enseignements de cette session dans le lieu le plus emblématique, la session s’ouvrit dans le grand amphithéatre et dura trois mois.


Gand Hall ou rotonde Gabriel

Rotonde

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Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN

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E P A




L’Islam et le peuple juif

Le problème


L’Islamisme ou islam rétrograde, fondamentaliste et radical entretient, depuis des émetteurs impossibles à contrôler, une propagande antisémite que notre pays ne peut pas tolérer. Le quotidien Le Parisien de ce jour 22 avril 2018 publie un manifeste de 250 personnalités dont 3 anciens Premiers Ministres.

Cette propagande, venue de l’étranger est diffusée par des satellites, chauffe à blanc des quartiers (territoires perdus de la République ?). Il en résulte un anti-sémitisme rampant qi est en train de gagner du terrain dans notre pays. Si rien n’est fait, c’est toute une frange de notre population qui est stigmatisée au nom d’une religion dont les écrits diffusent depuis des siècles une doctrine parfois contradictoire mais intangible.

Pour comprendre le danger qui nous menace, parmi plusieurs ouvrages, il convient de citer et d’inviter à lire celui de Mark A. Gabriel «L’Islam et le peuple juif»(Editions Ourania (Romanel-sur -Lausanne, Suisse), 2012).

L’ennemi n’est pas le Musulman (selon Mark A. Gabriel)

Mark affirme que l’ennemi n’est pas le Musulman qui est berné par l’Islam. Il vient d’un pays islamique et les Musulmans étaient sa famille avant qu’il ne se convertisse, lui qui était professeur d’histoire islamique et diplômé de l’université Al-Azhar.

«La religion musulmane s’appelle l’islam et c’est elle qui engendre les mauvais comportements et les problèmes. Les musulmans sont les premières victimes de l’islam : dans le monde entier, ce sont eux qui souffrent le plus de l’islam. A cause de l’islam, ils passent leur vie à essayer de plaire à Allah, sans jamais avoir l’assurance qu’ils y sont parvenue. A cause de l’Islam, ils meurent en combattant pour Allah, dans l’espor qu’ils iront au paradis. A cause de l’islam, ils ne savent pas comment se pardonner à eux mêmes ni commet pardonner aux autres.»

Il conclut «Détestez l’Islam mais aimez les [êtres humains] musulmans. Si vous avez des amis ou des connaissances et des voisins musulmans, soyez bons envers eux.».

Pourquoi ?

Un peu d’histoire

Selon Mark A. Gabriel, les récitants (récitateurs ?) du Coran sont très appréciés dans les familles musulmanes pieuses. Il leur arrive de raconter de drôles d’histoires dont leurs auditeurs sont friands. Ils n’inventent rien, ils se contentent de réciter ce qu’ils savent. La Sourate 5 (Al Maïdah – La table est servie) parle « d’infidèles transformés en porcs et en singes ». De même, la Terre serait plate, portée par 4 éléphant montés sur une tortue … !

On trouve au verset 60 : «Dis: « Puis-je vous informer de ce qu’il y a de pire, en fait de rétribution auprès d’Allah? Celui qu’Allah a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des porcs, et de même, celui qui a adoré le Tagut, ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit« .».

Au verset 61 et suivants (62, 63, 64, …, 70) il est d’abord question de Juifs puis de gens du livre. Le voisinage est fâcheux puisque Mark A. Gabriel rapporte que les auditeurs comprennent que «Ce sont les juifs qui ont été maudits et tranformés en singes et en porcs, parce qu’ils étaient rebelles contre Allah et qu’ils ont persécuté ses prophètes»

Comment ne pas s’étonner de la haine multiséculaire entre Juifs et Musulmans ? Ces phrases de haine sont extraites du «Saint Coran». Il se dit qu’«Allah ne ment jamais et qu’il n’y aura jamais la paix avec les Juifs jusqu’au jour du jugement [dernier].».

Les peuples de l’Arabie au temps de Mahomet

Au temps de Mahomet, l’Arabie était peuplée de tribus dont certaines étaient juives, d’autres chrétiennes. Un cousin de la future épouse de Mahomet, Khadidja, était Warakat bin Neufal, un des hauts responsablesde la plus grande église (chrétiens ébionites ou nestoriens ?). Ce christianisme était là, différent de celui décrit dans le Nouveau Testament. Les juifs, pour certains étaient messianiques (chrétiens sans avoir perdu leur judéité). Il y avait aussi des idolâtres.

Tradition et Coran

La tradition est représentée par un ensemble de récits sur la vie de Mahomet, les Hadiths. Ce sont des récits :

  • de paroles supposées avoir été dites par Mahomet.
  • des actes de Mahomet,
  • des évênement survenus en présence de Mahomet,
  • des paroles de d’Allah ne figurant pas dans le Coran (hadiths qudsi).

Selon Malek Chebel et Malcolm Clark (L’islam pour les nuls.- First Editions, 2008), les hadiths servent à l’édification des Musulmans. Comment se positionner vis-à-vis de la modernité et des régimes démocratiques ?

Islam de France

Les musulmans contemporains se classent en quatre catégories :

  • les musulmans modérés qui mettent en pratique certains enseignements de l’Islam mais ne veulent rien faire de difficile ou de contraire aux lois de la France,
  • les musulmans convaincus qui font beaucoup d’efforts pour conformer leur vie aux enseignements de l’islam : ils prient cinq fois par jour, font l’aumône et observent le jeune du Ramadan mais hésitent à entrer en conflit avec les lois de la République.
  • les musulmans orthodoxes, qui sont des convaincus mais veulent, de surcroît revenir aux enseignements du 7e siècle, se laissent souvent pousser la barbe.
  • les musulmans radicaux ou fanatiques sont des musulmans convaincus qui mettent la tradition en action et militent dans des organisations extrémistes (Hams, Al Quaida) ou partent rejoindre DAECH, au nom de la guerre sainte. Ils vont tuer et être tués en Syrie ou dans nos villes.

La question se pose car il n’existe pas de hiérarchie institutionnelle, du moins chez les musulmans d’obédience sunnite. Les réactions aux divers attentats, dont celui du 11 septembre ont entraîné des réactions diverses selon la catégorie à la quelle ils appartiennent.

Citoyen et musulman

Il est inadmissible que les musulmans écoutent les paroles de haine venues de l’étranger. L’esprit citoyen va-t-il prendre le dessus sur l’esprit communautaire ?

Le contrôle des satellites diffuseurs

Il existe un mode de diffusion «universel» : les satellites. Ce média nécessite des moyens technologiques très sophistiqués :

  • les lanceurs de satellites,
  • les constructeurs,
  • les exploitants.

Un des principaux exploitants est français, il s’agit d’Eutelsat., société dont un des actionnaires serait la Caisse des Dépôts et Consignantions. Est-il un des diffuseurs de la haine qui se déverse sur non concitoyens de confession israélite, haine que dénoncent nos 250 intellectuels français ?

NOtre gouvernement peut et doit exercer un strict contrôle sur tous les prêcheurs de haine, au sol comme dans l’espace.


Un Auditeur IHEDN 1985




Le salafisme

Pas de DAECH

Pas de ça chez nous ! Dehors, barra !

Problèmatique

Selon notre Président de la République s’exprimant au journal de 13 h de TF1 (JP Pernot) le 12 avril 2018, il n’y a pas de définition légale du salafisme en France. Son propos a été cependant modéré par l’opinion que toute religion ou secte religieuse qui nie la primauté de la loi républicaine sur celle d’un dieu est illégale et doit être combattue.

Ceci pose la question de savoir ce qu’est le salafisme exactement. Allez voir l’article sur cette question


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Jean AIMAR
ASAF-AAIHEDN

Association de soutien à l'Armée Française




Les lobbys de la chimie ont-ils gagné ?

Pesticides : NON !!!


Non au glyphosate

Introduction

Le vote de la loi a omis d’interdire les desherbants chimiques !  L’interdiction du glyphosate dans 3 ans est passée à la trappe ! Pourtant, selon nos agriculteurs, l’enherbement  contrôlé est en train d’être remis à l’honneur. Et ça marche !

Techniques nouvelles ?

Les rangs de nos vignes sont desherbés à la charrue et au gyrobroyeur. Pourquoi persister dans le tout chimique dont nous avons, pour certains d’entre nous, été victimes ? Desherber des rosiers au glyphosate n’est pas anodin. Ma belle-soeur a contracté un cancer du sang et en est morte. Femme de ménage, elle manipulait ce produit sans aucune précaution chez sa patronne, je l’ai appris plusieurs années après de mes neveux !

Stop à la phytopharmacie industrielle agricole. Mes oliviers sont enherbés, l’herbe est tondue et restitue au sol,  elle le protége contre l’érosion pas son chevelu dense de racines.

Documentez-vous sur le glyphosate.

observatoire phare

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué

Non au glyphosate




Embrigadement des jeunes


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Introduction

Un barbu
Dans ses écrits, le fondateur des Frères Musulmans, Hassan El-Banna dit vouloir «un individu musulman dans sa pensée et dans sa croyance, dans sa moralité et dans ses sentiments, dans ses actes et ses comportements. C’est une formation à l’échelle de l’individu.» Il dit attacher une grande attention à la formation de la jeunesse. Tous les régimes totalitaires que nous connaissons ont ce souci : s’emparer de l’esprit des jeunes et les modeler à leur idéologie. Les écoles coraniques sont un des éléments de cette prise en charge. On y apprend le Coran par coeur, sans n’y vraiment rien comprendre.
Comment expliquer l’influence des prédicateurs « barbus » pour susciter ce fanatisme chez les jeunes qui partent vers les théâtres d’opérations ? Les réponses sont multiples. En fait, il s’agit du processus de radicalisation qui va mener un ou plusieurs jeunes vers le crime terroriste, au non d’Allah.

1 – Le culte de l’héroïsme

Le culte de l’héroïsme s’incarne dans limage du martyr qui va accèder directement au paradis et à ses félciités, par le sacrifice qu’il fait. Le jeune jihadiste devient indifférent à l’idée de la mort, celle qu’il va donner, comme la sienne. La vraie vie pour eux est au paradis, il faut la mériter par le sacrifice (chahid) en mourant dans le meurtre des ennemis. La seule attitude légitime est de tuer et de mourir. Ceci découle des règles intransigeantes qui rendent obligatoire l’affrontement entre les «vrais musulmans» et les infidéles (les kafirs).
La chahada (la profession de foi islamique «Il n’y a de dieu qu’Allah et Mohamed est son prophète» ne fait pas que proclamer l’exclusivité de Dieu, mais nie le droit de vivre aux infidèles. Le vison jihadiste n’est pas seulement inhumaine, elle est profondément deshumanisée. L’infidèle ne peut échaper à la damnation éternelle que par son ralliement et sa conversion. Celà résulte de la vision jihadiste du monde, profondément dichotomique, basée sur un affrontement absolu entre le bien t le mal. Seul est admis le retour aux traditions originelles, radicales, des salafs. Les matrices afghanes et syro-irakiennes ont fonctionné : 2 millions de morts en Afghanistan.
Ceci ne suffit pas à expliquer le passage à l’acte criminel. Alain Bauer, François Freynet et Christophe Soullez ont écrit un livre «Comment vivre au temps du terrorisme»(First Document, First Editions, 2017) om le phénomène de radicalisation est passé au crible de nos connaissances (p. 136-145).

2 – L’hybridation

C’est le processus dans lequel il y a une tendance des groupes terroristes à s’impliquer dans des activités illicites :

  • pour leur financement, par le trafic de drogue ou des attaques de banques,
  • comme but en soi.

L’exemple en est donné de Khaled Kelkal ( en 1995) puis avec le gang de Roubaix (1996). La France connaît la douloureuse expérience des hybrides navigant entre les fichiers de police (renseignements et police judiciaires), échappant à l’attention de services incapables de dépasser leurs cloisonnement (guerre des polices). D’autres exemples nous montrent aux USA où mène l’aveuglement et la naïveté, avec les deux tchetchènes Djokar et Tamerlan Djojhar, radicalisés par Internet (revue Inspire). Cette revue a été interdite et son site démantelé.

2.1 – Les loups solitaires

Cette expression désigne un concept fourre-tout parfois hâtivement employé en matière de terrorisme, à tort par les journalistes ignorants et les services de renseignement, comme explication après l’échec de la prévention d’un acte terroriste. Trés fréqu’emment, après coup, se déroule une pelote de fils conducteurs aboutissant au démantèlement de réseaux jihadistes discrets. Nous posons par principe qu’il n’y a pas de loup solitaire !
Il convient de distinguer des fous solitaires.
Les soubresauts de l’agonie du courant Al-Qaïda ont conduit à la situation actuelle qui prolonge la disparition progressive des actions de terrain extérieures à la France.

2.2 – La radicalisation 2.0.

Bauer et al. font état des centaines de jeunes entre deux cultures, nés ou élevés en Occident, indécis sur leurs racines et qui partent combattre en Afghanistan, en Tchétchénie, en Bosnie, en Irak ou en Syrie, poussés par des prêcheurs de haine aussi discrets qu’efficaces.
Auprés des jeunes délinquants, le discours du martyr pardonné par Allah par son sacrifice, attendu par des vierges éternelles au paradis, ce discours semble porter. La radicalisation des jeunes nés en Occident et perméables à la culture du pays d’accueil semble difficile à comprendre. Que dire des jeunes nés de familles non-musulmanes qui se tretranchent ensuite dans l’interprétation la plus rigoureuse et la plus extrémiste de leur nouvelle foi ?
Le refus du matérialisme, de la pornographie permet de se radicaliser dans une religion de conte de mille et une nuits.

3 – Le milieu carcéral

Le passage en  milieu carcéral est un dénominateur commun à de nombreux jeunes radicalisés. On sait depuis longtemps que pour des jeunes délinquants, l’incarcération constitue une Université du crime. Il en va de même pour le jihadisme et la criminalité islamiste. La contamination des adultes rédicalisés de propage aux jeunes. Les jeunes délinquants sont fortement inlluençables et font la connaissance d’apprentis jihadistes mûris ou d’individus déjà passés à l’acte.

3.1 – Endoctrinement sectaire

L’endoctrinement pas des imams salafistes ou autres se fait de la même manière que dans une secte :

  • briser le lien familial (familles, copains, …),
  • briser les contours identitaires,
  • effacer les souvenirs,

3.2 – Dialectique

Les extrémistes usent d’une dialectique visant à faire de leur religion la seule susceptible d’apporter la rédemption et la vérité au futur jihadiste.

3.3 – Populations concernées

On ne doit pas avoir d’à-priori sur le profil du futur radicalisé. Le phénomène peut toucher autant des jeunes disposant d’une bonne situation professionnelle ou d’une bonne culture universitaire. elle peut aussi toucher des jeunes sans qualification professionnelle et ayant grandi dans une famille déstructurée.
Dans ce dernier cas, l’abandon à la suite d’un divorce (répudiation facile en islam et polygamie) est un puissant facteur de déstabilisation familiale comme le montrent des exemples récents.

En conclusion

Il y a alors un rejet de la société dans laquelle ils vivent avec la haine des valeurs du monde occidental. Ils se réfgient dans l’interprétation qu’ils vont faire et:ou qu’on va leur fournir sur la nécessité d’imposer un islam idéalisé et radical face à la décadence de l’Occident impie. L’Internet contribue à en faire des autodidactes du terrorisme avec les images des drapeaux noirs et des kalachnikovs
 

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Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Islamo-fascisme et victimes


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Problématique

Allah Akbar

Illustration Wikipedia, plaque de rue au sud de Jérusalem
(Quartier arabe de Sur Baher).

Madame Chahdortt Djavann est une romancière et essayiste d’origine irakienne, de nationalité française. Elle a publié de nombreux esais et opuscules résolument anti-islamiques.  Elle demande que  l’Union européenne reconnaisse la fatwa (incitation au meurtre) comme un acte criminel et engage des poursuites internationales contre ceux qui décrètent des fatwas.  » Chahdortt Djavann, Le Figaro, 18 février 2008.

Elle déclare que  (Que pense Allah de l’Europe, Gallimard, 2004, p. 7) :

  1. La critique d’une religion quelques sévère qu’elle soit, n’a rien d’un acte raciste
  2. La France est un pays de droit et le racisme est considéré comme un crime par la loi. [On peut être musulman sans que cela constitue une origine raciale ou ethnique, il y a des arabes chrétiens au Moyen Orient et ailleurs].

Le terme d’islamo-fascisme a été introduit dans le débat politique en 1990, par le journal anglais The Independant. Le terme est repris après le 11 septembre 2001 par des intellectuels américains qui dénoncent la parenté entre l’islamisme, les mouvements et régimes totalitaires et les «idiots utilles» qui considèrent que les jihadistes participent à une pseudo-théologie de la libération. Selon François Fillon «on doit parler de totalitarisme islamique». Parce que «islamisme et totalitarisme propagent le culte d’une violence meurtrière qui exalte la mort et la destruction (Viva la muerte vociféraient les franquistes et l’insigne des SS, la totenkopf ou tête de mort !).

L’émission religieuse La Voix de l’Islam sur Antenne2 a vu se succéder en 1995 des prêcheurs barbus qui venaient par les sur nos ondes nationales de la pré-éminence de la loi de Dieu sur celle de la République. La mort a été apportée sur notre territoire national, la France, par toute une litanie de jeunes exaltés, radicalisés dont nous allons citer quelques noms. Allahu Akbar se retrouve en dénominateur commun des attentats et crime. C’est un hymne à une grande nation arabe. Qu’Allam maudisse la France. Nous allons subir les évènements et non les anticiper. La République perd peu à peu ses territoires.

1 – Khaled Kelkal

Khaled Kelkal est l’un des premiers dont le parcours a été médiatisé. C’est un algérien imigré à Vaulx-en-Velin. La prison a joué un rôle dans sa radicalisation et son passage à l’acte. Ses bombes vont faire 21 blessés. Il sera abattu par la Gendarmerie le 6 octobre 1995, les armes à la main. Avec ce partisan du FIS-GIA commence la danse macabre.

2 – Moussa Coulibaly

Moussa Coulibaly (à ne pas confondre avec Amédy Coulibaly), agresse 3 policiers à l’arme blanche le 3 février 2015. Il sera ecroué et mis en examen.

Nous ne déroulerons pas plus la liste des crapules prétrndant agir au nom d’un dieu soi-disant miséricorieux ! Drôle de miséricorde qui assassine !


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Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




Aucune femme ne devrait être obligée de porter un voile

Protestation


Le niqab au Yémen (illustration Wikipedia)

Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, a déclaré que «le voile des femmes musulmanes (ou le foulard) n’est pas conforme à la civilité de notre pays». Je traduis par ne fait pas partie de notre culture. «Aucune femme ne doit être obligée de la porter.»

Le foulard n’est pas une mode, c’est une provocation à nos valeurs républicaines citoyen-citoyennes, la liberté de la femme reconnue aux citoyennes de s’habiller comme elles le veulent. La France donne la liberté !

Les islamistes se servent du voile pour afficher et affirmer leur présence.

Il y a des pays musulmans (islamistes ?) où les femmes se battent pour ne pas le porter.