Mur des cons : la Présidente du SNM condamnée

Logo Syndicat Magistrature

Nous observons

“Mur des cons”: l’ancienne présidente du syndicat de la magistrature condamnée pour injure à l’encontre du général Schmitt, père d’une jeune fille assassinée !

Enfin, justice commence à être rendue ! C’est le mensuel « L’essor de la Gendarmerie nationale » qui rend compte de la nouvelle !

Nous citons : « Françoise Martres, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature (minoritaire, classé à gauche) a été condamnée, jeudi 31 janvier, pour “injure publique” envers le général (2S) Philippe Schmitt dans le cadre de l’affaire du “mur des cons”. Le parquet avait requis sa relaxe lors du procès qui s’était tenu en décembre dernier. La magistrate a été condamnée à 500 euros d’amende avec sursis, ainsi qu’à verser 5.000 euros de dommages et intérêts et 10.000 euros au titre des frais de justice à Philippe Schmitt. (*) Général de l’armée de Terre, ce dernier est le père d’Anne-Lorraine, une élève journaliste assassinée dans le RER le 27 novembre 2007. ». Anne-Lorraine était une des Scouts de France. Scout un jour, scout toujours.

Les magistrats doivent rester intègres, impartiaux, apolitiques et juger en toute sérénité. Il en a en France. 15.000 €, c’est peu face la peine immense d’un père qui a perdu sa fille et qui a dû se battre contre un syndicat qui s’est permis de prendre des libertés inouïes.

Un VRCGN,
ancien Chef de groupe des Scouts de France


(*)”J’étais sur le ‘mur des cons’”, a expliqué le général Schmitt au site Boulevard Voltaire “parce que, suite au décès d’Anne-Lorraine, je me suis battu pour que d’autres jeunes filles et jeunes femmes ne connaissent pas le même sort qu’elle. J’ai été amené à porter un certain nombre de jugements et d’analyses qui ont eu l’heur de déplaire au Syndicat de la magistrature. Il m’a traité de con fasciste et a épinglé ma photo sur le fameux mur qui a été découvert en avril 2013.”


Argos Panoptés déchaîné

Argos Panoptes

aux mille yeux voit tout et entend tout !

Argos Panoptés




Affaire du « mur des cons »

L’affaire du « mur des cons » vient de connaître un premier épisode judiciaire. Mme Françoise Martres, ancienne présidente du Syndicat de la magistrature (minoritaire, classé à gauche) a été condamnée, jeudi 31 janvier 2019, pour “injure publique” envers le général (2S) Philippe Schmitt. C’est le mensuel « L’essor de la Gendarmerie nationale » qui a rendu compte de la nouvelle ! Mais qu’est donc que cette affaire ? Un magistrat condamné ! ? L’arroseur arrosé !

1 – Historique

« La révélation de ce panneau, sur lequel figuraient des images d’hommes politiques, de journalistes mais aussi de parents de victimes, avait fait scandale en 2013 ». (d’après le site du Figaro). Pour sa défense, Françoise Martres, poursuivie pour injures publiques, estime que ce panneau « n’avait pas vocation à être rendu public ». Mais le syndicat qu’elle présidait avait-il le droit, pour autant, de railler, dans un trombinoscope, des personnalités de droite ? « La garde des Sceaux juge impossibles des sanctions et a toutefois rappelé que « le devoir de réserve des magistrats supposait de la retenue ». ». Et nous ajouterons : la neutralité !

Il s’agit là d’une révélation du site « Atlantico » (selon Wikipedia). Un panneau portant plus d’une centaine de photos est découvert publiquement dans un local occupé par le syndicat de la Magistrature. Ce qui pourrait être « un canular de potaches marqués à gauche, un défoulement en réaction aux attaques anti-juges … » ne fait rire personnes, à commencer par ceux dont le portait figure sur ce « défouloir ».

Se sont donc retrouvés au mur Philippe Courroye, ancien procureur à Nanterre, qualifié de «fossoyeur du 92 [Hauts-de-Seine]» pour avoir protégé mordicus Jacques Chirac ou Liliane Bettencourt, mais surtout une ribambelle d’élus LR : Patrick Balkany, Eric Woerth, Patrick Ollier, Luc Chatel ou Christian Jacob. Tous n’ont pas eu maille à partir avec la justice de leur pays, mais le décor est planté : des magistrats de gauche raillent ouvertement des personnalités de droite. Mais dans un lieu privé ?

Selon le site de « Libération » (nous citons) «Les locaux du Syndicat de la Magistrature (SM) constitueraient un lieu strictement privé, protection syndicale oblige : «Le panneau litigieux a été réalisé progressivement par certains membres de ce syndicat, à titre personnel. En outre, il n’a fait l’objet d’aucune diffusion de la part du syndicat ou en son nom. Le seul fait que le dit « mur des cons » se trouve affiché au sein des locaux ne suffit à démontrer qu’il constitue un affichage syndical.» En défense, le SM n’aura guère plus à ajouter, du moins sur les vices de forme. ».

Toujours selon « Le Figaro » (nous citons) « Les faits sont apparemment d’une simplicité biblique : un panneau de photos sous la mention « mur des cons« , donc injurieux. Mais pour caractériser l’infraction d’injure publique, c’est en fait bigrement complexe, lorsque les faits se sont produits au sein d’un local syndical. Les recours ont été nombreux, de la part du parquet, qui a requis le non-lieu, ainsi que du Syndicat de la magistrature. Voilà pourquoi le procès n’arrive que cinq années et demie après les faits, un délai incroyablement long. ». Madame Christiane Taubira mettra un certain temps à exprimer sa consternation et à condamner les faits.

2 – Conséquences

La justice est passée mais l’affaire ne semble pas terminée car après la condamnation, il y a les recours (appel et cassation). Il est plus que probable que celle sui est devenue « première vice-présidente adjointe au tribunal de Bordeaux » ne restera pas les bras croisés, c’est son droit le plus absolu. Aucun des sites internet qui ont rendu compte des péripéties judiciaires de cette affaire n’a rendu compte des moindre excuses ni regrets de l’inculpée-condamnée à l’égard des personnalités ayant fait l’objet de ce sinistre affichage. Les recours ont été nombreux, de la part du parquet, qui a requis le non-lieu, ainsi que du Syndicat de la magistrature. En arguant du caractère privé du lieu ! Mais arrive l’argument opposé : en invitant un journaliste dans ce lieu, le caractère privé n’existe plus ! Bien que le journaliste ait été invité à ne pas filmer le panneau.

Il s’agit là d’une affaire dans laquelle les citoyens respectueux des lois, comme nous, sont consternés à différents titres. Celui qui porte une robe de magistrat n’est pas un citoyen comme les autres. Il a un devoir de réserve qui doit lui interdire le moindre écart, lui qui doit juger les autres. Les canulars de ce style n’ont pas de droit de cité dans des locaux publics.

Car là est la question. Le devoir de neutralité des magistrats est évoqué sur un autre site de Libération, rendant compte du procès : « Le dernier jour d’audience a viré à la discussion théorique sur le devoir de neutralité des magistrats.».

En conclusion-épilogue

Madame Françoise Martres définitivemet condamnée.

Il faut espérer que tout ceux qui sont au service de l’État et particulièrement du pouvoir judiciaire en tireront les leçons les plus salutaires. Le devoir de réserve s’impose aux serviteurs de l’État.




Revoir les salaires des hauts-fonctionnaires à la baisse

Le rêve (illustration Wikipedia)

Il faut bien rêver un peu

Un scoop ! Un rêve ? Nos oligarques d’état concernés ?

Le salaire des hauts-fonctionnaires revu à la baisse ! ? Rassurez vous citoyens-contribuables de France et de Navarre, c’est une info qui date du 10 décembre 2009 et qui concernait la Grande-Bretagne (l’Angleterre et consorts).

J’ai fait un rêve, celui où nos oligarques super-rémunérés (ceux qui gagnent plus que notre Président de la République) voyaient leurs luxueux placards dorés perdre une partie de leurs dorures. Au fait, dans quelle tranche d’imposition figurent ces oligarques d’état ? Combien paient-ils sur la manne en fonds publics (vos impôts) ? A quoi servent les « comités théodule » qui servent de moelleux divans de siestes à certains ? A quoi sert un Directeur de la Banque de France alors que cette banque n’a plus aucun pouvoir pour gérer l’euro ?

Cette information venait de la célèbre association de contribuables « Contribuables Associés ». Cliquez sur ce lien.

Le rouspéteur de service
Astérix le Gaulois


Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines




Figuerolles : les travaux ont redémarré


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Information

Figuerolles autrement
Figuerolles autrement

Enfin, les travaux ont redémarré avec un changement d’entreprise. Il s’agit de la rue du Faubourg Figuerolles, sinistrèe par des travaux de modification de la rue et dont le chantier a été abandonné.

Les commerçants sont sinistrès. La repris des travaux est une bonne nouvelle pour tous les usagers et les commerçants excédés.

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Une caste dominerait la France ?

/*! elementor - v3.5.5 - 03-02-2022 */ .elementor-widget-image{text-align:center}.elementor-widget-image a{display:inline-block}.elementor-widget-image a img[src$=".svg"]{width:48px}.elementor-widget-image img{vertical-align:middle;display:inline-block}


Argos Panoptés déchaîné

/*! elementor - v3.5.5 - 03-02-2022 */ .elementor-heading-title{padding:0;margin:0;line-height:1}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title[class*=elementor-size-]>a{color:inherit;font-size:inherit;line-height:inherit}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-small{font-size:15px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-medium{font-size:19px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-large{font-size:29px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-xl{font-size:39px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-xxl{font-size:59px}

Argos panoptès

Introduction

Selon un ancien numéro du Nouvel Observateur (Nouvel Obs : n° 2052 du 10 mars 2004, pages 14 à 29), les super-énarques seraient en accusation !. Le Nouvel Obs tire la substance de son dossier (pp. 14 à 18) d’un livre qui a été publié par l’écrivain Ghislaine Ottenmeyer sous le titre « Les intouchables » (3 mars 2004). Le jugement est dur, il vise le corps des fonctionnaires de l’ État, l’inspection des finances (IDF). Parce qu’ils sont sortis un jour dans les tous premiers de l’ENA (École Nationale d’Administration), « sans avoir à prouver ni leur courage, ni leur capacité de gestionnaires, ni leur charisme, ils se retrouvent à la tête de l’État ou de grandes entreprises. Pour quelques succès, que de désastres ! … ». Sont passés en revue un Président de la République, Valéry Giscard d’Estaing, plusieurs Premiers Ministres et Ministres (Maurice Couve de Murville, Jacques Chaban Delmas, Michel Rocard et Alain Juppé) ainsi que de grands Commis de l’État très compétents. Figurent aussi de grands patrons à la compétence reconnue. Cependant, la caste a enfanté des dirigeants d’entreprises responsables d’au moins quatre « désastres économiques ».

Les corps de fonctionnaires

En 2004, le corps de l’IDF était qualifié de misogyne. Dans son interview, l’écrivain affirmait que « Seul le pouvoir les intéresse » et « ils détiennent le vrai pouvoir », une « caste arrogante qui est devenue un boulet pour la France. Depuis les années 1970, elle est totalement anachronique … » (à rapprocher des accusations d’arrogance portées contre les actuels dirigeants).

Nous n’en dirons pas plus, vous découvrirez le livre et l’analyse datant de 2004. Depuis, il y a eu 2017 et l’arrivée au pouvoir de l’un d’entre eux, Emmanuel Macron. Il intègre en 2004 l’IDF dirigée par M. Jean-Pierre Jouyet dont, selon Wikipédia « il devient l’un des protégés ». Le 26 août 2014, il devient Ministre de l’économie, de l’Industrie et du Numérique. Il démissionnera le 30 août 2016 pour se consacrer au lancement du mouvement « En Marche » et sera élu le 7 mai 2017 Président de la République sans avoir jamais exercé le moindre mandat électif ! Le taux d’abstentions au 2e tour est de 25,4%.

En octobre 2018 éclate la crise des Gilets jaunes qui jettera dans la rue et sur les ronds-points des milliers de Français excédés par la fiscalité !

Les intouchables d’état

Il semble que le Nouvel Obs ne lâche pas facilement le morceau. Quatorze ans après, l’écrivain Vincent Jauvert (journaliste au Nouvel Obs où il est spécialiste en investigation) publie « Les intouchables d’État : Bienvenue en Macronie » (Robert Lafont, 2018, 247 p.). C’est la suite logique du précédent ouvrage avec plusieurs cas supplémentaires car, depuis 2004, rien n’a changé. L’ouvrage est présenté en dernière page de couverture comme « Incarnée par Emmanuel Macron et édouard Philippe, une nouvelle noblesse d’État dirige la France. Une caste de hauts-fonctionnaires plus que jamais minée par l’entre-soi et par les conflits d’intérêts. ». Là encore, vous ne manquerez pas de lire cet ouvrage mais attention ! Par petites doses quotidiennes car l’énoncé des privilèges de ces « nouveaux aristocrates » donne vite la nausée (ou l’envie de recourir à la lanterne républicaine : pas de peine de mort ni de Robespierre au 21e siècle !). Nous conclurons avec la dernière phrase de la page de couverture « …Vincent Jauvert dévoile la face cachée de cette haute fonction publique qu’il est urgent de moraliser. ». Pourtant, je croyais naïvement que depuis la nuit du 4 août 1789, les privilèges étaient abolis.

Le plus privilégié de tous n’est pas celui que vous croyez, il ne gagne que 150.000 €/an. C’est le Gouverneur de la Banque de France (miracle : son salaire est publié) qui « reçoit une rémunération d’activité équivalente à celle de vice-Président du Conseil d’État » ! Ils sont donc deux à toucher la modeste somme de 283.000 euros bruts par an » auxquels s’ajoutent 67.716 euros d’indemnité « imposable » pour le logement. C’est de l’argent public que tous reçoivent, l’argent de vos impôts ! Et les autres IDF ?  Dans « l’Empire, pardon la République », de quoi se plaindrait-on, nous retraités aux pensions amputées de la CSG ?

Abraracourcix dit Le Croquant

A bas les privilèges !!!

Jacou le Croquant, un citoyen très en colère ! mais respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen