Nous observons, nous analysons
Avec nos amis, nous nous posons les bonnes question concernant l’incendie de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. Tout d’abord qui ? Contrairement aux autorités, nous n’affirmons pas péremptoirement que les causes sont accidentelles. Nous emploierons le conditionnel et nous dirions que les causes seraient accidentelles, jusqu’à plus ample informé, c’est-à-dire qu’une enquête minutieuse le prouve. Cette formulation laisserait la porte ouverte à d’autres hypothèses et éviterait la conclusion prématurée et hâtive des autorités. Pourquoi cette hâte à conclure et à dire « circulez, y’a rien à voir ?».
Il existe des spécialistes de ce genre d’investigations et nous devons les laisser travailler. Cette cathédrale est un symbole national pour lequel des hommes, les Pompiers de Paris (des militaires) et des Pompiers d’autres brigades civiles des environs. Tous aussi méritants les uns que les autres, ils ont risqué leur vie pour éteindre le feu qui a fait rage. Ils la risquent encore dans le site, sur les toits et les balcons de l’édifice. Ils doivent sécuriser les lieux pour que les enquêteurs puissent travailler. Malgré les décombres, il sera possible de rechercher et découvrir le moindre indice, appuyés sur les laboratoires scientifiques (Police, Gendarmerie, Assurances, etc.). Les Pompiers aussi ont des spécialistes compétents en la matière.
S’il s’avérait que d’autres conclusions soient tirées et que des criminels aient pu ourdir un tel crime de destruction de notre symbole national, alors la main de la Justice doit s’abattre sans pitié aucune sur ces malfaiteurs.
Nous ne véhiculons aucune rumeur, respectons le travail des enquêteurs et faisons confiance à une justice sobre en mots et sur la plus grande réserve.
« Amour sacré de la Patrie, conduis-soutiens nos bras vengeurs » La Marseillaise, notre hymne national