Le Professeur de médecine Christian Perrone est l’auteur de deux ouvrages mettant à plat la gestion de la pandémie à SRAS-CoV-2 ou CoVid-19. Un premier ouvrage :
- Y a-til une erreur qu’ILS n’ont pas commise ?.- juin 2020, Albin Michel, 207 p.
et diverses déclarations dans les médias (CNews, Sud-Radio, RMC, …) lui ont valu d’être convoqué devant l’Ordre des Médecins et d’être démis de ses fonctions de Chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches et de Président du Conseil Scientifique de la Fédération de la Maladie de Lyme. 6 autres médecins vont être sanctionnés.
Il publie un nouveau livre :
- Décidément, ILS n’ont toujours rien compris !.- avril 1921, Albin Michel, 280 p.
Ce dernier livre est plus accablant que le premier, un chef d’oeuvre d’accusation et de persifflage, un témoignage courageux servi par une écriture féroce, et nourri de faits précis. Dans l’enseignement donné au DEA d’Ecologie à l’Université de Montpellier, en 1968, feu les Professeurs Charles SAUVAGE et Gilbert LONG nous enseignaient « la vérité terrain », la seule valeur du pragmatisme face aux mensonges générés par le dogmatisme. Merci Professeur de médecine PERRONNE de dire la vérité, citation des sources à l’appui. La médecine est un art, l’art de guérir.
La gestion catastrophique de la pandémie nous laisse un taux d’endettement abyssal, deux générations à venir ne seront pas de trop pour revenir à l’état d’avant la pandémie, état qui n’était pas brillant. « Les confinements répétés mènent les économies à la mort, ou en tout cas en réanimation [économique]. … Qui dit explosion de la dette dit coupes dans le budget de l’hôpital. »
Père Siffleur
Citoyen et contribuable de l’Hérault
- Médecine, l’art de guérir selon Wikipedia.
Nous ajoutons que le serment d’Hippocrate est publié par l’Ordre National des Médecins. Nous citons une partie :
« Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. … ».
Donc, guérir un patient doit être le premier souci du médecin. Donner un placebo dans un essai clinique contre une maladie réputée mortelle devrait entraîner une inculpation pour homicide volontaire ! Il faut dissocier la liberté de prescription du médecin dans son art de guérir et les essais cliniques qui relèvent de l’expérimentation sur des volontaires dûment volontaires et avertis des risques qu’ils prennent. Guérir d’abord, en toute indépendance vis-à-vis des laboratoires pharmaceutiques. Nous citons le serment d’Hipocrate :
« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.»
De là découle le Code de déontologie médicale qui fait partie du Code de la Santé publique. Nous citons ici un article :
« ARTICLE R.4127-5 Le médecin ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit. ».
Les médecins sont libres de leur prescriptions, nous citons un autre article :
« ARTICLE R.4127-8 Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance. Il doit, sans négliger son devoir d’assistance morale, limiter ses prescriptions et ses actes à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l’efficacité des soins. Il doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles. ».
Les essais cliniques font partie de la Recherche scientifique, il doivent avoir pour objectif d’aider le médecin à mieux pratiques son art mais on ne peut ignorer les résultats obtenus par un médecin qui guérit, comme c’est le cas des traitements anti-CoVid-19 mis en oeuvre par d’éminents professeurs et médecins.
Nous citons un autre article :
« ARTICLE R.4127-9 Tout médecin qui se trouve en présence d’un malade ou d’un blessé en péril ou, informé qu’un malade ou un blessé est en péril, doit lui porter assistance ou s’assurer qu’il reçoit les soins nécessaires. »
La CoVid-19 met en danger la vie des malades et l’article précité fait obligation d’assurer « les soins nécessaires« . L’étude foireuse et bidonnée de Surgisphère publiée par The Lancet puis récusée et retirée a servi à un médecin neurologue, le Docteur Olivier Véran, présentement Ministre de la Santé à interdire un traitement hydroxychloroquine-azithromycine, « les soins nécessaires ». Qu’à fait le Conseil de l’Ordre ? A-t-on déféré le Ministre devant sa juridiction ?
La restriction « Dans les limites fixées par la loi » mais « compte-tenu des données acquises par la science » a permis à Monsieur le Ministre de la Santé Publique de légiférer pour interdire l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de faire du Conseil de l’Ordre un instrument de répression totalitaire contre des médecins ayant obtenu des résultats pour sauver des vies. Deux livres (Perronne et Bazin, vir ci-après) l’affirment. Le Conseil de l’Ordre ne peut atteindre le journaliste, sa compétence se limite aux médecins !
Lisez l’ouvrage du Professeur Perronne (2021) et celui du journaliste scientifique Xavier Bazin :
- BIG PHARMA DÉMASQUÉ !.- mai 2021, Guy Trédaniel éditeur, 245 p.
Il complète l’ouvrage du Professeur PERRONNE qu’il ne cite pas (p. 247) mais cite l’ouvrage du Professeur Didier RAOULT :
- ÉPIDÉMIES : Vrais dangers et fausses alertes.- avril 2020, Michel Lafon éditeur, 176 p.
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