En Russie il y a de la méfloquine et …
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
Info
En France, on ergote autour de la chloroquine et notre Premier Ministre a déclaré qu’il fallait l’administrer aux cas graves, c.a.d. aux patients dont la charge virale est la plus élevée. Nous ne sommes pas d’accord : l’organisme risque d’être submergé par une importante charge virale avec des lésions graves et des risques de séquelles ! NON, NON, NON et NON : il faut attaquer la maladie dès les premiers symptômes ! Bien sûr, si le patient n’a pu être traité avant, il faut attaquer le virus et l’empêcher de submerger les défenses.
En Russie, on n’a pas d’états d’âmes : selon plusieurs sources, il apparaît qu’un médicament à base de méfloquine est disponible, associé à un antibiotique. Un des articles (cliquez sur ce lien) explique que la Russie a profité de l’expérience chinoise et française ! Vous avez bien lu « expérience française » (cliquez sur ce lien vers un 2e article). Laquelle ? Celle du combat d’aveugles dans un tunnel des oiseaux de plateau-télé ou celle du professeur Didier Raoult (CHU La Timone de Marseille) ? Le CHRU de Montpellier lui a emboîté le pas !
L’observateur Argos Panoptés