Un très gros mensonge sur les masques

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

 Un très gros mensonge ?

Il a été déclaré que le port du masque ne servait à rien ! Il y a pénurie prouvée, mondiale, de masques pour la société civile mais pas dans les hôpitaux. Cela vient d’être dit sur France 5, ce soir 23 mars à 18h30 par un éminents spécialiste, Professeur de médecine. L’établissement qui gère ces stocks, l’EPRUS (établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires) a été créé en 2007. Il est cofinancé par l’État (l’impôt) et l’assurance maladie (les cotisations sociales). La vision purement comptable qui suit la gestion de l’épidémie de H1N1 en France va avoir des conséquences directes sur les finances de cet établissement. L’EPRUS sera supprimé

La société civile et les médecins de ville ainsi que les soignants de ville ne sont pas tous fournis en masques FFP2. Nous citons un extrait du site Le Quotidien du Médecin« Ce qu’il faut résoudre, absolument résoudre, c’est la question des masques. » Philippe Juvin est chef du service des urgences de l’hôpital Georges Pompidou à Paris. Rattaché à l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, il considère ne pas faire partie des plus mal lotis en matière de matériel et de personnel. « Mais je regarde toute la médecine de ville, tous nos collègues médecins, infirmiers, kinésithérapeutes, toutes ces personnes qui vont à domicile aider les personnes âgées à faire leur toilette, à manger… Ils n’ont pas de masques ! » s’indigne-t-il le 18 mars.

Notre avis

Le virus est propagé par les malades atteints (que la maladie soit visible ou pas). Le virus ne voyage pas dans l’atmosphère, c’est le porteur qui se déplace. Le masque sert alors de barrière pour empêcher que les gouttelettes de salive (postillons) ou d’éternuements  (nébulisations) n’atteignent une autre personne saine et la contaminent.

Gestes barrières

Chez une personne saine qui prend le risque sciemment de sortir et qui ignore quelles rencontres elle peut faire, le masque lui sert à éviter de respirer des gouttelettes de nébulisations (postillons ou éternuements). C’est la première barrière. La seconde est celle qui consiste à éternuer dans son coude. La troisième barrière est la distance de sécurité de 1 m minimum entre deux personnes. La dernière barrière est d’utiliser le gel hydro-alcoolique ou, en rentrant chez soi, se laver soigneusement les mains au savon, tout simplement, notre bon vieux savon de Marseille, en pain ou en liquide.

N’oubliez pas de nettoyer les boutons de portes chez vous. Pas d’embrassades ni de serrements de mains.

Ne sortez que pour de bonnes raisons : se ravitailler en nourriture et en médicaments, pour aller chez votre médecin ou porter assistance à un proche.

N’oubliez pas de remplir votre attestation.

Mme Sibeth N’Diaye en a rajouté !

Pinocchio supris
Pinocchio a trop menti


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Défense de notre souveraineté nationale


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française

Info 

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines. Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public.

Marianne redac chef
Natache Polony journaliste

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité.

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison pour la fermeture des frontières de la France.

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens..

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Six questions pour le déconfinement

Exposé du problème

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a publié six critères à remplir avant de déconfiner. Le site Consoglobe nous les rappelle. Nous les reprenons ici en rappelant que le déconfinement n’est pas la fin de l’épidémie CoViD-19, le virus SRAS-CoV-2 responsable de la pandémie n’a pas disparu.

Nous allons devoir vivre avec ! Il convient que chacun se pose les questions et y apporte sa réponse en se disant « Le virus ne passera pas par moi » ? Le bon sens doit jouer ! Alors, chiche ? Un bon contribuable et un bon citoyen responsable doit se poser des questions et vérifier ses réponses ?

Nous venons de vivre 50 jours de confinement dans nos maisons et des professionnels de santé dévoués, eux, se sont battus pour soigner nos amis, nos parents, notre population, avec des moyens réduits. Certains l’ont payé de leur vie et nous ne devons pas les oublier. Pour eux, ceux qui ont survécu pour que nous vivions, le déconfinement doit être un soulagement et nous devons veiller, chacun dans notre lieu de vie et de travail (repris ou à reprendre) à ne pas faire repartir l’épidémie-pandémie.


1 – La transmission du virus est elle contrôlée ?

Le virus voyage localement, par des projections (postillons, crachats, gouttelettes à la suite d’éternuements). Il voyage à courte, moyenne et longue distance dans de manière invisible dans l’organisme humain (ou animal) ?. Un organisme infecté ne développe pas immédiatement la maladie, celle-ci peut incuber 3 à 5 jours, silencieusement. Cette période peut s’étendre jusqu’à 15 jours. Posons nous les bonnes questions :

  • A mon niveau, ais-je les bons gestes-barrières (masques, vêtments, …) ?
  • Suis-je protégé contre les nébulisations du virus par les autres ?
  • Suis-je un nébulisateur, porteur du virus qui s’ignore ?
  • Dois-je faire un test de dépistage ?

A vous de répondre, vous êtes sur la bonne voie pour vous protéger. Faites-vous vacciner !

2 – Le système de santé dont je dépends est il en capacité ?

Nous dépendons tous d’un système de santé (hôpitaux, cliniques, laboratoires, soignants, aide-soignants, auxiliaires, …). Il convient de suivre avec attention la situation locale (presse, Internet, télévision, …).

Le système est il capable de tester, d’isoler et de traiter chaque cas et particulièrement le mien ?

Est-on capable de tracer, retracer, chacun de mes contacts ?

3 – Les risques d’épidémie sont-ils réduits ?

La question de l’OMS parle des établissements de santé et les maisons de soins.

Quel est mon rôle de citoyen dans la réduction des risques d’épidémies ?

Comment réduire ces risques ?

4 – Les mesures préventives sont-elles en place ?

Ces mesures concernent mon lieu de vie, de travail, dans les écoles et dans les lieux publics.

Suis-je en mesure de respecter ces mesures ?

5 – Les risques d’importation sont-ils gérés ?

L’importation du virus se fait par la circulation de porteurs en apparence sains. Saul un dépistage par tests-analyses (PCR, sang, …).

A mon niveau, comment puis-je éviter d’importer du virus ?

La même question, comment puis-je éviter de faire circuler le virus ?

6 – Ma communauté est elle formée ?

Il s’agit là de vérifier autour de nous, bien que confinés, que les autres sont bien informés et formés. Nous ne devons pas être insouciants mais raisonnablement prudents.

Ma communauté est-elle pleinement éduquée, engagée et habilitée à s’adapter aux nouvelles normes de vie en société ?


Nous ne prétendons pas, nous citoyens et contribuables de vaincre à nous tout seuls la pandémie. Nous réussirons si nous sommes tous, ENSEMBLE, des citoyens responsables, capables de nous auto-contrôler et de nous mettre à l’abri des erreurs des autres. Prévenir, c’est guérir !

C’est à ce prix que nous allons commencer à reprendre une vie économique et sociale.

Il n’empêche que, ceux dont l’insouciance, le manque de prévoyance, ceux à qui l’on doit d’avoir envoyé nos soignants au combat sans armes, ceux là devront rendre des comptes. La France doit être gouvernée par des citoyens sérieux, soucieux de l’intérêt général, du bien public.

 

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Citoyen-Contribuable
Docteur (non-médecin) en Sciences biologiques




Le passé ressurgit


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen

 Un document intéressant. Les paroles s’envolent, les écrits restent ! Mais les paroles prononcées sur les médias sont pires que le sparadrap du capitaine Haddock ! Jugez en par vous même. Pour nos hommes politiques, le sparadrap colle !

Verba volant, scripta manent.

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Analyse des taxes foncières et habitation

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Citoyen et Contribuable



Avis mal compris

Avis d’impôt sur les revenus (illustration)
Crédit : Joël SAGET / AFP

Introduction

Sur le principe, le paiement d’impôts est dû pour l’entretien des services de l’administration. Le contribuable a le droit de demander des comptes sur l’emploi de ces fonds. Les cours des Comptes (Nationale et Régionales) sont là pour demander des comptes, à postériori et proposer des sanctions en cas de mésemploi frauduleux. Les avis er remontrances des Cours sont rarement suivis d’effet. Pourquoi ? Les Cours des Comptes ne peuvent pas saisir directement les juridictions chargée de réprimer les mauvais emplois de fonds publics.

Le candidat à l’élection municipale, Maire de Montpellier et Président de la Métropole nous a gratifiés d’un luxueux « flyer » (un tract électoral) sur papier blanc certifié PEFC. En date du 4 mars 2020, le quotidien Midi-Libre nous amène une analyse du « mandat de Philippe Saurel passé au crible » sur deux pages (2 et 3). Ce bilan vu par la rédaction de Montpellier du quotidien ne jette pas de roses au candidat-maire-président.

Sous la plume de Mme Valérie Marco, l’article n° 1 s’intitule « La fiscalité n’a pas évolué ». Le candidat confond le taux d’imposition et la base d’imposition. Les taxes d’habitation (TH), foncière (TF) et d’enlèvement des ordures (TEOM) sont calculées sur des bases imposables, la valeur locative du logement. Ces bases peuvent être réévaluées à la hausse.

La Taxe d’habitation est payée par l’habitant, qu’il s’agisse du propriétaire-habitant ou d’un locataire.

La Taxe foncière est payée par le propriétaire ainsi que la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Le propriétaire-bailleur répercute la TEOM à son locataire au titre des charges récupérables.

Nous avons analysé les taxes levées par la commune sur le document (à télécharger). A Montpellier, on jette de l’argent par les fenêtres, on est pété de thunes.

1 – Oui, la fiscalité a évolué !

La fiscalité a évolué, dans le mauvais sens. Mais le candidat n’y est pour rien en apparence. Les instances gouvernantes locales (conseils de commune, département et région) n’ont pas bougé les taux. Pour la commune et l’intercommunalité (Agglo puis Métropole), la taxe foncière n’a pas été modifiée par les collectivités locales.

1.1 Évolution de la Taxe foncière

Le Taux de la Taxe Foncière pour la commune est resté inchangé  à 31,18% mais la base  valeur locative a augmenté. Elle était à 2.248,00 € en 2012 pour un logement situé en bordure de l’Écusson. Elle était rendue à 2.3007,00€ en 2014, et à 2.422,00€ en 2019. D’où une lente augmentation de 13,00 € en 2012, 6,00 € en 2014 et 16 € en 2019. C’est l’État qui a fait ce cadeau aux communes, agglos-métro et région.

1.2 Évolution de la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères

Pour la Taxe l’enlèvement des ordures ménagères, même topo car calculée elle aussi sur la valeur locative au taux exagérément élevé de 11,18%, le taux le plus élevé de France. Le montant à payer pour deux personnes était de 253,00€ en 2012, 260,00€ en 2014 et 275,00€ en 2019.

1.3 Évolution de la Taxe d’habitation

Pour la Taxe d’habitation, même topo. La taxe est calculée sur une valeur locative différente de celle de la TF. Elle était (valeur nette) de 4.018,00€ en 2012, 4.128,00€ en 2014 et de 467,00 € en 2019. Là, intervient la suppression progressive de la TH en vue de son extinction et l’État diminue progressivement la valeur locative.

Impôt injuste disait notre Président marcheur, oui ! En 2017, date de son élection, la base de la TF était de 2.352,00€ et celle de la TH de 4.721,00€ soit presque le double ! En 2018, la perte était de -766 € pour la commune ! En 2019 de – 63€. Ceci devait être compensé par l’État.

2 – Le scandale de la TEOM

Un site spécialisé dans le problème des ordures ménagères, le site de l’Observatoire des Déchets, de l’Environnement et de la Santé (ODAM) a dénoncé dans un de ses articles le scandale de cette taxe. Pour les Contribuables de l’Hérault, le problème des déchets est un scandale que les citoyens ne cessent de dénoncer depuis plus de 50 ans.

2.1 Déchets ménagers solides

M. Saurel, lors de son arrivée à la Mairie n’a rien fait que reconduire le calamiteux contrat de l’usine Amétyst, contrat dénoncé par son prédécesseur M. Moure, lui-même successeur de Mme Mandroux, elle même successeur de feu M. Georges Frèche.

2.2 Déchets ménagers liquides

Les déchets ménagers liquides sont les eaux usées. Ici, de même, M. Saurel s’est contenté de mettre ses pieds dans les pantoufles de ses prédécesseurs.  La station Maera (STEP Maéra) a failli passer pour un site à améliorer alors qu’il a voulu nous faire passer une augmentation de capacité pour une modernisation. Avec son tuyau de 13 km de long, cette station continue à « diluer » ses effluents dans le Golfe d’Aigues-Mortes et de là dans la mer Méditerrannée.

3 – Ecologie et Montpellier-Métropole

L’écologie politique a fait une entrée fracassante à Montpellier-Agglo avec l’alliance de « Les Verts » et feu Monsieur Georges Frèche lors de l’élection de 2001. M. Jean-Louis Roumégas devient 2e adjoint au Maire. Son mandat durera jusqu’en 2014 (site Wikipedia). Si la décharge du Thöt fermera en 2006, l’usine de traitement des déchets « Amétyst » inaugurée en 2008 se révêlera selon la Cour régionale des Comptes « un fiasco technique et économique ».

La station d’épuration des eaux usées de Lattes (Maéra) sera modernisée et cessera de polluer gravement la rivière « Le Lez ». Mais, la nouvelle STEP évacuera des effluents insuffisamment épurés au large de Palavas. Un bilan médiocre quant on sait que l’enquête d’utilité publique de l’été 2009 lancée par M. Saurel a recueilli une forte opposition. M. Roumégas, fondateur en 2019 d’une association de défense de la Méditerranée, était aux abonnés absents. Il n’y a eu aucune contribution de sa part  à l’enquête.

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Signature du Citoyen-Contribuable 34




Défense de notre souveraineté nationale

Introduction

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines.

Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public. L’hebdomadaire poursuit la dénonciation des mensonges et des blocages (n° du 1er mai).

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité. Il en est résulté une mauvaise appréciation de la progression de l’épidémie devenue pandémie. La petite grippe ou « gripette » a tué plus de 25.531 décès sur 132.000 cas dont 52.736 guérisons. Cette minimisation a cessé rapidement face à la vérité terrain. C’était une pandémie due à un virus inconnu provoquant une maladie émergente. Nous étions démunis ! Démunis au point de vue connaissances comme au point de vue infrastructures : il y avait pénurie. La ministre Agnès Buzyn quitte son ministère remplacée par Olivier Véran. La presse (Marianne n° 1207, 1er au 7 mai) cite Mme Buzyn (en date du 21 janvier 2021, p. 23) « Le risque d’introduction en France de cas liés à cet épisode est faible. » !!! Nous avons vu !

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le gros mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie. Ça continue avec la pénurie de tests de dépistage.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison. Il ne pouvait être question de fermer nos frontières alors qu’un parti d’opposition le préconisait !

La haute-technostructure qui prévaut en France est issue de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). Nous avons dénoncé ce

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens.

Une France forte non-seulement de son agriculture (pétrole « vert ») mais aussi de son industrie qui doit être réinstallée sans être une source de pollution.


Un Auditeur IHEDN 1985




L’état profond source de blocages ?


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Introduction

La crise sanitaire majeure qui a frappé notre pays, ses voisins et une grande majorité de pays de notre planète est une pandémie due à un virus émergent. Un virus qui a émergé de la ville de Wuhan (province du Hubei, République populaire de Chine). Ce virus appartient à la famille des Coronavirus (virus à Couronne). Il a été baptisé SARS-CoV-2 et provoque une maladie, le CoViD-19.

Une des conséquences de cette crise majeure a été de mettre en lumière un certain nombre de carences administratives dans notre pays, des « lourdeurs » qu’a dénoncées la plus haute autorité de notre pays, M. Emmanuel Macron soi-même, le chef de l’État et Président de la République. Il est le chef, certes, mais il se heurte à un super-pouvoir, celui des bureaucrates et particulièrement des énarques (anciens élèves de l’École Nationale d’Administration) dont il est un des purs produits.

L’hebdomadaire Le Point (n° 2487 du 23 avril 2020, pp. 34-36) parle d’un « État profond ». Nous citons « Comme ses prédécesseurs, Emmanuel Macron s’est entouré de conseillers issus des grands corps de l’État … mais tout en adorant critiquer ceux-ci. ». Un paradoxe !

Nous n’inventons rien mais nous rapprochons et persifflons un peu.

1 – Les bureaucrates français

L’hebdomadaire que nous citons ci-dessus, sous le titre général « Les bureaucrates auront-ils notre peau ? » consacre plusieurs pages à la crise et à ses conséquences (pp. 5-59). D’où vient cette bureaucratie qui nous étouffe ?

1.1 – Les ancêtres : les scribes

D’ou viennent les scribes ?La bureaucratie n’est pas une invention française ni européenne. De tous temps, les puissants ont compris que pour gouverner, il ne suffisait pas d’avoir des armées puissantes. A côté de la caste militaire, il fallait une caste d’administrateurs. Ce furent les scribes. Les Chinois avaient les mandarins et le mandarinat. Les égyptiens avaient les scribes. Nous avons les énarques (les ancien élèves de l’ENA).

1.2 – Les énarques

Le terme énarque désigne les anciens élèves de l’École Nationale d’Admininistration. Notre Président a déclaré vouloir supprimer cette école. Elle forme une élite administrative dont la situation de fait est de contrôler toute la pyramide administrative depuis le sommet. Alors que nous sommes en démocratie et qu’il existe constitutionnellement trois pouvoirs  :

  • le pouvoir exécutif, exercé par le Gouvernement ;
  • le pouvoir législatif, exercé par le Parlement et le Sénat ;
  • le pouvoir judiciaire, exercé par les magistrats.

Les pouvoirs sont, en principe, séparés.

1.3 – Noblesse oblige

Noblesse oblige, c’est une expression qui est devenue un proverbe et qui signifie que « quiconque prétend être noble, doit se conduire noblement ». Traduit de nos jours par « On doit agir en conformité avec la situation qu’on occupe, avec la réputation qu’on s’est acquise ». Qui « on » ? Ceux qui nous gouvernent. Nous sommes en démocratie mais de fait, il existe une autocratie collective, la bureaucratie que dénonce l’hebdo Le Point.  Le législateur a mis en place, à compter de 1679, ce type de recrutement : la fonction publique. Les « fonctionnaires » (on ne les appelait pas ainsi à l’époque) étaient recrutés par concours ou sur tires et étaient soumis à des obligations strictes de résidence, droit de réserve et ponctualité. Ceci devait éviter le clientélisme et garantissait une rémunération fixe. La Révolution de 1789 supprima les offices mais reconnut le libre accès aux fonctions publiques sans autre distinction que celle des talents (article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen). Le statut actuel découle de l’action du Gouvernement provisoire de la République française qui élabore alors un statut général des fonctionnaires adopté par l’assemblée nationale constituante et devenu la loi du 19 octobre 1946. Ce statut général est remplacé par l’ordonnance du 4 février 1959 à la suite de l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution du 4 octobre 1958. Les fonctionnaires sont titulaires et qu’il s’est créé une Haute-Fonction Publique destinée à encadrer dans le cadre des grands corps d’étatcool wink

1.3.1 Les corps de fonctionnaires

Les corps de fonctionnaires se sont organisés sans qu’il existe le moindre concept juridique de « Corps ».

L’existence des corps de fonctionnaires est une spécifité française. La hiérarchie des corps (selon Wikipedia) est la suivante, à la fin de la 2e Guerre Mondiale :

Actuellement, le haut du pavé est tenu par le corps de l’Inspection Générale des Finances. Deux Présidents de la République en viennent : : Valéry Giscard d’Estaing (ENA), Emmanuel Macron (ENA)

Deux corps dominent également, créés pour les besoins et qui ont donné des Présidents de la République :

D’autres fonctions publiques ont été créés. Notamment le corps de la recherche. Il faudrait citer tous les corps actuels ?

1.3.2 Les autres fonctions publiques

Il existe des fonction publiques qui viennent compléter la fonction publique d’état. Ce sont :

A ces corps correspondent des modes de recrutement passant ou non par de grandes écoles ou des instituts spécialisés. La magistrature a son propre système de recrutement.

1.3.3 Les établissements publics

Les établissements publics sont des personnes morales de droit public financés sur fonds publics. Ils dérogent aux règles de la fonction publique. Ils exercent des missions d’intérêt général.

1.3.4 La notion de gouvernement parallèle

Le gouvernement parallèle ou « État profond » est une expression employée par notre Président. L’hebdomadaire Le Point (n° 2487 du 23 avril 2020,  pp. 34-36) mentionne que c’est un pouvoir de fait qui résulte de ce que se sont constituées de véritable féodalités administratives avec une certaine hiérarchie établies en fonction des prestiges historiques administratifs et techniques. Un tel édifice a favorisé un certain corporatisme qui vient de loin.  L’Ecole Nationale d’Administration semble être le pivot autour duquel s’articule ceux qui ont été qualifiés d’«intouchables d’état » par différents auteurs. A tous les niveaux, les énarques s’établissent avec une hiérarchie qui place au sommet des cabinets (présidentiel et ministériels) des énarques. Une calamité française ! Le sommet de la pyramide serait situé au niveau du chef des inspecteurs des finances.

Que le chef de l’État en ait fait mention et que cela soit rapporté par la presse (Marianne 28/05/2019,  Le Monde 11/09/2019, …) ainsi que l’hebdo Marianne du 23/04/2020, montre bien que cette engeance existe et prétend tirer les ficelles.

Wikipedia rapporte « L’État profond, transcription de l’américain deep state, est un concept politique qui désigne, au sein d’un État ou de sa bureaucratie, une hiérarchie parallèle, une ligue, ou une entité informelle qui détient secrètement le pouvoir décisionnel, manipulant ainsi l’État de droit. ». C’est grave mais je ne suis pas surpris. J’ai été témoin dans le ministère où j’exerçais de la manière et avec l’aval de qui étaient choisis les directeurs de cabinet des ministres venant de la société civile ou n’appartenant pas à la majorité politique du moment.

Cet état profond se manifeste par des groupes informels d’influence (groupe Bilderberg, groupe Le Siècle), des associations (Les Gracques, …).

2 – Les collectivités territoriales

Les collectivités territoriales en France sont des personnes morales de droit public. Elles exercent des fonctions dévolues par l’Etat. Elles sont placées sous la tutelle des Préfets qui représentent l’État central. Elles emploient des fonctionnaires territoriaux formés dans en ensemble de Centres de formation de la Fonction publique territoriale (CNFPT).

2.1 – Le mille-feuilles administratif

Depuis quelques années, les électeurs assistent à l’empilement des strates administratives, un véritable mille-feuilles :

Chaque niveau fonctionne avec une assemblée et un président qui exercent leurs compétences.

Historiquement, il n’y avait que les régions, les départements et les communes. On a voulu regrouper les communes pour faire des économies d’échelles. Il a été créé les intercommunalités avec objectif de supprimer les départements. Enfin, la loi NOTRE pour bien fixer la réorganisation territoriale, a vu le renforcement des compétences des régions et la diminution des compétences des départements et des communes vers les intercommunalités. Des compétences de l’État  ont été également transférées La réforme s’est arrêtée et a, pour le moment, manqué ses objectifs.

2.2 – Les objectifs manqués

L’objectif principal du point de vue fiscal qui était de diminuer la pression fiscale locale n’a pas été atteint car la diminution escomptée des effectifs en personnels n’a pas abouti, des doublons ont persisté. La pression fiscale a été diminuée de manière forcée avec la suppression de la taxe d’habitation. La suppression, à terme, des départements au profit des intercommunalités a avorté. On a ajouté une couche de plus au millefeuille administratif au lieu d’en supprimer une.

2.3 – Le poids du dinosaure ou du mammouth

Le dinosaure étatique (le mammouth) a grossi. Le millefeuilles a épaissi. Au niveau des régions, il y a une Préfecture de région avec un Préfet de région qui exerce une certaine tutelle de l’État sur l’administration et les élus régionaux. Le Préfet du département exerce sa tutelle sur les 3 autres niveaux. Chaque Préfet a son administration.

Les Préfets n’ont pas autorité sur la Santé, l’Éducation nationale et les affaires militaires. A la Santé correspondent les Agences Régionales de Santé, à l’Education nationale les Recteurs et à l’Armée les Délégués à l’accompagnement Régional.

La conséquence de l’inflation administrative entre le mille-feuilles territorial et le niveau national se compare aux dinosaures qui ont démesurément grossi  sans que la vitesse de transmission de l’influx nerveux n’ai augmenté. Bien que le développement des réseaux de communication et des moyens ait permis la communication rapide, les différents niveaux ajoutent les inerties des responsables administratifs. C’est là qu’intervient la remarque « Le bureaucrate se prend pour « le phénix des hôtes de ces bois » » chère à M. Jacques Bichot (Le Point, n° 2487, 23 avril 2020, p. 38).

Dans la crise sanitaire due au SRAS-CoViD-2, le dinosaure administratif a mis du temps à ressentir l’agression dont le pays a été victime. Pour diverses raisons mais surtout parce que nous n’étions pas prêts, surtout dans la haute fonction publique, celle qui est à la tête de la France et qui n’a pas écouté les scientifiques qui tiraient les sonnettes d’alarme (cause toujours ?).

3 – L’administration de la France face à la pandémie

Le virus a frappé, nous n’étions pas préparés. La France n’était pas préparée. Le système de santé était en pleine « réorganisation » avec des grèves notamment des services d’urgence. Avec insistance la presse s’est faite l’écho des réticences de notre Haute-administration à fermer les voies empruntées par les chaînes de contamination, notamment les frontières. Le brontosaure a mis du temps à réagir face au tyrannosaures qui lui mordait la queue. Ici, le tyrannosaure était une minuscule particule d’acide ribonucléique ARN organisée en virus, mesurant  quelques millionièmes de mm, visibles seulement avec de puissants microscopes mais virulent ! Leur finalité, se reproduire en infectant un être vivant pluricelluleaire.

J’ai été personnellement plongé dans le marasme des hôpitaux avec trois passages aux urgences espacés de 2 à trois semaines de septembre 2019 au 23 février 2020. Entré à 19h00 pour la première, j’ai dû attendre 3h du matin un IRM et une hospitalisation à 7h00. La seconde a été plus rapide. Entré à 19h30, j’ai été pris en mains à 2h du matin pour une radio. Lors de la 3e, toujours à 19h00, j’ai vu le jour se lever en entrant dans ma chambre. Le personnel a fait le maximum et les 34 jours d’hospitalisation, je n’ai jamais manqué de soins éclairés et d’assistance. Je leur doit d’être debout et en forme. Pourtant depuis quelques années, les bruits de fermeture de petits établissements pour causes d’économies ne cessaient d’être dénoncés par les médias. Cause toujours !

3.1 – Démolition des services de santé

Sous prétexte de réorganisation, on a mis en place une machine ) raboter ! La politique de santé est pilotée au niveau régional par les Agences Régionales de Santé (ARS). Selon Wikipedia « Une agence régionale de santé (ARS) est un établissement public administratif de l’État français chargé de la mise en œuvre de la politique de santé dans sa région. ». La politique est impulsée par le Ministère de la Santé.

3.1.1 Action négative des ARS

Courteline n’est pas mort ! Les bureaucrates s’occupent d’un domaine assez limité. Certains se prennent pour « le phénix des hôtes de ces bois » (Le Point n° 2487 du 23 avril 2020, p. 38, Jacques Bichot).

3.1.1.1 Histoire de gel hydroalccolique

Le Point (n° 2487, p. 21) donne un premier exemple de « couenneries » courtelinesques. Une pénurie de gel hydroalcoolique sévère sévit. « Pharmacies, EPHAD, … Même les hôpitaux en manquent. Les fonctionnaires de l’Agence régionale de santé (ARS) sonnent à toutes les portes. Sauf une : celle des pompiers » qui avaient pu en fabriquer 300 litres avec des ingrédients qu’ils avaient retrouvé dans leurs stocks ! L’ARS considérant que les pompiers ne relèvent pas du même ministère, les agents de l’ARS ont interdiction d’accepter l’offre !

3.1.1.2 Coût des lits d’hôpital

Depuis plus de 10 ans (Le Point, n° 2487, p. 38), les ARS ont poussé à la réduction du nombre de lits. On a favorisé les chirurgies ambulatoires. L’opéré sort quelques heures après son opération. On réduit les dépenses hospitalières mais pas les dépenses de santé : un lit occupé coûte moins cher que l’intervention à domicile d’infirmiers libéraux. Ubuesque ! L’hôpital dépense moins, la communauté paie plus cher.

3.1.1.3 Achats de matériels

Les scanners se sont révélés très utiles dans le dépistage du CoVid-19 par l’examen des poumons. De mon passage en hôpital, j’ai pu toucher de près la grande sollicitation des matériels d’imagerie médicale pour toutes sortes d’affections. J’ai appris récemment que les ARS  n’autorisaient les achats de scanners qu’au compte-goutte. Comme dit la fable « la fourni se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue ». J’ai pu néanmoins apprécier le fronton des énormes machines blanches avant d’y être avalé : SIEMENS ! Une machinerie allemande ! Il y a d’autres fabricants, la France a disparu du PAV. Et du marché de l’informatique qui va avec. Connaissez vous des fabricants français équipant notre recherche en biologie ?

On ne peut combattre les yeux bandés. Pour se rattraper, les ARS ont mis le paquet, après ! Pour faire face aux diverses pénuries.

3.1.2 Constat d’impréparation

La « gripette » de Madame la Ministre Agnès Buzyn est devenue pandémie. L’épidémie a fait, au 16 avril 2020, 22.000 morts et 169.000 personnes contaminées, soit le pire bilan d’Europe. Si on compare l’Allemagne et la France, la comparaison est accablante, bien que cette comparaison déplait !

Ce sont 5.000 lits de réanimation pour une population de 67 millions pour la France et 60 Millions pour l’Allemagne ! Ce pays a su dépister rapidement les porteurs de virus grâce à l’emploi de tests. Nous avons manqué de tests et il a fallu enfoncer des portes d’administrations pour autoriser l’emploi de produits de médecine vétérinaires pourtant disponibles !

L’hebdo Le Point (n° 2487, 23 avril 2020, p. 23) dénonce la barrière bureaucratique qui a empêché les laboratoires privés d’intervenir, les centres de recherches et les laboratoires vétérinaires. Ces derniers disposaient de machines performantes, indépendantes des réactifs « propriétaire » du fabricant de la machine. Malgré l’Académie de Médecine qui soulignait l’absurdité de la loi interdisant à un labo vétérinaire de toucher un prélèvement humain et vice-versa Pourtant, coronavisores animales ou humaines, le virus s’en fiche lui. Passé d’un animal à l’homme. S’agit-il d’un corporatisme de biologistes ? Il aura coûté cher !

Nous avons manqué de masques, de gel hydroalcoolique, de vêtements de protection (visières, surblouses, etc.) et de respirateurs, dans une improvisation foisonnante.

3.1.3 Lourdeurs et inerties bureaucratiques

La dispersion des centres de décision a joué. Face aux structures complexes sommairement décrites ci-avant, il fallait un commandement unique ! Nous avons eu une pétaudière ! Les critiques ont plu ! Nos énarques si grassement rétribués (voir Vincent Jauvert « Les intouchables d’état », Robert Lafont : 2018, 248 pp) ont-ils été à la hauteur ? Une minorité d’entre eux ont assumé mais leur formation littéraire et juridique n’a pas permis à l’ensemble de comprendre le phénomène écologique et biologique qui a déferlé sur notre pays.

Certaines collectivités territoriales (régions et départements) ont tenté de suppléer à la pénurie de masques. Elles se sont vues confisquer leurs commandes par des Préfets ou des ARS !

3.2 – Les conséquence de notre organisation

La guerre des masques n’est pas tout. Dans cette crise, a surgi le spectre d’une France dépourvue, désindustrialisée. Nos usines sont parties à l’étranger, General Electric (USA), entre autres, a pompé nos industriels !

Le cas de l’usine de fabrication de masques de Plaintel est un des exemples, entre plusieurs centaines.  Fr3 parle d’un scandale d’état. Il suffirait de nationaliser le site et de le faire rédémmarrer mais il y a un hic !  La France a sacrifié l’usine selon l’enquête de France Info. Cette usine d’une capacité de production de 200 millions / an de masques FFP2 garantissait 180 millons / an au Ministère de la Santé. Ses machines ont été ferraillées puis détruites ! Sous le quinquennat Hollande, en 2018. Certaines machines étaient neuves ! Cliquez sur ce lien. Ce site met en cause les ordonnances Macron. Plus cynique encore : Plus cynique encore : « à l’heure de la pandémie du Covid-19, le groupe Honeywell rouvre une usine à Rhode Island, aux États-Unis, pour subvenir aux besoins américains, avec les mêmes masques que ceux fabriqués à Plaintel. » !

Depuis quelques jours, des collectivités locales, notamment la région Bretagne et le Conseil départemental des Côtes d’Armor, travaillent avec d’autres partenaires et avec l’ancien directeur du site, à un projet de relance. Celui-ci pourrait prendre la forme d’une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC). Mais la relance de l’activité ne se ferait pas avant un an. !!! Nous sommes aujourdhui 28 avril 2020 à 23.293 décès !

La France a délocalisé la production des molécules de base de ses médicaments, en Inde et en Chine. Sous prétexte de payer moins cher le médicament en baissant le coût de la main d’œuvre de production et en échappant aux lois de protection de l’environnement. Car les usines pharmaceutiques polluent.

Conclusion

Citoyens et Contribuables de l’Hérault, nous avons la chance que notre région et notre département soient parmi les moins impactés par ce fichu virus !  Gouverner, c’est prévoir dit un adage qui semble oublié. Depuis 2016, l’OMS avait tiré la sonnette d’alarme : une pandémie menaçait. L’impréparation française fait rire jaune ! En Allemagne, il est dépensé 1264 € par habitant contre 1487 € en France. Il y a huit lits d’hôpital pour un habitant en Allemagne contre cinq en France. Oui mais en France, on dépense en frais administratifs 800 millions de plus qu’en Allemagne ! Les personnels de santé français (médecins, infirmiers, …) sont moins bien payés que leurs collègues allemands et italiens. D’où vient cette fuite d’argent. Où passe l’argent des contribuables ? Nous rappelons ici une citation de Georges Clémenceau « Les fonctionnaires sont comme les livres d’une bibliothèque: ce sont les plus haut placés qui servent le moins ». Ceux qui empochent de hauts-salaires sur des fonds publics doivent en tirer leurs conclusions.

Le jour d’après va venir. Il faudra bien revoir nos politiques de rémunération de toute notre pyramide administrative, feuille par feuille du millefeuille. Il faudra surtout réévaluer notre politique de délocalisations industrielle, sauver ce qui peut l’être et remettre en route les équipements et fournitures stratégiques. Le principe de précautions souvent mis en avant n’est pas contre le développement industriel durable.    !

Depuis que l’espèce humaine, l’Homme a domestiqué des animaux, dixit un de mes amis directeur de recherches à l’INRA et généticien, il y a eu sans cesse franchissement de la barrière interspécifique de l’animal vers l’homme. L’origine des maladies émergentes est là ! C’est une loi de la nature. La concentration humaine-animale et les moyens de communication ont fait le reste.

 

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Signature du Citoyen-Contribuable 34

Le webmestre-écolo-maboul




Couenneries administratives

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Nous observons et nous informons

Ce soir, nous pensons très fort aux familles des trois victimes innocentes du sauvage attentat qui a endeuillé les chrétiens de Nice, les français de toutes confessions et notamment les musulmans qui veulent vivre en paix dans notre beau pays.
Le sauvage assassinat qui a fait trois morts innocents à Nice ce 29 octobre 2020 est un jeune tunisien de 20 ans !  Il se nommerait Brahim A.  Il s’agirait d’un clandestin qui se serait introduit en Italie via l’île de Lampedusa où il aurait débarqué début septembre. Comment a-t-il quitté cette île, qui le téléguidait ? Qui l’a caché et hébergé dans les quartiers nord de Nice ?  Rappelons que c’est de ces quartiers que provenait une autre racaille qui avait provoqué un massacre le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais (86 morts, 458 blessés). Ce fumier venait d’arriver début octobre à Nice. L’enquête devrait permettre d’extirper une des métastases du cancer islamo-fasciste implanté à Nice.
Il semblerait que les caméras de surveillance l’ont tracé jusqu’à la gare de Nice où il serait arrivé en provenance d’Italie.
Merci aux policiers municipaux niçois qui l’ont seulement blessé. Il faudra que nos enquêteurs le fassent parler dès que la médecine l’aura retapé et qu’il nous dénonce ses complices. Ensuite, nous l’embastillerons, loi, très loin, aux Îles Kerguélen ou au large de la Guyane, à l’île du Diable (le nom Diable est parfait pour un suppôt de Satan, le shaïtane en arabe) !  Nous avons dans nos îles potentiellement l’éqivalent de Guantanamo (USA).

Jean Aymar


Validé par le webmestre qui a ajouté un lien :

Après les 3 attentats récents, les bouffons dangereux islamistes qui gouvernent le Pakistan, le Tchetchénie, la Tunisie, … en un mot les pays d’où viennent les terroristes, nous font la leçon Ils nous envoient des assassins revêtus d’une peau d’agneau de réfugiés fuyant l’islamisme et qui viennent égorger « nos filles et nos compagnes … » La suite de notre hymne national, vous la connaissez ! Les armes de la France, oui, notre capacité de résilience oui ! Jusqu’à quand allons nous laisser des bateaux à vocation « humanitaire » recueillir des terroristes et nous les convoyer gentiment sur le sol européen ? Le Président islamiste qui gouverne la Turquie semble avoir mis de l’eau dans son vin ? Il a rétropédalé mais trop tard.

Le webmestre

 L’hebdomadaire Le Point (23 avril 2020) nous explique (pp. 21 à 26) quelques savoureuses histoires de bureaucrates et d’absurdités administratives. En d’autres temps, cela ferait rire. Même en riant jaune, nous ne rirons pas !
La lecture de ces 5 pages nous montre le nombre de coups-de-pieds au cul qui se perdent. Notamment dans les Agences Régionales de Santé, où sont nichés de touts-puissants bureaucrates, dixit l’Institut Français de Recherche sur l’Administration Publique (IFRAP).
Nous avons manqué de gel hydroalcoolique, une caserne de pompiers en a fabriqué 300 litre et les a proposés à l’ARS du coin. Le Préfet se met en travers ! (p. 51 1e colonne). UBU Roi ! Pétaudière ?
L’hebdo a enquêté et en a découvert. Il n’y a pas de stratégie ! Notre pays adore interdire, c’est le règne des petits chefs. « Le bureaucrate se prend pour le « phénix des hôtes de ce bois »» (Le Point 23 avril 2020, p. 38, Jacques Bichot). L’ombre de grands procès plane ! (pp. 52-55), c’est si bête que çà. Monsieur le Premier Ministre recommande à ses Ministres de « ne pas dire de bêtises, car nous ne savons pas tout de ce virus ». Surtout parce que bien des choses si bêtes ont déjà été dites par une porte-parole peu fûtée ou manquant de jugeotte.
Nous affirmons que le virus est arrivé à pied, par la Chine. Il a voyagé par des piétons qui ont pris l’avion, ont débarqué et sont partis à pied en final.


La meilleure (Marianne n° 1208 du 8-14 mai 2020 p. 34), sous la plume d’Anne Dastakian, nous dit que « La Commission européenne et Emmanuel Macron [ont ]  sermonné le jeune chancelier autrichien Sebastian Kurz » pour « avoir fermé sa frontière avec l’Italie dès le 10 mars [2020].». Cet homme courageux et compétent a « eu la satisfaction de lancer, le premier en Europe, le décconfinement, dès le 14  avril [2020] avec la réouverture, des jardins publics, des magasins de bricolage et de jardinage et des petits commerces où le port du masque fourni par le magasin est obligatoire.» Les voisins (Tchéquie, Slovaquie) ont suivi l’exemple. Nous ne détaillerons pas les réouvertures en Autriche ni en Slovènie et en Hongrie. La comparaison avec notre pays est accablante. L’Autriche a déconfiné le 14 avril, nous le 11 mai ! Presque un mois de retard pour nous !
On n’a pas de pétrole, on aurait des idées ?
Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Il y aurait des remèdes au COVID-19


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Introduction

Avertissement : en aucune façon, l’information que nous apportons ne peut se substituer à un diagnostic médical et à une prescription médicale.


Info

Le virus est officiellement nommé SRAS-CoV-2. Il est originaire de la Chine, de Wuhan (province de Hubei). Pour en savoir plus, voyez l’article publié par le site Citoyens34 et l’article publié par l’ODAM. Dans le foisonnement des informations, face aux mensonges dont nous sommes abreuvés, j’ai décidé de faire bénéficier mes collègues du CIDES34 de mes connaissances de Biologiste-Ecologue initiales, affutées par mon passage au Ministère de l’Environnement (1980-1996) et dans des laboratoires de biologie fondamentales (CNRS-INSERM-CHUs-INRA : Paris, Dijon et Montpellier). J’ai aussi appris à dépouiller les informations et à faire des rapprochements et des synthèses.

1 – Première mise au point

Dès le début de la pandémie, on nous a affirmé qu’il s’agissait d’une gripette ! Puis la gripette a montré ses dents ! Sortie de Chine, aéroportée par les transports aériens et les automobiles-autocars-TGV, le virus a commencé ses ravages ! Le début des mensonges d’un État pris au dépourvu et qui a fait passer sa gestion de la pénurie pour une gestion de l’épidémie. C’est si bête que ça !

1.1 – Controverse sur les traitements

S’agissant d’un nouveau virus, une maladie émergente pour laquelle les scientifiques et les médecins n’avaient pas de traitement bien défini et connu et les organismes humains aucun anticorps. Nous en sommes à 20.000 décès en France. Dés le début en France, les controverses ont fusé entre ceux qui ont analysé l’épidémie en Chine et qui, au contact des malades, ont appliqué un traitement à base de chloroquine et dérivé (Pr. Didier Raoult, IHU-Méditerrannée, Marseille) et ceux qui ont voulu refaire les essais des anti-viraux (lopinavir, remdesivir et ritonavir associés à d’autres substances). Les Chinois nous avaient dit que les résultats étaient décevant !

J’ai interrogé Google et j’ai trouvé deux informations de sources présumées sûres.

1.1.1 Le Vidal

Le Ancrerépertoire Vidal est une institution dans le monde des médecins. Un répertoire de référence pour les médecins, sur la table des médecins généralistes. Sa version électronique sur serveur Internet est accessible au grand public. Vous pouvez cliquer sur le lien précédent. Au beau milieu de la polémque entre scientifiques théoriciens des essais cliniques randomisés et les pragmatiques du traitement qui semble marcher, le Vidal nous donne un article intitulé « Les premiers résultats positifs hydroxychloroquine dans la COVID-19 modérée ». J’ai cliqué sur les liens Internet de cet article et notamment sur le dernier lien en bas de page « Covid-19 et hydroxychloroquine: connaître les enjeux pour informer les patients. Collège de la médecine générale, 27 mars 2020 ». J’ai découvert une information du Collège de Médecine Générale, vous pouvez la consulter !

1.1.2 Le Collège de Médecine Générale

Le AncreCollège de Médecine Générale (CMG) est une autre institution dans le monde des médecins généralistes. Les partenaires individuels sont de grandes pointures :

Je pense que cette brochette de partenaires cautionne les résultats que publient conjointement  le Vidal (via son lien) et le CMG. Quels sont ces résultats ?

1.1.3 Les résultats des essais cliniques

Les traitements de l’IHU-Marseille et les essais académiques (programme Discovery) ne sont pas synchronisés, des patients ont décédé en France. Que dit la fiche du CMG (version du 27 mars 2020) ?

Il y a l’énoncé des pour et des contre. Quand un médecin hospitaliers (seuls eux ont le HCQ et le CQ à disposition) a évalué les contre et éliminé de son protocole les patients à risques, il peut appliquer le protocole HCQ-AZT. La conclusion est :

« Les auteurs concluent que cette étude confirme l’efficacité du traitement HCQ-AZT et son potentiel dans la réduction rapide de la contagiosité. » !

Vous avez bien lu : potentiel dans la réduction rapide de la contagiosité ! Hydroxychloroquine (un médicament connu, disponible depuis un demi siècle (50 ans) et d’un prix très bas, produit en France, mis à disposition gratuitement par son distributeur, le Professeur Raoult n’a pas hésité une seconde !

Et l’essai des ant-vir à 480 € la boîte de 10 (Essai Discovery) ? Même si les fabricants ont mis leur médicament gratuitement à disposition des essayeurs cliniques. On attend encore à ce jour les résultats ! Lisez l’article de France-Avenir ! Résultats fin avril ! Nous sommes le 21, il y a 20.265 décès en France ! Heureusement, la courbe semble en pente descendante !

2 – Les enseignements à tirer

Il est difficile de comprendre les motifs qui ont provoqué la controverse, la polémique contre le Professeur Didier Raoult et son traitement : il a été un observateur pragmatique de l’épidémie en Chine et sur les essais des antiviraux, les classiques dont le nom finit en « vir ».

2.1 – L’efficacité de la chloroquine et de ses dérivés au début

Le principe de la méthode scientifique pour démontrer l’efficacité d’un médicament avant son utilisation conduisait à attendre les résultats d’études qui prennent un certain temps. Pendant ce temps, des malades mouraient ! Le Pr. Raoult a décidé « d’employer la méthode empirique, une vielle méthode qui a conduit dans le passé aux plus grandes avancées dans le domaine de la médecine. Attendre les résultats d’une étude en double aveugle pour traiter le coronavírus n’aura plus grand intérêt ! Par ailleurs, l’étude Discovery qui inclut la chloroquine n’aura aucun intérêt pour juger de l’efficacité de son administration précoce, puisque ce traitement ne sera administré qu’à des cas graves, ceux-là même pour lesquels ce traitement ne sert plus à rien selon le Pr [Raoult] » (citation d’une réaction à l’article du Figaro en date du 5/04/2020, Python77).

2.2 – Les deux phases de la maladie COVID-19

La maladie à Coronavirus SRAS-CoV-2 comporte deux phases, selon différentes sources hospitalières, aprés la contamination (ne pas confondre avec les stades de l’épidémie-pandémie).

2.2.1 Début de l’infection

Le début de l’infection est la pénétration dans l’organisme, suivie d’un temps de « maturation » au cours duquel le virus se multiplie  et se répartit dans l’organisme. Il se déclare généralement un syndrome respiratoire aigu et la maladie peut décroitre et disparaître dans le meilleur des cas. Mais il peut y avoir des complications chez certains patients : c’est la phase aiguë.

2.2.2 Complication et décès

Certains patients développent une forme grave ou critique qui nécessite l’hospitalisation en réanimation sous assistance respiratoire. L’immunité du malade s’emballe alors que la charge virale serait en diminution. Cette phase nécessite des moyens lourds et des lits de réanimation. Cet emballement, notamment au niveau pulmonaire est dû à un emballement de la réaction auto-immune de l’organisme. A ce niveau, selon le Professeur Raoult, la charge virale est basse sinon nulle.

2.2.3 Inutilité de la chloroquine en phase critique

Le Professeur Raoult a signalé l’inutilité du traitement à la chloroquine dans la phase critique. Or, il semblerait que l’essai européen Discovery (lance le 22 mars). Ils seront « randomisés » dans les formes !. Ils porteraient sur des malades en phase de début alors que le Ministre Olivier Véran avait déclaré qu’il fallait réserver le traitement HCQ-AZT aux « cas les plus graves, en réanimation » (selon le site ‘? Pourquoi docteur » sous la plume d’un médecin, le Dr Jean-François Lemoine » citant le Professeur Harousseau, un ancien directeur de la HAS). Comment un Ministre a-t-il pu prononcer de telles paroles et étant médecin ? Il s’agit bien du docteur Oliver Véran, ministre !

Les choses sont claires mais les résultats étaient attendus pour le 6 avril. L’Express nous annonce qu’ils sont attendus fin avril (dans 10 jours ?).

2.3 – Histoire de carabiniers

S’il ne s’agissait pas de vies humaines, on pourrait faire un peu d’humour. Discovery arriverait trop tard ? Comme les fameux carabiniers ? biggrin cry frown mad

Nous citons à nouveau le site ‘? Pourquoi docteur »  « Le professeur Jean-Luc Harousseau veut d’abord réagir à la déclaration d’Olivier Véran, le ministre de la Santé, dans le Journal Du Dimanche, qui s’étonne que des gens soient devenus « virologues en 24 heures ». Le professeur Harousseau est un ancien directeur de la Haute-Autorité de la Santé (HAS) citée plus haut. Il a derrière lui 40 années de lutte contre les maladies graves. Dans la situation de guerre contre le Covid-19 et face à l’absence de traitement il préconise la même stratégie : « utiliser le moindre espoir lorsqu’il existe » !. Téléchargez l’article et lisez le.

On est en droit, en citoyens responsables de se poser la question des conflits d’intérêt que cachent ces manœuvres et tergiversations ? Il faudra bien que des comptes soient rendu après. Le jour d’après va venir.

3 – Les autres alternatives

Les traitements alternatifs seraient des antiviraux déjà testés par les hôpitaux chinois :

Ils font partie de l’essai clinique Discovery.

4 – Le confinement-déconfinement

Notre économie a été paralysée, des patients sont morts. De gros dégâts ont été causés.

4.1 – Le confinement

Face à un monstre qui avançait en sautant les frontières, inexorablement, il a fallu mettre en oeuvre un remède de cheval. Nos gouvernants ont commencé  par minimiser la menace puis ont essayé de cacher la gravité de la situation, c’est si bête que ça ! Après plusieurs jours de perdus en tergiversations et bêtises, il a fallu se rendre compte de l’incurie, de l’absence de stocks stratégiques. Le confinement a été le remède ultime, heureusement il a marché.

Alain Bauer, criminologue et spécialiste de la gestion de crises jette une lumière crue sur le phénomène, ses paroles sont sans complaisance : il s’exprime dans sa tribune dans l’Opinion « Tout le problème posé par ce type de situation épidémique est qu’il est plus politique qu’épidémiologique ». Nous ne sommes pas entièrement d’accord. Dans le site de l’ODAM, je montre ce que peut faire comme ravages l’ignorance des lois de l’écologie. C’est une science qui ne s’apprend pas à l’Ecole Nationale d’Administration. Nos gouvernants sont des littéraires, non des scientifiques.

Le site Citoyens34 compare la cigale française à la fourmi allemande.

4.2 – Le déconfinement

Le déconfinement est une « expérience » nouvelle pour notre pays. La nomination d’un « Monsieur Déconfinement » s’est faite au sein de proches du Premier Ministre. Le Chef de lÉtat a annoncé une date : le 11 mais mais il y a un mais ! ? L’épidémie sera-t-elle sous contrôle. Statistiquement, il n’y a qu’une faible proportion (heureusement)  de personnes atteintes supposées être immunisées, ce qui n’est pas sûr ! Le Premier Ministre nous a mis en garde sur le fait que le 11 mai n’est qu’une étape, il va nous falloir cohabiter un certain temps avec le virus !

Ce qui est sûr, c’est que nous avons des incertitudes sur l’immunité acquise ! Il n’y en a pas et il est très possible qu’une 2e vague de l’épidémie risques de nous frapper !

Nous espérons que bientôt un vaccin va voir le jour, certainement pas avant quelques mois ! Nous nageons dans l’incertitude. Le déconfineur est-il le bon ? C’est la vie économique de notre pays qui en dépend ainsi que la vie de nos concitoyens.

4.3 – Le jour d’après

Le 22 avril, il y aura un débat au Parlement et le 23 un débat au Sénat. M. le Premier des Ministres nous a promis un plan de déconfinement pour la fin avril. Serait-ce le 30 avril ou plus tard ? Serait-ce comme pour les résultats de l’essais Discovery ?

Quelle conclusions va-t-on tirer de ce que nous avons exposé plus haut ?

Conclusion

Comme doivent le penser certains de nos ministres, secrétaires d’état et délégué interministèriel, qu’est-ce qu’on est venu faire dans cette galère ! Maudit soit le virus et ses propagateurs. Nous, citoyens, en avons fait les frais de cette incurie !  Le site du CMG nous révêle l’intrication des différents organismes qui se penchent sur la gestion de la Santé Publique en France.Un bel exemple de bureaucratie à la française. Mme Agnés Buzyn était médecin hématologue, immunologue et praticienne hospitalière. Son époux est Monsieur Yves Lévy, un médecin immunologsiste, spécialiste de l’infection VIH et Directeur de l’INSERM. Le site « Marianne » dénonce la nomination de M. Lévy « recasé au Conseil d’Etat » bien que n’étant pas juriste !  Entre immunologues, il devrait y avoir coopération avec le professeur Didier Raoult, un spécialiste des maladies émergentes. Or, ils ne s’entendent pas. Le bien public, autre nom de l’intérêt général aurait dû aider à mettre en place rapidement le traitement HCQ-AZT qui semble avoir été bien freiné par le Directeur de la Santé de Mme Buzyn. Pourquoi ? Le placard doré de M. Lévy au CE ressemblerait-il à une planque ?

M. Macron avait promis de mettre de l’ordre dans la haute-fonction publique d’état; Il avait dû lire le livre de Mme Agnés Verdier-Molinié Ce que doit faire le (prochain) Président  (2017, Albin Michel, 299 p). Le chapitre 5 propsait de « Réorganiser la France » (pp. 61-68) et le chapitre 10 « Supprimer l’ENA est ses caméléons » (pp. 113-125) en égratignant au passage les Agences Régionales de Santé (p. 122). Ces ARS ont été très critiquées !

Le question se pose de l’efficacité des investissements budgétaires de l’État dans la gestion de la crise sanitaire qui nous a frappés et lé réponse à la question « Où passe l’argent des contribuables » ?

Avertissement : en aucune façon, l’information que nous apportons ne peut se substituer à un diagnostic médical et à une prescription médicale.

 


Argos Panoptés déchaîné

Père Siffleur

Président d’association
Docteur en Sciences biologiques (non-médecin)
Cadre technique supérieur de la recherche ER (IR-ITA-CNRS)
Auditeur IHEDN 1985


PS : Je ne suis qu’un modeste retraité de 81 ans, 82 bientôt. J’ai été frappé en septembre 2020 par une maladie auto-immune. En 5 mois de soins dont 3 hospitalisations à temps plein et 45 demi-journées de ré-éducation neurologique, j’ai pu apprécier le grand dévouement et la gentillesse des médecins, des internes, des infirmières, des aides-soignantes, des kiné et ergo-thérapeutes, en un mot du personnel soignant des quatre établissements hospitaliers que j’ai fréquentés. Depuis mon confinement, je soutiens ces personnes admirables à qui je dois d’être debout sur mes jambes et de pouvoir taper à nouveau sur mon clavier. Je leur rend hommage ici et soutiens leur combat pour de meilleures conditions de travail et de rémunération.




Défense nationale et pandémies

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Défense nationale et pandémies

Combat contre une pandémie : relève-t-il de la Défense Nationale ?

L’esprit et la lettre des lois

La réponse est oui ! Incontestablement. Les textes fondateurs (ordonnance n° 59-147 du 7 janvier 1959, texte abrogé par l’ordonnance 2004-1374 du 20 décembre 2004), je cite le Général (2s) de gendarmerie Pierre Dolo « ont toujours privilégié une vision très large et intersectorielle de la Défense. » La défense  « a pour objet d’assurer en tous temps, en toutes circonstances et contre toutes les formes d’agression, la sécurité et l’intégrité du territoire ainsi que la vie de la population ».

Wikipedia propose une formulation qui va dans le même sens « La politique de défense a pour objet d’assurer l’intégrité du territoire et la protection de la population contre les agressions armées. Elle contribue à la lutte contre les autres menaces susceptibles de mettre en cause la sécurité nationale. Elle pourvoit au respect des alliances, des traités et des accords internationaux et participe, dans le cadre des traités européens en vigueur, à la politique européenne de sécurité et de défense commune ». Ce qui va dans le sens de la citation du Code de la Défense sur la notion de Sécurité Nationale. avec une vision extrêmement large de la question.

Conséquences

Il est indiscutable que « les autres menaces susceptibles de … » recouvre l’agression et la mise en danger de la Santé Publique par un virus tel que le SRAS-CoV-2, agent de la maladie COVID-19. Il est notoire que la première mesure de lutte contre la pandémie en France a été de réunir un Conseil de Défense (29/02/2020). Ce Conseil de défense ne comporte que des ministres, majoritairement des Énarques (ancien éléves de l’ENA).

Qui nous gouverne ?

Le chef de l’État

M. Emmanuel Macron est un Inspecteur des finances issu de l’ENA et qui a été banquier d’affaires. Il assure le pouvoir qualifié de jupitérien. Il est le Chef des armées mais ne leur fait pas confiance, il n’a jamais porté l’uniforme ni les armes de la France.

A suivre …


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean PEUPLUS
Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté