Démolition du système de Santé publique en France

Trois petits bonzes

Le premier qui dit la vérité … !

Un de nos amis, lecteur acharné du petit livre noir du docteur Perronne, attire notre attention sur le scandale (n° 10 dans son livre : p. 152) que l’avis réservant l’hdoxychloroquine aux formes graves de la maladie [la CoVid-19]. C’est Argos-Panoptés, le célébre observateur aux mille yeux, aux mille oreilles, à la tête sur roulement à billes.


Nous avons dénoncé le scandale de l’interdiction de la prescription de l’hydorxychlotoquine (HCQ), nous rappelons ces deux articles de notre blog inspiré par Paris-Match :

Nous y ajoutons le signalement de notre ami Argos. Le Dr Perrone dénonce le Président du Haut-Conseil de la Santé Publique (HCSP) qui a signé un avis, je cite « Qu’il faut réserver l’hydoxychloroquine aux formes graves de la maladie » avis qui a soulevé un tollé chez les médecins et dans la population.

Entre un poison et un remède, c’est la dose qui fait la différence

Sous sa forme commerciale, l’HCQ porte différents noms dont la Nivaquine. En vente libre depuis des dizaines d’années dans la lutte contre le paludisme, un compriimé de nivaquine le matin au petit déjeuner pour les adultes et une cuillerée de sirop pour les enfants, c’est connu des expatriés servant en Afrique. Aucun n’en est mort. Ne pas prendre ce comprimé exposait à une sévère crise de paludisme pouvant être mortelle.


extrait bandeau IHEDN site institut

Argos Panoptes

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