La prise volontaire de cannabis ne doit plus être une excuse
Argos Panoptes
Nous observons : halte à l’excuse de la drogue
Info
Ici, on s’honore du titre de citoyen. Citoyenneté oblige.
La prise volontaire de stupéfiants ne doit plus être un motif pour être déclaré irresponsable. Au moment de commettre un crime, un individu qui prend des stupéfiants (cannabis ou haschich ou autre shits) est parfaitement conscient de ses actes. Faire prendre du stupéfiant pour rendre un individu agressivement criminel doit être sévèrement puni par la loi. De même, le fait de dealer (vendre) de la drogue doit faire l’objet de sanctions exemplaires.
L’affaire Sarah Halimi
Cette affaire montre parfaitement par quel mécanisme juridique obsolète un meurtrier terroriste (se réclamant d’Allah Akbar) a pu échapper à une juste sentence, ses défenseurs ayant plaidé l’irresponsabilité alors que cet individu a perpétré un crime raciste et lâche sur une femme retraitée chez qui il s’était introduit par effraction. Traoré Kobili avait volontairement consommé une important quantité de cannabis qui a provoqué un trouble psychique. Ce musulman meurtrier-assassin est donc jugé irresponsable. Pénétrant sans avoir été invité dans un domicile privé sous l’emprise de la drogue, il a vu le diable là où il y avait un inoffensif chandelier à sept branches. Qui lui a fourni le cannabis?, qui lui a bourré la cervelle de propos antisémites ?, qui l’a endoctriné ?
Il existe dans l’histoire des récits sur la secte des Assassins? celle de Chaykh al-Jabal, (šayḫ al-jabal, شيخ الجبل), qui envoyait des tueurs (des Haschichins) bien dopés au cannabis (Haschich) depuis l’imprenable forteresse montagneuse d’Alamut, dans le nord de l’Iran. Les actuels instigateurs du terrorisme islamique (jihadistes-islamistes, etc.), quel que soit leur nom, connaissent parfaitement les failles de notre droit et envoient leurs tueurs dûment gonflés de haschich pour « haschachiner » nos concitoyens. Il faut que celà cesse.
On ne peut juger Traoré Kobili, certes, mais il faut le soigner. L’internement sur décision administrative existe pour ce genre d’individus qui peut récidiver et donc se bourrer à nouveau. Il doit être interné en hôpital psychiatrique comme aliéné et soigné le temps qu’il faudra, un temps long, à vie ?
Il aurait fallu laisser un procès d’assises public laisser déterminer l’irresponsabilité du meurtrier plaide Me Szpiner, avocat des parties civiles. Un grand débat a été escamoté ! On a volé la justice ? L’avis du Dr Zagury est aussi intéressant sur l’origine exotoxique de la bouffée délirante du meurtrier, « En clair : une absorption volontaire et massive de drogue » !
La loi doit changer
Il faut que toute personne qui a pris du cannabis volontairement réponde d’abord du délit de consommation de stupéfiants et ne puisse évoquer légalement d’être reconnu irresponsable. Ceci vaut aussi pour ceux qui consomment du cannabis et conduisent un véhicule sur la voie publique soient jugés avec une circonstance aggravante, comme pour la consomlmtion d’alcool. La prise volontaire de substances stupéfiantes doit être une circonstance aggravante et ne doit en aucune façon exonérer un individu de ses responsabilités pénales, l’état d’irresponsabilité étant considéré comme découlant d’un acte volontaire de prise de subtance.
Mesdames et Messieurs les Députés et les Sénateurs de la Nation, au travail pour changer la loi. C’est urgent, le terrorisme est là en embuscade.
Les trois collèges d’experts commis à l’examen du meurtrier prouvent de manière éclatante la nocivité d’une drogue qui pousse au meurtre. On est loin de l’inoffensive herbette fumette d’un joint. Le cannabis se fume, se consomme en confitures, en poudre, etc.