Les assassins ont frappé à Nice le 29 octobre 2020

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Trois petits bonzes
Le jeune homme qui est venu égorger « nos filles et nos compagnes » à Nice le 29 octobre dernier est issu d’une famille de 10 enfants demeurant à Sfax (Tunisie). Il était connu des services de police locaux pour faits de violence et de petite délinquance. Puis le louveteau s’est assagi, il a été réislamisé, a abandonné l’alcool et la drogue et s’est mis à pratiquer la prière (le salat). Tous ces signaux se sont passés loin de la France. La police de l’état tunisien s’en f … t comme de l’an 40 ? Nos services français ne le connaissaient pas et pour cause, c’était son premier et bref séjour dans notre pays. Il convient de tracer son parcours, l’enchaînement des faits doit nous servir d’exemple pour éviter, prévenir que ce genre d’individus ne recommence un nouveau safari mortel. Ce lâche s’en est pris à des femmes ! Qui lui a appris à égorger ?  Il n’a pas volé les balles françaises qui ont mis fin à sa cavale.

1 – Le chemin de l’invasion

1.1 – Le départ

Il est parti de Sfax, avec quel viatique pour le voyage ? Qui l’a motivé et formé ? Son parcours est l’illustration parfaite de la stratégie de la taquyia (la visière). Le jihadiste avance masqué, un bon nounours inoffensif mais bourré de haine plus explosive que le plus violent TNT. Il a embarqué la question est où ? Nous savons que la Tunisie est actuellement gouvernée par l’anarchie qui fait le lit du jihadisme. Qui devra répondre de sa responsabilité ? Les passeurs ne manquent pas sur les rives sud de la Méditerrannée. L’île de Lampedusa est à environ 150 km de mer. Mais voilà, il y a le bon berger. Ces parages sont croisés par de gentils bateaux humanitaires qui sont là pour recueillir les pauvres égarés entassés dans des zodiacs ou de vielles feloucas pourries qui tentent la traversée. Responsables : les passeurs et les armateurs de ces bateaux bergers  (Sea shepheards) !

1.2 – Le débarquement

Notre tueur débarque à Lampedusa. Les autorités italiennes débordées, accueillent. La Croix Rouge locale délivre un papier-viatique à de pauvre jeune homme. Il fallait le refouler, le renvoyer à Sfax mais voilà, la garde des frontières de l’Europe semble absente de Lampedusa. Le tueur qui ne manque pas de culot s’évade de Lampedusa. Qui l’a aidé ? Qui a assuré sa traversée (220 km) vers la Sicile ?. Qui lui a permis de débarquer sur la péninsule italienne ? Il aurait débarqué à Bari, il aurait donc fait le tour de la botte de la péninsule italienne. Ce n’est pas avec une poignée de dinars qu’il a pu faire un tel voyage.

1.3 – Le voyage vers la France

Le tueur remonte toute la péninsule italienne. Avec quels moyens ? En train, en stop ? A pied ?

1.4 – La frontière passoire

La frontière française est une passoire trouée. Une raquette incapable de refouler les indésirables. En train, y-a-t-il eu des contrôles ?  Il débarque à Nice deux jours avant de commettre son forfait. Qui  l’a accuelli et hébergé ? Nous soupçonnons que Nice héberge une 5e colonne jihadiste ?

2 – Nice et sa 5e colonne jihadiste

Le tunisien conducteur du camion fou qui a tué 86 personnes et blessé 450 autres a bien bénéficié de complicités : une 5e colonne serait installée à Nice ? L’enquête sur l’assassinat du 29 octobre dernier a permis l’arrestation de deux personnes qui auraient aidé le tueur. Où sont les bagages du tueur ? Son sac retrouvé dans l’église après qu’il ait été neutralise par la police ne contenait qu’un couteau et deux téléphones ! Où est le reste ? L’enquête se poursuit. Souhaitons que l’état de santé de ce Brahim Issaoui s’améliore et qu’il puisse nous révêler ce qu’il sait. Dans ce cas précis, il s’agit de démanteler la 5e colonne jihadiste qui se cache dans les quartiers nord

3 – Réaffirmer la souveraineté française

Frontex, l’organisme européen censé vérifier les entrées sur le territoire européen devait exercer son contrôle à Lampedusa, citadelle avancée de l’Europe, visée depuis la Tunisie et la Libiye proches.  Il semble bien que la passoire trouée soit là ! La sécurité ne se decrété pas, elle se construit. Faute d’une politique européenne de contrôle des immigrations aux frontières, la France doit remettre en vigueur les contrôles aux frontières en plus de Frontex. La Marine Nationale doit surveiller plus étroitement la navigation et dissuader les navires bergers des mers de croiser dans ces parages. Les embarcations poubelles doivent être secourues et leurs passagers refoulés vers leur point de départ. C’est le prix à payer. Les candidats à l’asile politique retenus doivent être « épluchés » sur le modèle de ce que les britanniques avaient mis en place en 1940 : Patriotic school.

Jean AYMAR
ASAF-AAIHEDN

Association de soutien à l'Armée Française
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