Assez de blocages et de grèves ! Y’en a assez de cette chienlit !
Aux Contribuables de l’Hérault, nous constatons qu’une minorité agissante, affiliée à des syndicats au pouvoir de nuisance exorbitant, déclenche des situations qui délabrent encore un peu l’économie de notre pays, chaque fois q’un gouvernement tente une réforme des retraites.
On nous a signalé la parution de deux livres publiés par deux universitaires, nous avons lu le premier, le second est en cours. Nous les commenterons lors de la prochaine réunion du Comité de défense IHEDN à Castelnau-le-Lez.
L’enquête sérieuses, la connaissance profonde de ces deux universitaires doit nous interpeller. Le jihadisme est bien implanté dans notre pays, dans les quartiers et les prisons avec des allers-et-retours dans les territoires de l’EI (DAECH ou DAWLA) en Syrie et en Irak.
1 – Edouard Vuiart – Après DAECH : la guerre idéologique continue (2017)
Cet ouvrage de 166 pages écrit par un universitaire analyse en détail ce qui va se passer maintenant de DAECH ou l’Organisation de l’Etat islamique appartient au passé. Ce califat éphèmère va inéluctablement briser l’unité de l’organisation. La fin de DAECH comme proto-état ne signifie pas réellement la fin du phénomène jihadiste. C’est la mort d’un état fantoche, pas d’un ennemi qui déclare qu’il ne sera jamais vaincu.
Comment la menace va-t-elle évoluer dans un avenir proche ? Quelles sont les pistes politiques et théologiques à envisager pour y faire face ? Nos gouvernants n’ont pas pris les mesures nécessaires, les deux ouvrages qui suivent, 3 ans après le montrent.
2- Hugo Micheron.- Le jihadisme français : quartiers, Syrie, prisons (déc. 2019)
Ce livre est une thèse soutenue devant une autorité universitaire française (Sciences Po puis ENS), préfacé par Gilles Kepel. C’est un travail de chercheur, non de politicien, un travail académique sérieux, dénué de tout parti-prix idéologique. Comment expliquer l’attrait du jihad syro-irakien sur une partie de la population française ? Le diagnostic général permet de comprendre une dynamique restée inaccessible à certains de nos hommes politiques et d’une grande majorité des éditorialistes des médias écrits, radiodiffusés ou télévisés. Qui a encore en tête le « cafouillage au plus haut niveau du ministère de l’Intérieur avant que le Parquet national antiterroriste (PNAT) se soit saisi de l’affaire [Mickaël Harpon] » ? Cette affaire qui a éclaté comme un coup de tonnerre dans le ciel serein d’un service de renseignements, au sein de la Préfecture de Police de Paris. Quatre fonctionnaires furent assassinés par un agent administratif, un employé à la maintenance informatique de la Direction du renseignement. Ayant exercé pendant plus de 15 ans le travail de gestionnaire de haut niveau d’un ensemble ministèriel de serveurs, je peux attester que cet individu avait accès à des informations qui auraient dû être hautement protégées : il avait les identifiants et les mots de passe lui permettant de lire tout ! Un tel poste n’aurait dû être confié (ou surveillé) qu’à un fonctionnaire de haut-niveau et non à une personne fréquentant une mosquée dont l’imam était inscrit sur une « fiche S ». Celà s’appelle « mettre un loup dans la bergerie » ou « faire l’autruche la tête dans le sable ». Le journaliste qui a révélé l’affaire a manqué d’être sanctionné par sa hiérarchie. Le terroriste était « habilité secret défense » !!! Une loi sera votée pour radier les fonctionnaires dits « radicalisés ». Le problème est qu’en l’absence de compréhension des « signaux dits faibles » et de ce que sont les jihadistes qui nous ont déclaré la guerre, il est difficile de détecter ces combattants d’un nouveau type. La lutte est asymétrique car nous les connaissons mal, eux nous connaissent bien, dans les quartiers, les prisons et sur les théâtres extérieurs d’opération (OPEX) comme intérieurs (OPINT).
Cinq années d’investigations de l’auteur, avec l’aide d’étudiants arabophones, nous apportent une autopsie, une dissection de ce corps hautement nuisible dressé contre nos valeurs républicaines qu’ils abhorrent et haïssent ! Comme le souligne Gilles Kepel, c’est une « reconstruction historique et géographique à la précision jamais atteinte ».
Nous avons particulièrement retenu la conclusion de cet ouvrage qui résume bien le contenu de l’ouvrage. Les politiciens qui gouvernent notre pays, les médias, … sont pointés du doigt pour leur grande ignorance de ce qu’est le jihadisme, idéologie politique qui se cache derrière une religion, l’islam. Ce mouvement vient en droite ligne de l’interprétation (erronnée ?) de livres réputés saints (Coran et Hadiths) et des écoles de pensée qui se sont succédées; J’ai nommé le hanbalisme, le wahhabisme et récemment (une centaine d’années) les Frères Musulmans (ikhwan). Les « machines de prédication jihadistes » ont profité de l’implantation des tablighs (tablighi) et des salafistes (salafi) dans les territoires pour recruter, faire des « braquages de cerveaux » sur des jeunes au nom de la pureté islamiste !
L’espoir, comme l’ont souligné certains éditorialistes avertis vient de ce que nous comprenons maintenant la logique à l’oeuvre dans « la suite des drames qui ont marqué l’histoire récente de la France » mais aussi de nos voisins (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne, Espagne, etc.) et plus loin en Afrique, en Amérique et en Extrême-Orient. L’espoir est de vaincre cette idéologie subversive qui avance masquée sous le couvert (taquiya) d’une religion qui se veut de paix et de miséricorde pour la majorité des musulmans.
3 – Bernard Rougier (sous la direction de).- Les territoires conquis de l’Islamisme (jan. 2020)
Ce livre est annoncé dans celui de Hugo Micheron. C’est un ouvrage collectif écrit par des universitaires et des étudiants arabophones (anonymisés). Nous dirons qu’il s’agit plutôt des « Territoires perdus de la République » mais le titre a déjà été pris il y a une dizaine d’années par un rapport resté sans suite. Ici se raconte l’histoire d’une prise de contrôle malveillante pour nos institutions par des groupes se réclamant d’une idéologie basée sur l’Islam, l’islamisme. Cette entreprise de subversion avance sous couvert de la religion des musulmans, dispose d’une arme idéologique, l’islamophobie qui prétend que la laïcité républicaine est une oppression, une entrave à la liberté religieuse et de conscience, afin de subvertir -lentement mais sûrement – nos territoires nationaux et ceux des pays du nord de la Méditerranée. Ilq vont même prétendre être victimes de « racisme anti-musulman ». Quel cynisme ! Il n’y a pas de race musulmane, il y a des musulmans de toutes couleurs et races, même des français convertis !
Cet ouvrage, annoncé par Hugo Micheron, vient donner un angle d’approche différent par des universitaires qui se défendent de tout parti-pris politique : « L’accusation d’islamophobie répond à une volonté d’intimider ceux qui, de plus en plus rares, s’efforcent de rattraper le temps perdu en reconstruisant un savoir objectif sur ce qui se passe réellement dans les quartiers des grandes ville depuis une vingtaine d’années. ». Il s’agit de vaincre l’épistémiologie postmoderne qui prétende invalider le savoir universitaire.
La structure de l’ouvrage qui réunit différentes contributions ne permet pas d’y inclure une conclusion générale. Cet ouvrage complète celui de Hugo Micheron et peut se prévaloir de sa conclusion. Ils forment pour nos décideurs un ensemble de référence. C’est là une véritable encyclopédie de l’idéologie islamique ou l’Islamisme. Le livre révéle le rôle des hadiths dans les mouvements islamistes (ikwani, salafi, tablighi, jihadi).
4 – Nous ne pourrons plus dire nous ne savions pas
Longtemps, les savoirs sur le sujet du jihadisme (et non du djihadisme) ont été cachés. Il ne fallait pas donner aux partis d’extrême droite des arguments ! La politique de l’autruche ne met pas l’autruche à l’abri des prédateurs qui se régalent de sa bêtise. Casser le thermomètre ne met pas à l’abri de la fièvre. « Mal nommer les choses ajoute à la misère du monde » disait Albert Camus. Railler les écrivains qui annoncent l’implication des jihadistes nouvelle vague dans la sphère politique ne sert à rien. L’exemple de Bagnolet devrait nous alerter sérieusement. A bon entendeur, salut.
Un Ancien-Auditeur IHEDN Membre de l’association de soutien à l’armée française (ASAF)
Un ami nous communique que son immeuble a été arrosé de luxueux tracts électoraux d’un grand format, en trois volets. Le volets mesurent 30 cm de haut sur 16 cm de large pliés. Qui paie cette débauche de papier blanc glacé ? Seraient-ce les contribuables de Montpellier ? C’est à dire nous ? Comment se finance Philippe Saurel ?
Réagissez. Donnez votre avis, merci.
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Contribution validée par le modérateur.
Petits malins ou petits voyous
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
Info
Est-ce pour de mauvaises raisons qu’on n’a pas voulu en haut-lieu laisser nos frontières ouvertes ? Un de mes amis habitant une des communes de la Métropole revenant de Thaïlande et du Vietnam via Pékin m’a affirmé avoir été « épluché » à l’aéroport de Pékin. A son arrivée à Roissy, rien, nada, oualo, niemals ! Aucun contrôle !
Le virus est arrivé en Italie de Chine via des voyageurs très futés (svolotchs) qui on débarqué à Bâle et sont partis en train vers Milan !
On connait ce plaisant mot sublime : la loi du chef ! Le chef a raison, … même quand il a tort. Celà s’applique-t-il au chef de l’État ? Nous avons un chef qui exerce son pouvoir sur le chef du Gouvernement, le Premier Ministre qui est le chef des autres ministres ! Celà s’appelle une hiérarchie, les médias parlent de Jupiter, le Roi des Dieux. Nous exerçons notre droit à la démocratie à travers les élections et nous élisons le chef de l’État, Président de la République et nos députés. Le chef de l’État est le garant des institutions. Nous sommes en régime présidentiel, donc le chef de l’État exerce le pouvoir exécutif. Ce pouvoir est multiple ! Nous l’avons voulu ainsi : les Français ont voté la Constitution de la 5e République, la loi suprême s’applique. Nous avons une république jupitérienne.
Il fut un temps où régnait dans la loi un article sur l’offense au chef de l’État (loi sur la presse de 1881). Le délit a été supprimé en 2013 (arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme).
M. Emmanuel Macron, chef de l’État
M. Emmanuel Macron, le chef de l’État élu le 14 mai 2017, est un haut-fonctionnaire, ancien banquier d’affaires. Sa formation académique est celle d’un littéraire (concours général de français en 1994). Il entre à l’Ecole Nationale d’Administration (Strasbourg, 2002-2044, promotion Léopold Sédar Senghor) et sort classé 5e. En 2004, il intègre le corps de l’Inspection générale des Finances. En 2008, il devient banquier d’affaires. Il manque dans son cursus le service militaire et au minimum, un passage dans l’enseignement militaire supérieur. L’IHEDN lui aurait appris à mieux connaître le monde militaire et surtout, celui de l’armée française (terre, air, mer, cybermonde). Deux auteurs, Juan Branco et François Ruffin ne sont pas très amicaux ! Ils détaillent les puissants réseaux (certains interlopes) et les intérêts personnels qui portent ce personnage, lequel leur serait redevable. Ces livres ne font pas l’objet de promotions dans les rayons des supermarchés.
Compétences
Les compétences personnelles sont celles d’un financier et nous ne trouvons aucune trace de compétences scientifiques ou médicales bien qu’il ait eu pour père un médecin professeur de neurologie et pour mère un médecin conseil de la Sécurité sociale. Nous n’avons pas trouvé de traces d’enseignement de l’Écologie ni de la Biologie dans les programmes de l’ENA qui forme les futurs administrateurs de notre pays. Le malheur est que le terme écologie désigne à la fois une science (par des écologues) et aussi une idéologie politique (par des écologistes proches de la gauche). M. Macron n’est ni écologue ni écologiste. Il n’a pas non plus de compétences en biologie, il aurait au moins les bases élémentaires sur les virus et leur épidémiologie.
Politique et politiciens
Ce qui nous arrive est inouï : on a bien vu en Chine un pouvoir politique a commencé à nier l’avis d’un médecin et l’a emprisonné au prétexte qu’il nuisait au pays et à son image, au nom d’une idéologie. Notre démocratie a ignoré ce qui se passait en Chine ! Les politiciens français pratiquent-ils la dissimulation ou l’ignorance de ce qui se passe ?
Pourquoi a-t-on pris le risque inouï de tenir quand même les élections municipales ? Les français ont anticipé le confinement, l’abstention a été majeure, inouïe ! Il a fallu l’aveu terrible de Madame Agnés Buzyn, ex-ministre de la santé et médecin. Cet aveu terrible que la ministre avait, il y a trois mois mis en garde son chef, le Premier Ministre, contre ce qui allait nous arriver. « On » lui a appliqué la loi du chef : lequel chef ? Le direct ou celui du sommet ? Nous ne polémiquons pas pour le moment ! L’union nationale, le civisme, l’esprit de sacrifice, le sens de l’intérêt général, … Ce sont des valeurs qui s’apprennent au sein de nos armées et de nos instituts de formation militaire ! La vérité terrain s’apprend aussi dans nos universités, en biologie et en écologie. Le résultat est là : un collectif de médecins porte plainte, d’autant plus que aujourd’hui 22 mars 2020 on nous annonce le décès d’un médecin urgentiste de 60 ans. Nous nous inclinons devant son dévouement pour ses malades.
Les Français, une fois la pandémie passée dans notre pays, sauront demander des comptes de ce qui s’est dit et fait. Un vrai chef se doit d’assumer ses actions. C’est à cela qu’on reconnait un vrai chef dans nos armées.
Nous sommes indignés, plus que jamais, par les paroles prononcées un jour par la porte-parole du Gouvernement. Cette dame a beaucoup à apprendre en ce qui concerne la pratique de la vérité, elle qui semblait élever le mensonge d’état au rang de vertu en politique. Écœurant !
Un Ancien Auditeur de l’Institut des Hautes Etudes de la défense Nationale Membre de l’ASAF Membre associé de l’ACORAM Ecologue
Bibliographie
Branco, Juan (2019) Crépuscule.- Au Diable Vauvert, Massot Editeur (Vauvert), 312 p.
Ruffin, François (2019) Cette France que tu ne connais pas.- Les Arènes (Paris) 216 p.
Tourner sept fois sa langues dans sa bouche
L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.
Argos panoptès
Info
Il faut apprendre à Mme la Porte-Parole du Gouvernement, Sibeth N’Diaye, à ne pas parler pour ne rien dire.
L’enchaînement de déclarations controversées, de bourdes, de gaffes, de fautes professionnelles disait une des animatrices de l’émission de RMC (Les Grandes Gueules). C’est blessant, c’est une fausse information. On a besoin de prises de paroles sensées. La multiplication de messages contradictoires amène la chienlit.
Elle serait à l’image d’un gouvernement qui navigue à vue, à la godille ! Elle n’a pas les compétences pour réfléchir, elle en rajoute. Pourtant, un contribuable peut se poser la question « Combien elle gagne » comme secrétaire d’état !
Nous ne cessons de dénoncer les hauts salaires des « homfems » politiques !
Celle là gagne confortablement sa vie en disant des couenneries ! Des couenneries bien payées !
Nota bene : une ancienne de l’UNEF, naturalisée française et ayant conservé sa nationalité sénégalaise ! Un parcours intéressant !
Le veilleur et lanceur d’alerte
Que dit l’OMS sur la chloroquine. Qui ment ?
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
Le rapport OMS-WHO du 13 mars 2020
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS-WHO) a rendu public un brouillon (« draft« ) de 9 pages en anglais (nous traduisons 🙂 « Consultation informelle sur le rôle potentiel de la chloroquine dans la gestion clinique de l’infection à COVID 19 ». Ce brouillon est daté du 13 mars 2020, c’est un document rendant compte d’une réunion d’experts dont 25 étaient présents et 12 invités absents. Parmi ces derniers, le professeur Bruno Lina (France, ORPHANET). La date exacte de la réunion n’est pas explicitement indiquée, à moins que ce soit aussi la date de la publication dans les « R&DBlueprint ». Nous avons recherché sur le net et le site de l’OMS une version en français, en vain. Nous l’avons traduite pour notre usage personnel, afin de bien comprendre le sens des phrases. Bien que toutes réserves aient été faites sur la page de couverture sur l’usage de ce document et dans sa page finale sur les changements possibles en fonction de nouvelles informations, nous estimons qu’il s’agit d’un document officiel diffusé urbi et orbi, mondialement.
Ce document semble avoir été mal lu ou mal rapporté par les médias de langue française. Certains ont brandi ce rapport pour s’opposer au professeur Didier Raoult et l’emploi clinique qu’il fait de la chloroquine et de ses dérivés pour lutter contre le COVID 19, une maladie dont l’agent est le SARS-CoV-2. Coup de théatre, on nous dit que le 23 mars 2020 que l’OMS condamne « séchement » l’emploi de la chloroquine. M. Edouard Philippe argue de cette « décision » pour réserver le traitement à la chloroquine aux malades les plus gravement atteints ! Une déclaration qui pourrait être jugée criminelle !
Le contenu du rapport OMS-WHO
Comment interpréter les conclusions du « panel » (groupe) d’experts convoqué par l’OMS et qui ne formule jamais dans les 9 pages la moindre objection sur la mise sur pied de traitements à base de chloroquine et dérivés, encourageant au contraire et dans les meilleurs délais possibles la poursuite d’essais cliniques ! Comment comprendre que 12 jours après l’avis rendu par les 25 experts, le Directeur général de l’OMS prenne une position radicalement opposée à ce que ses experts ont préconisé ?
On peut se poser la question ? Où sont les éléments nouveaux susceptibles de modifier le contenu du rapport amenant les experts du Panel OMS à manger leur chapeau ? Quel est le Pinoccho dont le nez est en train de s’allonger ? Au point de devenir un arbre ?
En attendant, les essais cliniques se multiplient dans notre pays : on appelle cela un « bras » sur la chloroquine ! Il y a d’autre bras avec les antiviraux aux noms poétiques :
Remdésivir (médicament expérimental conçu contre Ebola),
Lopinavir/ritonavir (un anti VIH), associé à l’interféron,
etc. (nous n’avons pas plus d’informations sur les bras et l’essai Discovery)
qui nous « coûtent un bras ! ».
A 430 euros le boite de 10 comprimés ! Rien à voir avec cette bonne vielle nivaquine à quelques centimes d’euro le comprimé ! Et de ses dérivés !
En attendant, hélas, des malades meurent. Le professeur Didier Raoult poursuit son combat contre le SARS-CoV-2 à Marseille : dépistage suivi pour ceux qui sont atteints du traitement comprenant la Chloroquine et ses dérivés.
Lorsque la guerre contre le SARS-CoV-2 aura été gagnée et que le calme sera revenu, il faudra que ceux qui ont failli rendent des comptes. Ceux qui n’ont pas compris que gouverner c’est prévoir.
Le veilleur et lanceur d’alerte
Le retour du Jedi
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
Info
La Jedi Roselyne longtemps « bashée » sur les médias a sorti son sabrolaser ce matin sur Europe 1 au micro de Roland Poirette, à 8h35. Gentiment, calmement, la Ministre a rappelé certaines vérités et notamment le principe de précaution allègrement foulé aux pieds par ses successeurs.
Elle rappelle que fin 2009, il y avait 1,7 Milliards de masques FFP2, quand Mme Buzyn est partie, il n’y avait plus que zéro masques.
Avertissement : ce texte est susceptible d’évoluer pour tenir compte de l’actualité.
Plus jamais ÇA !
Il ne faut plus que cette situation se renouvelle ! Il est question dans les médias du jour d’après. Que recouvre ce vocable ? Il y a eu un avant, il y aura un après. Cliquez vers le site « Parlement ouvert ». Le Citoyen34070 est docteur en sciences biologiques avec mention écologie, il a travaillé au CNRS comme cadre technique supérieur de la recherche ( Ingénieur de recherches). A ce titre, il a été détaché comme chargé d’études de haut niveau au Ministère de l’environnement de 1980 à 1996 et a occupé un poste en laboratoires de biologie de fin 1996 à juin 2003. Il est retraité. Nous lui donnons la parole.
Ce matin, Citoyen34070 a pris son petit déjeuner en écoutant la radio « Europe 1 » et l’interview de Madame Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la Santé, actuellement animatrice de télévision (100% Bachelot, RMC). Elle s’est exprimée avec calme et pondération. C’est le retour du Jedi Roselyne, laquelle s’est faite largement « basher », railler, voire insulter, … Cette grande dame a calmement expliqué sa position et rappelé qu’elle avait fait stocker au nom du principe de précautions 1,7 Milliards de masques FFP2 (le stock de fin 2009) et que lors de son départ, il y avait zéro en stock ! Il n’y avait plus de principe de précaution, le paradigme avait changé ! Pourquoi ?
1 – Le principe de précaution
Le principe de précaution implique la prudence, la prévention et la protection. Les écologues (dont je suis) savent que la toute puissance industrielle et tout le savoir arrogant de certains ingénieurs ne peuvent nous prémunir contre les catastrophes naturelles. L’écologie, science de la Nature, nous apprend la modestie, la prévention et la protection des aléas auxquels nous sommes soumis par la planète sur laquelle nous habitons. C’est l’Écosystème terrestre dont certaines manifestations (tremblements de terre, ouragans et cyclones, pandémies, exploitations des ressources naturelles, …) provoquent des catastrophes. La pandémie à SRAS-CoVid-2 en est une : elle a pris la Chine au dépourvu mais aussi nontre pays (la France), l’Europe, et d’autres pays voisins ou plus éloignés ! La Grande-Bretagne et les USA ont fait les malins (rappelons la position climatosceptique de M. Trump. Le principe de précaution a été combattu car, entre autres, il limitait la prétendue liberté des affaires. Mme Bachelot a eu raison trop tôt !
Le principe « selon lequel l’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement, à un coût économiquement acceptable. »
Et on devrait ajouter de dommages graves et irréversibles à notre santé, la santé publique !
Ce principe de précaution, selon Madame la Ministre Bachelot a été « oublié sur le mode opérationnel ». Nous avons été mis face à un danger inconnu, inouï avait dit une autre sommité. Nous avons été victimes d’une stratégie genre « ligne Maginot », l’ennemi n’a pas eu la bonté de passer là où on l’attendait ! Heureusement, en France, il n’y a pas eu de Boris Johnson ni de Donald Trump avec leur stratégie de l’immunité collective au prix de plusieurs milliers de morts. Nous apprenons à ce sujet, que la situation à New-York est désespérée. Un seul principe, selon Mme Bachelot : en faire le maximum. Mme Buzyn partie, son successeur a eu la lourde tâche de faire ce maximum. Le Dr. Olivier Véran a pris les choses en mains. Mais nous n’aurons garde d’oublier Mme Marisol Touraine, prédécesseur de Mme Buzyn qui doit sûrement savoir pourquoi nous avons été si démunis « quand la bise fut venue » (Lafontaine, fables de). Où sont passés les masques ? Mme Touraine a eu comme successeur Mme Buzyn.
2 – La souveraineté stratégique et économique de la France
Il semble que le sujet de la souveraineté ait été une préoccupation nationale réservée à quelques initiés proches des milieux militaires comme le sont les AA-IHEDN et/ou les membres de l’ASAF. En septembre 2017, le président de l’Union des Association de l’Institut des Hautes Etudes de la Défense Nationale a adressé aux associations régionales une invitation à plancher sur le thème « La France, puissance d’action et puissance d’influence », avec une liste non-exhaustive de 21 suggestions, liste non-limitative. Rien n’était dit de la santé publique. Sauf que deux sujets voisins portaient sur :
L’industrie peut-elle encore être pour la France un facteur d’influence. …
La capacité d’innovation, clé de la puissance.
La maîtrise des technologies, facteur d’indépendance et d’influence.
Avec deux ans de recul et quelques mois, nous pouvons mesurer l’état de déchéance de notre pays vis-à-vis de la maîtrise de ses approvisionnements stratégiques. Si notre chef de l’État a su, en bon financier, s’en prendre à nos armées, à leurs chefs et à leurs équipements, au début de son mandat, il a poursuivi la désastreuse politique de ses prédécesseurs en matière de désindustrialisation de notre pays. Mme Bachelot souligne dans son interview un des maux français : la lourdeur bureaucratique !
2.1 – Le mal français
La crise du SRAS-CoV-2 (COVID 19) est un révélateur puissant de notre impuissance dans le domaine de l’industrie pharmaceutique et de notre impuissance, l’extraordinaire lourdeur adminstrative (dixit Mme Bachelot), qui noue enlève toute agilité « on s’est mis des boulets aux pieds » . Il faut s’interroger collectivement. Est-ce à cause de ses boulets que des industriels ont choisi de déconcentrer-délocaliser leurs usines à l’étranger ? Pas tout à fait. La bureaucratie n’explique pas tout. Il existe un mal français dénoncé depuis longtemps :
François de Closets (1992).-Tant et plus : comment on gaspille notre argent (Grasset éd.),
Jean Montaldo (1994).- Mitterand et les 40 voleurs ... (Albin Michel éd.)
et bien d’autres.
Plus récemment, Agnès Verdier-Molinier (2017).- Ce que doit faire le prochain président (Albin Michel éd.) : la clef est là, la pression fiscale et les dépenses publiques, les charges sociales qui plombent nos entreprises. Alors, pour échapper au pressoir fiscal, on part vers des pays accueillants hors CEE (Russie, Chine, Inde, …) ou intra-CEE (Luxembourg, Irlande, …) : des paradis fiscaux. On met des gens au chômage et on augmente les charges sociales. Mais ce qui est plus grave, en France, ce que dénonce Agnès Verdier-Molinier « Élus, syndicats, gestionnaires, ministres … portent une lourde responsabilité dans l’asphyxie fiscale et la prolifération de normes et des lois.». Nous allons depuis plusieurs années dans le mur ont écrit de nombreux auteurs mais « Cause toujours, tu m’intéresse ». Le livre d’Agnès Verdier-Molinier se termine (pp. 291-292 par 9 propositions. Nous y ajoutons la nôtre : renforcer le pouvoir répressif de la Cour des Comptes et de ses Chambres Régionales afin de transformer les remontrances en poursuites judiciaires réelles. Nous renvoyons aux nombreux exemples locaux ( ville et métropole de Montpellier, département de l’Hérault, …). Ceci doit être aussi à l’échelon national. Les Préfets doivent pouvoir saisir les instances répressives !
C’est au prix de la baisse des charges sociales par des réformes, par la baisse des dépenses publiques inutiles que sera mis en place la première étape du retour de nos industries pharmaceutiques de production de base afin d’éviter la pénurie de médicaments. Il faudra aussi être contraignants au cas où cela ne suffirait pas : la déclaration d’intérêt stratégique.
2.2 – La pénurie de médicaments
A la pénurie de masques et d’équipements de protection s’ajoute aujourd’hui celle des médicaments. L’épidémie de Covid 19 a révélé combien nous étions dépendants pour des molécules courantes de pays comme la Chine et l’Inde. Les soignants dans les hôpitaux soulignent combien il leur est maintenant difficile de trouver des médicaments indispensables à la mise en réanimation des patients : une pénurie de curare, entre autre, … Les molécules de base pour les produire en France viennent le la lointaine Chine ! Ce ne sont pas les seuls médicaments. Les stocks des vétérinaires seraient dans le collimateur !
Tout cela vient du fait que la mondialisation a entraîné les grandes sociétés pharmaceutiques (dénoncées par Jean Ferrat ! ) on préféré délocaliser en Inde et en Chine ! Busines is business !. Les munitions dont nos soignants alimentent leurs seringues et leurs respirateurs vont-elle manquer ?
2.3 Il y a eu des signes avant-coureurs
Depuis quelques années, une casse systématique, au nom de la rentabilité systématique, s’est abattue sur notre système de santé ! Il y a eu des signes avant-coureurs de la pénurie de médicaments. Question parlementaire du 20/10/2018 : la réponse a mis quelques mois à venir (24/01/2019). Quelles dispositions a-t-on prises : « Des tensions d’approvisionnement concernant les spécialités TEVA ... ». TEVA a uns filiale en France : TEVA France. Devrons nous agir maintenant ou quelle doit être notre diplomatie et la matière ? Cliquez sur ce lien. Le laboratoire que nous citons n’est pas le seul en cause. Des organisations de consommateurs ont tiré la sonnette d’alarme.
Il a eu aussi cette politique imbécile, répugnante du numérus-clausus dans les Facultés de Médecine, au prétexte de limiter le nombre de prescripteurs. Nos étudiants sont partis étudiers ailleurs (Roumanie, Espagne, …). L’Europe a servi de soupape mais aussi a nourri de faux espoirs.
3 – L’Europe face à la pandémie
L’Europe est la grande absente dans cette crise sanitaire. Pourquoi ? L’intégration européenne s’est arrêtée au stade de zone de libre échange. Pourtant, si seul on va plus vite, ensemble on est plus forts et on va plus loin.
3.1 – Le cadre des lois
Le document qui répond à cette question ne donne qu’une réponse courte : « La politique de santé demeure une compétence souveraine des Etats membres. Mais pour répondre aux enjeux européens, l’Union européenne peut venir compléter l’action nationale. ». Autrement dit, il n’y a pas de réponse centralisée, les réponses des états ont été multiples. Heureusement, il y a eu une certaine solidarité entre états. Il y aura des conséquences économiques à la paralysie des activités économiques des états membres. Les réponses sont budgétaires.
Les frontières nationales se sont fermées les unes après les autres en Europe. Trop tard selon certains hommes-femmes politiques ! Un des états du monde, l’Amérique mêne une politique scabreuse, frappée de plein fouet.
3.2 – La souveraineté nationale
Notre chef de l’État l’a dit : nous sommes en guerre et en guerre, il faut faire comme à la guerre. Donc, la France a réuni son Conseil de Défense national et n’a pas eu à tenir compte de la défense européenne inexistante. La question de notre souveraineté nationale étant un sujet sensible, on a fait dans l’urgence. Sans concertation ? Si nos armes militaires étaient pour beaucoup (Rafale, Scorpion, hélicoptères, …) une réussite nationale, nos armes médicales étaient en mauvais point. Heureusement, il y avait l’Allemagne et son parc de lits de réanimations supérieur au nôtre. Il y a eu des malades qui sont partis outre-Rhin. Notre voisin italien était dans le besoin, notre voisin espagnol de même. Nos frontières sont restées fermées. Cela doit changer quand la paix sanitaire aura été gagnée. La cause ses échecs, au-delà du manque des convergences signalées ci-dessus, devront être analysées avec lucidité.
3.3 – Renforcer l’Europe
3.3.1 Le gouvernance européenne
Image Wikipedia
La revue trimestrielle « Engagement » de l’ASAF (n° 124, automne 2019, pp. 46-49, M. Yves Gazzo) écrivait « Malgré les risques d’une implosion de l’UE … à la fin tout est rentré dans l’ordre ». Les Anglais sont partis, un changement de l’équipe dirigeante européenne a été possible :
M. Charles Michel (Belgique), Président du Conseil Européen,
M. Josep Borell (Espagne), Haut représentant pour les affaires étrangères et la politique de Sécurité,
Mme Christine Lagarde (France), Présidente de la banque centrale européenne,
M. David Sassoli (Italie), Président du Parlement Européen.
Image Wikipedia
La question que pose Yves Gazzo est la bonne entente de ces hauts-personnages pour la bonne marche des insitutions dans l’intérêt général du citoyen européen et de son argent. Vu les salaires encaissés nets d’impôts, nous sommes en droit de l’exiger. La bonne nouvelle dans ces nominations est un resserrement indéniable au profit des pays fondateurs, ici l’Europe de l’ouest.
3.3.2 Les objectifs communs
Les ambitions de Mme von der Layen (une dame de fer ?) sont :
un nouveau pacte sur l’immigration avec lutte contre les passeurs et les trafiquants de toutes sortes,
une Europe intransigeante sur le respect de l’état de droit et qui s’assume entièrement au plan international (défense européenne, .diplomatie, technologie, …)
3.3.3 La cohésion menacée
L’Europe court le grand risque d’éclater. Déjà, dans la crise actuelle, on constate une différence entre l’Europe de l’Ouest et celle de l’Est. M. Josep Borell va avoir beaucoup à faire en diplomatie car les tendances centrifuges des derniers entrés sont divergentes (un euphémisme). Les défis sont nombreux et évoluent. L’épidémie de COVID-19 a été un révélateur.
Ce triste constat est fait face aux USA déboussolés et qui clament « America’s first » que M. Trump traduit par « Moi d’abord, les autres on verra » !
4 – America’s first !
Nous ne dirons pas America mais USA ou États-Unis. La véritable Amérique va de l’Alaska à la Patagonie. Les USA n’en sont qu’une partie de l’Amérique du Nord. Donc, le Président yankee, M. Trump tire la couverture à lui depuis son élection et tourne le dos au monde depuis un moment. Il accapare les marchandises à valeur stratégique avec ses valises de billets : ses envoyés paient cash les masques sur le tarmac des aéroports, les molécules médicamenteuses, … Ce qui n’empêche pas son pays d’être durement frappé ! Au 1/04/2020, 3.000 victimes aux USA don 40% à New-York (1.200 personnes sur 8,623 millions).
Une rafle inhumaine, un hold-up répugnant sur les ressources naturelles et économiques, les USA appliquent la règle business is business. Des yankees répugnants ! Face à notre faiblesse nationale et européenne, il en profite.
Conclusions
C1- Des propositions
Nous reprenons les propositions de Madame Agnès Verdier-Molinier comme base de discussion.
Suppression du poste de 1er Ministre : le chef de l’état devient officiellement le chef de l’éxécutif,
Discours du président de la République devant le Congrès,
Des ministres réellement responsables de leur Ministère,
Un organisme d’évaluation à disposition du Parlement,
Réduction du nombre d’élus à 114.000 à l’horizon 2022,
Suppression des départements,
Réduction du nombre de communes par fusion,
Mettre en place des critères de fonctionnement (équilibre des comptes),
Amélioration du référendum d’initiative populaire.
Nous y ajoutons une vielle revendication des Contribuables de l’Hérault : rendre les élus, nationaux et locaux et leur Présidents responsables de la gestion des finances dont ils sont responsables, à la suite des remontrances des Cours des Comptes (nationale et régionales). L’Ecole Nationale d’Administration aussi doit être réformée.
C2 – Conclusion de la conclusion
Notre premier ministre Edouard Philippe ne laisse pas de nous inquièter. Il a voté contre la transition écologique. Le jour d’après va venir, vite, nous l’espérons. Plus jamais çà ! Plus jamais de pillage des ressources de la planète et de ses écosystèmes naturels ! Plus de mondialisation sans s’assurer que notre pays dispose de stocks stratégiques suffisants en matière d’armements mais aussi de molécules pharmaceutiques de base. Plus de ça, des relations inter-états solidement négociées.
Pourtant, il y a aux USA des gens honnêtes, des écologues et des écologistes éclairés qui seront capables de virer cette engeance ploutocrate, tout au moins de la contrôler.
Le mal dont nous souffrons vient de l’ignorance par nos dirigeants des lois naturelles qui régissent l’Environnement et notamment des principes élémentaires de l’Écologie.
La Terre trop belle pour mourir (Citation de Dany Dietman)