Un de mes amis qui habite le faubourg Figuerolles m’a fait parvenir un lien vers le site du Comité de Quartier Figuerolles autrement qui vient de se créer. Un petit groupe de citoyens se sont réunis le 23 août 2020 et ont tenu l’assemblée générale de création de l’association. Le Récipissé du registre national des Associations (RNA) est daté du 28 août 2020 et la publication a été faite au Journal Officiel de la République n° 509 du 5 septembre 2020.
défendre et promouvoir le quartier et ses habitants, spécifiquement le cadre de vie et les intérêts généraux des habitants.
défendre et maintenir les sites et la qualité de la vie.
maintenir et développer la biodiversité.
faire respecter un urbanisme à visage humain.
représenter et défendre les intérêts généraux, patrimoniaux ou moraux des habitants du quartier et, ce, par tous les moyens légaux y compris judiciaires.
animer socio-culturellement le quartier.
Ne nous y trompons pas : les travaux pharaoniques de la rue du Faubourg Figuerolles ont conduit à la ruine les quelques commerçants qui essayaient de tenir le coup. La réduction de la circulation a une voie et la diminution des places de parking ont découragé les clients de venir. Boucherie-charcuterie, boulanger-pâtissier, … parlent de fermer ! Le changement de Conseil municipal a conduit à l’abandon des travaux sur le tronçon qui va vers la place Salengro. Un désastre ! A celà s’ajoute le voisinage de la cité Gély. Un vrai super-marché de la drogue à Montpellier. Le petit centre commercial situé là (pharmacie, journaux, pâtisserie, cabinet de kinésithérapeuthe, infirmières, recyclerie) a pourtant été aménagé et une place occupe l’emplacement de l’ancien commissariat de police. Il manque le cabinet médical dont le titulaire a fermé. Le vandalisme régne là, le matin l’asphalte tout neuf des trottoirs et les jardins sont jonchés de débris de nourriture, de coques de pépites de courges et de canettes vides. On y trouvait encore il n’y a pas longtemps des cartouches de gaz hilarant. Figuerolles a en son sein une verrue hideuse, malgré les efforts de la commune pour réhabiliter les immeubles et faire une place coquette avec des espaces verts et fleuris.
Il y a une seule place de parking réservée aux personnes à mobilité réduite. Au mois d’août, cette unique place a été occupée par un véhicule (volé ?). Il a fallu plusieurs plaintes à la police municipale avant que, enfin, après 4 semaines, une grue vienne enlever ce véhicule (promis à un désossement ?). Ce même mois, le cabinet du kiné a été envahi en fin de journée par une joyeuse bande de demoiselles qui on commencé à chahuter la remplaçante et le matériel (vélos, elliptique, tapis de marcher, …). La pauvre dame en était toute retournée. Ces charmantes péronelles ont laissé les marques de leurs baskets sur la porte d’entrée vitrée quand elles ont été forcées à quitter les lieux (comme chez le médecin qui était parti).
La Police (municipale ou nationale) n’est pas bienvenue dans ce quartier. Des « choufs » (guetteurs) porteurs de petites sacoches, assis aux quatre coins de la cité, font le guet. Dès qu’une voiture de police pointe le bout de son capot, des hululements éclatent, signal d’alarme. Nous avons déjà, dans un précédent billet, dénoncé les issues de secours vers le nord et la voie rapide qui permettent aux dealers de décamper, dès l’avertissement.
Charmant quartier. Les clients viennent se servir au supermarché et vont ensuite se faire la piquouze dans les entrées d’immeubles ou les descentes des garages des immeubles. Charmant quartie où il à fallu clôturer les dites entrées et les munir de portes coulissantes comme dans la rue de Claret.
La drogue est un fléau. Comme disait Richelieu « ne pas faire appliquer la loi, c’est autoriser ce qu’on voulait interdire ». Figuerolles, ce n’est pas seulement la cité Gély, c’est de coquettes petites villas don certaines ont été rasées comme au 11 rue Lafeuillade. C’est des espaces qui auraient dû être verts et où se sont élevés des immeubles à moitié vides, la moitié qui n’a pas trouvé preneurs, coincée entre la voie rapide et la rue Lafeuillade. Et cerise sur le gâteau, un clapier (R+1) formé de plaques de béton est venu boucher la vue en face, ne laissant qu’un mince trottoir de 1,20 m de large.
Cerise sur la gâteau, un opérateur de télécommunications très dynamique est venu installer des antennes dont l’azimut est tape dans le 4e étage du R+1 en construction ! C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ! Et on nous annonce encore des travaux (un vieux projet du nouveau maire) : aménager un rond-point sur l’avenue de la Liberté !
A suivre …
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Nous ne voulons plus marcher à la godille
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
Appel aux citoyens qui manient la godille
La conférence de presse de Monsieur le Président de la République soulève un tollé de protestations de la part de toute une profession : les cafetiers et restaurateurs mais aussi de nombreux métiers en relation avec la culture. Le Président est-il crédible ? Pendant 3/4 d’heures ce soir 14 octobre 2020, le Président nous expose son point-de-vue forgé pat ses conseillers « scientifiques » ! « Il faut instaurer un couvre-feu, Paris et Île-de-France et sept métropoles dont la nôtre, Montpellier ».
Tout ce que nous explique notre Président paraît vraisemblable mais, il y a un mais. Le confinement qui a mené la France au bord de la ruine économique et sanitaire avait semblé réussi, la CoVid19 semblait avoir été maîtrisée, le déconfinement a lamentablement foiré. Le virus continue de circuler. De coup de godille en coup de godille, le Gouvernement, son primat des ministres et le chef suprême, il y a des changements de cap dont on se demande la cause.
Un conseil dit scientifique publie avis sur avis. Ce comité que d’aucuns qualifierait de Théodule (voir notre défunt Charles de Gaulle) ne semble pas d’accord sur la question qui se pose à tout citoyen un tant soit peu versé sur la Biologie : comment se propage le virus ? C’est là le nœud du problème !
Nous avons eu la gripette, les masques inutiles car on en manquait (c’est si bête qu’on ne savait pas s’en servir !), les test en rupture de stocks, le refus d’utiliser les machines installées en médecine vétérinaire … Rappelons qu’au début de la pandémie, pour des raisons idéologiques, notre pays n’a pas mis en place la seule mesure qui aurait stoppé le virus : un contrôle strict et renforcé de nos frontières ! De là, le virus porté par des piétons véhiculés par avions, bateaux, voitures, s’est répandu dans notre pays, chez nos voisins, en occident, …. Il est venu à pied par la Chine !
Tant que des épidémiologistes sérieux, des vrais, travaillant avec des militaires ou des civils spécialisés (criminologues, sociologues, AAIHEDN, …) n’auront pas établi scientifiquement comment le virus chemine, nous ne maîtriserons pas l’épidémie en France, dans nos régions, nos départements, nos métropoles, nos villes et nos villages. Les militaires modernes savent beaucoup de choses qu’ignorent les énarques prétendus omniscients et omnipotents ainsi que les médecins qui ne font plus de médecine depuis longtemps et sont devenus énarques !
Mais si on ne change pas de chevaux au milieu du gué, on peut les obliger à voir la réalité en face et à faire, enfin, appliquer les bonnes décisions. Nous devons plus être gouvernés par des rois de la godille, un coup à droite, un coup à gauche. Si le problème avait une solution facile, çà se saurait. Monsieur le Président, il faut faire mouiller la chemise à des conseils de défense, des vrais conseils de défense composés de personnes sachant ce qu’est l’esprit de défense. Vous avez manifesté depuis le début de votre carrière politique un mépris souverain pour la « chose militaire » jusqu’à vous priver d’un Chef d’État-major général qui avait osé vous dire en face la vérité. Les Anciens Auditeurs de l’Institut des Hautes-Études de la Défense Nationale ont reçu pour mission de faire connaître l’esprit de défense et de maintenir le lien armée-nation. Cette armée dont le magnifique hôpital du Val-de-Grâce est à l’abandon en plein centre de Paris ! La Chine nous a donné un magnifique exemple en créant un hôpital de toutes pièces, nous en avons un en plein Paris, il sera difficile de le remettre en marche et de récupèrer son personnel dispersé au quatre vents ! Mail il le faudra !
Vous avez évoqué le retour de la fabrication des médicaments en France : il était temps pour vous, Monsieur le Chef de l’Etat, de remettre en place les industries françaises dispersées elles aussi au quatre vents de la mondialisation. La réindustrialisation de la France est une chance pour vous qui avez hérité du mauvais travail de démolition de notre industrie manufacturière dont le déclin a commencé en 1979 et a continué sans désemparer. Qui a été nommé Ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique le 26 août 2014 ?
Un citoyen biologiste excèdé
Pompes à fric ?
Shadocks qui pompent
Il faut bien pomper !
L’obscurantisme inquiétant
Un Auditeur IHEDN 1985
Les anti-vaccins et anti-pass ont eu la liberté de manifester librement sur la voie publique, montrant par là leur ignorance feinte ou voulue. Il convient de mettre les choses au point, citoyens ! Citoyen, un grand nom pour des gens instruits et qui sont de grands amateurs de liberté. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Est-t-on libre de ne pas se vacciner au risque de transporter un virus potentiellement mortel et d’infecter les autres ? La réponse est celle d’un citoyen responsable : non ! On n’a pas le droit d’être porteur d’une maladie grave, mortelle, alors qu’existent des moyens de détecter sin on est porteur et que la vaccination protège contre la maladie ! L’intérêt général commande de se faire détecter si l’on ne veut pas être en contact avec les autres qui ne sont pas malades. C’est le virus qui nous l’impose. Peut-être l’hydroxychloroquine interdite par le gouvernement de M. Macron pourrait être ajoutée aux gestes barrières ?
Je suis un Citoyen, avec un C majuscule, un Patriote ennemi de toute forme de dictature de tout fascisme, un ancien élève des Instituteurs descendants et héritiers de ces Hussards noirs de la République, des maîtres qui connaissaient par coeur notre histoire et l’enseignaient sans notes et sans cahiers. J’ai été l’élève de nos Professeurs d’Histoire naturelle qui de la 6e à la Terminale nous ont enseigné les Sciences naturelles et en 3e la magnifique histoire de Pasteur, ce chimiste qui a découvert les microbes et les vaccins !
Louis Pasteur dans son laboratoire
A mon tour, devenu licencié és-sciences, diplômé d’études supérieures de biologie, j’ai enseigné de la 6e à la Terminale sciences expérimentales cette magnifique histoire naturelle que l’on dénomme de nos jours SVT (sciences de la Vie et de la Terre) avant de soutenir un Doctorat de Sciences Biologiques option Ecologie. Je suis un sachant, un retraité qui a mis son savoir et ses connaissances au service de sa patrie, Volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale (VRCGN).
Logo Gendarmerie Nationale
Nous sommes face à un ennemi implacable qui a fait plus de 100.000 morts dans mon pays, j’ai nommé le Corona-Virus n° 19, le CoVid-19, un ennemi visible, implacable, qui produit des variants dans le monde entier. Les moyens de détection ont été mis en place, les moyens pour vacciner aussi. Ce virus a hélas des ennemis, des idiots utiles que je contemple en ce moment à la télévision saccageant devant une pharmacie une tente où on offre la détection du virus, gratuitement. Honte à vous idiots utiles du virus, mélanchonistes déambulant avec la violence au poing : imbéciles, idiots, ignorants ou faisant semblant de l’être ! Je suis pas tendre envers ceux qui marchent aux côtés de nos gouvernants mais ils ont enfin, oui ENFIN, fait ce qu’il fallait pour combattre le dictateur-virus CoVid-19 agent du Sars-2. L’obscurantisme est SON allié, un allié redoutable. Heureusement, plus de 44 Millions de vaccinés sont là pour témoigner l’efficacité du vaccin ! 486.000 vaccins administrés par jour ! Vous perdez, votre allié le virus aussi ! Il ne passera pas !
Mauvais garnements, sauvages, vandales, la fin de la récréation doit être sifflée et la liberté de rétablir la santé des français doit régner partout en France. A bon entendeur, salut.
VRCGN34-1 Docteur en sciences biologiques Ecologue et écologiste indépendant
Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale
Comment des réfractaires ont cédé pour se faire vacciner ? Le journal hebdomadaire 20 minutes du 7 janvier 2022 publie en page 4 un petit article intitulé « Le Président Macron m’a bien « emmerdé » » par Anissa Boumediene. Nous citons :
« Réfractaires de la première heure, des lecteurs de « 20 Minutes » racontent pourquoi ils ont décidé de se faire vacciner. »
Nous reprenons cet article en modifiant l’ordre des témoignages. Nous n’avons pas pu retrouver l’URL de cet article par Google, dommage. L’article cite les prénoms des déclarants. Nous citons d’abord les réfractaires convaincus. Ceux qui ont vu le nombre record de nouvelles contaminations quotidiennes (plus de 330.000 en France mercredi 6 janvier). Les bénéfices de la vaccination l’ont emporté sur les craintes pour certains.
Marine (20 ans) : « Ce n’est pas le pass vaccinal qui m’a fait changer d’avis, ni le manque de vie sociale. C’est l’absence de restrictions et ‘épidémie qui s’emballe qui me dont peur. et Aujourd’hui, ma peur des effets à long terme du vaccin est moins grande que celle d’attraper le virus et de développer une forme grave. » (vaccinée lundi).
Charlène (24 ans) : « Désormais je vois que la balance bénéfices-risques penche en faveur du vaccin. Tous mes proches sont vaccinés, ils me protègent. Alors je me dois d’en faire autant. ».
Sibel (30 ans) : « Je me suis rendu compte que j’avais plus peur du Covid-19 que du vaccin. ».
Et il y a ceux qui ont cédé devant la force tout en clamant qu’ils ont été privés de liberté. Le peur de perdre leur emploi a été la gachette qui a fait partir le coup vaccinal.
Philippe (48 ans) : « Je reprends le travail dans deux mois dans un établissement recevant du public et mon employeur m’impose la vaccination. ».
Marie (qui a eu le Covid en juillet) : « Mon certificat de rétablissement valable 6 mois, va espirer si je ne reçois pas une dose dans les prochains jours. Et comme je suis saisonnière à Val-Thorens (Savoie), je n’ai pas le choix, sinon je perds mon trvail et ma vie sociale. ».
Edifiant ! La trouille comme moteur ou la contrainte pour maintenir les gens en bonne santé.
Un Auditeur IHEDN 1985
Inadmissible violence contre nos parlementaires
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Voltaire : taité sur la toléranceTableau de Delacroix la Liberté
Inadmissible violence contre nos parlementaires, oui il faut la dénoncer. Un débat d’idées, oui, des menaces de voies de fait non, des menaces de mort à RÉPRIMER par nos forces de police et de gendarmerie. Faut-il rappeler ici notre grand Voltaire ?
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »
Voltaire n’aurait jamais dit ni écrit cela ? Oui ? C’est trope beau, c’est le fondement de la liberté d’expression, une de nos valeurs républicaines.
En cette fin d’année, où nos valeurs républicaines viennent d’être violemment attaquées, la référence à Voltaire qui, au XVIIIe siècle, s’est battu pour la liberté d’expression, est quasi systématique. Nous y faisons référence, sans hésitation. Citons encore :
« Il faut bien quelquefois se battre contre ses voisins, mais il ne faut pas brûler ses compatriotes pour des arguments. »
VOLTAIRE (1694-1778), Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734)
Halte au terrorisme.
Un Auditeur IHEDN 1985
Vaccination vs anti-vaccination : le problème est grave
Introduction
Vaccination vs antivaccination ? Un grave problème de civisme qui côute cher au contribuable !
Plusieurs témoignages de médecins dans les médias, notamment La Cinq « C dans l’Air » (17h30), montrent que les urgences-réanimation sont à 95% occupées, saturées, par des patients atteints du CoVid19 NON VACCINÉS. C’est une situation qu’un citoyen normalement constitué et ayant été éduqué normalement ne saurait accepter. Il est prouvé par des milliards de doses administrées dans le monde que la vaccination protège des formes graves. La population française est vaccinée en double dose à 95%. La proportion des double-vaccinés n’est que de 50%, proportion qui diminue chaque jour au profit de la 3e dose dite « de rappel ». Nous renvoyons vers Le Monde.
Les cas de non-vaccinés (non-vaccs)
La récente nouvelle de l’hospitalisation des frères Bogdanov et du décès de Grichka (Igor est en pronostic réservé), apporte un argument de plus au danger que courent ceux qui refusent le vaccin. Tous les arguments mis en avant par les anti-vaccins ne valent rien : aucune religion n’interdit la vaccination (sauf exceptions connues). Un fait est incontestable : la mort est au bout du chemin sauf traitement aux urgences et en service de réanimation, un coût de journée astronomique (3 500 € ? !). Les clameurs des personnels soignants (médecins, infirmières, aide-soignants, …) dénoncent la fatigue, le burn-out, les démissions, … bref la casse du système de santé saturé qui voit arriver la 5e vague Omicron, à côté de la vague Delta !
J’ai un cas proche. Mon épouse fréquente une amie non-vaccinée qui vient de déclarer un CoVid19. Elle était catastrophée hier soir en rentrant de sa permanence. Elle est tri-vaccinée comme moi. Nous sortons ce matin nous faire tester.
L’impact des non-vaccs
La saturation des services urgences-réanimations par des patients non-vaccs est un véritable manque de civisme, une attitude criminelle qui oblige les autres services médicaux utilisateurs de réanimation à différer des soins programmés, mettant en danger la vie et la santé de personnes qui ne peuvent recevoir leurs soins. Merci messieurs-mesdames qui refusez la vaccination ! Vous portez là un manque de considération pour vos concitoyens par votre attitude récalcitrante.
Qui est responsable ?
La superstition (oui, ça existe), des convictions politiques (le vaccin à Macron entend-on !), etc. Le cas Bogdanov (des gourous scientifiques connus pour leurs émissions de science fiction de haut niveau) est significatif : ils ont refusé le vaccin mais ils n’ont rien fait pour en dégouter les autres ! A côté, on trouve sur les médias, dans la rue, dans la vie quotidienne, sur les réseaux sociaux, des agents anti-vaccs actifs, des gourous anti-vaccs ! Ce sont des criminels ! Je pèse mes mots ! Ils devraient être poursuivis pour non-assistance à personne en danger, pour incitation au suicide. Que dire de ceux qui menacent de mort des parlementaires : c’est du terrorisme ! Il doit être réprimé comme il se doit. La solution passe par un décret de salut public instaurant une VACCINATION OBLIGATOIRE. Nos lecteurs savent combien nous avons râlé, protesté, vitupèré le manque de vaccins au début de cette année 2021 !
De plus, les faux certificats de vaccination sont de la crapulerie. Un médecin a parlé de deux cas de faux-pass hospitalisés et qui n’ont pas pu être soignés à temps de manière adéquate. Ceux qui leur ont délivré un tel certificat sont des ASSASSINS.
Un Auditeur IHEDN 1985
La grande mosquée de Beauvais fermée pour 6 mois
L’iman de la mosquée de Beauvais faisait l’éloge du jihad et de ses combattants. L’affaire a été portée en justice par l’avocat de la mosquée qui minimise des propos sortis de leur contexte. La mosquée est fermée pour 6 mois.
A suivre.
En physique des métaux, la résilience est la qualité qui caractérise la capacité d’un métal à reprendre sa forme, à la suite d’une déformation. En psychologie, c’est la capacité à surmonter les chocs traumatiques. Dans les deux domaines, il s’agit d’une qualité, celle de résister à un choc. Nous nous intéresserons au domaine de la psychologie et particulièrement à celui des masses, la masse des citoyens qui peuple notre pays. Je me suis inspiré ici de l’article de M. Alexandre MALAFAYE en collaboration avec Brice de GLIAME (trimestriel « Engagement » de l’ASAF, n° 121 décembre 2018, pp. 31 à 33). Cet article méritait quelques compléments de ma part (AA-IHEDN, 1985) et extraits remaniés de l’ouvrage « 99 questions sur … la Défense » (Ouvrage collectif sous la direction de Paul-Henri GARCIA.- SCEREF-CRDP Languedoc-Roussillon, 2004, 232 p.).
1 – Les domaines d’application
En psychologie, la résilience s’applique à des être humains (individus ou groupes), à la collectivité nationale, au couple, à la famille, etc.
1.1 – Cas de l’individu ou du groupe
Le cas de l’individu ou du groupe met en question la capacité de faire face à « l’effet de sidération » qui suit un choc à revenir à sont état normal en dépit d’évênements douloureux ou violents tels, par exemple, un attentat terroriste faisant des victimes.
1.2 – Cas d’une nation (collectivité nationale)
Le cas d’une nation s’apprécie au moment de crises, de catastrophes naturelles, d’accident majeur, de guerres et d’attaques terroristes, etc. Pris dans son sen le plus positif, le terme évoque l’aptitude à se redresser, à se relever collectivement sans avoir remis en cause ses valeurs et ses principes fondamentaux lesquels structurent la nation.
Ici se place le cas de ce qui se passe après un attentat terroriste de grande ampleur comme ceux du 13 novembre 2015 (Saint-Denis, 10e et 11e arrondissements, Bataclan). La réaction des Français a été qualifiée de résiliente pour diverses raisons :
en raison du sursaut qui a suivi,
parce-que les actes n’ont pas dressé les Français les uns contre les autres et à provoquer une guerre civile.
Il convient de souligner que la résilience d’une société ne saurait reposer sur la seule capacité de chaque citoyen à faire face à l’adversité.
1.2.1 – La construction de la résilience d’une nation
La construction de la résilience d’une nation s’articule autour de quatre axes :
le cadre légal, celui de l’État de droit qui permet d’affronter les crises graves,
le projet de société qui fédère des citoyens et forge le sentiment d’appartenance avec le désir de faire front ensemble,
l’affichage des symboles et des valeurs communs,
la confiance des citoyens envers ses représentants.
La résilience, comme la sécurité, ne se décrète pas, elle relève d’une démarche volontaire du citoyen.
1.2.2 – Résilience acquise ou innée ?
La résilience n’est pas innée, c’est un trait de caractère qui se construit, se développe et se renforce. Pourtant, on pourrait croire le contraire ? Il ne faut pas confondre l’esprit belliqueux, guerrier, velléitaire de certains peuples avec l’esprit de défense. En France, de nos jours, la résilience est le fruit d’une patiente construction sociale, inscrite dans le temps long. Elle remonterait à la révolution de 1789 et aux soldats de l’an II ?
1.2.3 – Les institutions qui développent la résilience
De tout temps et en tous lieux, il y a eu des nations avec une longue tradition de servage, d’esclavage sous la férule de tyrans. La plupart de ces nations se sont soulevées, libérées, dotées d’institutions démocratiques. La France l’a démontré avec ses soldats-citoyens qui sont partis en 1914 se battre contre l’envahisseur allemand (prusso-austro-bavarois). La France est une nation qui prétend se défendre et non attaquer. Si la seconde guerre mondiale a connu un fléchissement national qui a conduit à un armistice funeste, la résistance à l’envahisseur a fini par unir un peuple qui a gagné sa victoire avec l’aide de ses colonies, des résistants, des soldats refusant l’abaissement et des alliés qui leur ont fourni des armes. La nation en armes ! Les noms de De Gaulle, De Lattre et Leclerc ne doivent pas être oubliés ainsi que ceux qui se sont battus à leurs côtés.
Des institutions existent de nos jours qui vont permettre au citoyen de s’impliquer dans sa propre sécurité, en développant l’esprit de défense. Le contraire état l’esprit de Munich !
2 – L’esprit de défense
Le grand mot est lancé : l’esprit de défense ! Le constat est fait que les ressources de l’État ne peuvent pas tout faire devant la diversité des menaces et leur inscription dans un temps long. Il faut un changement de posture : le citoyen peut et doit s’investir, (nous citons) « s’impliquer dans sa propre sécurité », sans haine ni désordre, quand le mal est là, quand un évènement tragique survient.
2.1 – Indifférence ou résilience
Il ne faut pas céder à la facilité consistant à confondre l’indifférence ou la facilité avec la résilience. Cette dernière qualité, nous l’avons dit, (nous citons) « suppose une démarche volontaire ». Le citoyen participe à la défense de son pays. L’indifférence peut conduire au pacifisme et à l’esclavage. La défense conduit à la résilience.
Mais comment définit-on la défense ?
2.2 – La défense
Tout organisme vivant (plante, animal, être humain) développe des mécanismes visant à répondre à une menace ou une agression. Ce mécanisme est la défense. Nos sociétés se défendent et il n’existe pas d’état qui ne possède une armée et des forces de sécurité pour se défendre.
En France, la défense est nationale, globale, armée. Elle est centralisée et, depuis la suspension du service national, elle est confiée à des professionnels, ce qui tend à démotiver, sauf exceptions, les citoyens qui deviennent passifs.
2.3 – L’esprit de défense au service de la résilience nationale
Le constat a été fait que la centralisation de la gestion centralisée de la sécurité a éloigné le citoyen des problématiques de sécurité au quotidien. La France a un gros retard à rattraper en la matière mais dispose d’atouts. La France n’en est, cependant; qu’aux balbutiements.
2.2.1 – L’IHEDN
Logo AA-IHEDN petit
L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationales (IHEDN) forme des citoyens de la société civile, des fonctionnaires de haut-niveau et des militaires, ensemble, à l’esprit de défense. L’objectif n’est pas de former des tireurs à l’arme à feu mais d’aviser, de préparer les citoyens dans une perspective de résilience. Il les prépare à mieux affronter l’adversité dans une perspective de résilience individuelle et collective. Un des axes de son action est dirigée vers notre jeunesse par le canal de ses professeurs : j’ai nommé les Trinômes Académiques, Armée, Éducation Nationale, IHEDN. Ce réseau apporte une contribution utile, en particulier aux réserves citoyennes.
2.3.2 – Les réserves citoyennes
Depuis la « mise en sommeil » du service militaire obligatoire et l’institution d’une armée de métier, le problème se pose de manière aigüe des réservistes notamment dans des armes de spécialistes ou de nouveaux théâtres d’opérations comme le cyber-monde et la cyber-sécurité. Des places existent au sein des armées, des forces de sécurité (gendarmerie, police, douanes) pour accueillir pour des périodes plus ou moins longues, des citoyens volontaires de tous âges. Ce sont les réserves citoyennes. Cette mobilisation des citoyens a été montrée après les attentats de 2015.
La réserve citoyenne de défense et de sécurité est composée de volontaires agréés par les autorités militaires pour contribuer au renforcement du lien entre les armées et la société civile. Si vous souhaitez en faire partie, vous devez remplir certaines conditions, notamment d’âge et de nationalité. La participation à la réserve citoyenne n’ouvre pas droit à rémunération ou indemnisation. Il existe une réserve citoyenne dans chaque arme.
2.3.3 – La garde nationale
Actuellement « La Garde nationale, ce sont des femmes et des hommes volontaires qui décident, en parallèle de leur vie civile, de s’engager dans la réserve opérationnelle au service de la protection des Français ». C’est ainsi que définit le site consacré à cette nouvelle formation.
3 – Les exemples étrangers
Deux pays sont exemplaires en matière d’engagement citoyen, l’un a une vielle tradition, j’ai nommé la Suisse (Confédération Hélvétique), l’autre une tradition plus récente, le Sénégal.
3.1 – La Suisse
La Confédération hélvétique (nous abrègerons en Suisse) dispose d’une armée de milice[1]. C’est une armée où les civils sont formés pour participer à des missions militaires en complément de leurs formations professionnelles. Il s’agit d’un type d’armée principalement utilisé en Suisse. C’est un système d’organisation couramment pratiqué dans la vie publique de ce pays, elle tient sa forme d’une idée républicaine selon laquelle un citoyen a les capacités d’assumer des charges et des tâches publiques à titre extra-professionnel et bénévole. C’est une expression empruntée au vocabulaire militaire (du latin militia, service militaire) dont l’origine remonte à la démocratie athénienne et au début de la république romaine ; depuis l’antiquité la notion de milice comprenait l’exercice de charges civiles.
L’Armée suisse est encadrée par des militaires professionnels. Elle est équipée de systèmes d’armement et d’équipements modernes, sophistiqués et bien entretenus, elle a pour mission d’assurer la défense du territoire suisse, la sauvegarde des conditions d’existence de la Suisse et de contribuer à la promotion de la paix à l’étranger. De par sa politique de neutralité, la Suisse s’efforce de maintenir une défense aussi autonome que possible, bien que le rapport de politique de sécurité 2000, intitulé Sécurité par la coopération ait ouvert la voie à une coopération accrue avec l’étranger, notamment en matière de participation à des exercices communs. Sa devise est Sécurité et liberté. Les réservistes suisses sont régulièrement appelés à des périodes militaires. Ceux qui résident à l’étranger sont tenus à payer un impôt spécifique s’ils ne peuvent répondre à leur devoir militaire.
La doctrine militaire s’articule dans le cadre d’une coopération plus ou moins explicite avec les pays limitrophes, doctrine du pas de vide militaire qui vise à éviter que la Suisse ne devienne le ventre mou d’une Europe soumise à une invasion massive. Toutefois les menaces militaires ont changé, notamment avec la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), ce qui a forcé l’Armée suisse à effectuer une série de réformes, telles que la décision, prise en mai 2011 de mettre hors service les batteries Bison et les pièces d’artillerie de forteresse.
L’Armée suisse est classée 39e armée selon la liste des armées nationales par effectif.
3.2 – Le Sénégal
Le Sénégal est un pays de l’Afrique de l’Ouest bordé par l’océan Atlantique à l’Ouest et par la Mauritanie au nord, le Mali à l’est et la Guinée-Bissau au sud.
Ce pays a développé un réseau opérationnel national d’assistants à la citoyenneté de proximité, l’ASP. Ce réseau est composé de 10.000 volontaires, des citoyens acteurs de la sécurité. La présence de ces acteurs a permis de diminuer la délinquance et facilite la remontée d’informations utiles, notamment face à la montée de l’islamisme radical.
En conclusion
Le chemin, dans notre pays, en France, est long à parcourir avant d’atteindre un niveau de résilience optimal. A côté des réticences d’ordre politiques (mauvaise expériences passées avec l’engagement citoyen assimilé à la délation), la méfiance des militaires à l’égard des « galons en zinc », il y a le manque de motivation des intéressés, les citoyens. Il y a pourtant urgence pour amener la résilience à son meilleur niveau. Le chemin passe par l’école de la République dans ses niveaux (primaire, secondaire et supérieur) et le pouvoir politique a le devoir impératif de favoriser, sans tarder, l’engagement des citoyens. Serions nous moins intelligents que les Suisses ou les Sénégalais ?
[1] La Milice française, souvent appelée simplement Milice, était une organisation politique et paramilitaire française créée le 30 janvier 1943 par le gouvernement de Vichy pour lutter contre la Résistance, qualifiée de terroriste. C’était une police supplétive de la Gestapo allemande. De triste mémoire !
Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale