Un policier a fait son devoir

Un policier a fait son devoir, mal lui en a pris : il est en prison comme un malfaiteur. Que s’est il passé ? Son avocat dit qu’il a été poussé par le redémarrage du véhicule conduit par le délinquant et que le canon de l’arme s’esr relevé ! A suivre. Voyons les faits.

Un parcours dangereux

Mardi 27 juin au matin à 7h55, une patrouille de deux motocyclistes de la police poursuit un véhicule dont le parcours dangereux a attiré leur attention. Ils intiment, à plusieurs reprises, l’ordre au véhicule Mercedes jaune, de s’arrêter. Refus d’obtempérer réitéré, le véhicule fonce dans Nanterre dans des couloirs réservés aux autobus, met en danger un cycliste et un pièton sur un passage protégé. Bloqué par un embouteillage, le véhicule fou s’arrête enfin et les deux policiers s’approchent. Lors d’une conférence de presse, le procureur de Nanterre, Pascal Prache, a fait le point sur l’enquête ouverte pour homicide volontaire par une personne dépositaire de l’autorité publique. Nous citons Ouest-France :

Une course-poursuite

Pascal Prache a détaillé le déroulé des faits qui ont conduit au refus d’obtempérer en se basant sur les vidéos des caméras de surveillance, des auditions de témoins et des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Il a expliqué qu’après avoir pris leur service, les policiers à moto ont remarqué vers 7 h 55 un véhicule Mercedes immatriculé avec une plaque polonaise qui « circulait sur une voie de bus à vive allure ».
Les deux fonctionnaires de police « ont tenté une première fois de procéder à un contrôle » en activant leurs avertisseurs sonores et lumineux en se positionnant à hauteur du véhicule à un feu rouge, après quoi la voiture a redémarré en « grillant le feu rouge ». Trois passagers étaient à bord du véhicule.

Tout va aller très vite. Nous n’irons pas plus dans le détail. Un tir d’un des policiers tente d’arrêter le véhicule qui redémarre. L’affaire est du ressort de la Justice, la présomption d’innocence doit s’appliquer au policier.

Présomption d’innocence

Sans attendre les résultats de l’enquête de l’IGPN, Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République, condamne la mort du jeune Naël M. (17 ans), un acte « inexcusable » ! Un jugement venant de très haut ! Une offense grave à l’institution judiciaire. Un jugement choquant de la part du plus haut magistrat de la République : il s’est deshonoré !
 
Seul, le Ministre de l’Intérieur a fait preuve de retenue et a pris la défense de ce policier, son policier !
 

La chienlit dans notre pays

L’attitude de ce jeune délinquant routier, coutumier du refus d’obtempèrer, était un défi à la police dans des zones où la loi républicaine ne s’applique plus et où se sont intallées des lois qui ne respectent pas nos lois !  Les attaques se sont déclenchées dans ces zones contre les symboles républicains : mairies, tribunaux, médiathéques, écoles, etc. Des cris « Allah Akbar » auraient été entendus ! La marche blanche a vu des drapeaux algériens brandis ! 
 
Nous sommes devant un drame où la mère de famille a été privée de son enfant, ce qui est dramatique mais où l’éducation qu’elle a dû donner à son gamin en a fait un rebelle à l’autorité républicaine. Un père de famille absent depuis longtemps, parti on ne sait où. Son bébé, un délinquant, a été victime d’une mauvaise éducation.
 
Jean Aymar
Aux côtés de nos forces de l’ordre



On vous l’avait dit, c’est arrivé

Le contexte

La chienlit provoquée par les vélorutionnaires-écolos-peau-de-lapin de Montpellier a failli faire une victime. Ces apprentis sorciers obnubilés par leur prurit vélorutionnaire, avec leur chef en tête, se sont mis dans la tête de mettre en place une écologie répressive. La répression est dirigée vers les automobilistes, quelle que soit le mode de propulsion de leur voiture : électriques, moteur thermique dièsel ou essence, propulsion hybride, … Les blocs de béton posés à tort sur l’avenue Albert Dubout ont failli provoquer un drame. L’accès difficile des secours au collège Gérard-Philippe, d’après Midi-Libre a rendu impossible l’accès des véhicules à moteur des pompiers de Montpellier qui avaient été appelés par les autorités du collège « Gérard Philippe ». Une jeune élève de 5e ayant fait un malaise, les secours n’ont pu arriver au collège, les entrées de secours étant inacessibles aux véhicules de secours !

La réponse

La Métropole, en la personne de Mme Julie Frèche, Déléguée au Transport, Mobilités actives, a répondu à notre quotidien Midi-Libre. Cette réponse ne fait aucune mention de mea-culpa de l’élue. Gouverner c’est prévoir, d’autant plus que des parents d’élèves avaient alerté les autorités municipales sur le danger que faisait courir en cas d’accident la difficulté des secours à arriver. Heureusement pour Mme Frèche : la jeune élève a pu regagner son domicile dans la soirée ! Est-ce que l’élue apprentie sorcière vélorutionnaire mesure l’importance de sa responsabilité, de sa légèreté ? Nous avons employé le terme de chienlit si cher à un de nos généraux devenu Président de la République ?

Conclusion

Vous étranglez la circulation des automobiles, vous asphyxiez Montpellier, vous rendez la circulation des secours difficile, voire impossible dans notre ville et ce au frais des contribuables à qui ces « aménagements » coûtent la peau des fesses ! Dehors, démission des incapables qui mal conseillent notre Maire et Président ! Ce sont des nuisbles inutiles !

Le Père Siffleur
Contribuable de l’Hérault
Lanceur d’alertes




Un policier qui a fait son devoir : en examen !

Un policier qui a fait son devoir : en examen ! Une honte pour nos gouvernants. La victime, un voleur de voitures, sans permis, a tenté de percuter frontalement le véhicule de police, après une course poursuite sur une voie à grande circulation. Nous citons : 

« Deux enquêtes avaient été ouvertes dans ce dossier : une première, confiée à la Sûreté départementale, pour tentative d’homicide sur personne dépositaire de l’autorité publique, une seconde, par l’IGPN, la police des polices, pour homicide volontaire par le policier, auteur du tir. ».

Un malfrat qui a mis et mettait en danger policiers et usagers de la route doit savoir qu’il est susceptible d’être abattu en cas de rébellio. Au lieu de poursuites, il mérite une médaille et les félicitations de ses supérieurs ! Assez de racailles ! 

Autre article. Nous citons : 

« Les faits se sont déroulés mercredi vers 16 h 30, quand un homme de 24 ans circulant sans permis à bord d’un véhicule volé a été repéré sur la voie rapide de Nice en train de « zigzaguer dangereusement », selon les explications de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Refusant d’obtempérer face aux policiers lui faisant signe de s’arrêter, l’homme avait accéléré et quitté la voie rapide, avant de se retrouver bloqué, de faire demi-tour et de venir percuter le véhicule de police qui le suivait. « Après plusieurs sommations », le policier a tiré « à une reprise sur le conducteur du véhicule volé », une version « corroborée par des témoins présents sur les lieux », avait déclaré Xavier Bonhomme dans la journée de vendredi en annonçant l’ouverture de l’information judiciaire. »

Toujours le même média : 

« … le conducteur, bloqué par une voiture de police à l’avant, fait une marche arrière avant de tenter de déboîter et de redémarrer. Mais il est alors à nouveau bloqué par la voiture de police à l’avant. C’est à cet instant que le policier, arme au poing et debout près du véhicule, tire à travers la vitre côté conducteur. ».

Les proches de la victime contestent les faits ! Qu’ils se taisent ! C’est un danger public qui a fini sa dangereuse cavale qui aurait pu causer des victimes innocentes ! Cet homme était enragé, il devait être stoppé !!!

Le Père Siffleur
Auditeur IHEDN, VRCGN




La police tue au Vénézuela

L’ami vénézuelien

Monsieur Mélanchon est un grand ami du Vénézuela, un pays mené par un autocrate de gauche et où la police tue sans soucis ! Les médias français (La Cinq, C dans l’air, 7/06/2022) fait état de 7.000 morts/an. Un exemle d’une situation embourbée. Monsieur Mélanchon accuse la police française de tuer ! Il voit la paille dans « l’oeil du voisin mais pas la poutre qui oblitère le sien ! ».

Un refus d’obtempérer

Je me réfère au refus d’obtempèrer d’un conducteur samedi 4 juin dernier, en France, à Paris. Trois policiers ont ouvert le feu sur un véhicule qui a refusé de s’arrêter à un contrôle routier. Un véhicule conduit par un conducteur ivre, sans permis, sous l’emprise de stupéfiants ! Les trois policiers, au lieu d’être félicités pour leur courage et l’accomplissement de leur devoir, ont été mis en examen et incarcèrés ! Nous venons d’apprendre ce matin 8 juin, qu’ils ont enfin été libérés de leur garde à vue (4 jours !) et que le conducteur délinquant récalcitrant à été, enfin, inculpé et incarcèré !

Un dommage collatéral

Le conducteur délinquant avait à ses côtés une passagère qui a été blessée mortellement ! Nous estimons qu’elle a été victime du comportement irresponsable de son compagnon. Comment a-t-elle pu ignorer que leur voyage se terminerait tragiquement ? Ignorait-elle le risque qu’elle prenait en montant aux côtés d’un tel individu ? Pouvait-elle ignorer l’état d’ébriété du conducteur ? Elle a payé de sa vie ! C’est regrettable, la vie humaine n’a pas de prix en France, nous regrettons ce dommage collatéral !

Un refus d’obtempèrer est une opération qui se déroule la plupart du temps de nuit et en quelques secondes. A la violence du véhicule qui fonce sur les policiers répond celle des tireurs qui font appliquer la loi républicaine : ce sont nos policiers, nos policiers républicains, ils ont des ordres et sont là pour protéger la vie des autres usagers de la route ! Les exemples ne manquent pas de victimes de la route, de victimes de chauffards ivres et drogués ! Des orphelins de policiers morts dans l’exercice de leurs missions existent : je donne à leur orphelinat ! 

Nous ne sommes pas au Vénézuela où les amis de Monsieur Mélanchon ont la gachette facile ! Les sbires de Monsieur Nicolas Maduro sont bien armés, bien vêtus, soignés, nourris, soignés. Leurs victimes sont des gens du peuple qui luttent pour leur survie.

Nos policiers doivent être soutenus

Les policiers français et la gendarmerie nationale doivent être soutenus, encouragés dans leurs missions dangereuses. Leurs chefs utilisent des méthodes critiquables, ils donnent des ordres parfois excessivement brutaux aux conséquences hélas regrettables comme récemment au Stade de France !

Un ancien auditeur
Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale (IHEDN)




Attention respect du Code de la Route

Problèmatique

Le premier devoir d’un bon citoyen est de respecter la loi. Cette loi est inscrite dans les codes et notamment le Code de la Route. Un bon citoyen se doit de respecter les loi, toutes les lois. Nous n’avons pas la prétention de donner ici un cours sur le Code de la Route mais de rappeler quelques unes des incivilités coutumières que constate un bon conducteur qui roule normalement et qui veut respecter les autres.

Le clignoteur pour changer de direction

La mise en route du clignotant est obligatoire en cas de changement de direction, de changement de file de circulation ou pour tourner, à droite comme à gauche. Le défaut de clignotant est sanctionné par une amende de 150 € et 3 points de permis. Il convient de s’y prendre à l’avance et d’éviter tout changement brusque, en ville comme en route et autoroute.

Ne pas ignorer le clignotant de l’autre voiture

Le conducteur qui change de direction en ayant bien anticipé sa manœuvre et en respectant les limitations de vitesse se voit souvent refuser le passage par un mauvais-coucheur qui se croit avoir le droit de passer à plein pot sur autoroute comme en ville. C’est une incivilité grave non sanctionnée par la loi ! Cela arrive tous les jours ! Cela ne devrait pas être.

Aborder un rond-point à priorité

Notion de priorité

La priorité est un devoir envers les autres, ce n’est pas un droit ! Vous n’avez pas le droit de priorité, on vous doit la priorité. Ne confondez pas un devoir avec un droit. Votre seul devoir est de respecter les autres.

Conduite respectueuse

Vous devez aborder un rond-de-point en ayant ralenti. En toute circonstance, vous devez maîtriser votre véhicule, roulez à vitesse modérée. N »accélérez pas pour passer devant le véhicule qui est déjà engagé pour lui griller … la politesse et la priorité.

Vous êtes engagé dans le cercle, soyez attentif et vertueux, ayez une conduite citoyenne, mettez votre clignotant pour changer de cercle et aborder la sortie que vous avez choisie, refaites un tour si vous avez manqué une sortie. Evitez de causer une collision !

Un tour pour rien

Un tour pour rien n’est pas déshonorant ! Mettre son clignotant non plus.

Respect des vitesses limitées

L’autorité publique (état, collectivités territoriales, …) ont le devoir de veiller à la sécurité de TOUS les usagers de la route. La vitesse d’un véhicule doit être adaptée aux circonstances. Dans ces conditions, l’autorité publique doit employer les moyens à sa disposition (signalisation, verbalisation, radars cinémomètres, …) dans l’intérêt des usagers.

L’usager ne doit pas se porter en juge des performances de SON véhicule et de dire que le but de l’autorité publique est de «faire du fric à ses dépens». Posséder un véhicule de haut-de-gamme ne donne AUCUN droit.

Les bicyclettes-vélocipédes, trottinettes et autres 2 roues

Une plaie ! Depuis que la nouvelle municipalité sévit à Montpellier (28 juin 2020) le tout vélocipède et la chasse aux voitures fait que le Code de la Route n’est plus respecté. On trouve des vélos partout, sur les trottoirs, sur les passages à piètons, en contresens dans les sens uniques (certains autorisent ce type de circulation !). Le plus redoutable : le franchissement des feux tricolores au rouge vif et la circulation de nuit sans éclairage réglementaire ou avec un éclairage réduit et plus que fantaisiste.

L »écologie c’est bien mais dans le respect du Code de la Route.

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué
VRCGN
ancien IDSR