Une rave-partie en Ille-et-Villaine

Nous informons

Une rave-partie géante en Ille-et-Vilaine (Lieuron, 40 km de Rennes) se termine. Deux nuits folles où plus de 2.500 participants ont bravé l’interdiction en vertu du couvre-feu ! Les teufeurs qui sortent sont maintenant verbalisés et contrôlés ! Mais aucun contrôle Covid19 n’a été pratiqué, aucune rétention ni obligation de se confiner ! Une grave lacune !
Les organisateurs se seraient éclipsés avec les matériel ? Notre ministre de l’Intérieur a-t-il été bridé, empêché d’agir ? Il est dit qu’il a voulu empêcher des atteintes à l’intégrité physique des teufeurs. Il leur aurait épargné des coups de matraque pourtant bien mérités mais ne leur a pas épargné la contamination par le COVID19 !
Qui va payer pour ce gigantesque cluster ?

Mon ami VRCGN me demande de remercier ici nos gendarmes. C’est fait !

 

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale




Montpellier – Afghanistan : une curieuse affaire !

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Ici on s'honore du titre de Citoyen
Le journal satirique L’Agglorieuse, dans son numéro 956 du 20 octobre 2021 (p. 6 2e et 3e colonne haut), nous informe sur une opération humanitaire douteuse. Elle concerne un ancien hiérarque afghan échappé avec sa famille du piège des talibans. Ce personnage est l’ancien maire de la ville de Ghazni (Afghanistan) Hakimullah Ghaznival. Ghazni est une ville de 140.000 habitants, notre ancien potentat Georges Frèche l’avait fait citoyen d’honneur de notre ville en 2003.

M. Delafosse accueillant un Afghan immigré

La presse se fait l’écho de son rapatriement à Montpellier (Midi Libre) en des termes dithyrambiques rappelant les images de feu notre affreux Jojo avec Hakimullah. A pleurer ! Un autre média (3 Occitanie) en dit autant avec l’étreinte de notre Maire Mickaël Delafosse recevant le rescapé.
Quelle joie ! Larmes de crocodile ? Caïman le même chose !
Une autre version du personnage nous vient par un média d’Angleterre (The Guardian) en date du 28 décembre 2009 (15:40). C’est un texte en anglais. Nous en avons compris la quintessence que nous vous restituons ici conjointement avec l’Agglorieuse. Nous traduisons partiellement et citons The Guardian :
« Dans les récentes semaines, l’équipe provinciale pour la reconstruction de Ghazni (PRT) s’est intéressée de manière extensive sur les officiels du gouvernement de la province et du district, les autorité judiciaires et les représentants de la société civile concernant l’étendue et la nature de la corruption dans la province de Ghazni. Ce rapport inclut ces exemples de récents et probablement en-cours avec les pratiques de corruption qui ont été soulevées par les multiples et vraisemblables sur les anciens du gouvernement afghan sur la province de Ghazni. De nombreuses personnalités du PRT ont parlé ouvertement sur la corruption dans la province.[ …]
Des opération criminelles récurrentes centrées sur le Gouverneur du district de Den Yak Hajji Fazil, le Maire de la Ville de Ghazni Hakimullah Ghazniwal, et Meshrano Jirga membre et le leader de la communauté Tadjike, Mawlana Abdul Rahman, et le Directeur […] ».
En faut-il plus ? Ces accusations du Guardian sont-elles fondées ? Si oui, notre Maire a monté une opération à caractère « humanitaire » au profit d’un présumé pourri et corrompu. M. Ghazniwal est il arrivé à Montpellier les poches vides ou pleines ? Il y a des juges et une justice en France et en Europe. Si M. Hakimlullah (je traduis hakim = juge, ullah = Allah : Le Juge d’Allah) craint les foudres des Talibans, il doit y avoir des raisons qu’il faut tirer au clair. A-t-il des fonds placés ? Où ? Combien ? Peut-il justifier la provenance ?
Qui à payé les voyages des messagers municipaux qui ont été exfiltrer Hakimullah et sa famille ? Qui a payé les billets d’avion ?
Vous, citoyens de la Ville de Montpellier et de Montpellier-Métropole avez le droit de demander des comptes sur l’emploi de vos fonds publics pour secourir un présumé corrompu. Une story telling montpellieraine !
Nous citons encore L’Agglorieuse :
« L’hommage de Canayer !
Il y a eu quelque chose de savoureux lors de la dernière session du Conseil régional d’Occitanie : la présentation d’un vœu se félicitant de l’accueil par la mairie-Métropole de Montpellier d’Hakimullah Ghazniwal, ex-maire de Ghazni et de sa famille. »
Une remarque d’un arabisant sur le patronyme de Ghazniwal : il se décompose en Ghazni (nom de la ville afghane) et wal (abbréviation de wali : le maire !). Est-ce bien là le nom de famille, le patronyme ?
L’Agglorieuse dans son n° précité publie une caricature que nous avons scannée :
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Ils sont pétés de thunes ? !
Il faudra être vigilant ! Ne pas se laisser prendre pour des couillons ! Frèche adorait ce terme : le tram était appelé promène-couillons ! Contribuables, unissez-vous.




Les obscurantistes sont parmi nous


extrait bandeau IHEDN site institut

Une information vient d’être publiée La Mouette ! Inadmissible ! Un petit entrefilet en page 8 du n° 945 de juillet 2021 nous révêle l’existence d’un CPHCVO dans les CHU de Montpellier. Nous décryptons : collectif du personnel hospitalier contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire !!!

Inadmissble, vous avez bien lu ! Nous sommes revenus à l’âge de l’obscurantisme ! Dans un établissement public destiné à soigner des malades et non à les infecter, à les rendre sains, des personnels se permettent de mettre en avant le droit à ne pas prévenir le CoVID19, un virus mortel qui a fait 100.000 décès en France ! Le vaccin est le moyen le plus sûr de barrer la route au virus et à ses variants.

Des personnels qui refusent de se vacciner n’ont rien à faire dans un établissement de soins. Il y a d’autres métiers.

Ecrivez leur, exprimez leur votre désapprobation : cphcvo@protonmail.com. Personne n’est obligé de travailler dans un centre de santé publique au risque de contaminer ses contemporains. Le CoViD19 est potentiellement mortel.

Avant de soigner les autres, il convient de se protéger pour ne pas être un vecteur de la maladie !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Deux poids, deux mesures

Liberté égalité fraternité

Nous recevons d’un de nos observateurs ces images. Elles sont arrivées par courriel. Il y a deux poids et deux mesures ! D’un côté un rejet par le Conseil d’état d’un recours visant à autoriser la veillée pascale, recours formulé vraisemblablement par une église chrétienne, de l’autre le Ministre de l’Intérieur pas gêné de cette jurisprudence qui déroge au couvre-feu pour les musulmans en vue du Ramadan.


Merci Monsieur le Ministre ! On apprècie. Liberté, égalité, fraternité ?

Nous, ici, nous sommes pour les valeurs républicaines, des citoyens respectueux des lois et de notre constitution. Nous n’apprécions pas que des commentaires salissent les murs des lieux de culte.


Un Auditeur IHEDN 1985

Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN




Quand un aveugle conduit d’autres aveugles

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Ici on s'honore du titre de Citoyen

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Citation biblique : nous rappelons


« Laissez, ce sont des aveugles qui conduisent d’autres aveugles. Or, si un aveugle en conduit un autre, ils tomberont tous deux dans un fossé. » La Bible, Matthieu 15-14.


Nous avons reçu de plusieurs amis distants une série de communications qui convergent toutes vers un même point : l’incurie gouvernementale. Par aveuglement ou par clientélisme, nos gouvernants en chef sont aveugles. Et une partie de nos concitoyens sont aveugles, aveuglés par les médias au service des gouvernants.

Notre pays est en train d’affronter une crise sanitaire sans précédent, nous avons subi des attaques terroristes d’islamistes sans précédent, nous avons l’impression de marcher dans la boue, englués dans la gadoue, la gadoue ! (Jane Birkin !).

1 – La crise sanitaire

Elle a commencé à être perçue au début de 2020. La Chine a établi un cordon sanitaire autour de son territoire, la France évacue 220 de ses ressortissants qui seront placés en quarantaine près de Marseille. Partis de Wuhan (Chine) le 30 janvier 2020, ils sont arrivés le 31 à Marignane. Il seront hébergés à Carry-le-Rouet dans un centre de vacances. Cliquez ce lien.

Alors, commence un invraisemblable feuilleton composé d’épisodes gouvernementaux relatés par différents organes de presse : les effets de la pandémie en France. Comme le Professeur Christian PERRONNE, nous n’aimons pas avoir à écrire sur ce sujet mais le devoir nous impose de le faire. Dans son livre noir « Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? : Covid19 : l’union sacrée de l’incompétence et de l’arrogance » (Christian PERRONNE, juillet 2020, Albin Michel, 208 p.). L’arrogance, oui, un sacré facteur d’aveuglement pour ignorer que « gouverner c’est prévoir ». Ce livre noir détaille en 11 chapitres toutes les « couenneries » du gouvernement présidé au sommet par Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République.

En complément, vient l’ouvrage du Professeur Didier RAOULT « Epidémies : vrais dangers et fausses alertes » (Didier RAOULT, avril 2020, Michel Lafon, 172 p.). Cet éminent professeur de médecine, microbiologiste de réputation internationale, vient compléter l’ouvrage de son collègue infectiologue. Tous deux ont eu à affronter dans leurs établissements respectifs la pandémie commencée vers novembre 2019 à Wuhan (Chine), officiellement le 16 novembre 2019 selon Wikipedia. Hélas, pas de cordon sanitaire en France dans les aéroports, surtout en provenance d’extrême orient. Nous avons des témoignages sur des retours de Thaïlande.

Dans son livre, Didier Raoult analyse plusieurs épidémies (c’est sa spécialité ?) et particulièrement la pandémie à Coronavirus SARS-CoV-2. Il porte de graves accusations (pp. 89-112). La première sur le traitement à la chloroquine, la seconde sur le manque de prévoyance et de réactivité du gouvernement et sur ses instances sanitaires.

1.1- La chloroquine

Sur la chloroquine les professeurs Perronne et Raoult (respectivement pp. 87-105 et pp. 102-108) dévoilent une incroyable affaire dans laquelle le Pr. Raoult dénonce de manière formelle :

« L’évolution de la situation a fini par être grotesque avec un Directeur de l’ANSM qui a fait classer la chloroquine et l’hdroxychloroquine (qui sont des médicaments qui ont été les plus utilisés dans le monde) comme substance vénéneuse et en interdire la prescription aux médecins. ». (p. 107)

Les médecins généralistes sont toujours interdits d’utiliser ces substances pourtant mondialement utilisées. Le Professeur Raoult poursuit :

« Ainsi l’état a organisé l’impossibilité d’utiliser le seul médicament qui pouvait avoir une activité, sous prétexte d’une toxicité fantasmatique dont l’idée même a été abandonnée depuis, et s’est jeté ensuite sur le complément qui a été utilisé, un antibiotique, l’azithromycine, qui est le plus prescrit de tous les antibiotiques dans les infections respiratoires et se retrouve maintenant lui aussi accusé de tous les maux. Ces interdictions ont été associées à des remontrances du Conseil de l’Ordre qui semble jouer, dans cette affaire, un rôle exactement opposé à celui de sa nature, c’est-à-dire qu’au lieu de défendre la liberté de prescription de chaque médecin face à son malade, il fait les gros yeux aux médecins qui tenteraient de soigner leur patient avec un médicament dont il faut reconnaître qu’il est recommandé maintenant dans la moitié des pays du monde, en particulier ceux qui ont les taux les plus bas de mortalité. » (p. 108)

C’est grave ! L’ANSM a fait l’objet de controverses et de polèmiques que nous laissons découvrir à notre lecteur. Qui est ce « un Directeur » que dénonce sans le nommer le Pr. Raoult ? Nous savons que la Ministre Buzyn Agnés a commencé à classer les chloroquines en novembre 2019. Pourquoi ? Le directeur général Didier Martin démissionne en novembre 2020, son intérim est assuré par la Dr Christelle Ratignier-Carbonneil, nommée directeure le 14 décembre 2020. Une coïncidence ? Serait-ce la Docteure Ratignier-Carbonell qui a convaincu le successeur de Mme Buzyn, le Docteur Véran, d’interdire les chloroquines dans notre pays renommé Absurdistan !

1.2 – La stratégie contre le virus chinois

Le Professeur Raoult nomme le SARS-CoV-2 ou Coronavirus le « virus chinois ». C’est bien de Chine que ce virus est venu. Il précise :

« La vitesse de réaction au cours d’une épidémie aiguë ne fait pas appel aux mêmes stratégies. Appeler les mêmes artisans de la guerre contre le SIDA relève de la même erreur que le fait de choisir les artisans de la première guerre mondiale pour gérer la deuxième. Une guerre de défense contre une guerre d’attaque. Une guerre où il s’agissait de tenir contre une guerre où il s’agissait d’agir. Les humains destinés à faire l’un ou l’autre ne sont pas les mêmes. C’est dans ce sens que j’ai pu écrire que pour diriger cette guerre contre le coronavirus [virus chinois], on avait chois Pétain. Ce choix des anciens combattants de la guerre précédente (le SIDA) a entraîné une panique dans touts les sphères de la société que nous n’avons pas fini de payer sur le plan économique. » (pp. 111-122).

Merci Professeur Raoult, je complète en spécifiant en historien amateur qu’avant Pétain, il y a eu en France Paul Raynaud « nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts ». Puis Edouard Daladier avec les accords de Munich et le généralissime Maurice Gamelin avec les Vosges et la percée de Sedan. Nous avons eu une ministre partie à l’assaut de Paris, une porte parole pratiquant l’amusement public, un compteur de morts, un Président et son cabinet de 27 énarques et trois militaires, un Premier ministre et un cabinet aussi pléthorique en énarques que celui du Président et un conseil scientifique présidentiel dont le Professeur Raoult à claqué la porte.

On se pose la question de l’essai comparé de plusieurs anti-viraux (dénommé Discovery) qui s’est enlisé dans des gadoues collantes et nauséabondes dégageant des odeurs de conflits d’intérêts. Entre un médicament ancien et bon marché défendu par un Professeur mondialement connu (qualifié d’hurluberlu et de Docteur Foldingue ou Docteur Maboul) et le très coûteux antiviral contre le SIDA, le RemDesiVir d’un des membres du BigPharma (Gilead avez-vous dit ?, Pr. Raoult 2020, p. 107), l’essai a sombré. Où sont passés ceux qui défendaient le RemDesiVir ? Qu’est devenu le stock commandé à grand frais par la Commission Européenne ? Cette commission qui est intervenue pour commander des vaccins.

1.3 – Le feuilleton des vaccins

Il est très intéressant pour un pratiquant du pragmatisme enseigné dans les études scientifiques de lire ce qu’a écrit en avril 2021 le Professeur Raoult (chapitre 12 pp. 143-146) sur les vaccins. Aucun scientifique et biologiste ne saurait mettre en cause l’efficacité d’un vaccin. Le problème de la production des vaccins est lié à celui du maintien d’une recherche scientifique de pointe. Il y a en France des compétences, il n’y a pas de vaccin français. Nos scientifiques sont partis là où l’industrie pharmaceutique des USA les a accueillis et financés.

Notre industrie pharmaceutique a mis le drapeau en berne et abandonné le combat. La disponibilité des vaccins a ralenti le début de la vaccination. La vaccination n’est que le moyen ultime et efficace qui vient compléter les gestes barrières déjà en place. La vaccination devrait permettre de stopper le virus chinois originel mais il y a un mais ! Là où le virus circule et se développe survient un phénomène connu des biologistes : les mutations ! Le virus chinois originel a muté. On a appelé le résultat des variants :

  • variant anglais,
  • variant sud-africain,
  • variant brésilien ou plusieurs variants brésiliens.

Le mauvais contrôle de nos frontières ou l’absence de contrôle (qui sévissait à Roissy fin janvier-début février 2020) a dû être combattu férocement par certains médias périphériques que nous devons remercier. Ils ont forcé un gouvernement aveugle et sourd voire autiste à exercer la protection de notre population française, une ardente obligation constitutionnelle et une urgence sécuritaire. Le document produit en avril 2021 « Pour une stratégie globale contre l’islamisme et l’éclatement de la France » (Cercle de Réflexion Interarmées, avril 2021, 21 p.) dit que :

« Les quatre libertés (libre circulation des biens, des capitaux, des services et des personnes) s’entendent au sein de l’Union Européenne et non entre l’UE et le reste du monde. En forçant à l’ouverture des frontières extérieures, l’UE a mis en danger son économie, le bien-être et la sécurité de ses populations, ce que la pandémie COVID 19 a révélé […] » (p. 9).

Monsieur Jean-Baptiste Jebbari, Ministre des transports a soutenu mordicus que la fermeture des vols en provenance du Brésil était impossible, nous citons les propos du Ministre sur le site Internet Déplacements-Pro :

« Face à la situation hors de contrôle au Brésil et son variant, les passagers en provenance du pays inquiètent. Jean-Baptiste Djebbari a cependant tenu à rappeler qu’une fermeture des lignes aériennes n’était pas à l’ordre du jour. ».

Devant la colère qui gronde, le site dit encore dans une mise à jour :

« Face à la gronde du corps médical et l’incompréhension de l’opposition, Jean-Castex a annoncé aujourd’hui à 16h la suspension provisoire des vols entre la France et le Brésil. « Toute personne doit présenter un test négatif à l’embarquement, un test négatif et une période d’isolement de 10 jours », a déclaré le Premier ministre. Avant d’annoncer : « Nous constatons que la situation s’aggrave et nous avons donc décidé de suspendre jusqu’à nouvel ordre tous les vols entre le Brésil et la France ».».

Le ministre aveugle le 13 avril 2021 est recadré et démenti par son Primat. M. Jean Castex décide le 15 avril 2021 de suspendre les vols vers et en provenance du Brésil ! Voir l’article du quotidien Lez Monde. Hélas, l’Amérique du sud (Brésil, Argentine, Chili, etc.) et notre TOM de La Guyane sont touchés. Une quarantaine étroitement contrôlée sera instaurée pour les voyageurs venant de pays à variants, cliquez sur ce lien. Enfin, les yeux des aveugles s’ouvrent et nous exerçons notre souveraineté nationale ! Il a fallu 15 mois pour qu’enfin il y ait un contrôle de nos frontières nationales, le contrôle des quarantaines sera-t-il exercé avec la même efficacité que celui exercé par la Grande-Bretagne.

Il y a malheureusement d’autres menaces que le virus chinois, ses variants et le Covid-19. Ce qui nous amène à ouvrir un second chapitre sur les menaces de l’islamisme en rapport avec l’aveuglement de nos gouvernants, Président en-tête.

2 – La menace islamiste et l’éclatement de notre nation

Le document précité du CRI vient conforter et résumer 30 années d’ancien auditeur de l’IHEDN et de réflexions sur la sécurité de mon pays. Contre l’aveuglement de mes concitoyens, pour un avenir radieux à mes enfants et petits-enfants, pour mon pays. Pour les générations à venir.

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En 1997, une étude d’une association régionale que je ne nommerais pas pour des raisons de sécurité, une étude sur la République et les Sectes, concluait « Islam : danger ». Nous avons voulu bien faire la distinction, comme le fait le CRI, entre l’Islam religion de la sphère privée et l’islamisme, doctrine politco-religieuse « utilisant la dynamique religieuse pour satisfaire des ambitions politiques impérialistes ».

2.1 – La laïcité à la française

La France, notre pays, est le seul pays au monde à afficher clairement la séparation de la sphère temporelle et de la sphère spirituelle dans le concept de laïcité. C’est exactement le contraire de l’islamisme qui prétende gouverner le monde avec des concepts tirés de livres religieux, affirmant la primauté du spirituel sur le temporel. L’islamisme prétend mettre la loi religieuse au-dessus de la loi républicaine. Les tenants de l’islamisme revendiquent des droits de l’homme déduits des livres de la religion islamique (la Charia).

La France accueille une importante population de musulmans (nous n’admettons pas le terme communauté), cible privilégiée des islamistes. Or, la France doit garantir à toutes les croyances religieuses leur libre exercice, y compris l’absence de toute pratique et de croyance religieuse. La population musulmane n’est pas homogène et les islamistes prétendent unifier cette population sous une seule loi, la leur, au nom d’un concept communautaire définissant l’Oumma.

La France doit se défendre pour elle-même et ses citoyens historiques de souche (les souchiens) et les nouveaux qu’elle accueille, afin de garder cette spécificité laïque. Cette spécificité, sans nuire à liberté absolue de conscience, permet de protéger chaque citoyen et résident des excès des religions impérialistes. La République assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Une telle attitude est un obstacle à l’impérialisme religieux des tenants de l’islam politique qui ont essayé de combattre cette laïcité assimilée à de l’islamophobie. Car en langue arabe et par le jeu de l’alphabet arabe et du manque de voyelles, islam et islamisme s’écrivent de manière identique. La France est une cible, ce que démontrent amplement 20 années d’attentats aux cris d’Allah Akbar.

2.2 – La cible française

Le terrorisme dont notre pays est la cible n’est que l’écume des choses, la pointe émergée d’un iceberg qui rôde dans les profondeurs. Un danger bien plus grand est la stratégie qui consiste à s’installer par le biais d’un entrisme des différents mouvements islamistes et des pays qui les soutiennent. Une infiltration lente à travers les fractures de notre société consumériste qui est d’autant plus affaiblie par :

  • le poison de l’incivisme grandissant,
  • son incapacité à assumer son histoire (tendance affirmée à la pratique de la repentance),
  • par le délitement sécuritaire et l’incapacité de la justice à sévir rapidement,
  • par l’absence de projet fédérateur de construction d’un avenir en commun,
  • etc.

Les musulmans qui sont la cible de l’extrémisme religieux ne reçoivent pas de l’Etat la protection à laquelle ils ont droit, d’autant que les états dont ils sont issus eux ou leurs ancêtres ne renoncent pas à vouloir les contrôler, même s’ils sont citoyens français. Nous citons Salman Rushdie cité par le CRI :

« Combattre l’extrémisme [politico-religieux] n’est pas combattre l’Islam. Au contraire, c’est le défendre. » et défendre la liberté de le pratiquer dans le respect de nos valeurs républicaines.

Par une stratégie en peau de léopard dont les taches grandissent, les islamistes progressent dans l’ombre, le terrorisme ayant été jugé contre-productif. Le salafisme, puisqu’il faut le nommer par son nom et d’autres mouvements (takfirs, etc.) avancent masqués sauf dans les taches qui correspondent à des « territoires perdus de la République ». Des territoires qu’il convient de reconquérir d’urgence et où prospèrent les trafics de drogue et d’armes.

2.3- Que faire ?

Nous empruntons ce qui suit au document du CRI dont il convient, par ailleurs, de lire avec attention le contenu pour faire tomber les écailles qui obscurcissent la vue de nos responsables politiques de tout bord, sans distinction partisane.

« La République française doit avoir une stratégie multidimensionnelle de lutte contre l’islamisation, mais aussi et avant tout contre son propre délitement patriotique, sociétal, identitaire, sécuritaire.

Cette stratégie lui impose la désignation de ses ennemis les islamistes et de leurs soutiens à l’extérieur de nos frontières ; la redéfinition du cadre juridique international qui, inadapté pour cette guerre hybride, fait de l’Occident une proie ; la restructuration de ses alliances et notamment la vigilance sur la Turquie et l’Algérie.

Cette stratégie lui impose aussi d’affirmer son identité et son histoire afin d’en faire le creuset dans lequel se reconnaîtront, s’assimileront et s’épanouiront de façon apaisée tous les citoyens, de lutter sans faiblesse contre l’insécurité, l’illégalité et la criminalité qui corrompent et épuisent le civisme ; de maitriser les flux migratoires et d’assimiler tous ses invités.

[…]»

Comment ne pas se souvenir du périple fou de ce jeune tunisien originaire de Djerba (Tunisie) embarqué dans un passage clandestin, débarqué à Lampedusa, muni d’un viatique coupe-frontière de réfugié et débaquant sans avoir été contrôlé à Toulon pour y tuer de sang-froid (égorgement) trois personnes dans la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption. Un trou béant dans notre frontière européenne ! 3 morts de manière horrible dont une mère de famille de trois enfants. Qui est responsable ? Quelques semaines auparavant c’est à Conflans-Sainte-Honorine qu’un professeur a été égorgé par un réfugié tchetchène venu de Rouen. Sommes-nous impuissants ?

3 – L’impuissance française et ses conséquences

Le plus-jamais ça marche-t-il ? Il s’agit de répondre d’urgence à cette impuissance française qui face à la pandémie et aux menaces ne protège plus nos compatriotes. Nous ne nous réclamons d’aucun parti politique sinon de celui du bon sens citoyen. Il convient de reconstruire un idéal français et des services de sécurité qui vont avec.

La défense nationale n’est pas seulement militaire : elle est globale et concerne tous les aspects de la vie publique de la Nation. Un exemple.

3.1 – Les services de sécurité intérieurs et extérieurs

Récemment, cinq jeunes femmes de Béziers ont été arrêtées dans la nuit de samedi à dimanche 4 avril 2021. Elles projetaient des attentats contre les lieux de culte chrétiens, à l’occasion des fêtes de Pâques. Le quartier populaire de La Devèze (Béziers) est un de ces territoires perdus, une tache de la peau de léopard qui a grandi dans ce quartier que ses premiers habitants pieds-noirs ont progressivement déserté. Si le sigle de la DGSI apparaît sur l’article de RTL, un autre article publié par Le Métropolitain précise que le signalement qui a conduit à l’arrestation de ces femmes radicalisées et venu du Maroc. Que faut-il penser ? Le royaume du Maroc surveille ses ressortissants même en France. Tout comme la Turquie, l’Algérie et la Tunisie. La Turquie ne nous signalera rien, il convient de s’en méfier tout comme de l’Algérie.

3.2 – La double nationalité

C’est là qu’intervient notre politique de protection des citoyens français dont les parents ou eux mêmes sont originaires de pays musulmans. Même trois générations après, un enfant né de père musulman est considéré par le pays d’origine comme ressortissant. Un de mes amis marocain, en 1969, époux d’une française, me le disait déjà. Le fait de naître en France fait jouer le droit du sol mais le droit musulman du pays d’origine en fait un musulman, marocain même trois générations après. Ceux qui souhaitent sincèrement s’intégrer malgré ce rappel de la communauté musulmane (Oumma). De génération en génération, le rappel est là ! A moins de changer de nom de famille et de prénom. Un immigré peut-il pleinement s’assimiler à une société qui l’acceuille après avoir fui une société qui le menaçait et continue de le faire ?

Le refus de la double nationalité doit être clairement affirmé.

3.3 – Implication toute entière de la Nation

La promesse présidentielle de défendre ceux qui combattent pour la défense des valeurs de la République doit être tenue. Ou alors, celui qui a fait cette promesse doit s’en aller et comprendre la gravité de la situation découlant de la pandémie et des menaces extérieures et intérieures. Le dénigrement des forces des forces de sécurité (douane, police, gendamerie, forces armées, services spéciaux, etc.) doit cesser. Ces services vitaux pour notre sécurité doivent être défendus tout comme les soigants de nos hôpitaux publics dont la casse doit cesser. Les délinquants doivent sentir le poids de l’épée de la Justice et de la cuirasse républicaine.

En conclusion

Il faut, y’a qua :

  • garantir l’état de droit et la sécurité pour tous ;
  • appliquer strictement le principe démocratique de représentativité du citoyen par les élus qui ne voient pas être la propriété d’un parti mais des citoyens qui l’ont élu (bannir le godillot et son whip) ;
  • maîtriser l’immigration légale et mettre fin à l’immigration illégale rendue impossible par le contrôle des frontières et le retour au pays d’origine des migrants ;
  • mettre en place une véritable politique d’aide aux pays en voie de développement, pays de départ des clandestins et notamment les supposés mineurs non accompagnés,
  • etc.

La conclusion de Comité de Réflexion Interarmées (CRI) sur la guerre hybride commencée contre l’Europe et la France doit être prise très au sérieux. Cette guerre multiformes est supposée s’achever sur une guerre civile, au pire sur une défaite cruelle et sans lendemain pour nos enfants. Ce que nous ne souhaitons pas. Tout doit être fait pour que la désintégration nationale et les abandons de souveraineté ne nous y conduisent pas. Notre pays est qualifié de résilient. Pourvu que cette résilience ne fasse pas caser le barreau d’acier soumis trop souvent à des flexions violentes.


Un citoyen-biologiste très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Nous soutenons le Professeur Raoult


Tableau de Delacroix la Liberté
Tableau de Delacroix la Liberté
Ils veulent sa peau
Ils veulent sa peau

Chers lecteurs, ici NOUS SOUTENONS LE PROFESSEUR DIDIER RAOULT,

Signez la pétition de soutien à Didier Raoult. Nous relayons l’appel de Guillaume Chopin :

Le poids des lobbies pharmaceutiques risque une nouvelle fois d’avoir raison de notre santé…

…et de la voix des gens comme vous et moi.

Il faut tout faire pour éviter ça et faire valoir notre droit à une médecine indépendante et sûre.

En s’en prenant au Pr. Raoult, ils s’en prennent à chacun de nous.

Informez vos amis, vos proches et transférez-leur ce message :

  • envoyez-le par mail
  • faites suivre la pétition sur whatsapp
  • partagez-là sur Facebook

C’est important. La vie de centaines de malades du Covid est en jeu.

Votre dévoué,

Guillaume Chopin


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean PEUPLUS
Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Contrer l’islamisation et la radicalisation

Argos Panoptés

In

Contrer l’islamo-jihadisme terroriste

M. Olivier Roy a publié un ouvrage intéressant sur lequel il a été interrogé au Club de la Presse d’Europe1. Il s’est exprimé sur le jihadisme et les jihadistes, apportant une vue nouvelle sur ce phénomène qui nous apporte le terrorisme en France. Il parle d’«islamisation des radicaux » en contredisant Gilles Kepel et ses élèves qui parlent de « radicalisation de l’islam ». Olivier Roy parle de « losers ». Il est vrai que militairement, les partisans de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya ou DAECH) a été durement étrillé sur le terrain de l’Irak et de la Syrie. Ils ont perdu mais n’ont pas été éradiqués. Le fondateur de ce mouvement islamiste Abou-bakr-al-Bagdadi est mort au fond d’un tunnel mais des groupes jihadistes, restes du califat, subsistent sur le terrain et ont laissé des relais dans les pays occidentaux, en France en particulier. Comment lutter contre ceux qui ont ce dernier mois, alimenté de manière tragique l’actualité de notre pays.

1 – Un précurseur lanceur d’alerte

Nous ne pourrons dire que nous avons été surpris, surtout en haut-lieu, parmi les hauts-personnages qui nous gouvernent. Xavier Raufer, Alain Bauer, les groupes de travail des Associations régionales des Anciens Auditeurs de l’IHEDN ont suffisamment tiré la sonnette d’alarme. Nous serions gouvernés par des Autistes ou par des gens qui affirment que l’Histoire (avec un H majuscule) commence avec eux. A l’opposé, les scientifiques qui vont traiter un sujet vont rechercher ce qui a été écrit avant eux et en font le point de départ de leur recherche, soit pour contredire, soit pour confirmer et ajouter, de toutes façons, une nouveauté. M. Olivier Roy vient de nous livrer sa version, M. Macron et ses marcheurs devraient bien lire ce que leurs prédécesseurs ont écrit et les lois qui ont été votées. C’est ce que trois auteurs ont publié en 2015 (Le jihadisme: le comprendre pour mieux le combattre.- David Benichou (magistrat), Farid Khoroskhavar (universitaire) et Philippe Migaux (universitaire), Plon (département d’Edit), 2015).

1.1 – un livre a relire

Le livre que nous citons ici est à relire avec attention surtout le chapitre rédigé par le magistrat anti-terroriste (AT) David Benichou (pp. 324 à 403). Les pages consacrées au plan de lutte contre les filères syriennes (pp. 358-368) ont retenu notre attention en les rapprochant des déclarations d’Olivier Roy. Le juge, fort de son expérience de magistrat AT et de son observatoire des phénomènes terroristes nous précise que « Le régime de lutte anti-terroriste est caractérisé par des procédures dérogatoires au droit commun », ce que nous admettons. Les méthodes des terroristes sont abjectes et le fait de lâches. Cependant, avec les autres formes de criminalité, il partage les techniques d’enquêtes strictement encadrées par la loi.

Le juge affirme (page 129) que le terrorisme islamisto-jihadiste emploie les mêmes techniques à la fois ancestrales et modernes : ruse élémentaire (contre-filatures, cloisonnement des moyens de communication) et les formes modernes (navigation Internet, cryptage, détection de micros-espions, de caméras, …). Il affirme que le jihadisme n’est qu’une forme de ciminalité organisée qui emploie régulièrement des anciens braqueurs, de petites frappes (voyous), trafiquants de stupéfiants et de cigarettes, parfaits connaisseurs des techniques d’interrogatoires et d’enquête pour les avoir endurés. Le profil du terroriste se construit avec le temps, soit en prison, soit dans ses quartiers.

1.2 – La stratégie islamo-jihadiste fasciste-terroriste

Quel est le rapport avec l’Islam ? Le jihado-terroriste sait que la liberté de religion est garantie par la constitution. Il va se servir de l’Islam pour semer les graines de la discorde, habiller ses actes crapuleux des valeurs religieuses. Il nous réclame, au nom de nos valeurs les droits et libertés inscrits dans nos textes fondamentaux, pour instituer une organisation totalitaire à caractère religieux (une théocratie). Lui ou ses maîtres à pense osent puiser dans le versets les plus belliqueux du Coran et les hadiths les plus sombres les affirmations les plus radicalement opposés à nos valeurs.

Le juge nous dit (p. 129), en 2015, que « l’assassinat perpétré à Charlie-Hebdo en a été la sanglante démonstration » (refus de reconnaître la primauté de nos lois).

1.3 – Le manque total d’esprit humoristique

La culture moyenâgeuse reçue par les candidats au martyre ignore totalement ce qu’est l’esprit critique et notamment le caractère humoristique d’une caricature. L’humour féroce s’oppose à l’interdiction pour le musulman de représenter un visage, voire un corps humain. Il exprime, certes, une dérision mais celle-ci est permise par la loi de notre pays. C’est un droit de l’homme (être humain) de s’exprimer librement Or, le militantisme islamiste se sert de cette liberté pour protester, il en a le droit mais pas le droit de tuer ou d’inciter un jeune écervelé (à qui on a lavé le cerveau) à parcourir 2.000 km depuis la Tunisie pour venir tuer trois citoyens français dans une église ! La pratique d’un tel islam est incompatible avec nos lois, nous sommes en état de légitime défense.

Le droit à la sûreté figure dans nos lois fondamentales, comme le droit de tirer accordé à nos forces de l’ordre devant un agresseur qui les menace.

Le terrorisme jihadiste est un monstre contemporain, une hybridation d’une sous-culture religieuse, d’une haine anti-juive, d’un fantasme conspirationniste, d’un nihilisme et d’un culte de la représentation de soi, le tout se développant sur des terreaux qui, au fil des interrogatoires judiciaires, commencent à livrer leurs invariants structurants. Le juge Benichou met en avant la fragilité des populations visées plus ou moins en difficultés (famille, revenus, emplois, relations affectives, …) chez lesquelles deux dimensions vont faire basculer le levier de la conversion radicale :

  • conversion au sens propre lorsqu’il sera question d’opter pour l’islam,
  • conversion au sens figuré lorsque le musulman d’origine va opter pour la radicalité, pour un projet collectif ou individuel jihadiste violent.

Toute forme d’humour est exclue de la pensée jihadiste.

2 – La reprise des théses sur la radicalisation

Selon le site d’Europe1 (La Club de la Presse, 4 décembre 2015), Olivier Roy reprend et valide sans la mentionner, l’analyse du magistrat David Benichou publiée la même année. Il va plus loin.

2.1 – L’islam, nouvelle aventure

Olivier Roy déclare que les islamistes radicaux sont « d’abord radicaux avant d’être islamistes ». Ce sont souvent des jeunes qui vont très peu à la mosquée, boivent et vont en boîtes de nuit (le portait de l’assassin de la basilique de Nice Ibrahim Issaoui, à ceci près qu’il n’y a pas de boîtes de nuit à Sfax accessibles à un jeune homme pauvre). Ce sont souvent des petits délinquants qui en quelques semaines se laissent pousser la barbe, cessent de boire et de fumer du shit et basculent vers le crime terroriste. Roy évoque un déclic individuel.

2.2 – Les convertis et les autres

En 2015, Olivier Roy souligne le rôle des convertis dans le jihadisme criminel violent. Un quart de ces individus français sont des français de souche chrétiens convertis ou des enfants de musulmans appartenant à la deuxième génération, souvent en rupture avec la cellule familiale et parentale. Ils trouvent dans l’islam radical et le jihadisme « le grand récit fantasmé des Mille et Unes nuits ». Convertis ou musulmans de souche, ces jeunes qui vont peu à la mosquée ont à peine entendu réciter un ou deux versets du Coran parlant d’épées flamboyantes, de courses à cheval ou à chameau, de butins rutilants, de belles esclaves capturées, … On leur promet monts et merveilles au nom de livres qu’ils sont incapables de lire, ils sont analphabètes en langue arabe ancienne. Mail, il y a le rêve de la reconquête de l’Andalus et de la Narbonnaise ! On ne leur dit pas que Charles Martel (Poitiers 732) a filé une bonne raclée aux Sarrazins d’Abd el-Rahman (tué là).

2.3 – Les shahids et les houris : le paradis d’Allah

Ces nouveaux Aladin (Alaeddine) voient s’ouvrir la possibilité de faire le grand récit de leurs aventures nouvelles sur les médias, de devenir des martyrs (shahids) et l’aller au paradis forniquer des vierges éternelles (houris) pour l’éternité ». Ce que leur ont fait croire des prêcheurs sans scrupules ravis d’avoir de la chair à canons bien fraîche. Du statut de losers (perdants), ces écervelés deviennent des vengeurs aux cris d’Allah Akbar. Ils savent que les policiers ont reçu la consigne de les abattre, au cas où ils dissimuleraient des ceintures explosives ! Ils vont au suicide le coeur joyeux ! en entraînant avec eux le plus possible de victimes chez les infidèles (kouffars). Selon Olivier Roy, en se tuant ou se laissant tuer, ils sont purifiés de leurs forfaits antérieurs et peuvent même gagner le paradis pour leur famille !

Comment lutter contre ce fléau ?

3 – Comment lutter

Lutter contre le terrorisme jihadiste et contre ses inspirateurs (DAECH, Al Quaïda et consorts), selon le politologue Olivier Roy, passerait par « passe par l’épuisement de la fascination », … « en cassant ce discours d’héroïsme que DAECH [et consorts] tient sur lui même ». Or, DAECH est donné comme anéanti mais son discours belliqueux et mortifère a été diffusé et entendu dans le monde entier. Abou Mohamed al-Adnani, le ministre des attentats de DAECH, a trouvé la mort en Syrie le 30 août 2016. Il a lancé un appel au jihad contre la Russie et l’Amérique mais on le soupçonne d’avoir organisé les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ses appels ont été entendus et sont rémanents malgré sa disparition. Entendus et écoutés en France et à l’étranger.

3.1 – Lutte sur notre territoire national

Comme pour la lutte contre le virus Sars-CoV2 (CoVid19), il faut barrer la route à, tracer et dépister le jihadisme terroriste. Il y a un parallélisme entre virus Covid et le virus terroriste.

3.1.1 – Barrer la route à l’immigration indésirable

Nous devons contrôler l’immigration qui entre en France. Nous devons exercer la Souveraineté Nationale. Nos forces de police et de gendarmerie, notre armée, sont là pour nous protéger. Elles doivent recevoir l’appui des réservistes. Au fait, où est passée notre Garde Nationale ? On n’en entend plus parler ! Elle a disparu ! Il faut y ajouter l’action de nos douanes et de TracFin. Tout ce qui réaffirme notre force et notre souveraineté nationale doit être mis en oeuvre, y compris la vigilance citoyenne. Notre pays a une fâcheuse relation à la vigilance citoyenne qui s’est exercée en 1940-45 par la collaboration avec une puissance occupante. En 2020, nous luttons contre l’occupation d’une 5e colonne terroriste et contre une maladie encore mal connue.

3.1.2 – Renseigner nos dirigeants

Le renseignement intérieur est le phare qui éclaire la route des policiers et gendarmes chargés de réprimer les actes délictueux et, surtout, les prévenir, les empêcher. La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) est chargée de ce travail indispensable. Au moins un attentat par mois est évité.

Du renseignement à la poursuite judiciaire des crimes terroristes, la question se pose des moyens mis en œuvre et de leur répartition. Comment se fait la mise en œuvre des trois composantes successives du traitement (instruction) d’une affaire de terrorisme (d’après David Benichou, 2015) :

  1. acquisition du renseignement,
  2. enquête judiciaire (enquête de flagrance, ou préliminaire) dirigée par le parquet anti-terroriste, information judiciaire sous la direction des magistrats instructeurs anti-terroristes,
  3. phase du procès devant la cour d’assises spéciale composée de magistrats professionnels puis juridiction d’application des peines.

La communication entre les activités de renseignement dans la plus grande discrétion, leur coordination au sommet de l’Êtat posent le problème des libertés publiques, une dérogation à une instruction de droit commun et le travail en commun renseignement-justice. La problématique jihadiste souligne la pertinence du risque de perte du contrôle démocratique qui s’exerce sur le renseignement.

Le problème de la coordination des services (DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DND, DRP, etc.) semble en voie de solution. Se pose alors le problème de la coordination avec les autres pays européens.

3.2 – Lutte sur notre territoire européen

Le problème est soulevé de la création d’une agence de renseignements européenne. Après chaque attentat majeur sur le sol européen, des voix s’élèvent pour demander la création d’une agence européenne de renseignement. Ce problème est loin d’être résolu. « Nous n’avons pas d’amis, nous n’avons que des alliés » dit une membre d’un service de renseignement très fermé, la DPSD.

L’agence Frontex déployée sur les frontières de l’Europe ne semble pas donner satisfaction, l’exemple récent du transit de terroristes à travers l’Italie vers Nice en est un exemple. Notre Ministre de l’Intérieur va rencontrer son homologue italien pour traiter directement le problème du refoulement des indésirables et notamment le cas de ce Tunisien qui ‘na pas déposé de demande d’asile, n’a pas été refoulé et a pu gagner la France et la ville de Nice où il a commis son forfait.

3.3 – Lutte à l’étranger

Hors du territoire national commence le territoire étranger. Une certaine coopération existe avec certains états mais le gros du travail de renseignement est le fait de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE).

C’est une entité dépendant du Ministère des Armées, travaillant en étroite coopération avec la DGSI, son homologue civil. Bien entendu, ses activités sont secrètes. C’est la condition essentielle de son efficacité. C’est une jeune analyste de la DGSE qui a permis à un drone armé de pulvériser la voiture du chef shebabs (un terroriste somalien).

D’autres services sur lesquels il ne nous appartient pas de nous étendre assurent la sécurité de nos armées en opérations extérieures. Mais rien ne pourra être fait si la France, une démocratie, ne se dote pas d’une législation d’exception et, en attendant, n’applique pas les lois existantes et ne facilite pas le transfert des informations vers l’appareil judiciaire.

4 – La barrière législative en France

Le magistrat David Benichou décrit, en 2015, à propos du jihadisme, les 23 mesures découlant de la loi du 13 novembre 2014. Mais qu’en est-il de l’application de cette loi ?

En 2020, on nous annonce une loi sur le « séparatisme ». A-t-elle tenu compte de l’existant ? La loi du 13 novembre 2014 a été conçue pour contrarier les départs vers les terres du jihad (Syrie, Irak, …) et sanctionner les retours de combattants aguerris (hommes, femmes enfants). Déjà en 2015, des rapports parlementaires ont attiré l’attention des gouvernants sur la menace terroriste croissante. Ce sont :

  • Assemblée nationale : rapports Pietrasanta n° 2173 du 22 juillet 2014 et Ciotti n° 2828 du 2 juin 2015 ;
  • Sénat : rapport Goulet-Reichardt n° 388 du 1er avril 2015.

Ces rapports ont en commun d’attirer l’attention de la classe politique sur la menace terroriste croissante due aux groupes terroristes islamistes salafistes de la mouvance radicale (n° 2173 AN : p. 10 et suiv.), sur les conséquences des attentats des 7 et 9 janvier 2015 et de la cyber-attaque contre TV5 Monde (n° 2828 AN : p. 9 et suiv.) et sur l’existence de 1.432 ressortissants français partis vers les zones de combat irako-syriennes dont 119 femmes (n° 388 SEN : p. 9 et suiv.). En 2015, nous sommes sous la Présidence de François Hollande et le mandat ministèriel de Mme Christiane Taubira. Ces rapports semblent n’avoir pas été pris au sérieux pour des motifs idéologiques. Nous en subissons aujourd’hui les conséquences. Nous étions prévenus.

Conclusion

Il a fallu plusieurs années pour que l’ancien ministre des Finances Macron (2014-2017) élu Président de la République en 2017 change de paradigme et découvre l’islamisme, le désignant par son nom en octobre 2020. Pour lutter contre le « séparatisme » de l’Islam politique (jihadisme, islam politique et terrorisme), enfin les mots justes sont employés. Combien de deuils ? En moins d’un mois, Paris, Conflans, Nice ont enfin déclenché une timide répression qui doit aller en s’accélérant. Les mesures destinées à prévenir les retours de jihadistes doivent nous prémunir contre le 5e colonne des jihadistes installés et de leurs suppôts. Il nous faut encore recouvrer notre souveraineté en rendant effective la barrière sanitaire contre l’entrée d’individus indésirables futurs assassins porteurs de haine jihadiste et protéger nos ressortissants quelque soit la religion. Il y a des musulmans éclairés qui subissent aussi la haine de ces individus. Ils ont droit aussi à vivre en paix dans notre pays et doivent être protégés.

Monsieur Darmanin, ministre de l’intérieur, descendant d’un grand-père tirailleur algérien doit pouvoir continuer sa mission. Il a comme Directeur de Cabinet un Préfet qui sait ce que sont les services de renseignement dont il a été le coordonnateur auprès du Président. Son remplaçant devra poursuivre sa mission. Le lien entre les services de renseignement et les instances juridiques répressives doit être plus efficace et la loi doit être adaptée aux circonstances exceptionnelles devant lesquelles nous place le terrorisme islamiste. A l’abri du bouclier enfin opérationnels, un islam modéré, éclairé, débarrassé de l’obscurantisme, pourra enfin s’épanouir en France.smiley


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Les assassins ont frappé à Nice le 29 octobre 2020

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Trois petits bonzes
Le jeune homme qui est venu égorger « nos filles et nos compagnes » à Nice le 29 octobre dernier est issu d’une famille de 10 enfants demeurant à Sfax (Tunisie). Il était connu des services de police locaux pour faits de violence et de petite délinquance. Puis le louveteau s’est assagi, il a été réislamisé, a abandonné l’alcool et la drogue et s’est mis à pratiquer la prière (le salat). Tous ces signaux se sont passés loin de la France. La police de l’état tunisien s’en f … t comme de l’an 40 ? Nos services français ne le connaissaient pas et pour cause, c’était son premier et bref séjour dans notre pays. Il convient de tracer son parcours, l’enchaînement des faits doit nous servir d’exemple pour éviter, prévenir que ce genre d’individus ne recommence un nouveau safari mortel. Ce lâche s’en est pris à des femmes ! Qui lui a appris à égorger ? Il n’a pas volé les balles françaises qui ont mis fin à sa cavale.

1 – Le chemin de l’invasion

1.1 – Le départ

Il est parti de Sfax, avec quel viatique pour le voyage ? Qui l’a motivé et formé ? Son parcours est l’illustration parfaite de la stratégie de la taquyia (la visière). Le jihadiste avance masqué, un bon nounours inoffensif mais bourré de haine plus explosive que le plus violent TNT. Il a embarqué la question est où ? Nous savons que la Tunisie est actuellement gouvernée par l’anarchie qui fait le lit du jihadisme. Qui devra répondre de sa responsabilité ? Les passeurs ne manquent pas sur les rives sud de la Méditerrannée. L’île de Lampedusa est à environ 150 km de mer. Mais voilà, il y a le bon berger. Ces parages sont croisés par de gentils bateaux humanitaires qui sont là pour recueillir les pauvres égarés entassés dans des zodiacs ou de vielles feloucas pourries qui tentent la traversée. Responsables : les passeurs et les armateurs de ces bateaux bergers (Sea shepheards) !

1.2 – Le débarquement

Notre tueur débarque à Lampedusa. Les autorités italiennes débordées, accueillent. La Croix Rouge locale délivre un papier-viatique à de pauvre jeune homme. Il fallait le refouler, le renvoyer à Sfax mais voilà, la garde des frontières de l’Europe semble absente de Lampedusa. Le tueur qui ne manque pas de culot s’évade de Lampedusa. Qui l’a aidé ? Qui a assuré sa traversée (220 km) vers la Sicile ?. Qui lui a permis de débarquer sur la péninsule italienne ? Il aurait débarqué à Bari, il aurait donc fait le tour de la botte de la péninsule italienne. Ce n’est pas avec une poignée de dinars qu’il a pu faire un tel voyage.

1.3 – Le voyage vers la France

Le tueur remonte toute la péninsule italienne. Avec quels moyens ? En train, en stop ? A pied ?

1.4 – La frontière passoire

La frontière française est une passoire trouée. Une raquette incapable de refouler les indésirables. En train, y-a-t-il eu des contrôles ? Il débarque à Nice deux jours avant de commettre son forfait. Qui l’a accuelli et hébergé ? Nous soupçonnons que Nice héberge une 5e colonne jihadiste ?

2 – Nice et sa 5e colonne jihadiste

Le tunisien conducteur du camion fou qui a tué 86 personnes et blessé 450 autres a bien bénéficié de complicités : une 5e colonne serait installée à Nice ? L’enquête sur l’assassinat du 29 octobre dernier a permis l’arrestation de deux personnes qui auraient aidé le tueur. Où sont les bagages du tueur ? Son sac retrouvé dans l’église après qu’il ait été neutralise par la police ne contenait qu’un couteau et deux téléphones ! Où est le reste ?
L’enquête se poursuit. Souhaitons que l’état de santé de ce Brahim Issaoui s’améliore et qu’il puisse nous révêler ce qu’il sait. Dans ce cas précis, il s’agit de démanteler la 5e colonne jihadiste qui se cache dans les quartiers nord

3 – Réaffirmer la souveraineté française

Frontex, l’organisme européen censé vérifier les entrées sur le territoire européen devait exercer son contrôle à Lampedusa, citadelle avancée de l’Europe, visée depuis la Tunisie et la Libiye proches. Il semble bien que la passoire trouée soit là !
La sécurité ne se decrété pas, elle se construit. Faute d’une politique européenne de contrôle des immigrations aux frontières, la France doit remettre en vigueur les contrôles aux frontières en plus de Frontex. La Marine Nationale doit surveiller plus étroitement la navigation et dissuader les navires bergers des mers de croiser dans ces parages. Les embarcations poubelles doivent être secourues et leurs passagers refoulés vers leur point de départ.
C’est le prix à payer. Les candidats à l’asile politique retenus doivent être « épluchés » sur le modèle de ce que les britanniques avaient mis en place en 1940 : Patriotic school.

extrait bandeau IHEDN site institut

Jean AYMAR
ASAF-AAIHEDN

Association de soutien à l'Armée Française




Contribution à la connaissance des mineurs non-accompagnés

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Nous observons et nous informons

Info

Ce soir, nous pensons très fort aux familles des trois victimes innocentes du sauvage attentat qui a endeuillé les chrétiens de Nice, les français de toutes confessions et notamment les musulmans qui veulent vivre en paix dans notre beau pays.

Le sauvage assassinat qui a fait trois morts innocents à Nice ce 29 octobre 2020 est un jeune tunisien de 20 ans ! Il se nommerait Brahim A. Il s’agirait d’un clandestin qui se serait introduit en Italie via l’île de Lampedusa où il aurait débarqué début septembre. Comment a-t-il quitté cette île, qui le téléguidait ? Qui l’a caché et hébergé dans les quartiers nord de Nice ? Rappelons que c’est de ces quartiers que provenait une autre racaille qui avait provoqué un massacre le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais (86 morts, 458 blessés). Ce fumier venait d’arriver début octobre à Nice. L’enquête devrait permettre d’extirper une des métastases du cancer islamo-fasciste implanté à Nice.

Il semblerait que les caméras de surveillance l’ont tracé jusqu’à la gare de Nice où il serait arrivé en provenance d’Italie.

Merci aux policiers municipaux niçois qui l’ont seulement blessé. Il faudra que nos enquêteurs le fassent parler dès que la médecine l’aura retapé et qu’il nous dénonce ses complices. Ensuite, nous l’embastillerons, loi, très loin, aux Îles Kerguélen ou au large de la Guyane, à l’île du Diable (le nom Diable est parfait pour un suppôt de Satan, le shaïtane en arabe) ! Nous avons dans nos îles potentiellement l’éqivalent de Guantanamo (USA).

Jean Aymar


Validé par le webmestre qui a ajouté un lien :

Après les 3 attentats récents, les bouffons dangereux islamistes qui gouvernent le Pakistan, le Tchetchénie, la Tunisie, … en un mot les pays d’où viennent les terroristes, nous font la leçon Ils nous envoient des assassins revêtus d’une peau d’agneau de réfugiés fuyant l’islamisme et qui viennent égorger « nos filles et nos compagnes … » La suite de notre hymne national, vous la connaissez ! Les armes de la France, oui, notre capacité de résilience oui ! Jusqu’à quand allons nous laisser des bateaux à vocation « humanitaire » recueillir des terroristes et nous les convoyer gentiment sur le sol européen ? Le Président islamiste qui gouverne la Turquie semble avoir mis de l’eau dans son vin ? Il a rétropédalé mais trop tard.

Le webmestre

Après l’attentat du 25 septembre 2020 au hachoir par un jeune pakistanais, les opinions les plus diverses ont été émises sur les motivations de ce jeune homme. Le bilan a failli être lourd : deux blessés gravement dont le pronostic vital a été engagé pendant quelques heures. Deux innocents citoyens français ont été sauvagement agressés au hachoir ! Grièvement blessés, leurs jours ne sont plus en danger. L’auteur des faits et un Pakistanais (se prétendant tel), d’âge incertain. Un second supsect arrêté s’est révélé être un jeune citoyen héroïque qui a tentés d’arrêter le présumé « coupable ». Tout d’un coup, les perquisitions aux deux domiciles présumés du présumé coupable ont ramené un beau coup de filet. Neuf personnes dont le frère du coupable ont été mis en garde à vue. Sept on été maintenues en détention.

Qui est ce suspect ?

Hassan A. a declare être né en 2002 à Islamabad (Pakistan). Il était arrivé il y a 3 ans et bénéficiait du statut de « mineur isolé ». Selon le journal Le Monde, il avait été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance qui avait déclaré « qu’il ne présentait aucun signe de radicalisation » ! M. le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin déclare que « la menace a été sous-évaluée » ! Pas celle des immigrés pakistanais mais celle de la rue où avaient étés les locaux de Charlie Hebdo, locaux déménagés. Rien qui ne soit en liaison avec l’origine du terroriste en herbe qui a failli tuer deux de nos concitoyens. C’est une bombe potentielle qui est venue, sous le statut de « mineur isolé » se joindre à la 5e colonne islamiste planquée dans notre pays, une bombe dormante dont quelqu’un a actionné la gâchette. Qui a envoyé cet individu chez nous où la législation sur les mineurs est une faille énorme dans notre sécurité nationale. On connaît la réponse : son père resté au pays (Pakistan) a félicité son fils pour son acte !

Les « madrassas » pakistanaises

Une madrassa est une école coranique. Selon le journal Libération « Les madrassas assurent l’éducation des enfants des milieux pauvres au Pakistan, elles sont d’autant plus attractives que les élèves y sont logés et nourris gratuitement. … Malheureusement, c’est parfois l’enfer qui attend ces enfants ». Elles foisonnent au Pakistan, surtout dans les zones tribales et les campagnes. Dire que ce jeune homme ne présentait aucun signe de radicalisation est une grave lacune dans la connaissance des mécanismes de l’islamisme pour un responsable du suivi de ces jeunes « mineurs isolés ». Ceux qui s’expriment ainsi ignorent tout (ou sont naïfs) du mécanisme de la taqya, mécanisme enseigné dans la tradition islamique et pratiqué pas les islamistes modernes comme anciens : la dissimulation érigée en art de guerre ! « A Rome, fais comme les Romains » : dissimule tes pratiques, prépare un mauvais coup sans te dévoiler.
Il faut être naïf pour ignorer ce qui est enseigné dans les écoles coraniques : dès le plus jeune âge (8 à 10 ans), les jeunes pakistanais sont assujettis dans ces écoles à l’apprentissage du Coran. Ils apprennent en arabe phonétique le Coran car leur langue de base est l’ourdou. De toute façons, l’arabe ancien dans lequel est écrit ce livre n’a rien à voir avec les dialectes arabe locaux pratiqués dans différents pays dits arabes. Cet arabe est la langue ancienne que seuls de grands lettrés sont capables de lire, parler ou écrire (c’est le cas de professeurs d’universités comme celle d’Al-Azhar au Caire).
Donc, dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent par cœur ce livre qui contient des versets de paix et de tolérance abrogés par des versets plus « belliqueux » tels la sourate dite de l’épée. Du par cœur non compris, le jeune passe à des versets « expliqués », commentés par des maîtres proches des talibans pakistanais. On y enseigne, en se référant au Coran, des théories belliqueuses tirées des versets du Coran. Nous citons l’Expresse « La radicalité de ces écoles affleure jusque dans le centre de la capitale Islamabad. Habib Ullah, étudiant à la madrassa Jamia Faridia, ne cache pas son admiration pour Oussama Ben Laden, tué en 2011 dans le nord du Pakistan, ou sa haine des chiites, qui représentent 20% de la population de ce pays à majorité sunnite. ».
Ces informations sont publiques pour qui sait interroger les moteurs de recherche comme Google. Cet exercice devrait faire partie de l’apprentissage de ceux de nos dirigeants jusqu’au plus haut niveau. Cela éviterait de permettre l’accueil de bombes dormantes qui viennent se réfugier dans nos pays occidentaux en profitant de la faille de sécurité que constitue la législation sur les mineurs non-accompagnés (MNA). Ces mineurs, qui les envoie ? S’est-on posé la question ? Pourquoi ? Viennent-ils de pays en guerre ? L’accueil des MNA est régi par une directive européenne (Directive du Conseil 2001/55/CE, article 2, §f). Cette directive n’empêche en rien de soumettre ces jeunes gens à une batterie de tests de dépistage osseux pour contrôler leur âge et de dépistage de radicalité. Trop d’attentats terroristes ont eu lieu en France ces dernières années au nom d’un islam dévoyé (islamisme) pour que la plus grande prudence soit de mise avec les ressortissants de ces pays (Pakistan, Afghanistan, …) ou par des jeunes de nos pays qui y sont allés séjourner (affaire Merah et autres, …). L’excuse de la minorité ne doit plus être invoquée pour accueillir avec libéralité et sans suspicion n’importe quel jeune. Tout mineur non-accompagné, provenant de pays suspects d’abriter des centres d’enseignement islamistes comme le Pakistan, doit subir un « debriefing » poussé, approfondi, concernant ses objectifs, ses motivations, les raisons qui l’ont poussé à émigrer et sur son acceptation de nos lois. Sur ce dernier point, la discussion devrait porter sur la supériorité de la loi républicaine sur toute loi religieuse et sur le concept de laïcité. En cas de doute sur la sincérité de ses réponses et sur son âge, il sera renvoyé vers son dernier point d’embarquement, à défaut de connaître son lieu exact de provenance. Sans états d’âmes ni hésitation, il en va de la vie et de la sécurité de nos concitoyens pour leur éviter des coups de hachoirs mortels.
Nous sommes en guerre contre l’islamisme, la loi de la République ne peut admettre d’autre loi supérieure fut-elle religieuse. Or, un juge du tribunal des mineurs de Pontoise, saisi par les services sociaux, a refusé de soumettre l’individu à un test osseux pour déterminer son âge. Pour des raisons idéologiques ?

Nous avons manqué de vigilance

Dans le contexte actuel du procès des terroristes de l’hyper cacher et de Charlie-Hebdo ainsi que de la publication des caricatures mahométanes, un grave manquement à la sécurité a été commis à Paris. Qui du coordonnateur de la lutte anti-terroriste, du Préfet de Police de paris, du Ministre de l’Intérieur et de son cabinet ou du plus haut de l’État (Primature ou Présidence) porte la responsabilité du manque de vigilance ? Le Ministre de l’Intérieur a porté une accusation … sur les autres ! Il ne s’est pas posé la question de sa responsabilité ! Au peuple et aux citoyens de dire leur mécontentement. Ce qui s’exprime sur les radios périphèriques (RMC, Sud-Radio, …) est ahurissant (RMC les GG, 9h30 : 30/09/2020).
On ne peut surveiller tout le monde mais on peut faire un échantillonnage stratifié avec comme critères la provenance des individus, leur statut de réfugiés pseudo-mineurs. Mais ceux qui ont commis des délits en France (vols, port d’armes ou d’objets ayant vocation à l’être, agressions, …) n’ont rien a faire en liberté en France. Leur vocation est de retourner d’où ils viennent. Par contre, ceux qui se tiennent correctement et ont vocation à s’intégrer, doivent voir leur situation examinée à la lumière des besoins de notre pays et recevoir une réponse en conséquence.


Annexe : extrait de la Directive CEE

« Directive du Conseil 2001/55/CE

Article 2

Aux fins de la présente directive, on entend par:

a) « protection temporaire », une procédure de caractère exceptionnel assurant, en cas d’afflux massif

f) « mineurs non accompagnés« , les ressortissants de pays tiers ou apatrides âgés de moins de dix-huit ans qui entrent sur le territoire des États membres sans être accompagnés d’un adulte qui soit responsable d’eux, de par la loi ou la coutume, et tant qu’ils ne sont pas effectivement pris en charge par une telle personne, ou les mineurs qui ne sont plus accompagnés après leur entrée sur le territoire des États membres ; »

Rien ne doit légalement s’opposer que notre état souverain exerce son droit régalien de contrôle de l’âge par tout procédé médical, si besoin.
Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Défense de notre souveraineté nationale


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française

Info 

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines. Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public.

Marianne redac chef
Natache Polony journaliste

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité.

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison pour la fermeture des frontières de la France.

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens..

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte