L’obscurantisme inquiétant


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire

Les anti-vaccins et anti-pass ont eu la liberté de manifester librement sur la voie publique, montrant par là leur ignorance feinte ou voulue. Il convient de mettre les choses au point, citoyens ! Citoyen, un grand nom pour des gens instruits et qui sont de grands amateurs de liberté. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Est-t-on libre de ne pas se vacciner au risque de transporter un virus potentiellement mortel et d’infecter les autres ? La réponse est celle d’un citoyen responsable : non ! On n’a pas le droit d’être porteur d’une maladie grave, mortelle, alors qu’existent des moyens de détecter sin on est porteur et que la vaccination protège contre la maladie ! L’intérêt général commande de se faire détecter si l’on ne veut pas être en contact avec les autres qui ne sont pas malades. C’est le virus qui nous l’impose. Peut-être l’hydroxychloroquine interdite par le gouvernement de M. Macron pourrait être ajoutée aux gestes barrières ?


Je suis un Citoyen, avec un C majuscule, un Patriote ennemi de toute forme de dictature de tout fascisme, un ancien élève des Instituteurs descendants et héritiers de ces Hussards noirs de la République, des maîtres qui connaissaient par coeur notre histoire et l’enseignaient sans notes et sans cahiers. J’ai été l’élève de nos Professeurs d’Histoire naturelle qui de la 6e à la Terminale nous ont enseigné les Sciences naturelles et en 3e la magnifique histoire de Pasteur, ce chimiste qui a découvert les microbes et les vaccins !

Louis Pasteur
Louis Pasteur dans son laboratoire

A mon tour, devenu licencié és-sciences, diplômé d’études supérieures de biologie, j’ai enseigné de la 6e à la Terminale sciences expérimentales cette magnifique histoire naturelle que l’on dénomme de nos jours SVT (sciences de la Vie et de la Terre) avant de soutenir un Doctorat de Sciences Biologiques option Ecologie. Je suis un sachant, un retraité qui a mis son savoir et ses connaissances au service de sa patrie, Volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale (VRCGN).

Logo Gendarmerie Nationale
Logo Gendarmerie Nationale

Nous sommes face à un ennemi implacable qui a fait plus de 100.000 morts dans mon pays, j’ai nommé le Corona-Virus n° 19, le CoVid-19, un ennemi visible, implacable, qui produit des variants dans le monde entier. Les moyens de détection ont été mis en place, les moyens pour vacciner aussi. Ce virus a hélas des ennemis, des idiots utiles que je contemple en ce moment à la télévision saccageant devant une pharmacie une tente où on offre la détection du virus, gratuitement. Honte à vous idiots utiles du virus, mélanchonistes déambulant avec la violence au poing : imbéciles, idiots, ignorants ou faisant semblant de l’être ! Je suis pas tendre envers ceux qui marchent aux côtés de nos gouvernants mais ils ont enfin, oui ENFIN, fait ce qu’il fallait pour combattre le dictateur-virus CoVid-19 agent du Sars-2. L’obscurantisme est SON allié, un allié redoutable. Heureusement, plus de 44 Millions de vaccinés sont là pour témoigner l’efficacité du vaccin ! 486.000 vaccins administrés par jour ! Vous perdez, votre allié le virus aussi ! Il ne passera pas !

Mauvais garnements, sauvages, vandales, la fin de la récréation doit être sifflée et la liberté de rétablir la santé des français doit régner partout en France. A bon entendeur, salut.

VRCGN34-1
Docteur en sciences biologiques
Ecologue et écologiste indépendant

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

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Citoyen et résilience

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française

Introduction

En physique des métaux, la résilience est la qualité qui caractérise la capacité d’un métal à reprendre sa forme, à la suite d’une déformation. En psychologie, c’est la capacité à surmonter les chocs traumatiques. Dans les deux domaines, il s’agit d’une qualité, celle de résister à un choc. Nous nous intéresserons au domaine de la psychologie et particulièrement à celui des masses, la masse des citoyens qui peuple notre pays. Je me suis inspiré ici de l’article de M. Alexandre MALAFAYE en collaboration avec Brice de GLIAME (trimestriel « Engagement » de l’ASAF, n° 121 décembre 2018, pp. 31 à 33). Cet article méritait quelques compléments de ma part (AA-IHEDN, 1985) et extraits remaniés de l’ouvrage « 99 questions sur … la Défense » (Ouvrage collectif sous la direction de Paul-Henri GARCIA.- SCEREF-CRDP Languedoc-Roussillon, 2004, 232 p.).

1 – Les domaines d’application

En psychologie, la résilience s’applique à des être humains (individus ou groupes), à la collectivité nationale, au couple, à la famille, etc.

1.1 – Cas de l’individu ou du groupe

Le cas de l’individu ou du groupe met en question la capacité de faire face à « l’effet de sidération » qui suit un choc à revenir à sont état normal en dépit d’évênements douloureux ou violents tels, par exemple, un attentat terroriste faisant des victimes.

1.2 – Cas d’une nation (collectivité nationale)

Le cas d’une nation s’apprécie au moment de crises, de catastrophes naturelles, d’accident majeur, de guerres et d’attaques terroristes, etc. Pris dans son sen le plus positif, le terme évoque l’aptitude à se redresser, à se relever collectivement sans avoir remis en cause ses valeurs et ses principes fondamentaux lesquels structurent la nation.

Ici se place le cas de ce qui se passe après un attentat terroriste de grande ampleur comme ceux du 13 novembre 2015 (Saint-Denis, 10e et 11e arrondissements, Bataclan). La réaction des Français a été qualifiée de résiliente pour diverses raisons :

  • en raison du sursaut qui a suivi,
  • parce-que les actes n’ont pas dressé les Français les uns contre les autres et à provoquer une guerre civile.

Il convient de souligner que la résilience d’une société ne saurait reposer sur la seule capacité de chaque citoyen à faire face à l’adversité.

1.2.1 – La construction de la résilience d’une nation

La construction de la résilience d’une nation s’articule autour de quatre axes :

  • le cadre légal, celui de l’État de droit qui permet d’affronter les crises graves,
  • le projet de société qui fédère des citoyens et forge le sentiment d’appartenance avec le désir de faire front ensemble,
  • l’affichage des symboles et des valeurs communs,
  • la confiance des citoyens envers ses représentants.

La résilience, comme la sécurité, ne se décrète pas, elle relève d’une démarche volontaire du citoyen.

1.2.2 – Résilience acquise ou innée ?

La résilience n’est pas innée, c’est un trait de caractère qui se construit, se développe et se renforce. Pourtant, on pourrait croire le contraire ? Il ne faut pas confondre l’esprit belliqueux, guerrier, velléitaire de certains peuples avec l’esprit de défense. En France, de nos jours, la résilience est le fruit d’une patiente construction sociale, inscrite dans le temps long. Elle remonterait à la révolution de 1789 et aux soldats de l’an II ?

1.2.3 – Les institutions qui développent la résilience

De tout temps et en tous lieux, il y a eu des nations avec une longue tradition de servage, d’esclavage sous la férule de tyrans. La plupart de ces nations se sont soulevées, libérées, dotées d’institutions démocratiques. La France l’a démontré avec ses soldats-citoyens qui sont partis en 1914 se battre contre l’envahisseur allemand (prusso-austro-bavarois). La France est une nation qui prétend se défendre et non attaquer. Si la seconde guerre mondiale a connu un fléchissement national qui a conduit à un armistice funeste, la résistance à l’envahisseur a fini par unir un peuple qui a gagné sa victoire avec l’aide de ses colonies, des résistants, des soldats refusant l’abaissement et des alliés qui leur ont fourni des armes. La nation en armes ! Les noms de De Gaulle, De Lattre et Leclerc ne doivent pas être oubliés ainsi que ceux qui se sont battus à leurs côtés.

Des institutions existent de nos jours qui vont permettre au citoyen de s’impliquer dans sa propre sécurité, en développant l’esprit de défense. Le contraire état l’esprit de Munich !

2 – L’esprit de défense

Le grand mot est lancé : l’esprit de défense ! Le constat est fait que les ressources de l’État ne peuvent pas tout faire devant la diversité des menaces et leur inscription dans un temps long. Il faut un changement de posture : le citoyen peut et doit s’investir, (nous citons) « s’impliquer dans sa propre sécurité », sans haine ni désordre, quand le mal est là, quand un évènement tragique survient.

2.1 – Indifférence ou résilience

Il ne faut pas céder à la facilité consistant à confondre l’indifférence ou la facilité avec la résilience. Cette dernière qualité, nous l’avons dit, (nous citons) « suppose une démarche volontaire ». Le citoyen participe à la défense de son pays. L’indifférence peut conduire au pacifisme et à l’esclavage. La défense conduit à la résilience.

Mais comment définit-on la défense ?

2.2 – La défense

Tout organisme vivant (plante, animal, être humain) développe des mécanismes visant à répondre à une menace ou une agression. Ce mécanisme est la défense. Nos sociétés se défendent et il n’existe pas d’état qui ne possède une armée et des forces de sécurité pour se défendre.

En France, la défense est nationale, globale, armée. Elle est centralisée et, depuis la suspension du service national, elle est confiée à des professionnels, ce qui tend à démotiver, sauf exceptions, les citoyens qui deviennent passifs.

2.3 – L’esprit de défense au service de la résilience nationale

Le constat a été fait que la centralisation de la gestion centralisée de la sécurité a éloigné le citoyen des problématiques de sécurité au quotidien. La France a un gros retard à rattraper en la matière mais dispose d’atouts. La France n’en est, cependant; qu’aux balbutiements.

2.2.1 – L’IHEDN

Logo AA-IHEDN
Logo AA-IHEDN petit

L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationales (IHEDN) forme des citoyens de la société civile, des fonctionnaires de haut-niveau et des militaires, ensemble, à l’esprit de défense. L’objectif n’est pas de former des tireurs à l’arme à feu mais d’aviser, de préparer les citoyens dans une perspective de résilience. Il les prépare à mieux affronter l’adversité dans une perspective de résilience individuelle et collective. Un des axes de son action est dirigée vers notre jeunesse par le canal de ses professeurs : j’ai nommé les Trinômes Académiques, Armée, Éducation Nationale, IHEDN. Ce réseau apporte une contribution utile, en particulier aux réserves citoyennes.

2.3.2 – Les réserves citoyennes

Depuis la « mise en sommeil » du service militaire obligatoire et l’institution d’une armée de métier, le problème se pose de manière aigüe des réservistes notamment dans des armes de spécialistes ou de nouveaux théâtres d’opérations comme le cyber-monde et la cyber-sécurité. Des places existent au sein des armées, des forces de sécurité (gendarmerie, police, douanes) pour accueillir pour des périodes plus ou moins longues, des citoyens volontaires de tous âges. Ce sont les réserves citoyennes. Cette mobilisation des citoyens a été montrée après les attentats de 2015.

La réserve citoyenne de défense et de sécurité est composée de volontaires agréés par les autorités militaires pour contribuer au renforcement du lien entre les armées et la société civile. Si vous souhaitez en faire partie, vous devez remplir certaines conditions, notamment d’âge et de nationalité. La participation à la réserve citoyenne n’ouvre pas droit à rémunération ou indemnisation. Il existe une réserve citoyenne dans chaque arme.

2.3.3 – La garde nationale

Actuellement « La Garde nationale, ce sont des femmes et des hommes volontaires qui décident, en parallèle de leur vie civile, de s’engager dans la réserve opérationnelle au service de la protection des Français ». C’est ainsi que définit le site consacré à cette nouvelle formation.

3 – Les exemples étrangers

Deux pays sont exemplaires en matière d’engagement citoyen, l’un a une vielle tradition, j’ai nommé la Suisse (Confédération Hélvétique), l’autre une tradition plus récente, le Sénégal.

3.1 – La Suisse

La Confédération hélvétique (nous abrègerons en Suisse) dispose d’une armée de milice[1].  C’est une armée où les civils sont formés pour participer à des missions militaires en complément de leurs formations professionnelles. Il s’agit d’un type d’armée principalement utilisé en Suisse. C’est un système d’organisation couramment pratiqué dans la vie publique de ce pays, elle tient sa forme d’une idée républicaine selon laquelle un citoyen a les capacités d’assumer des charges et des tâches publiques à titre extra-professionnel et bénévole. C’est une expression empruntée au vocabulaire militaire (du latin militia, service militaire) dont l’origine remonte à la démocratie athénienne et au début de la république romaine ; depuis l’antiquité la notion de milice comprenait l’exercice de charges civiles.

L’Armée suisse est encadrée par des militaires professionnels. Elle est équipée de systèmes d’armement et d’équipements modernes, sophistiqués et bien entretenus, elle a pour mission d’assurer la défense du territoire suisse, la sauvegarde des conditions d’existence de la Suisse et de contribuer à la promotion de la paix à l’étranger. De par sa politique de neutralité, la Suisse s’efforce de maintenir une défense aussi autonome que possible, bien que le rapport de politique de sécurité 2000, intitulé Sécurité par la coopération ait ouvert la voie à une coopération accrue avec l’étranger, notamment en matière de participation à des exercices communs. Sa devise est Sécurité et liberté. Les réservistes suisses sont régulièrement appelés à des périodes militaires. Ceux qui résident à l’étranger sont tenus à payer un impôt spécifique s’ils ne peuvent répondre à leur devoir militaire.

La doctrine militaire s’articule dans le cadre d’une coopération plus ou moins explicite avec les pays limitrophes, doctrine du pas de vide militaire qui vise à éviter que la Suisse ne devienne le ventre mou d’une Europe soumise à une invasion massive. Toutefois les menaces militaires ont changé, notamment avec la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), ce qui a forcé l’Armée suisse à effectuer une série de réformes, telles que la décision, prise en mai 2011 de mettre hors service les batteries Bison et les pièces d’artillerie de forteresse.

L’Armée suisse est classée 39e armée selon la liste des armées nationales par effectif.

3.2 – Le Sénégal

Le Sénégal est un pays de l’Afrique de l’Ouest bordé par l’océan Atlantique à l’Ouest et par la Mauritanie au nord, le Mali à l’est et la Guinée-Bissau au sud.

Ce pays a développé un réseau opérationnel national d’assistants à la citoyenneté de proximité, l’ASP. Ce réseau est composé de 10.000 volontaires, des citoyens acteurs de la sécurité. La présence de ces acteurs a permis de diminuer la délinquance et facilite la remontée d’informations utiles, notamment face à la montée de l’islamisme radical.

En conclusion

Le chemin, dans notre pays, en France, est long à parcourir avant d’atteindre un niveau de résilience optimal. A côté des réticences d’ordre politiques (mauvaise expériences passées avec l’engagement citoyen assimilé à la délation), la méfiance des militaires à l’égard des « galons en zinc », il y a le manque de motivation des intéressés, les citoyens. Il y a pourtant urgence pour amener la résilience à son meilleur niveau. Le chemin passe par l’école de la République dans ses niveaux (primaire, secondaire et supérieur) et le pouvoir politique a le devoir impératif de favoriser, sans tarder, l’engagement des citoyens. Serions nous moins intelligents que les Suisses ou les Sénégalais ?


[1] La Milice française, souvent appelée simplement Milice, était une organisation politique et paramilitaire française créée le 30 janvier 1943 par le gouvernement de Vichy pour lutter contre la Résistance, qualifiée de terroriste. C’était une police supplétive de la Gestapo allemande. De triste mémoire !

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Vous dites créolisation

Une conception révolutionnaire ?

Un candidat à la fonction de Président de la République a prononcé le mot «créolisation ». Quecesqua ?

Le candidat ne propose rien d’autre que l’abandon de notre culture nationale et sa fusion dans une salade mixte, un mesclum des cultures des immigrés qui se sont installés en France, chez nous, allant à l’encontre de l’assimilation à la culture judéo-chrétienne qui est la nôtre, avec ses valeurs républicaines.

Notre souveraineté culturelle nationale

Le candidat ne comprend pas qu’il ouvre la route à l’islamisme des assassins qui prétendent imposer leur loi réligieuse : un islamo-gauchiste ? Notre patrie est en danger face à ces immigrés qui déferlent sans contrôle chez nous. Comme l’a dit le Cardinal SARA, nous ne devons pas pomper les élites intellectuelles et la jeunesse des pays en voie de développement, les privant de leurs forces vives nécessaires à leur développement.

Dans ce déferlement, se cachent des envoyés hautement indésirables dont nous n’avons que faire.

Merci Monsieur le Candidat, gardez votre créolisation pour vous. Nous ne saurons oublier le soutien que vous avez manifesté à Monsieur Nicolas Maduro, président de ce malheureux pays ruiné, le Vénézuela pourtant suisselant de pétrole.


Un Auditeur IHEDN 1985

Membre de l’Union des Associations d’Auditeurs IHEDN




Des mensonges gros comme le bras


Pinocchio supris
Pinocchio a trop menti

Des pinocchios nous font la leçon ?

Le gouvernement actuel de l’Algérie profite de l’incapacité du notre à surmonter les conséquences de la Guerre de 1954-1962. Mais il est lui aussi autant incapable que le nôtre à le faire. Les pieds-noirs sont partis péniblement, certains n’ont pas pu le faire et ont disparu corps et biens notamment dans l’Oranais, nous ne l’oublions pas.

Indépendante depuis 60 ans, l’Algérie a été incapable de construire un Etat juste, démocratique et prospère. La France s’est retirée en laissant un pays en état, des hôpitaux fonctionnels, des ressources pétrolières, des terres agricoles productives, …

Les gouvernements algériens qui se sont succédés ont été incapables de maintenir en état le pays et ont attisé un ressentiment populaire contre l’ancien colonisateur pour masquer leur incurie ! Trente ans après l’indépendance, une guerre civile sanglante a traumatisé en profondeur le malheureux peuple algérien appauvri (décennie noire 1990-2000). La situation politique, sociale et économique dramatique n’est pas prise à bras le corps mais ce gouvernement cherche encore et toujours à attribuer à notre pays, la France, la responsabilité de la situation née de leur incurie. C’est honteux, d’autant plus honteux que de nombreux algériens expatriés chez nous sont venus chercher ici une protection et des conditions de vie en paix pour eux et leurs enfants.

Il y a un abandon de la France pour ce peuple algérien qui, depuis 2 ans demande plus de démocratie et la démission de gouvernants corrompus (HIRAK). Il demande aussi de meilleures conditions de vie économique et démocratique comme l’exige de chaque gouvernement vis-à-vis de ses propres citoyens la déclaration universelle des Droits de l’Homme.

Le dernier mensonge en date est la publication d’un communiqué de Monsieur Abdelmajid Chiki, de son état Directeur des Archives nationales algériennes et conseiller du Président Algérien. Le site Boulevard Voltaire nous a été signalé par un ami. Il va dans le sens du Rapport du Centre de Réflexion Interarmées (CRI, avril 1980, page 10).

Le gros mensonge

La France est tout simplement accusée d’avoir répandu l’analphabétisme en Algérie ! Rien que celà ! Avec Monsieur Macron qui se voit reprocher par les Français d’avoir qualifié le colonisation de « crime contre l’humanité », la coupe déborde. Assez de mensonges.

La France accusée d’avoir répandu l’analphabétisme en Algérie ! Gueddeb Gueddeb Gueddeb !

Nous baissons tous les jours la culotte ! Récemment notre pays a été qualifié par un ministre algérien de « ennemi éternel ». L’Algérie cherche tous les prétextes pour chercher à nous humilier, refusant de recevoir des algériens expulsés, annulant la visite du Premier Ministre M. Castex sous un prétexte futile !

Pinocchio très supris !

Un proverbe arabe dit que « les chiens aboient, la caravane passe ». Nous, Français, faisons respecter les lois de notre pays et laissons les chiens aboyer ! L’article de Boulevard Voltaire compare notre Président à « un chien bien dressé, [qui] se couche au moindre signe de son maître. ».

On veut nous faire endosser …

Le rapport du CRI précise que

« Le taux de chômage algérien actuel, dû à l’impéritie économique des gouvernants, est une atteinte cardinale aux droits de l’homme. Elle prive les algériens de la liberté de vivre dans leur patrie, sans la peur du lendemain. C’est d’abord à chaque Etat de respecter les droits de l’homme vis-à-vis de ses citoyens. ».

Le journaliste Philippe Kerlouan du site Boulevard Voltaire conclut :

« Si Macron ne réagit pas fermement à cette nouvelle agression, s’il ne réhabilite pas l’action passée de la France en Algérie, s’il n’a pas suffisamment d’humilité pour corriger ses préjugés sur la colonisation, on sera contraint d’en conclure qu’il a moralement trahi son pays et son . Rien qu’à ce titre, il mériterait, à la première occasion, qu’on lui donnât congé. ».

Rien que ça ! Macron, dehors ? Nous comprenons mieux que celui-ci ne soit pas allé à Montpellier dans le quartier où les pieds-noirs sont installés en majorité mais il a eu la bronca à La Paillade !


Jean AYMAR
ASAF-AAIHEDN




Concept de défense et conséquences

L’engagement citoyen

La notion de devoir citoyen s’inscrit dans l’acceptation du droit de la Nation (la cité). Ce droit émane de la souveraineté et de la démocratie fondée par les textes de référence que sont la Constitution de 1958 et la Charte Universelle des Droits de l’Homme. Le citoyen a le droit à la sécurité, au respect de sa vie privée et de celle des autres, le tout reposant sur les notions de civilité et de civisme. Le devoir implique le paiement de l’impôt au bénéfice de la communauté nationale qui redistribue des ressources.

Signature du Citoyen-Contribuable 34




La résilience citoyenne

Introduction

La pandémie qui a frappé notre pays, les catastrophes naturelles de plus en plus fréquentes (inondations, tornades, tempêtes, …) nous confrontent chaque jour au problème de la résilience des citoyens. Qu’est donc cette qualité qui nous permet de nous relever, de reconstruire, de repartir ? Comment des institutions républicaines nous permettent de faire face ?

En physique des métaux, la résilience est la qualité qui caractérise la capacité d’un métal à reprendre sa forme, à la suite d’une déformation. En psychologie, c’est la capacité à surmonter les chocs traumatiques. Dans les deux domaines, il s’agit d’une qualité, celle de résister à un choc. Nous nous intéresserons au domaine de la psychologie et particulièrement à celui des masses, la masse des citoyens qui peuple notre pays. Je me suis inspiré ici de l’article de M. Alexandre MALAFAYE en collaboration avec Brice de GLIAME (trimestriel « Engagement » de l’ASAF, n° 121 décembre 2018, pp. 31 à 33). Cet article méritait quelques compléments de ma part (AA-IHEDN, 1985) et extraits remaniés de l’ouvrage « 99 questions sur … la Défense » (Ouvrage collectif sous la direction de Paul-Henri GARCIA.- SCEREF-CRDP Languedoc-Roussillon, 2004, 232 p.).

1 – Les domaines d’application

En psychologie, la résilience s’applique à des être humains (individus ou groupes), à la collectivité nationale, au couple, à la famille, etc.

1.1 – Cas de l’individu ou du groupe

Le cas de l’individu ou du groupe met en question la capacité de faire face à « l’effet de sidération » qui suit un choc à revenir à sont état normal en dépit d’évênements douloureux ou violents tels, par exemple, un attentat terroriste faisant des victimes.

1.2 – Cas d’une nation (collectivité nationale)

Le cas d’une nation s’apprécie au moment de crises, de catastrophes naturelles, d’accident majeur, de guerres et d’attaques terroristes, etc. Pris dans son sen le plus positif, le terme évoque l’aptitude à se redresser, à se relever collectivement sans avoir remis en cause ses valeurs et ses principes fondamentaux lesquels structurent la nation.

Ici se place le cas de ce qui se passe après un attentat terroriste de grande ampleur comme ceux du 13 novembre 2015 (Saint-Denis, 10e et 11e arrondissements, Bataclan). La réaction des Français a été qualifiée de résiliente pour diverses raisons :

en raison du sursaut qui a suivi,

parce-que les actes n’ont pas dressé les Français les uns contre les autres et à provoquer une guerre civile.

Il convient de souligner que la résilience d’une société ne saurait reposer sur la seule capacité de chaque citoyen à faire face à l’adversité.

1.2.1 – La construction de la résilience d’une nation

La construction de la résilience d’une nation s’articule autour de quatre axes :

  • le cadre légal, celui de l’État de droit qui permet d’affronter les crises graves,
  • le projet de société qui fédère des citoyens et forge le sentiment d’appartenance avec le désir de faire front ensemble,
  • l’affichage des symboles et des valeurs communs,
  • la confiance des citoyens envers ses représentants.

La résilience, comme la sécurité, ne se décrète pas, elle relève d’une démarche volontaire.

1.2.2 – Résilience acquise ou innée ?

La résilience n’est pas innée, c’est un trait de caractère qui se construit, se développe et se renforce. Pourtant, on pourrait croire le contraire ? Il ne faut pas confondre l’esprit belliqueux, guerrier, velléitaire de certains peuples avec l’esprit de défense. En France, de nos jours, la résilience est le fruit d’une patiente construction sociale, inscrite dans le temps long. Elle remonterait à la révolution de 1789 et aux soldats de l’an II ?

1.2.3 – Les institutions qui développent la résilience

De tout temps et en tous lieux, il y a eu des nations avec une longue tradition de servage, d’esclavage sous la férule de tyrans. La plupart de ces nations se sont soulevées, libérées, dotées d’institutions démocratiques. La France l’a démontré avec ses soldats-citoyens qui sont partis en 1914 se battre contre l’envahisseur allemand (prusso-austro-bavarois). La France est une nation qui prétend se défendre et non attaquer. Si la seconde guerre mondiale a connu un fléchissement national qui a conduit à un armistice funeste, la résistance à l’envahisseur a fini par unir un peuple qui a gagné sa victoire avec l’aide de ses colonies, des résistants, des soldats refusant l’abaissement et des alliés qui leur ont fourni des armes. La nation en armes !

Des institutions existent de nos jours qui vont permettre au citoyen de s’impliquer dans sa propre sécurité, en développant l’esprit de défense.

2 – L’esprit de défense

Le grand mot est lancé : l’esprit de défense ! Le constat est fait que les ressources de l’État ne peuvent pas tout faire devant la diversité des menaces et leur inscription dans un temps long. Il faut un changement de posture : le citoyen peut et doit s’investir, (nous citons) « s’impliquer dans sa propre sécurité », sans haine ni désordre, quand le mal est là, quand un évènement tragique survient.

2.1 – Indifférence ou résilience

Il ne faut pas céder à la facilité consistant à confondre l’indifférence ou la facilité avec la résilience. Cette dernière qualité, nous l’avons dit, (nous citons) « suppose une démarche volontaire ». Le citoyen participe à la défense de son pays. L’indifférence peut conduire au pacifisme et à l’esclavage. La défense conduit à la résilience.

Mais comment définit-on la défense ?

2.2 – La défense

Tout organisme vivant (plante, animal, être humain) développe des mécanismes visant à répondre à une menace ou une agression. Ce mécanisme est la défense. Nos sociétés se défendent et il n’existe pas d’état qui ne possède une armée et des forces de sécurité pour se défendre.

En France, la défense est nationale, globale, armée. Elle est centralisée et, depuis la suspension du service national, elle est confiée à des professionnels, ce qui tend à démotiver, sauf exceptions, les citoyens qui deviennent passifs.

2.3 – L’esprit de défense au service de la résilience nationale

Le constat a été fait que la centralisation de la gestion centralisée de la sécurité a éloigné le citoyen des problématiques de sécurité au quotidien. La France a un gros retard à rattraper en la matière mais dispose d’atouts. La France n’en est, cependant; qu’aux balbutiements.

2.2.1 – L’IHEDN

L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationales (IHEDN), un établissement public admnstratif (EPA) forme des citoyens de la société civile, des fonctionnaires de haut-niveau et des militaires, ensemble, à l’esprit de défense. L’objectif n’est pas de former des tireurs à l’arme à feu mais d’aviser, de préparer les citoyens dans une perspective de résilience. Il les prépare à mieux affronter l’adversité dans une perspective de résilience individuelle et collective. Un des axes de son action est dirigée vers notre jeunesse par le canal de ses professeurs : j’ai nommé les Trinômes Académiques, Armée, Éducation Nationale, IHEDN. Ce réseau apporte une contribution utile, en particulier aux réserves citoyennes.

2.3.2 – Les réserves citoyennes

Depuis la « mise en sommeil » du service militaire obligatoire et l’institution d’une armée de métier, le problème se pose de manière aigüe des réservistes notamment dans des armes de spécialistes ou de nouveaux théâtres d’opérations comme le cyber-monde et la cyber-sécurité. Des places existent au sein des armées, des forces de sécurité (gendarmerie, police, douanes) pour accueillir pour des périodes plus ou moins longues, des citoyens volontaires de tous âges. Ce sont les réserves citoyennes. Cette mobilisation des citoyens a été montrée après les attentats de 2015.

La réserve citoyenne de défense et de sécurité est composée de volontaires agréés par les autorités militaires pour contribuer au renforcement du lien entre les armées et la société civile. Si vous souhaitez en faire partie, vous devez remplir certaines conditions, notamment d’âge et de nationalité. La participation à la réserve citoyenne n’ouvre pas droit à rémunération ou indemnisation. Il existe une réserve citoyenne dans chaque arme.

2.3.3 – La garde nationale

Actuellement « La Garde nationale, ce sont des femmes et des hommes volontaires qui décident, en parallèle de leur vie civile, de s’engager dans la réserve opérationnelle au service de la protection des Français ». C’est ainsi que définit le site consacré à cette nouvelle formation.

3 – Les exemples étrangers

Deux pays sont exemplaires en matière d’engagement citoyen, l’un a une vielle tradition, j’ai nommé la Suisse (Confédération Hélvétique), l’autre une tradition plus récente, le Sénégal.

3.1 – La Suisse

La Confédération hélvétique (nous abrègerons en Suisse) dispose d’une armée de milice[1]. C’est une armée où les civils sont formés pour participer à des missions militaires en complément de leurs formations professionnelles. Il s’agit d’un type d’armée principalement utilisé en Suisse. C’est un système d’organisation couramment pratiqué dans la vie publique de ce pays, elle tient sa forme d’une idée républicaine selon laquelle un citoyen a les capacités d’assumer des charges et des tâches publiques à titre extra-professionnel et bénévole. C’est une expression empruntée au vocabulaire militaire (du latin militia, service militaire) dont l’origine remonte à la démocratie athénienne et au début de la république romaine ; depuis l’antiquité la notion de milice comprenait l’exercice de charges civiles.

L’Armée suisse est encadrée par des militaires professionnels. Elle est équipée de systèmes d’armement et d’équipements modernes, sophistiqués et bien entretenus, elle a pour mission d’assurer la défense du territoire suisse, la sauvegarde des conditions d’existence de la Suisse et de contribuer à la promotion de la paix à l’étranger. De par sa politique de neutralité, la Suisse s’efforce de maintenir une défense aussi autonome que possible, bien que le rapport de politique de sécurité 2000, intitulé Sécurité par la coopération ait ouvert la voie à une coopération accrue avec l’étranger, notamment en matière de participation à des exercices communs. Sa devise est Sécurité et liberté. Les réservistes suisses sont régulièrement appelés à des périodes militaires. Ceux qui résident à l’étranger sont tenus à payer un impôt spécifique s’ils ne peuvent répondre à leur devoir militaire.

La doctrine militaire s’articule dans le cadre d’une coopération plus ou moins explicite avec les pays limitrophes, doctrine du pas de vide militaire qui vise à éviter que la Suisse ne devienne le ventre mou d’une Europe soumise à une invasion massive. Toutefois les menaces militaires ont changé, notamment avec la chute de l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), ce qui a forcé l’Armée suisse à effectuer une série de réformes, telles que la décision, prise en mai 2011 de mettre hors service les batteries Bison et les pièces d’artillerie de forteresse.

L’Armée suisse est classée 39e armée selon la liste des armées nationales par effectif.

3.2 – Le Sénégal

Le Sénégal est un pays de l’Afrique de l’Ouest bordé par l’océan Atlantique à l’Ouest et par la Mauritanie au nord, le Mali à l’est et la Guinée-Bissau au sud.

Ce pays a développé un réseau opérationnel national d’assistants à la citoyenneté de proximité, l’ASP. Ce réseau est composé de 10.000 volontaires, des citoyens acteurs de la sécurité. La présence de ces acteurs a permis de diminuer la délinquance et facilite la remontée d’informations utiles, notamment face à la montée de l’islamisme radical.

En conclusion

Le chemin à parcourir dans notre pays, en France, est long à parcourir avant d’atteindre un niveau de résilience optimal. A côté des réticences d’ordre politiques (mauvaise expériences passées avec l’engagement citoyen assimilé à la délation), la méfiance des militaires à l’égard des « galons en zinc », il y a le manque de motivation des intéressés, les citoyens. Il y a pourtant urgence pour amener la résilience à son meilleur niveau. Le chemin passe par l’école de la République dans ses niveaux (primaire, secondaire et supérieur) et le pouvoir politique a le devoir impératif de favoriser, sans tarder, l’engagement des citoyens. Serions nous moins intelligents que les Suisses ou les Sénégalais ?


Un Auditeur IHEDN 1985

[1] La Milice française, souvent appelée simplement Milice, était une organisation politique et paramilitaire française créée le 30 janvier 1943 par le gouvernement de Vichy pour lutter contre la Résistance, qualifiée de terroriste. C’était une police supplétive de la Gestapo allemande.




La République une et indivisible

Emblême de la République

Les armoiries de la République

Nos fondamentaux

La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».

 Une République indivisible : aucune partie du peuple, aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale. Le peuple seul exerce cette souveraineté.par la voie de ses représentants (les députés) ou le référendum. Le référendum est une procédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte, lequel sera adopté qu’en cas de réponse positive.

L’unité et l’indivisibilité garantissent une application uniforme du droit sur l’ensemble du territoire national. Aucune loi dictée par quelque groupe que ce soit ne peut se prévaloir d’une quelconque préséance sur la loi de la République. Une doctrine religieuse ne peut prévaloir sur la loi de la République. Toute religion qui prônerait ou prône le contraire est anti-républicaine.

La loi de Dieu, la Charia des intégristes musulmans est dans ce cas. Loi divine ou pas, elle ne peut entrer en contradiction avec la loi de la République qui est au-dessus. Les autorités de la République doivent défendre la loi de la République en la faisant appliquer. « Dura lex, sed lex » !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire