Inadmissible violence contre nos parlementaires

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Voltaire : taité sur la tolérance
Tableau de Delacroix la Liberté
Tableau de Delacroix la Liberté

Inadmissible violence contre nos parlementaires, oui il faut la dénoncer. Un débat d’idées, oui, des menaces de voies de fait non, des menaces de mort à RÉPRIMER par nos forces de police et de gendarmerie. Faut-il rappeler ici notre grand Voltaire ?

« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire »

Voltaire n’aurait jamais dit ni écrit cela ? Oui ? C’est trope beau, c’est le fondement de la liberté d’expression, une de nos valeurs républicaines.
En cette fin d’année, où nos valeurs républicaines viennent d’être violemment attaquées, la référence à Voltaire qui, au XVIIIe siècle, s’est battu pour la liberté d’expression, est quasi systématique. Nous y faisons référence, sans hésitation.
Citons encore :

« Il faut bien quelquefois se battre contre ses voisins, mais il ne faut pas brûler ses compatriotes pour des arguments. »

VOLTAIRE (1694-1778), Lettres philosophiques, ou Lettres anglaises (1734)

Halte au terrorisme.

extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

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Vaccination vs anti-vaccination : le problème est grave

Argos Panoptés

Introduction

Vaccination vs antivaccination ? Un grave problème de civisme qui côute cher au contribuable !

Plusieurs témoignages de médecins dans les médias, notamment La Cinq « C dans l’Air » (17h30), montrent que les urgences-réanimation sont à 95% occupées, saturées, par des patients atteints du CoVid19 NON VACCINÉS. C’est une situation qu’un citoyen normalement constitué et ayant été éduqué normalement ne saurait accepter. Il est prouvé par des milliards de doses administrées dans le monde que la vaccination protège des formes graves. La population française est vaccinée en double dose à 95%. La proportion des double-vaccinés n’est que de 50%, proportion qui diminue chaque jour au profit de la 3e dose dite « de rappel ». Nous renvoyons vers Le Monde.

Les cas de non-vaccinés (non-vaccs)

La récente nouvelle de l’hospitalisation des frères Bogdanov et du décès de Grichka (Igor est en pronostic réservé), apporte un argument de plus au danger que courent ceux qui refusent le vaccin. Tous les arguments mis en avant par les anti-vaccins ne valent rien : aucune religion n’interdit la vaccination (sauf exceptions connues). Un fait est incontestable : la mort est au bout du chemin sauf traitement aux urgences et en service de réanimation, un coût de journée astronomique (3 500 € ? !). Les clameurs des personnels soignants (médecins, infirmières, aide-soignants, …) dénoncent la fatigue, le burn-out, les démissions, … bref la casse du système de santé saturé qui voit arriver la 5e vague Omicron, à côté de la vague Delta !

J’ai un cas proche. Mon épouse fréquente une amie non-vaccinée qui vient de déclarer un CoVid19. Elle était catastrophée hier soir en rentrant de sa permanence. Elle est tri-vaccinée comme moi. Nous sortons ce matin nous faire tester.

L’impact des non-vaccs

La saturation des services urgences-réanimations par des patients non-vaccs est un véritable manque de civisme, une attitude criminelle qui oblige les autres services médicaux utilisateurs de réanimation à différer des soins programmés, mettant en danger la vie et la santé de personnes qui ne peuvent recevoir leurs soins. Merci messieurs-mesdames qui refusez la vaccination ! Vous portez là un manque de considération pour vos concitoyens par votre attitude récalcitrante.

Qui est responsable ?

La superstition (oui, ça existe), des convictions politiques (le vaccin à Macron entend-on !), etc. Le cas Bogdanov (des gourous scientifiques connus pour leurs émissions de science fiction de haut niveau) est significatif : ils ont refusé le vaccin mais ils n’ont rien fait pour en dégouter les autres ! A côté, on trouve sur les médias, dans la rue, dans la vie quotidienne, sur les réseaux sociaux, des agents anti-vaccs actifs, des gourous anti-vaccs ! Ce sont des criminels ! Je pèse mes mots ! Ils devraient être poursuivis pour non-assistance à personne en danger, pour incitation au suicide. Que dire de ceux qui menacent de mort des parlementaires : c’est du terrorisme ! Il doit être réprimé comme il se doit. La solution passe par un décret de salut public instaurant une VACCINATION OBLIGATOIRE. Nos lecteurs savent combien nous avons râlé, protesté, vitupèré le manque de vaccins au début de cette année 2021 !

De plus, les faux certificats de vaccination sont de la crapulerie. Un médecin a parlé de deux cas de faux-pass hospitalisés et qui n’ont pas pu être soignés à temps de manière adéquate. Ceux qui leur ont délivré un tel certificat sont des ASSASSINS.


extrait bandeau IHEDN site institut

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La citoyenneté

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Définitions

Info

La citoyenneté est le fait pour un individu, pour une famille ou pour un groupe, d’être reconnu officiellement comme citoyen, c’est-à-dire membre d’une ville ayant le statut de cité, ou plus généralement d’un État.

Nous avons même une ministre !

Trois concepts fondamentaux s’attachent traditionnellement à la citoyenneté :

La civilité

C’est une attitude de respect, à la fois à l’égard des autres citoyens (ex. politesse) mais aussi à l’égard des bâtiments et de l’espace public. (ex. transports publics). C’est une reconnaissance mutuelle et tolérante des individus entre eux, au nom du respect de la dignité de la personne humaine, qui permet une plus grande harmonie dans la société. C’est une des bases du « vivre ensemble ».

Le civisme

C’est une attitude qui consiste, à titre individuel, à respecter et à faire respecter les lois et les règles en vigueur, mais aussi à avoir conscience de ses devoirs envers la société. De façon plus générale, le civisme est lié à un comportement actif du citoyen dans la vie publique et quotidienne. C’est agir pour l’intérêt général qui doit l’emporter sur les intérêts particuliers.

La solidarité

C’est une valeur importante de la citoyenneté qui consiste à ne pas considérér la société comme formée de pions juxtaposés mais comme un ensemble d’hommes et de femmes attachés à un projet commun. Elle correspond à une attitude d’ouverture aux autres qui illustre le principe républicain de fraternité. De là découle l’aide aux plus démunis, directement ou par le biais des politiques publiques (ex. impôts redistributifs). C’est une composante importante de la citoyenneté.

Ces trois valeurs donnent à la notion de citoyenneté tout son sens en ne la limitant pas au seul exercie du droit de vote. Une évolution récente a vu l’introduction des principes et actions de démocratie de proximité et de démocratie participative, notamment en matière de défense de l’Environnement.

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La Garde Nationale

Un projet

Le problème

Notre pays est confronté depuis plusieurs années à une guerre larvée sur le territoire national, laquelle nous a obligés à mobiliser des forces miliaires en appui aux forces de police et de gendarmerie pour assurer la sécurité des Français en interne (OPINT). Parallèlement, un engagement en opérations extérieures (OPEX) a mobilisé des forces armées. Le besoin s’est fait sentir de disposer de volontaires qui viendraient apporter leur concours citoyen. Nous n’avons plus de service militaire, le nombre de réservistes a diminué dans notre pays.

D’où l’idée d’une Garde Nationale de citoyens mobilisables, à l’instar de ce qui se fait dans d’autres pays (Suisse, USA, …).

Donnez votre avis, utilisez le formulaire de contact. Nous garantissons votre anonymat.

Merci.


Un Auditeur IHEDN 1985




Qui gouverne la France réellement ?

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Nous reprenons la contribution d’un de nos lecteurs sur l’ancien Forum.


Prologue-Introduction

Nous n’en pouvons plus depuis plus d’un an de cette pandémie. Le premier confinement le 19 mars 2021 a coûté cher, très cher à l’économie de notre pays. Celui-ci s’est privé volontairement d’un médicament qui pouvait aider à enrayer la propagation du virus, j’ai nommé la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Le petit livre noir du Professeur Christian Perronne publié en juillet 2020 pose une question sur l’hydroxychloroquine, une question à laquelle personne n’a répondu clairement (page 152) :

« Le Président du HCSP, Franck Chauvin, professeur de santé publique et membre du Conseil Scientifique Covid-19 signe l’avis. Et dans cet avis, qu’est-ce qui est écrit ? Qu’il faut réserver l’hdroxychloroquine aux formes graves de la maladie. Devant le tollé suscité par ce texte chez les médecins et dans la population, le Pr Chauvin déclare quelques jours plus tard dans le Canard Enchaîné qu’il reconnaît que cet avis est absurde mais qu’il a subi des pressions pour le signer. Des pressions ? Lesquelles ? De qui ? On aurait aimé en savoir plus ! »

Le Professeur Christian Perronne a été sanctionné, il a été démis de ses fonctions au CHU de Garches. Il a récidivé avec un nouveau livre « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! » (31 mars 2021). Nous citons le commentaire bibliographique :

« Sanctionné par le pouvoir, déchargé en 24 heures de son poste de chef de service, harcelé par ses critiques, Christian Perronne persiste et signe.

Mais dans ce nouveau livre accablant l’auteur va plus loin. Pourquoi ne peut-on plus débattre librement en France, notamment de tout ce qui touche à la santé publique ?

Comment expliquer la survie prolongée des incompétents qui font de la lutte contre la Covid-19 un spectacle tantôt pathétique, tantôt comique ? Certains ont disparu du paysage audio-visuel (nous ne les nommerons pas).

Pourquoi le ministre de la Santé, Olivier Véran change-t-il si souvent d’avis ? Jusqu’où va l’influence de Big Pharma sur son ministère ? … »

La question est posée, la réponse vient du livre écrit par un journaliste scientifique Xavier Bazin Big Pharma Démasqué ! : de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle de face noire de notre système de santé (Guy Trédanel éditeur, 2021, 2e édition, 247 p., préface du Dr. Eric Ménat) . Nous avons déjà signalé ce livre en vous encourageant à l’acquérir et à le lire, en déclarant que nous n’avons aucun lien d’intérêt avec l’auteur et l’éditeur.

La chloroquine est-elle vraiment dangereuse ? Qu’en pensent les experts en France mais aussi à l’étranger ? D’où vient cette étude qualifiée de frauduleuse par de nombreux auteurs de frauduleuse et qui a motivé une grosse ânerie médico-scientifique ? La littérature scientifique que nous citons ne donne que la partie émergée de l’iceberg. Wikipedia donne des résultats controversés. Une mise au point est accessible qui examine cette controverse.

1. – La Lancet-Gate

L’affaire de la prestigieuse revue scientifique dénommée « The Lancet-Gate » met en cause le sérieux ce ce journal prestigieux qui était une référence dans le monde médico-scientifique. Le livre de Xavier Bazin lui consacre de nombreuses pages (pp. 33 à 42). Wikipédia dévoile le nom de la firme US qui a publié une étude le 22 mai 2020 : Surgisphere and Co. Nous citons Wikipedia :

« Le 22 mai 2020, une méta-analyse des données médicales anonymisées collationnées par l’entreprise américaine Surgisphere et publiée dans The Lancet arrive à la conclusion que l’utilisation de l’hydroxychloroquine [HCQ] est corrélée à un risque d’arythmie ventriculaire et à un plus grand danger de décès hospitalier que d’autres traitements. L’article est vivement critiqué et rétracté le 4 juin 2020, la société Surgisphere ayant refusé de communiquer les données brutes pour un audit indépendant […] ¨» [nous soulignons}..

Cette étude vivement critiquée a été rétractée par l’éditeur de la revue The Lancet. L’étude est qualifiée de frauduleuse par Xavier Bazin (p. 44). Néanmoins, elle a été à l’origine de la suspension par l’Agence Nationale du Médicament des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, j’ai nommé Discovery. Pourtant, Xavier Bazin l’affirme (p. 44) :

« Les responsables de Discovery eux-mêmes ont décidé le 17 juin [2020], d’arrêter l’étude sur l’hydroxychloroquine, au moment où elle signalait un effet postif contre la Covid-19. »

Ce sont des faits. Wikipedia confirme que l’une des causes de l’arrêt de Discovery serait le manque de disponibilité du Remdesivir ? Que veut-on démontrer ? Qui commande en France ? La manipulation de la grosse industrie pharmaceutique est elle réelle ? Une étude frauduleuse et bidonnée a eu des conséquences graves en matière de mortalité chez des patients à qui les médias continuent de claironner qu’il n’y a pas de traitement contre la Covid-19 !

2. – Les chiffres qui sont cachés

Le journaliste scientifique Xavier Bazin démontre de manière difficile à contredire que les chiffres concernant l’action bénéfique de l’hydroxychloroquine (HCQ) ont été bizarrement occultés par des tours de passe-passe statistiques et des jeux de mots sur les résultats. Tout a été fait pour occulter les effets bénéfiques sur les patients, dans les tous premiers moment de l’infection CoVid19 et dissimuler les effets délétères de l’antiviral RemDésivir de Gilead, anviviral difficilement disponible, aux effets délétères reconnus par l’OMS sur le foie et les reins des patients traités avec ce produit à 2.000 € l’unité de traitement. Alors que l’HCQ, vieille molécule, ne coûte que quelques centimes le comprimé disponible en masse et administré par comprimé voie orale. Le RemDesivir doit être administrè en milieu hospitalier par perfusion médicalisée.

Pourquoi deux poids et deux mesures ? Le géant pharmaceutique Gilead Sciences a-t-il soudoyé tous les acteurs médiatico-médical ? Contre un traitement ne rapportant plus de juteux revenus (HCQ) dont l’efficacité a été minorée voire niée ? Le Lancet-Gate est un évênement fâcheux qui n’a portant pas ébranlé la conviction de nos Hautes-Autorités sanitaires françaises et européennes. Gilead Sciences gouverne-t-il la France et l’Europe ? La lecture attentive des sites Internet qui sont cités par l’auteur journaliste scientifique Bazin constitue un acte d’accusation grave contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (pp. 51-81) et son homologue européen, l’Agence Européenne des Médicaments. M. Bazin n’est pas le seul journalise scierntifique à s’être interrogé sur les scandales suscités pat ce que la justice pourrait qualifier de délit de favoritisme ! La controverse sur les conflits d’intérêt de l’ANSM-AFFSP fait l’objet d’un paragraphe des plus intéressants !

Les casseroles que traîne l’AFFSP-ANSM portent le nom de Médiator, Depakine, Levothyrox, etc. Cette agence renommée ANSM en 2012 traîneraît un lourd passif de conflits d’intérêt de ses experts !

Il s’agit d’un domaine touchant à la Santé des Français ! Face à une « gripette » mortelle qui a ravagé des pays (Brésil : 470.000 morts !). C’est une maladie mortelle si on ne prend pas les mesures adéquates pour empêcher la propagation.

La question se pose de savoir qui exerce réellement le pouvoir dans notre pays, face à cette pandémie et aux débuts hésitants de la réponse sanitaire face à la maladie Pour faire le point, les sites Internet ne manquent pas et les livres publiés par des professeurs de médecine. Pour faire face à une invraisemblable multiplication de comités et de conseils divers. Pourquoi ce foisonnement apparent de nids à bureaucrates ? Nous allons essayer de répondre.

3. – La dilution des responsabilités

3.1. – Le sommet de l’état ou la base : la Présidence

On peut considérer l’organisation administrative de notre pays vue comme une pyramide ou un gigantesque mille-feuilles. A la base (ou au sommet, selon comme on se place) est le Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron (énarque et banquier élu avec une incroyable abstention 25,4%). Il dispose d’un cabinet bien garni en collaborateurs, chargés de mission et d’un cabinet militaire.

3.2. – Le Gouvernement, les ministres et consorts

Le Premier Ministre apporte son concours (il dispose lui aussi d’un Cabinet bien fourni en collaborateurs) et contrôle ce que font ses ministres, en particulier le Ministre de la Santé (un médecin neurologue avec son cabinet ministèriel). Celà fait trois hommes et leurs collaborateurs (faites le compte !). Le socle est déjà bien garni, il faut lui ajouter les directions opérationnelles techniques :

  • DGOS ou direction générale de l’offre des soins,
  • DGCS ou direction générale de la cohésion sociale,
  • DSS ou direction de la sécurité sociale,
  • CNAMTS ou caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés,
  • les 18 ARS ou agences régionales de la santé (le Préfet y siège mais son pouvoir de décision est à démontrer),
  • ASPF ou agence santé publique France,
  • ANSM ou agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé,
  • HCSP ou haut-conseil de la santé publique,
  • ANM ou académie nationale de médecine,
  • CNE ou comité national d’éthique.

Ce qui nous fait treize administrations censées être dirigées par le Président via le Premier ministre et celui de la Santé. Vous pourrez faire le compte de « compétences » en place. Mais il faut encore une couche au mille-feuilles. Le Président (Jupiter tonnant) en rajoute une couche spécialement créée pour le CoVid-19 :

  • CS ou Conseil scientifique,
  • CARE ou comité analyse, recherche et expertise,
  • Comité vaccin Covid19,
  • Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale,
  • CCL-COVID ou Comité de Contrôle et de liaison Covid-19,
  • Comité vaccinal des citoyens (tirés au sort : les 35 alibis !),
  • Task-force vaccins (vous connaissez ?),
  • Conseil de défense,
  • Cellule interministèrielle de gestion de la Crise COVID,
  • CTV ou Comité technique des vaccinations de la Haute-Autorité de santé.

Le Professeur Perrone (Décidément ils n’ont rien compris.- Albin Michel, 2021) y rajoute un conseiller communication de la crise, une ancienne de chez ENGIE proche de Xavier Bertrand. Il est vrai qu’après la communication catastrophique de Madame N’DIAYE !

Le Professeur Perrone résume :

« … Un Président, 2 ministres, 13 conseils, agences ou organismes existants spécialistes de la santé. On en a mis 10 de plus, et une conseillère. Ca fait du monde … » (pp.99-100)

La question se pose de savoir s’ils travaillent ou s’ils s’agitent dans le désordre ? Des personnalités (un Général de l’Armée assisté d’une inspectrice de l’administration) font un rapport (demande par le Primat des ministres) conclut à un manque de cohésion dans la chaîne de commandement, chacun travaille dans son coin pour un résultat nul (résumé Perrone 2021, p. 100). La liste est accablante, nous dirions une agitation stérile et une dilution des responsabilité ! C’est pas moi, c’est l’autre ! Aucune coordination ! Nous renvoyons aux pages 99 à 105 pour décrire ce qu’un certain autre général aurait qualifié de chienlit !

3.3. – Et les consorts

Le livre du Professeur Perrone (2021) est féroce. Il y a les autres, les souterrains plus ou moins visibles : des USAsiens, conseillers et profiteurs en tous poils ! (pp.

  • Société Bain & Company, une USAsienne qui est censée piloter la France dans le dépistage du Corona-Virus (Marianne, 4 avril 2020),
  • Microsoft et Cie récupère l’hébergement de l’intégralité des données de santé des Français (pourquoi ? où est l’appel d’offres international ? avant la passation d’un marché public d’état !),
  • cabinet de conseil USAsien McKinsey & Company en matière de communication (a-t-on besoin de communication ou d’opérationnels dans nos hôpitaux ?).

Le Professeur Perrone souligne le caractère multi-conseillé du Président de la République. Au cas où ? La dilution de la responsabilité joue : c’est pas moi, c’est l’autre ! La paperasse fait tampon. Et tout ce monde suce la mamelle financièrement généreuse de La Princesse : dos large et mamelle généreuse ! Quoi qu’il en coûte ?

Et il y a la couche Europe du mille-feuilles ! Le Parquet européen dont on nous annonce aujourdh’ui la création (1/06/2021) va avoir du travail. L’Agence européenne des médicaments va devoir certainement rendre compte de son action et dénoncer les responsables du scandale du Remdesivir (Xavier Bazin 2021, pp. 71-84), un remède inefficace et dangereux. Celà n’a pas empêché l’Europe.d’en commander pour plusieurs millions de dollars (des €uros ici). A suivre !

4. – Réponse : qui gouverne ?

La réponse à la question sur « qui gouverne la France ? » Son gouvernement, bien sûr, son pouvoir exécutif incarné par son Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON. C’est lui le CHEF, le multiconseillé : un général chef d’état-major général l’a appris à ses dépens. C’est un super key opinion leader (un KOL) ! Dans le cas de la santé publique et de la pandémie. Comme tel, il a le droit à toutes les attentions de ceux qui cherchent à imposer LEUR façon de voir. Les manipulateurs et les manipulés, les ILS des deux titres du Professeur Perronne. Xavier Bazin, le journaliste scientifique (mai 2021) n’hésite pas, il dénonce dans son livre BIGPHARMA, c’est à dire un certain conglomérat d’intérêts financiers gigantesques qui domine l’industrie pharmaceutique, plus particulièrement démonté (Bas les masques …, pp. 187-221). Et là, apparaît clairement la confusion entretenue sciemment ou par ignorance entre la recherche scientifique et l’art de pratiquer la médecine.

4.1. – La recherche scientifique

La recherche scientifique est l’action menée par des scientifiques en vue de produire et de développer des connaissances. Cette recherche est plurielle, menée par des grands organismes institutionnels (CNRS, CEA, INRAE, INSERM, ….) et des Universités. Les domaines sont les sciences physiques, mathématiques, biologiques, humaines, médicales, environnementales, … La Science progresse par observations, déductions, expérimentations, appuyée selon les domaines sur de modestes feuilles de papier et des tableaux blancs (en mathématiques essentiellement) comme de grands équipements coûteux (CERN). Nous nous intéressons particulièrement, ici, au domaine de la recherche médicale. Cette recherche s’exerce sans expérimentations sur l’être humain, c’est strictement interdit ! Les observations sont faites dans les centres hospitaliers universitaires autour desquels gravitent des centres associant médecins praticiens, chercheurs fondamentalistes et personnels techniques d’appui (ingénieurs de recherche, d’études, techniciens de laboratoires, …). Les observations sur les patients en cours de traitements, les autopsies de patients décédés, les expérimentations animales, … sont les seules sources de données. Alors qu’en est-il de la mise au point des remèdes, les médicaments ? Ces derniers sont produits par l’industrie pharmaceutique laquelle investit des sommes considérables pour développer de nouvelles molécules qu’il faut bien pouvoir tester. Ce sont les essais cliniques :

« […] qui permettent d’évaluer de nouveaux traitements […] ou de nouvelles modalités de soins. En effet, avant de proposer de nouveaux traitements à tous les patients concernés, il est impératif de prouver que ces nouveaux traitements sont efficaces et bien tolérés. »

Là se place le nœud du problème : le contact entre l’exercice de la médecine, l’art de guérir des patients et la recherche médicale ou à vocation médicale.

Une maladie peut être mortelle, le médecin qu’il soit généraliste sur le terrain ou le grand professeur et chercheur, a le devoir impératif (serment d’Hippocrate) de guérir son patient avant toute chose et de tirer le meilleur parti des remèdes existants (molécules existantes et éprouvées) sans effets secondaires mettant en danger la vie de ce dernier.

La recherche scientifique médicale est menée surtout par des médecins, des professeurs de médecine surtout. Là se pratiquent des essais cliniques qui obéissent à des protocoles dont le but n’est pas de guérir mais de mettre au point de nouveaux remèdes. Le pouvoir de guérison se fait en comparaison avec des groupes de patients à qui on donne de l’eau claire, salée ou sucrée (placebo) : une substance sans pouvoir soignant et qui dans le cas d’une maladie mortelle peut entraîner la mort de tout ou partie du groupe placebo. Il y a là une contradiction absolue avec la mission de guérison, l’essais clinique est une expérimentation de substances sur l’être humain et en cas de maladie potentiellement mortelle, le placebo est une absence de soins !

4.2. – L’art de guérir les patients

Le médecin, celui qui traite des patients exerce son art en diagnostiquant son patient et en lui prescrivant un traitement. Il peu aussi estimer que l’état de son patient nécessite une hospitalisation plus ou moins lourde en confiant son patient à un centre hospitalier privé (clinique, …) ou public (CHU, …). L’art de guérir va de pair avec la liberté de prescription du médecin lequel a suivi plus de 7 ans d’études générales sanctionnées par un Doctorat en médecine. Je passe sur les années d’internat, sur l’externat, les spécialisations. Des années d’études dont le sommet est le Professorat en médecine et une carrière avec des responsabiltés en centres hospitalo-universitaires.

Il fut une époque assez récente où le médecin délivrait une ordonnance et où un Docteur en pharmacie composait le remêde, le médicament, dans son officine !, sa pharmacie. On est passé au développement de grands laboratoires développant des spécialités pharmaceutiques issues de la recherche bio-physico-chimique, brevetées pour 20 ans en vue de rapporter des revenus aux laboratoires et à leurs actionnaires. Là, le profit vient corrompre le processus vertueux pour faire de l’industrie pharmaceutique un producteur de juteux dividendes (des dizaines de milliards d’Euros ou de Dollars). Xavier Bazin (2021) affime (p. 193) qu’ils forment

« un cartel anti-concurrentiel par définition, qui opèrent de surcroît un marché dans un marché administré dans lequel les États autorisent les médicaments, fixent les prix et, dans la plupart des cas, en assurant le remboursement ».

On est loin des sources, le cartel des industries pharmaceutiques (10 groupes, 50% du marché mondial) a pris la main sur la santé publique, notre santé. Nous vous laissons le plaisir de découvrir comment ce cartel, Big-Pharma, a pris le pouvoir mondialement et dans notre pays en particulier qualifié de « très perméable à l’influence » (exemple cité par Xavier Bazin Mme Agnès Buzyn, ancienne Ministre de la Santé et médecin, prédécesseur de M. Olivier Véran, lui aussi médecin (neurologue).

4.3. – L’influence au plus haut niveau

Le journaliste scientifique Xavier Bazin dénonce dans son livre (p. 194) un certain dîner (référence à un article de Médiapart) le 8 juillet 2019 où le Chef de l’État, en compagnie de son Ministre Buzyn, invite plusieurs représentants de l’Industrie pharmaceutique. Xavier Bazin souligne que, coïncidence, le lendemain 9 juillet, Mme Buzyn annonce le déremboursement de l’homéopathie (notre infra p. 195). Quelle coïncidence fâcheuse ! Un de nos lecteurs a décortiqué pour nous l’article de M. Mérôme Jardin (MEDIAPART) et a découvert le site de l’APM-News qui annonçait pour le 8 juillet 2019 la réception offerte à Big Pharma le 8 juillet 2019 à l’Élysée (La pharma mondiale reçue …). On découvre qu’une autre réception a bien eu lieu le 9 juillet 2018 « Un dîner à l’Élysée » la veille de la réunion du CSIS le 10 juillet 2018. On se demande pourquoi ces réunions au sommet de l’État ? La coïncidence entre ces réunions et certaines décisions favorables à l’industrie pharmaceutique bio-chimique est troublante. Si Jupiter domine bien depuis son poste de Président de la République, lui et ses ministres semblent entendre des murmures provenant de Big-Pharma, du cartel anticoncurrentiel dont nous avons cité ci-dessus le rôle joué dans un marché administré, régulé, financé par notre Sécurité Sociale, la Princesse au dos large qui paie champagne, vins fins et mets raffinés offerts dans ces dîners entre hauts-personnages !

Big-Pharma a trouvé là un ancien banquier dont l’action en ce début de pandémie en octobre 2019 a failli amener notre pays à la catastrophe économique et sanitaire. Est-ce une coïncidence si on trouve sur le site de SANOFI un point sur la situation du Plaquenil et une mise en garde contre le Plaquenil associé à … (hydroxychloroquine et azithromycine). Gageons que le Professeur Didier Raoult saura réagir à cette attaque contre son traitement qui marche si bien contre la CoVid-19 !

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Quand des aveugles mènent des lions

Nous relayons : Argos veille

Quand la Macronie patauge … C’est le titre d’une feuille d’information d’avril 2021 écrite par M. Xavier Raufer. Nous l’avons téléchargée pour vous. Cliquez sur ce lien pour la télécharger à votre tour !

M. Raufer n’ose pas reprendre à son compte par respect pour nos institutions [malades ?] la parole d’un historien britannique qui déplorait le massacre des soldats britanniques en 1914-1918 :

« Des lions menés par des ânes » (Churchill ?). En parlant de généraux incapables (1914-1918).

Nous respectons nos lions : nos policiers, gendarmes, douaniers, services de renseignements, …, tous ceux qui concourent à notre sécurité et qui sont conduits, nous dirons par des aveugles, pour ne pas faire injure aux ânes, animaux très intelligents, que de qualifier nos gouvernants avec ce nom. Ce sont des aveugles ? Nos prochaines élections vous permettront de renvoyer le banquier d’affaires qui nous dirige vers ses chères banques et autres Davos !

Hélas, il y a eu une fonctionnaire de police égorgée au moment où en Europe cette forme de terrorisme est devenue rare. M. Nunez Laurent déclare que ce genre de terroriste-assassin-jihadiste est « très difficile à suivre ». M. Raufer pose la question « par qui ?, pourquoi ? ». Sommes-nous devenus aveugles, sourds ? Nos services de renseignement ne sont-ils plus capables de lire les signaux faibles ? Faudrait-il leur greffer une intelligence artificielle pour suppléer leur manque d’intelligence ?

Nos gouvernants ignorent-ils que les ordinateurs et leurs systèmes ne sont là que pour aider les gens intelligents en répondant aux bonnes questions par les bonnes réponses qu’on a stocké dans les bases de données. Il faut d’abord disposer des bonnes bases de faits à soumettre aux moteurs d’inférence, des fait tirés du terrain, sans dogmatisme, des faits tirés de l’observation du terrain, du terreau criminalo-terroriste-jihadiste et de la littérature qui les provoque, à savoir le Coran mal lu, mal connu et mal interprété avec la litanie de Hadths-Sunna et consorts des salafistes. Alors, oui, sans dogmatisme, avec beaucoup de pragmatisme et de bon sens, on pourra détecter et anticiper ces faits qui ménent à des cérémonies funbèbres dont nous nous passerons volontiers.

A vous citoyens et contribuables de juger !




Argos Panoptes




Contrer l’islamisation et la radicalisation

Argos Panoptés

In

Contrer l’islamo-jihadisme terroriste

M. Olivier Roy a publié un ouvrage intéressant sur lequel il a été interrogé au Club de la Presse d’Europe1. Il s’est exprimé sur le jihadisme et les jihadistes, apportant une vue nouvelle sur ce phénomène qui nous apporte le terrorisme en France. Il parle d’«islamisation des radicaux » en contredisant Gilles Kepel et ses élèves qui parlent de « radicalisation de l’islam ». Olivier Roy parle de « losers ». Il est vrai que militairement, les partisans de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya ou DAECH) a été durement étrillé sur le terrain de l’Irak et de la Syrie. Ils ont perdu mais n’ont pas été éradiqués. Le fondateur de ce mouvement islamiste Abou-bakr-al-Bagdadi est mort au fond d’un tunnel mais des groupes jihadistes, restes du califat, subsistent sur le terrain et ont laissé des relais dans les pays occidentaux, en France en particulier. Comment lutter contre ceux qui ont ce dernier mois, alimenté de manière tragique l’actualité de notre pays.

1 – Un précurseur lanceur d’alerte

Nous ne pourrons dire que nous avons été surpris, surtout en haut-lieu, parmi les hauts-personnages qui nous gouvernent. Xavier Raufer, Alain Bauer, les groupes de travail des Associations régionales des Anciens Auditeurs de l’IHEDN ont suffisamment tiré la sonnette d’alarme. Nous serions gouvernés par des Autistes ou par des gens qui affirment que l’Histoire (avec un H majuscule) commence avec eux. A l’opposé, les scientifiques qui vont traiter un sujet vont rechercher ce qui a été écrit avant eux et en font le point de départ de leur recherche, soit pour contredire, soit pour confirmer et ajouter, de toutes façons, une nouveauté. M. Olivier Roy vient de nous livrer sa version, M. Macron et ses marcheurs devraient bien lire ce que leurs prédécesseurs ont écrit et les lois qui ont été votées. C’est ce que trois auteurs ont publié en 2015 (Le jihadisme: le comprendre pour mieux le combattre.- David Benichou (magistrat), Farid Khoroskhavar (universitaire) et Philippe Migaux (universitaire), Plon (département d’Edit), 2015).

1.1 – un livre a relire

Le livre que nous citons ici est à relire avec attention surtout le chapitre rédigé par le magistrat anti-terroriste (AT) David Benichou (pp. 324 à 403). Les pages consacrées au plan de lutte contre les filères syriennes (pp. 358-368) ont retenu notre attention en les rapprochant des déclarations d’Olivier Roy. Le juge, fort de son expérience de magistrat AT et de son observatoire des phénomènes terroristes nous précise que « Le régime de lutte anti-terroriste est caractérisé par des procédures dérogatoires au droit commun », ce que nous admettons. Les méthodes des terroristes sont abjectes et le fait de lâches. Cependant, avec les autres formes de criminalité, il partage les techniques d’enquêtes strictement encadrées par la loi.

Le juge affirme (page 129) que le terrorisme islamisto-jihadiste emploie les mêmes techniques à la fois ancestrales et modernes : ruse élémentaire (contre-filatures, cloisonnement des moyens de communication) et les formes modernes (navigation Internet, cryptage, détection de micros-espions, de caméras, …). Il affirme que le jihadisme n’est qu’une forme de ciminalité organisée qui emploie régulièrement des anciens braqueurs, de petites frappes (voyous), trafiquants de stupéfiants et de cigarettes, parfaits connaisseurs des techniques d’interrogatoires et d’enquête pour les avoir endurés. Le profil du terroriste se construit avec le temps, soit en prison, soit dans ses quartiers.

1.2 – La stratégie islamo-jihadiste fasciste-terroriste

Quel est le rapport avec l’Islam ? Le jihado-terroriste sait que la liberté de religion est garantie par la constitution. Il va se servir de l’Islam pour semer les graines de la discorde, habiller ses actes crapuleux des valeurs religieuses. Il nous réclame, au nom de nos valeurs les droits et libertés inscrits dans nos textes fondamentaux, pour instituer une organisation totalitaire à caractère religieux (une théocratie). Lui ou ses maîtres à pense osent puiser dans le versets les plus belliqueux du Coran et les hadiths les plus sombres les affirmations les plus radicalement opposés à nos valeurs.

Le juge nous dit (p. 129), en 2015, que « l’assassinat perpétré à Charlie-Hebdo en a été la sanglante démonstration » (refus de reconnaître la primauté de nos lois).

1.3 – Le manque total d’esprit humoristique

La culture moyenâgeuse reçue par les candidats au martyre ignore totalement ce qu’est l’esprit critique et notamment le caractère humoristique d’une caricature. L’humour féroce s’oppose à l’interdiction pour le musulman de représenter un visage, voire un corps humain. Il exprime, certes, une dérision mais celle-ci est permise par la loi de notre pays. C’est un droit de l’homme (être humain) de s’exprimer librement Or, le militantisme islamiste se sert de cette liberté pour protester, il en a le droit mais pas le droit de tuer ou d’inciter un jeune écervelé (à qui on a lavé le cerveau) à parcourir 2.000 km depuis la Tunisie pour venir tuer trois citoyens français dans une église ! La pratique d’un tel islam est incompatible avec nos lois, nous sommes en état de légitime défense.

Le droit à la sûreté figure dans nos lois fondamentales, comme le droit de tirer accordé à nos forces de l’ordre devant un agresseur qui les menace.

Le terrorisme jihadiste est un monstre contemporain, une hybridation d’une sous-culture religieuse, d’une haine anti-juive, d’un fantasme conspirationniste, d’un nihilisme et d’un culte de la représentation de soi, le tout se développant sur des terreaux qui, au fil des interrogatoires judiciaires, commencent à livrer leurs invariants structurants. Le juge Benichou met en avant la fragilité des populations visées plus ou moins en difficultés (famille, revenus, emplois, relations affectives, …) chez lesquelles deux dimensions vont faire basculer le levier de la conversion radicale :

  • conversion au sens propre lorsqu’il sera question d’opter pour l’islam,
  • conversion au sens figuré lorsque le musulman d’origine va opter pour la radicalité, pour un projet collectif ou individuel jihadiste violent.

Toute forme d’humour est exclue de la pensée jihadiste.

2 – La reprise des théses sur la radicalisation

Selon le site d’Europe1 (La Club de la Presse, 4 décembre 2015), Olivier Roy reprend et valide sans la mentionner, l’analyse du magistrat David Benichou publiée la même année. Il va plus loin.

2.1 – L’islam, nouvelle aventure

Olivier Roy déclare que les islamistes radicaux sont « d’abord radicaux avant d’être islamistes ». Ce sont souvent des jeunes qui vont très peu à la mosquée, boivent et vont en boîtes de nuit (le portait de l’assassin de la basilique de Nice Ibrahim Issaoui, à ceci près qu’il n’y a pas de boîtes de nuit à Sfax accessibles à un jeune homme pauvre). Ce sont souvent des petits délinquants qui en quelques semaines se laissent pousser la barbe, cessent de boire et de fumer du shit et basculent vers le crime terroriste. Roy évoque un déclic individuel.

2.2 – Les convertis et les autres

En 2015, Olivier Roy souligne le rôle des convertis dans le jihadisme criminel violent. Un quart de ces individus français sont des français de souche chrétiens convertis ou des enfants de musulmans appartenant à la deuxième génération, souvent en rupture avec la cellule familiale et parentale. Ils trouvent dans l’islam radical et le jihadisme « le grand récit fantasmé des Mille et Unes nuits ». Convertis ou musulmans de souche, ces jeunes qui vont peu à la mosquée ont à peine entendu réciter un ou deux versets du Coran parlant d’épées flamboyantes, de courses à cheval ou à chameau, de butins rutilants, de belles esclaves capturées, … On leur promet monts et merveilles au nom de livres qu’ils sont incapables de lire, ils sont analphabètes en langue arabe ancienne. Mail, il y a le rêve de la reconquête de l’Andalus et de la Narbonnaise ! On ne leur dit pas que Charles Martel (Poitiers 732) a filé une bonne raclée aux Sarrazins d’Abd el-Rahman (tué là).

2.3 – Les shahids et les houris : le paradis d’Allah

Ces nouveaux Aladin (Alaeddine) voient s’ouvrir la possibilité de faire le grand récit de leurs aventures nouvelles sur les médias, de devenir des martyrs (shahids) et l’aller au paradis forniquer des vierges éternelles (houris) pour l’éternité ». Ce que leur ont fait croire des prêcheurs sans scrupules ravis d’avoir de la chair à canons bien fraîche. Du statut de losers (perdants), ces écervelés deviennent des vengeurs aux cris d’Allah Akbar. Ils savent que les policiers ont reçu la consigne de les abattre, au cas où ils dissimuleraient des ceintures explosives ! Ils vont au suicide le coeur joyeux ! en entraînant avec eux le plus possible de victimes chez les infidèles (kouffars). Selon Olivier Roy, en se tuant ou se laissant tuer, ils sont purifiés de leurs forfaits antérieurs et peuvent même gagner le paradis pour leur famille !

Comment lutter contre ce fléau ?

3 – Comment lutter

Lutter contre le terrorisme jihadiste et contre ses inspirateurs (DAECH, Al Quaïda et consorts), selon le politologue Olivier Roy, passerait par « passe par l’épuisement de la fascination », … « en cassant ce discours d’héroïsme que DAECH [et consorts] tient sur lui même ». Or, DAECH est donné comme anéanti mais son discours belliqueux et mortifère a été diffusé et entendu dans le monde entier. Abou Mohamed al-Adnani, le ministre des attentats de DAECH, a trouvé la mort en Syrie le 30 août 2016. Il a lancé un appel au jihad contre la Russie et l’Amérique mais on le soupçonne d’avoir organisé les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ses appels ont été entendus et sont rémanents malgré sa disparition. Entendus et écoutés en France et à l’étranger.

3.1 – Lutte sur notre territoire national

Comme pour la lutte contre le virus Sars-CoV2 (CoVid19), il faut barrer la route à, tracer et dépister le jihadisme terroriste. Il y a un parallélisme entre virus Covid et le virus terroriste.

3.1.1 – Barrer la route à l’immigration indésirable

Nous devons contrôler l’immigration qui entre en France. Nous devons exercer la Souveraineté Nationale. Nos forces de police et de gendarmerie, notre armée, sont là pour nous protéger. Elles doivent recevoir l’appui des réservistes. Au fait, où est passée notre Garde Nationale ? On n’en entend plus parler ! Elle a disparu ! Il faut y ajouter l’action de nos douanes et de TracFin. Tout ce qui réaffirme notre force et notre souveraineté nationale doit être mis en oeuvre, y compris la vigilance citoyenne. Notre pays a une fâcheuse relation à la vigilance citoyenne qui s’est exercée en 1940-45 par la collaboration avec une puissance occupante. En 2020, nous luttons contre l’occupation d’une 5e colonne terroriste et contre une maladie encore mal connue.

3.1.2 – Renseigner nos dirigeants

Le renseignement intérieur est le phare qui éclaire la route des policiers et gendarmes chargés de réprimer les actes délictueux et, surtout, les prévenir, les empêcher. La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) est chargée de ce travail indispensable. Au moins un attentat par mois est évité.

Du renseignement à la poursuite judiciaire des crimes terroristes, la question se pose des moyens mis en œuvre et de leur répartition. Comment se fait la mise en œuvre des trois composantes successives du traitement (instruction) d’une affaire de terrorisme (d’après David Benichou, 2015) :

  1. acquisition du renseignement,
  2. enquête judiciaire (enquête de flagrance, ou préliminaire) dirigée par le parquet anti-terroriste, information judiciaire sous la direction des magistrats instructeurs anti-terroristes,
  3. phase du procès devant la cour d’assises spéciale composée de magistrats professionnels puis juridiction d’application des peines.

La communication entre les activités de renseignement dans la plus grande discrétion, leur coordination au sommet de l’Êtat posent le problème des libertés publiques, une dérogation à une instruction de droit commun et le travail en commun renseignement-justice. La problématique jihadiste souligne la pertinence du risque de perte du contrôle démocratique qui s’exerce sur le renseignement.

Le problème de la coordination des services (DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DND, DRP, etc.) semble en voie de solution. Se pose alors le problème de la coordination avec les autres pays européens.

3.2 – Lutte sur notre territoire européen

Le problème est soulevé de la création d’une agence de renseignements européenne. Après chaque attentat majeur sur le sol européen, des voix s’élèvent pour demander la création d’une agence européenne de renseignement. Ce problème est loin d’être résolu. « Nous n’avons pas d’amis, nous n’avons que des alliés » dit une membre d’un service de renseignement très fermé, la DPSD.

L’agence Frontex déployée sur les frontières de l’Europe ne semble pas donner satisfaction, l’exemple récent du transit de terroristes à travers l’Italie vers Nice en est un exemple. Notre Ministre de l’Intérieur va rencontrer son homologue italien pour traiter directement le problème du refoulement des indésirables et notamment le cas de ce Tunisien qui ‘na pas déposé de demande d’asile, n’a pas été refoulé et a pu gagner la France et la ville de Nice où il a commis son forfait.

3.3 – Lutte à l’étranger

Hors du territoire national commence le territoire étranger. Une certaine coopération existe avec certains états mais le gros du travail de renseignement est le fait de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE).

C’est une entité dépendant du Ministère des Armées, travaillant en étroite coopération avec la DGSI, son homologue civil. Bien entendu, ses activités sont secrètes. C’est la condition essentielle de son efficacité. C’est une jeune analyste de la DGSE qui a permis à un drone armé de pulvériser la voiture du chef shebabs (un terroriste somalien).

D’autres services sur lesquels il ne nous appartient pas de nous étendre assurent la sécurité de nos armées en opérations extérieures. Mais rien ne pourra être fait si la France, une démocratie, ne se dote pas d’une législation d’exception et, en attendant, n’applique pas les lois existantes et ne facilite pas le transfert des informations vers l’appareil judiciaire.

4 – La barrière législative en France

Le magistrat David Benichou décrit, en 2015, à propos du jihadisme, les 23 mesures découlant de la loi du 13 novembre 2014. Mais qu’en est-il de l’application de cette loi ?

En 2020, on nous annonce une loi sur le « séparatisme ». A-t-elle tenu compte de l’existant ? La loi du 13 novembre 2014 a été conçue pour contrarier les départs vers les terres du jihad (Syrie, Irak, …) et sanctionner les retours de combattants aguerris (hommes, femmes enfants). Déjà en 2015, des rapports parlementaires ont attiré l’attention des gouvernants sur la menace terroriste croissante. Ce sont :

  • Assemblée nationale : rapports Pietrasanta n° 2173 du 22 juillet 2014 et Ciotti n° 2828 du 2 juin 2015 ;
  • Sénat : rapport Goulet-Reichardt n° 388 du 1er avril 2015.

Ces rapports ont en commun d’attirer l’attention de la classe politique sur la menace terroriste croissante due aux groupes terroristes islamistes salafistes de la mouvance radicale (n° 2173 AN : p. 10 et suiv.), sur les conséquences des attentats des 7 et 9 janvier 2015 et de la cyber-attaque contre TV5 Monde (n° 2828 AN : p. 9 et suiv.) et sur l’existence de 1.432 ressortissants français partis vers les zones de combat irako-syriennes dont 119 femmes (n° 388 SEN : p. 9 et suiv.). En 2015, nous sommes sous la Présidence de François Hollande et le mandat ministèriel de Mme Christiane Taubira. Ces rapports semblent n’avoir pas été pris au sérieux pour des motifs idéologiques. Nous en subissons aujourd’hui les conséquences. Nous étions prévenus.

Conclusion

Il a fallu plusieurs années pour que l’ancien ministre des Finances Macron (2014-2017) élu Président de la République en 2017 change de paradigme et découvre l’islamisme, le désignant par son nom en octobre 2020. Pour lutter contre le « séparatisme » de l’Islam politique (jihadisme, islam politique et terrorisme), enfin les mots justes sont employés. Combien de deuils ? En moins d’un mois, Paris, Conflans, Nice ont enfin déclenché une timide répression qui doit aller en s’accélérant. Les mesures destinées à prévenir les retours de jihadistes doivent nous prémunir contre le 5e colonne des jihadistes installés et de leurs suppôts. Il nous faut encore recouvrer notre souveraineté en rendant effective la barrière sanitaire contre l’entrée d’individus indésirables futurs assassins porteurs de haine jihadiste et protéger nos ressortissants quelque soit la religion. Il y a des musulmans éclairés qui subissent aussi la haine de ces individus. Ils ont droit aussi à vivre en paix dans notre pays et doivent être protégés.

Monsieur Darmanin, ministre de l’intérieur, descendant d’un grand-père tirailleur algérien doit pouvoir continuer sa mission. Il a comme Directeur de Cabinet un Préfet qui sait ce que sont les services de renseignement dont il a été le coordonnateur auprès du Président. Son remplaçant devra poursuivre sa mission. Le lien entre les services de renseignement et les instances juridiques répressives doit être plus efficace et la loi doit être adaptée aux circonstances exceptionnelles devant lesquelles nous place le terrorisme islamiste. A l’abri du bouclier enfin opérationnels, un islam modéré, éclairé, débarrassé de l’obscurantisme, pourra enfin s’épanouir en France.smiley


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Vous attaquez la police, vous risquez gros !

Nous observons et vous informons

L’attaque d’un poste de police à Champigny-sur-Marne doit avoir pour résultat l’envoi d’un message de fermeté suivi d’actes : vous attaquez un service régalien de l’Etat, vous risquez de vous faire tirer dessus et d’être lourdement condamnés.

Il est inadmissible que des policiers ne puissent faire usage de leurs armes en état de légitime défense. Il ne suffit pas d’interdire les feux d’artifices et les mortiers vendus à des particuliers ! Il faut que les délinquants comprennent que les conséquences pour eux d’une attaque pareille sera lourde de conséquences. A condition que les tribunaux soient sans indulgence et agissent rapidement.

Nous savons pour les avoir vues lors d’une réception à la Direction de la Police de Montpellier il y a deux ans que les fusils HK MP5 existent mais que leur utilisation est si réglementée qu’ils ne servent à rien dans les coffres fermés à clef.

Un citoyen excédé
Jean PEUPLUS


Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines




On a trouvé un complice receleur

Argos Panoptes

Nous observons et informons

Dans l’affaire du tueur assassin jihadiste de Nice, on a trouvé qui est le navire receleur qui a recueilli en mer le terroriste Brahim Issaoui et l’a amené le 20 septembre à Lampedusa. Il s’agit du navire allemand « Alan Kurdi », de l’ONG « See-Eye », le seul à avoir débarqué des naufragés ce jour là à Lampedusa. C’est un délit de complicité et de recel de malfaiteur !

Cliquez sur ce lien pour savoir.

On tient un complice !

Le veilleur et lanceur d’alerte

Nouvelle vérifiée et validée par la Webmestre. En colère et en deuil de nos compatriotes lâchement assassinés ; Conflans, Nice et les habitants de Vienne (Autriche).
Nous ne sommes pas inhumains mais prudents. Tout réfugié doit être filtré et sondé sur ses motivations et ses intentions réelles avant d’être admis chez nous. Nous avons le droit de nous protéger après avoir aidé et soigné ces naufragés volontaires.




Politique à la godille

Nous écoutons

Entendu au micro des GG de RMC ce matin 14 novembre 2018 : une citation de Monsieur Edouard PHILIPPE, actuel Premier Ministre (Primat) «notre pays manque d’être gouverné, … nous faisons une politique à la godille ».
J’ajouterais avec des godillots, on bidouille, on bricole, bref une vieille politique et rien de neuf. On pique du fric (les inspecteurs des finances savent y faire !) et on en redistribue avec un tas de seuils et de conditions ! Ca rappelle ce monsieur qui avait sa « petite caisse à outils ! ».
Pensez vous qu’il n’y a rien de changé ?

«Make France Great again »


Un Auditeur IHEDN 1985