Nous soutenons le Professeur Raoult


Tableau de Delacroix la Liberté
Tableau de Delacroix la Liberté
Ils veulent sa peau
Ils veulent sa peau

Chers lecteurs, ici NOUS SOUTENONS LE PROFESSEUR DIDIER RAOULT,

Signez la pétition de soutien à Didier Raoult. Nous relayons l’appel de Guillaume Chopin :

Le poids des lobbies pharmaceutiques risque une nouvelle fois d’avoir raison de notre santé…

…et de la voix des gens comme vous et moi.

Il faut tout faire pour éviter ça et faire valoir notre droit à une médecine indépendante et sûre.

En s’en prenant au Pr. Raoult, ils s’en prennent à chacun de nous.

Informez vos amis, vos proches et transférez-leur ce message :

  • envoyez-le par mail
  • faites suivre la pétition sur whatsapp
  • partagez-là sur Facebook

C’est important. La vie de centaines de malades du Covid est en jeu.

Votre dévoué,

Guillaume Chopin


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean PEUPLUS
Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Contrer l’islamisation et la radicalisation

Argos Panoptés

In

Contrer l’islamo-jihadisme terroriste

M. Olivier Roy a publié un ouvrage intéressant sur lequel il a été interrogé au Club de la Presse d’Europe1. Il s’est exprimé sur le jihadisme et les jihadistes, apportant une vue nouvelle sur ce phénomène qui nous apporte le terrorisme en France. Il parle d’«islamisation des radicaux » en contredisant Gilles Kepel et ses élèves qui parlent de « radicalisation de l’islam ». Olivier Roy parle de « losers ». Il est vrai que militairement, les partisans de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya ou DAECH) a été durement étrillé sur le terrain de l’Irak et de la Syrie. Ils ont perdu mais n’ont pas été éradiqués. Le fondateur de ce mouvement islamiste Abou-bakr-al-Bagdadi est mort au fond d’un tunnel mais des groupes jihadistes, restes du califat, subsistent sur le terrain et ont laissé des relais dans les pays occidentaux, en France en particulier. Comment lutter contre ceux qui ont ce dernier mois, alimenté de manière tragique l’actualité de notre pays.

1 – Un précurseur lanceur d’alerte

Nous ne pourrons dire que nous avons été surpris, surtout en haut-lieu, parmi les hauts-personnages qui nous gouvernent. Xavier Raufer, Alain Bauer, les groupes de travail des Associations régionales des Anciens Auditeurs de l’IHEDN ont suffisamment tiré la sonnette d’alarme. Nous serions gouvernés par des Autistes ou par des gens qui affirment que l’Histoire (avec un H majuscule) commence avec eux. A l’opposé, les scientifiques qui vont traiter un sujet vont rechercher ce qui a été écrit avant eux et en font le point de départ de leur recherche, soit pour contredire, soit pour confirmer et ajouter, de toutes façons, une nouveauté. M. Olivier Roy vient de nous livrer sa version, M. Macron et ses marcheurs devraient bien lire ce que leurs prédécesseurs ont écrit et les lois qui ont été votées. C’est ce que trois auteurs ont publié en 2015 (Le jihadisme: le comprendre pour mieux le combattre.- David Benichou (magistrat), Farid Khoroskhavar (universitaire) et Philippe Migaux (universitaire), Plon (département d’Edit), 2015).

1.1 – un livre a relire

Le livre que nous citons ici est à relire avec attention surtout le chapitre rédigé par le magistrat anti-terroriste (AT) David Benichou (pp. 324 à 403). Les pages consacrées au plan de lutte contre les filères syriennes (pp. 358-368) ont retenu notre attention en les rapprochant des déclarations d’Olivier Roy. Le juge, fort de son expérience de magistrat AT et de son observatoire des phénomènes terroristes nous précise que « Le régime de lutte anti-terroriste est caractérisé par des procédures dérogatoires au droit commun », ce que nous admettons. Les méthodes des terroristes sont abjectes et le fait de lâches. Cependant, avec les autres formes de criminalité, il partage les techniques d’enquêtes strictement encadrées par la loi.

Le juge affirme (page 129) que le terrorisme islamisto-jihadiste emploie les mêmes techniques à la fois ancestrales et modernes : ruse élémentaire (contre-filatures, cloisonnement des moyens de communication) et les formes modernes (navigation Internet, cryptage, détection de micros-espions, de caméras, …). Il affirme que le jihadisme n’est qu’une forme de ciminalité organisée qui emploie régulièrement des anciens braqueurs, de petites frappes (voyous), trafiquants de stupéfiants et de cigarettes, parfaits connaisseurs des techniques d’interrogatoires et d’enquête pour les avoir endurés. Le profil du terroriste se construit avec le temps, soit en prison, soit dans ses quartiers.

1.2 – La stratégie islamo-jihadiste fasciste-terroriste

Quel est le rapport avec l’Islam ? Le jihado-terroriste sait que la liberté de religion est garantie par la constitution. Il va se servir de l’Islam pour semer les graines de la discorde, habiller ses actes crapuleux des valeurs religieuses. Il nous réclame, au nom de nos valeurs les droits et libertés inscrits dans nos textes fondamentaux, pour instituer une organisation totalitaire à caractère religieux (une théocratie). Lui ou ses maîtres à pense osent puiser dans le versets les plus belliqueux du Coran et les hadiths les plus sombres les affirmations les plus radicalement opposés à nos valeurs.

Le juge nous dit (p. 129), en 2015, que « l’assassinat perpétré à Charlie-Hebdo en a été la sanglante démonstration » (refus de reconnaître la primauté de nos lois).

1.3 – Le manque total d’esprit humoristique

La culture moyenâgeuse reçue par les candidats au martyre ignore totalement ce qu’est l’esprit critique et notamment le caractère humoristique d’une caricature. L’humour féroce s’oppose à l’interdiction pour le musulman de représenter un visage, voire un corps humain. Il exprime, certes, une dérision mais celle-ci est permise par la loi de notre pays. C’est un droit de l’homme (être humain) de s’exprimer librement Or, le militantisme islamiste se sert de cette liberté pour protester, il en a le droit mais pas le droit de tuer ou d’inciter un jeune écervelé (à qui on a lavé le cerveau) à parcourir 2.000 km depuis la Tunisie pour venir tuer trois citoyens français dans une église ! La pratique d’un tel islam est incompatible avec nos lois, nous sommes en état de légitime défense.

Le droit à la sûreté figure dans nos lois fondamentales, comme le droit de tirer accordé à nos forces de l’ordre devant un agresseur qui les menace.

Le terrorisme jihadiste est un monstre contemporain, une hybridation d’une sous-culture religieuse, d’une haine anti-juive, d’un fantasme conspirationniste, d’un nihilisme et d’un culte de la représentation de soi, le tout se développant sur des terreaux qui, au fil des interrogatoires judiciaires, commencent à livrer leurs invariants structurants. Le juge Benichou met en avant la fragilité des populations visées plus ou moins en difficultés (famille, revenus, emplois, relations affectives, …) chez lesquelles deux dimensions vont faire basculer le levier de la conversion radicale :

  • conversion au sens propre lorsqu’il sera question d’opter pour l’islam,
  • conversion au sens figuré lorsque le musulman d’origine va opter pour la radicalité, pour un projet collectif ou individuel jihadiste violent.

Toute forme d’humour est exclue de la pensée jihadiste.

2 – La reprise des théses sur la radicalisation

Selon le site d’Europe1 (La Club de la Presse, 4 décembre 2015), Olivier Roy reprend et valide sans la mentionner, l’analyse du magistrat David Benichou publiée la même année. Il va plus loin.

2.1 – L’islam, nouvelle aventure

Olivier Roy déclare que les islamistes radicaux sont « d’abord radicaux avant d’être islamistes ». Ce sont souvent des jeunes qui vont très peu à la mosquée, boivent et vont en boîtes de nuit (le portait de l’assassin de la basilique de Nice Ibrahim Issaoui, à ceci près qu’il n’y a pas de boîtes de nuit à Sfax accessibles à un jeune homme pauvre). Ce sont souvent des petits délinquants qui en quelques semaines se laissent pousser la barbe, cessent de boire et de fumer du shit et basculent vers le crime terroriste. Roy évoque un déclic individuel.

2.2 – Les convertis et les autres

En 2015, Olivier Roy souligne le rôle des convertis dans le jihadisme criminel violent. Un quart de ces individus français sont des français de souche chrétiens convertis ou des enfants de musulmans appartenant à la deuxième génération, souvent en rupture avec la cellule familiale et parentale. Ils trouvent dans l’islam radical et le jihadisme « le grand récit fantasmé des Mille et Unes nuits ». Convertis ou musulmans de souche, ces jeunes qui vont peu à la mosquée ont à peine entendu réciter un ou deux versets du Coran parlant d’épées flamboyantes, de courses à cheval ou à chameau, de butins rutilants, de belles esclaves capturées, … On leur promet monts et merveilles au nom de livres qu’ils sont incapables de lire, ils sont analphabètes en langue arabe ancienne. Mail, il y a le rêve de la reconquête de l’Andalus et de la Narbonnaise ! On ne leur dit pas que Charles Martel (Poitiers 732) a filé une bonne raclée aux Sarrazins d’Abd el-Rahman (tué là).

2.3 – Les shahids et les houris : le paradis d’Allah

Ces nouveaux Aladin (Alaeddine) voient s’ouvrir la possibilité de faire le grand récit de leurs aventures nouvelles sur les médias, de devenir des martyrs (shahids) et l’aller au paradis forniquer des vierges éternelles (houris) pour l’éternité ». Ce que leur ont fait croire des prêcheurs sans scrupules ravis d’avoir de la chair à canons bien fraîche. Du statut de losers (perdants), ces écervelés deviennent des vengeurs aux cris d’Allah Akbar. Ils savent que les policiers ont reçu la consigne de les abattre, au cas où ils dissimuleraient des ceintures explosives ! Ils vont au suicide le coeur joyeux ! en entraînant avec eux le plus possible de victimes chez les infidèles (kouffars). Selon Olivier Roy, en se tuant ou se laissant tuer, ils sont purifiés de leurs forfaits antérieurs et peuvent même gagner le paradis pour leur famille !

Comment lutter contre ce fléau ?

3 – Comment lutter

Lutter contre le terrorisme jihadiste et contre ses inspirateurs (DAECH, Al Quaïda et consorts), selon le politologue Olivier Roy, passerait par « passe par l’épuisement de la fascination », … « en cassant ce discours d’héroïsme que DAECH [et consorts] tient sur lui même ». Or, DAECH est donné comme anéanti mais son discours belliqueux et mortifère a été diffusé et entendu dans le monde entier. Abou Mohamed al-Adnani, le ministre des attentats de DAECH, a trouvé la mort en Syrie le 30 août 2016. Il a lancé un appel au jihad contre la Russie et l’Amérique mais on le soupçonne d’avoir organisé les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ses appels ont été entendus et sont rémanents malgré sa disparition. Entendus et écoutés en France et à l’étranger.

3.1 – Lutte sur notre territoire national

Comme pour la lutte contre le virus Sars-CoV2 (CoVid19), il faut barrer la route à, tracer et dépister le jihadisme terroriste. Il y a un parallélisme entre virus Covid et le virus terroriste.

3.1.1 – Barrer la route à l’immigration indésirable

Nous devons contrôler l’immigration qui entre en France. Nous devons exercer la Souveraineté Nationale. Nos forces de police et de gendarmerie, notre armée, sont là pour nous protéger. Elles doivent recevoir l’appui des réservistes. Au fait, où est passée notre Garde Nationale ? On n’en entend plus parler ! Elle a disparu ! Il faut y ajouter l’action de nos douanes et de TracFin. Tout ce qui réaffirme notre force et notre souveraineté nationale doit être mis en oeuvre, y compris la vigilance citoyenne. Notre pays a une fâcheuse relation à la vigilance citoyenne qui s’est exercée en 1940-45 par la collaboration avec une puissance occupante. En 2020, nous luttons contre l’occupation d’une 5e colonne terroriste et contre une maladie encore mal connue.

3.1.2 – Renseigner nos dirigeants

Le renseignement intérieur est le phare qui éclaire la route des policiers et gendarmes chargés de réprimer les actes délictueux et, surtout, les prévenir, les empêcher. La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) est chargée de ce travail indispensable. Au moins un attentat par mois est évité.

Du renseignement à la poursuite judiciaire des crimes terroristes, la question se pose des moyens mis en œuvre et de leur répartition. Comment se fait la mise en œuvre des trois composantes successives du traitement (instruction) d’une affaire de terrorisme (d’après David Benichou, 2015) :

  1. acquisition du renseignement,
  2. enquête judiciaire (enquête de flagrance, ou préliminaire) dirigée par le parquet anti-terroriste, information judiciaire sous la direction des magistrats instructeurs anti-terroristes,
  3. phase du procès devant la cour d’assises spéciale composée de magistrats professionnels puis juridiction d’application des peines.

La communication entre les activités de renseignement dans la plus grande discrétion, leur coordination au sommet de l’Êtat posent le problème des libertés publiques, une dérogation à une instruction de droit commun et le travail en commun renseignement-justice. La problématique jihadiste souligne la pertinence du risque de perte du contrôle démocratique qui s’exerce sur le renseignement.

Le problème de la coordination des services (DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DND, DRP, etc.) semble en voie de solution. Se pose alors le problème de la coordination avec les autres pays européens.

3.2 – Lutte sur notre territoire européen

Le problème est soulevé de la création d’une agence de renseignements européenne. Après chaque attentat majeur sur le sol européen, des voix s’élèvent pour demander la création d’une agence européenne de renseignement. Ce problème est loin d’être résolu. « Nous n’avons pas d’amis, nous n’avons que des alliés » dit une membre d’un service de renseignement très fermé, la DPSD.

L’agence Frontex déployée sur les frontières de l’Europe ne semble pas donner satisfaction, l’exemple récent du transit de terroristes à travers l’Italie vers Nice en est un exemple. Notre Ministre de l’Intérieur va rencontrer son homologue italien pour traiter directement le problème du refoulement des indésirables et notamment le cas de ce Tunisien qui ‘na pas déposé de demande d’asile, n’a pas été refoulé et a pu gagner la France et la ville de Nice où il a commis son forfait.

3.3 – Lutte à l’étranger

Hors du territoire national commence le territoire étranger. Une certaine coopération existe avec certains états mais le gros du travail de renseignement est le fait de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE).

C’est une entité dépendant du Ministère des Armées, travaillant en étroite coopération avec la DGSI, son homologue civil. Bien entendu, ses activités sont secrètes. C’est la condition essentielle de son efficacité. C’est une jeune analyste de la DGSE qui a permis à un drone armé de pulvériser la voiture du chef shebabs (un terroriste somalien).

D’autres services sur lesquels il ne nous appartient pas de nous étendre assurent la sécurité de nos armées en opérations extérieures. Mais rien ne pourra être fait si la France, une démocratie, ne se dote pas d’une législation d’exception et, en attendant, n’applique pas les lois existantes et ne facilite pas le transfert des informations vers l’appareil judiciaire.

4 – La barrière législative en France

Le magistrat David Benichou décrit, en 2015, à propos du jihadisme, les 23 mesures découlant de la loi du 13 novembre 2014. Mais qu’en est-il de l’application de cette loi ?

En 2020, on nous annonce une loi sur le « séparatisme ». A-t-elle tenu compte de l’existant ? La loi du 13 novembre 2014 a été conçue pour contrarier les départs vers les terres du jihad (Syrie, Irak, …) et sanctionner les retours de combattants aguerris (hommes, femmes enfants). Déjà en 2015, des rapports parlementaires ont attiré l’attention des gouvernants sur la menace terroriste croissante. Ce sont :

  • Assemblée nationale : rapports Pietrasanta n° 2173 du 22 juillet 2014 et Ciotti n° 2828 du 2 juin 2015 ;
  • Sénat : rapport Goulet-Reichardt n° 388 du 1er avril 2015.

Ces rapports ont en commun d’attirer l’attention de la classe politique sur la menace terroriste croissante due aux groupes terroristes islamistes salafistes de la mouvance radicale (n° 2173 AN : p. 10 et suiv.), sur les conséquences des attentats des 7 et 9 janvier 2015 et de la cyber-attaque contre TV5 Monde (n° 2828 AN : p. 9 et suiv.) et sur l’existence de 1.432 ressortissants français partis vers les zones de combat irako-syriennes dont 119 femmes (n° 388 SEN : p. 9 et suiv.). En 2015, nous sommes sous la Présidence de François Hollande et le mandat ministèriel de Mme Christiane Taubira. Ces rapports semblent n’avoir pas été pris au sérieux pour des motifs idéologiques. Nous en subissons aujourd’hui les conséquences. Nous étions prévenus.

Conclusion

Il a fallu plusieurs années pour que l’ancien ministre des Finances Macron (2014-2017) élu Président de la République en 2017 change de paradigme et découvre l’islamisme, le désignant par son nom en octobre 2020. Pour lutter contre le « séparatisme » de l’Islam politique (jihadisme, islam politique et terrorisme), enfin les mots justes sont employés. Combien de deuils ? En moins d’un mois, Paris, Conflans, Nice ont enfin déclenché une timide répression qui doit aller en s’accélérant. Les mesures destinées à prévenir les retours de jihadistes doivent nous prémunir contre le 5e colonne des jihadistes installés et de leurs suppôts. Il nous faut encore recouvrer notre souveraineté en rendant effective la barrière sanitaire contre l’entrée d’individus indésirables futurs assassins porteurs de haine jihadiste et protéger nos ressortissants quelque soit la religion. Il y a des musulmans éclairés qui subissent aussi la haine de ces individus. Ils ont droit aussi à vivre en paix dans notre pays et doivent être protégés.

Monsieur Darmanin, ministre de l’intérieur, descendant d’un grand-père tirailleur algérien doit pouvoir continuer sa mission. Il a comme Directeur de Cabinet un Préfet qui sait ce que sont les services de renseignement dont il a été le coordonnateur auprès du Président. Son remplaçant devra poursuivre sa mission. Le lien entre les services de renseignement et les instances juridiques répressives doit être plus efficace et la loi doit être adaptée aux circonstances exceptionnelles devant lesquelles nous place le terrorisme islamiste. A l’abri du bouclier enfin opérationnels, un islam modéré, éclairé, débarrassé de l’obscurantisme, pourra enfin s’épanouir en France.smiley


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Un meneur islamiste qui se croit tout permis

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Un qui se croit tout permis !

M. Sefrioui se croit tout permis. un de nos fidèles contributeurs nous a soumis une proposition de billet que nous avons remaniée et documentées. M. Abdelhakim Sefrioui est un agitateur islamo-fasciste bien connu de nos hautes-autorités nationales. Nous donnons la parole à notre contributeur qui est Ancien-Auditeur de l’Institut des Hautes-Études de la Défense Nationale (AA-IHEDN), organisme reconnu par le Code militaire et qui a son siège à l’École Militaire de Paris. Cet ami a fait partie de la 81e session régionale (Versailles, 1984). Il est toujours actif au sein de l’Association Régionale des AA-IHEDN-LR). Nous reproduisons son billet reçu via courriel.


En 1997, j’ai fait partie de l’AA-IHEDN Bourgogne où siégeait un comité de réflexion-rédaction très actif composé de réservistes militaires (terre-air-mer), de membres de la société civile et de fonctionnaires locaux. Notre comité avait reçu du Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN, actuellement SGDNS) un sujet à traiter « La République et les Sectes ». Après neuf mois consacrés en soirée et en week-ends à des réunions, conférences, visites de sites, …. nous avons remis un rapport dont une des conclusions était « Islam, danger ».

En fin de l’année 1998, nous avions vu émerger des mouvements religieux à caractère sectaire qui avaient commencé à faire parler d’eux. Parmi eux, des sectes se réclamant de l’Islam avaient commencé à faire parler d’elles. En ce 4e trimestre de 2020, après de nombreux attentats perpétrés dans le monde, en Europe et en France, nous sommes rendus ce 16 octobre 2020 dans une rue de Conflans-Sainte-Honorine menant à Eragny devant le corps décapité d’un enseignant de la République découvert par la Police municipale. Cet enseignant a été atrocement assassiné près de son collège, dans une rue sur le trajet de retour à son domicile. La Police nationale appelée découvre non loin de là un individu, l’assassin, qui prend à partie l’équipage policier avec une arme de poing. Il est abattu alors qu’il criait « Allahou akbar ». C’est un jeune russe tchetchène de 18 ans demeurant à Evreux où il bénéficie avec sa famille du statut de réfugié politique. L’enquête va vite progresser et aboutir, entre autres à l’arrestation d’une agitateur islamiste bien connu, M. Abdelhakim Sefrioui, français d’origine marocaine.

Ce monsieur est double national. Français par son mariage avec une française qu’il a dû sans doute convertir, il est marocain car né au Maroc à Fès (21 avril 1959). Aux termes de la loi du royaume du Maroc, la qualité de « sujet de Sa Majesté » chérifienne est inaliénable sur plus de sept générations, imperdable. Or, une procédure de déchéance de la nationalité française n’a pu aboutir en 2010, l’article de l’hebdomadaire Le Point met en cause « la bienveillance dont il jouissait après des autorité marocaines » (sic !). Ce f … de m … est donc resté chez nous, poursuivant son oeuvre malfaisante avec un double discours et un antisémitisme violent, s’opposant aux musulmans modérés.

La question se pose des réseaux entretenus par cet individu ! Au Maroc, il faisait était membre du « Parti de la Justice et du Développement », en France il a fait partie de « Forsane Alizza » (organisation dissoute). Il a importuné violemment des hauts-responsables musulmans modérés. Ça suffit, en prison, devant la justice puis dehors ! Le Roi du Maroc se fera un plaisir de récupérer ce trublion chez lui ! Barra, horj, fuera, dehors ! Dehors les vipères et à sa sortie de prison, il y a en France, une île au large de la Guyanne, l’île du Diable pour lui servir de résidence assignée.

Quel lien avec la mosquée de Pantin qui a diffusé la vidéo qui aurait déclenché le drame ? L’enquête nous le dira ! Il faut fermer ce lieu d’appel à la haine !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Contribution à la connaissance des mineurs non-accompagnés

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Nous observons et nous informons

Info

Ce soir, nous pensons très fort aux familles des trois victimes innocentes du sauvage attentat qui a endeuillé les chrétiens de Nice, les français de toutes confessions et notamment les musulmans qui veulent vivre en paix dans notre beau pays.

Le sauvage assassinat qui a fait trois morts innocents à Nice ce 29 octobre 2020 est un jeune tunisien de 20 ans ! Il se nommerait Brahim A. Il s’agirait d’un clandestin qui se serait introduit en Italie via l’île de Lampedusa où il aurait débarqué début septembre. Comment a-t-il quitté cette île, qui le téléguidait ? Qui l’a caché et hébergé dans les quartiers nord de Nice ? Rappelons que c’est de ces quartiers que provenait une autre racaille qui avait provoqué un massacre le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais (86 morts, 458 blessés). Ce fumier venait d’arriver début octobre à Nice. L’enquête devrait permettre d’extirper une des métastases du cancer islamo-fasciste implanté à Nice.

Il semblerait que les caméras de surveillance l’ont tracé jusqu’à la gare de Nice où il serait arrivé en provenance d’Italie.

Merci aux policiers municipaux niçois qui l’ont seulement blessé. Il faudra que nos enquêteurs le fassent parler dès que la médecine l’aura retapé et qu’il nous dénonce ses complices. Ensuite, nous l’embastillerons, loi, très loin, aux Îles Kerguélen ou au large de la Guyane, à l’île du Diable (le nom Diable est parfait pour un suppôt de Satan, le shaïtane en arabe) ! Nous avons dans nos îles potentiellement l’éqivalent de Guantanamo (USA).

Jean Aymar


Validé par le webmestre qui a ajouté un lien :

Après les 3 attentats récents, les bouffons dangereux islamistes qui gouvernent le Pakistan, le Tchetchénie, la Tunisie, … en un mot les pays d’où viennent les terroristes, nous font la leçon Ils nous envoient des assassins revêtus d’une peau d’agneau de réfugiés fuyant l’islamisme et qui viennent égorger « nos filles et nos compagnes … » La suite de notre hymne national, vous la connaissez ! Les armes de la France, oui, notre capacité de résilience oui ! Jusqu’à quand allons nous laisser des bateaux à vocation « humanitaire » recueillir des terroristes et nous les convoyer gentiment sur le sol européen ? Le Président islamiste qui gouverne la Turquie semble avoir mis de l’eau dans son vin ? Il a rétropédalé mais trop tard.

Le webmestre

Après l’attentat du 25 septembre 2020 au hachoir par un jeune pakistanais, les opinions les plus diverses ont été émises sur les motivations de ce jeune homme. Le bilan a failli être lourd : deux blessés gravement dont le pronostic vital a été engagé pendant quelques heures. Deux innocents citoyens français ont été sauvagement agressés au hachoir ! Grièvement blessés, leurs jours ne sont plus en danger. L’auteur des faits et un Pakistanais (se prétendant tel), d’âge incertain. Un second supsect arrêté s’est révélé être un jeune citoyen héroïque qui a tentés d’arrêter le présumé « coupable ». Tout d’un coup, les perquisitions aux deux domiciles présumés du présumé coupable ont ramené un beau coup de filet. Neuf personnes dont le frère du coupable ont été mis en garde à vue. Sept on été maintenues en détention.

Qui est ce suspect ?

Hassan A. a declare être né en 2002 à Islamabad (Pakistan). Il était arrivé il y a 3 ans et bénéficiait du statut de « mineur isolé ». Selon le journal Le Monde, il avait été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance qui avait déclaré « qu’il ne présentait aucun signe de radicalisation » ! M. le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin déclare que « la menace a été sous-évaluée » ! Pas celle des immigrés pakistanais mais celle de la rue où avaient étés les locaux de Charlie Hebdo, locaux déménagés. Rien qui ne soit en liaison avec l’origine du terroriste en herbe qui a failli tuer deux de nos concitoyens. C’est une bombe potentielle qui est venue, sous le statut de « mineur isolé » se joindre à la 5e colonne islamiste planquée dans notre pays, une bombe dormante dont quelqu’un a actionné la gâchette. Qui a envoyé cet individu chez nous où la législation sur les mineurs est une faille énorme dans notre sécurité nationale. On connaît la réponse : son père resté au pays (Pakistan) a félicité son fils pour son acte !

Les « madrassas » pakistanaises

Une madrassa est une école coranique. Selon le journal Libération « Les madrassas assurent l’éducation des enfants des milieux pauvres au Pakistan, elles sont d’autant plus attractives que les élèves y sont logés et nourris gratuitement. … Malheureusement, c’est parfois l’enfer qui attend ces enfants ». Elles foisonnent au Pakistan, surtout dans les zones tribales et les campagnes. Dire que ce jeune homme ne présentait aucun signe de radicalisation est une grave lacune dans la connaissance des mécanismes de l’islamisme pour un responsable du suivi de ces jeunes « mineurs isolés ». Ceux qui s’expriment ainsi ignorent tout (ou sont naïfs) du mécanisme de la taqya, mécanisme enseigné dans la tradition islamique et pratiqué pas les islamistes modernes comme anciens : la dissimulation érigée en art de guerre ! « A Rome, fais comme les Romains » : dissimule tes pratiques, prépare un mauvais coup sans te dévoiler.
Il faut être naïf pour ignorer ce qui est enseigné dans les écoles coraniques : dès le plus jeune âge (8 à 10 ans), les jeunes pakistanais sont assujettis dans ces écoles à l’apprentissage du Coran. Ils apprennent en arabe phonétique le Coran car leur langue de base est l’ourdou. De toute façons, l’arabe ancien dans lequel est écrit ce livre n’a rien à voir avec les dialectes arabe locaux pratiqués dans différents pays dits arabes. Cet arabe est la langue ancienne que seuls de grands lettrés sont capables de lire, parler ou écrire (c’est le cas de professeurs d’universités comme celle d’Al-Azhar au Caire).
Donc, dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent par cœur ce livre qui contient des versets de paix et de tolérance abrogés par des versets plus « belliqueux » tels la sourate dite de l’épée. Du par cœur non compris, le jeune passe à des versets « expliqués », commentés par des maîtres proches des talibans pakistanais. On y enseigne, en se référant au Coran, des théories belliqueuses tirées des versets du Coran. Nous citons l’Expresse « La radicalité de ces écoles affleure jusque dans le centre de la capitale Islamabad. Habib Ullah, étudiant à la madrassa Jamia Faridia, ne cache pas son admiration pour Oussama Ben Laden, tué en 2011 dans le nord du Pakistan, ou sa haine des chiites, qui représentent 20% de la population de ce pays à majorité sunnite. ».
Ces informations sont publiques pour qui sait interroger les moteurs de recherche comme Google. Cet exercice devrait faire partie de l’apprentissage de ceux de nos dirigeants jusqu’au plus haut niveau. Cela éviterait de permettre l’accueil de bombes dormantes qui viennent se réfugier dans nos pays occidentaux en profitant de la faille de sécurité que constitue la législation sur les mineurs non-accompagnés (MNA). Ces mineurs, qui les envoie ? S’est-on posé la question ? Pourquoi ? Viennent-ils de pays en guerre ? L’accueil des MNA est régi par une directive européenne (Directive du Conseil 2001/55/CE, article 2, §f). Cette directive n’empêche en rien de soumettre ces jeunes gens à une batterie de tests de dépistage osseux pour contrôler leur âge et de dépistage de radicalité. Trop d’attentats terroristes ont eu lieu en France ces dernières années au nom d’un islam dévoyé (islamisme) pour que la plus grande prudence soit de mise avec les ressortissants de ces pays (Pakistan, Afghanistan, …) ou par des jeunes de nos pays qui y sont allés séjourner (affaire Merah et autres, …). L’excuse de la minorité ne doit plus être invoquée pour accueillir avec libéralité et sans suspicion n’importe quel jeune. Tout mineur non-accompagné, provenant de pays suspects d’abriter des centres d’enseignement islamistes comme le Pakistan, doit subir un « debriefing » poussé, approfondi, concernant ses objectifs, ses motivations, les raisons qui l’ont poussé à émigrer et sur son acceptation de nos lois. Sur ce dernier point, la discussion devrait porter sur la supériorité de la loi républicaine sur toute loi religieuse et sur le concept de laïcité. En cas de doute sur la sincérité de ses réponses et sur son âge, il sera renvoyé vers son dernier point d’embarquement, à défaut de connaître son lieu exact de provenance. Sans états d’âmes ni hésitation, il en va de la vie et de la sécurité de nos concitoyens pour leur éviter des coups de hachoirs mortels.
Nous sommes en guerre contre l’islamisme, la loi de la République ne peut admettre d’autre loi supérieure fut-elle religieuse. Or, un juge du tribunal des mineurs de Pontoise, saisi par les services sociaux, a refusé de soumettre l’individu à un test osseux pour déterminer son âge. Pour des raisons idéologiques ?

Nous avons manqué de vigilance

Dans le contexte actuel du procès des terroristes de l’hyper cacher et de Charlie-Hebdo ainsi que de la publication des caricatures mahométanes, un grave manquement à la sécurité a été commis à Paris. Qui du coordonnateur de la lutte anti-terroriste, du Préfet de Police de paris, du Ministre de l’Intérieur et de son cabinet ou du plus haut de l’État (Primature ou Présidence) porte la responsabilité du manque de vigilance ? Le Ministre de l’Intérieur a porté une accusation … sur les autres ! Il ne s’est pas posé la question de sa responsabilité ! Au peuple et aux citoyens de dire leur mécontentement. Ce qui s’exprime sur les radios périphèriques (RMC, Sud-Radio, …) est ahurissant (RMC les GG, 9h30 : 30/09/2020).
On ne peut surveiller tout le monde mais on peut faire un échantillonnage stratifié avec comme critères la provenance des individus, leur statut de réfugiés pseudo-mineurs. Mais ceux qui ont commis des délits en France (vols, port d’armes ou d’objets ayant vocation à l’être, agressions, …) n’ont rien a faire en liberté en France. Leur vocation est de retourner d’où ils viennent. Par contre, ceux qui se tiennent correctement et ont vocation à s’intégrer, doivent voir leur situation examinée à la lumière des besoins de notre pays et recevoir une réponse en conséquence.


Annexe : extrait de la Directive CEE

« Directive du Conseil 2001/55/CE

Article 2

Aux fins de la présente directive, on entend par:

a) « protection temporaire », une procédure de caractère exceptionnel assurant, en cas d’afflux massif

f) « mineurs non accompagnés« , les ressortissants de pays tiers ou apatrides âgés de moins de dix-huit ans qui entrent sur le territoire des États membres sans être accompagnés d’un adulte qui soit responsable d’eux, de par la loi ou la coutume, et tant qu’ils ne sont pas effectivement pris en charge par une telle personne, ou les mineurs qui ne sont plus accompagnés après leur entrée sur le territoire des États membres ; »

Rien ne doit légalement s’opposer que notre état souverain exerce son droit régalien de contrôle de l’âge par tout procédé médical, si besoin.
Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Gouvernants aveugles dans un tunnel

Les armoiries de la République


Emblême de la République
Emblême de la République

Nos fondamentaux

La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».

Info

Les manieurs de godille non ! Ce sont des aveugles dans un tunnel bien noir, ils n’y voient rien malgré leurs conseillers et leurs conseils de défense sans personne qui sache ce qu’est l’esprit de défense … ?

L’esprit de défense, la résilience d’une population, autant de notions inconnues dans l’enseignement donné à l’École Nationale des Ânes (nouveau nom de l’ENA ?). On peut imaginer que notre Président soit isolé dans une tour d’ivoire ! 67 personnes composent son Cabinet dont un Directeur (DirCab), un Chef (CheCab) et un Chef d’Etat-Major particulier (CEMP: un vice-Amiral). Le reste est composé de Conseillers de Cabinet (chargés de quoi faire ?) et deux « sherpas ». Plus des Conseillers (tout court) chargés de « pôles ». Une sacrée concentration de matière grise ! Le site de la Présidence ne donne pas leur CV. S’agit-il de copains ? Sûr qu’ils ne doivent pas être payés avec des clopinettes ?

Ces aveugles se démènent dans un tunnel, c’est de l’agitation stérile. Savent-il ce qu’est la notion de surprise stratégique ? Peut être le marin le sait-il ? L’Amiral et ses adjoints (un général de brigade, un capitaine de vaisseau, un colonel, un commissaire en chef de 1e classe et 3 aides de camp, eux, doivent le savoir ? Sont-ils présents dans les Conseils de défense ? Ils doivent savoir ce qu’est l’esprit de défense, eux ? Sont-ils aveugles ? Nous avons l’espoir que les représentants de l’Armée la représentent dignement. Sont-ils écoutés et entendus ?

Du côté de la Primature (1er ministre) , il y a aussi un Cabinet bien étoffé ! Un chef de cabinet militaire, un général de division. Toutes ces têtes à casquette-képis sont-elles écoutées et entendues ?

Le résultat est mince, CoVid19 a repris du poil de la bête ! On parle d’un nouveau confinement ! J’ai en, comme mon nom l’indique, MARRE de ce cirque et de ses amuseurs grassement rémunérés ! De vrais Shadocks !


Equipe du Président de la République : Cliquez sur ce lien

Pompes à fric ?


Shadocks qui pompent
Shadocks qui pompent

Il faut bien pomper !


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean AIMAR
ASAF-AAIHEDN

Association de soutien à l'Armée Française




Qu’a-ton appris de l’analyste génétique du virus ?

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Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Article republié avec l’autorisation de et d’après « THE CONVERSATION France »

Lien vers l’article original. Cliquez ce lien


Qu’a-t-on appris de l’analyse génétique du coronavirus?

Travailler sur les virus requiert de bonnes protections. Pixnio, CC BY-SA

Meriadeg Le Gouil, Université de Caen Normandie

Meriadeg Le Gouil est enseignant-chercheur au GRAM 2.0 (Groupe de recherche sur l’adaptation des microbes), EA2656 de l’Université de Caen Normandie et au laboratoire de virologie du CHU de Caen. Il est spécialiste des coronavirus humains et animaux, avec un intérêt particulier pour les coronavirus de la faune sauvage et les virus émergeants circulant chez les chauves-souris : l’ordre de mammifère hébergeant la plus grande diversité de ce type de virus. Dès qu’un nouveau virus apparaît, les scientifiques cherchent à établir sa séquence génétique.


Comment obtenir la séquence génétique d’un virus ?

Si l’on compare avec le SRAS : le dernier coronavirus qui avait suscité une inquiétude mondiale pour l’homme en 2002, les techniques d’analyse génétique ont drastiquement évolué vers plus de précision et des temps d’analyse réduits. Ces analyses sont également moins coûteuses ce qui a permis à de nombreux pays de s’équiper convenablement en séquenceurs génétiques. Ainsi, il est possible d’analyser très vite un nouveau virus quel que soit son lieu d’apparition.

Dans le cas du nouveau coronavirus 2019-nCoV, ce sont donc des équipes chinoises qui ont pu l’analyser et partager les informations à la communauté scientifique internationale en quelques jours à semaines grâce à une base de données appelée GISAID. Ce partage permet de comparer les résultats obtenus à partir d’autres patients. À ce jour la plupart des séquences analysées viennent de Chine mais il en existe également provenant de Thaïlande, des États-Unis et de France.

Capture d’écran de la base de données GISAID présentant la géographie des cas du nouveau coronavirus. GISAID

Quelles informations découlent de cette séquence ?

Un virus, comme un être vivant, est porteur d’information génétique, à partir de laquelle il va fabriquer ses protéines et se multiplier chez son hôte. Le génome de ce coronavirus compte environ 30 000 nucléotides : une série de quatre briques élémentaires représentées par les lettres : A, U, C, G. Séquencer c’est tout simplement établir dans quel ordre ces briques sont organisées. Une fois que l’on a la liste ordonnée de 30 000 lettres, que peut-on en déduire ?

Tout d’abord, il est possible de comparer la nouvelle séquence avec celles déjà présentes dans les bases. En réalisant ce travail, l’équipe dirigée par Zhengli Shi, du Wuhan Institute of Virology a pu constater qu’un autre virus, prélevé en 2013 en Chine chez une chauve-souris, possédait un génome similaire à 95 %. Il est donc probable que 2019-nCoV (le nom scientifique de ce nouveau coronavirus) trouve son origine chez cet animal. La transmission ne s’est peut-être pas produite directement entre la chauve-souris et l’humain, car pour un passage à une autre espèce, il faut des contacts nombreux et répétés. Les scientifiques et les autorités pointent plutôt vers des marchés aux animaux vivants. L’animal intermédiaire potentiel n’a pas encore été identifié.

L’autre intérêt d’étudier la séquence génétique est de prévoir la structure des protéines du virus dont elle découle. Une des protéines d’intérêt est la protéine S (pour spicule) présente à la surface du virus et qui va s’attacher à nos cellules pour les reconnaître et les infecter. Ce sont d’ailleurs elles qui donnent sa forme de couronne au coronavirus.

Les coronavirus sont un groupe de virus qui ont une apparence de halo, ou de couronne (corona) lorsqu’on les observe au microscope électronique. Centers for Disease Control and Prevention/Wikimedia, CC BY

Ces protéines de surface peuvent aussi être une cible thérapeutique car si on les bloque alors elles ne peuvent plus infecter des cellules. Connaître finement sa séquence a également permis de mettre au point des tests de diagnostic spécifiques.

L’arbre généalogique des virus

Analyser une séquence génétique donne aussi des informations sur l’évolution des virus. A chaque fois qu’il va se répliquer, son génome va connaître des modifications : des mutations. Quelques nucléotides sur les 30 000 vont changer, ce qui peut avoir une conséquence sur la structure des protéines et potentiellement, sur la vitesse d’infection. Chaque nouvelle séquence va donc être comparée à celles déjà connues pour déceler ces mutations. Les scientifiques peuvent alors créer des « arbres généalogiques » (arbres phylogénétiques en termes techniques) pour comprendre d’où vient chaque source virale.

Le centre du cercle représente l’ancêtre commun des ncoronavirus. Les souches détectées en France sont assez proches les unes des autres. GISAID

Chez un même individu, les virus mutent. Grâce aux dernières techniques de séquençage, il est possible d’établir toutes les séquences présentes. Cela permet de suivre les taux de mutation du virus, la diversité de ses populations à l’intérieur de l’organisme et de suivre les chaînes épidémiques.

Comment un virus animal se transmet à l’homme ?

Pour les virus, tout est une question d’opportunités. Il n’est pas aisé de franchir les barrières des espèces. Ainsi un virus affectant majoritairement les chauves-souris se transmettra difficilement à l’humain.

Pour une transmission interespèces, il est nécessaire d’avoir des opportunités écologiques, soit des contacts rapprochés, nombreux et fréquents. Ainsi pour prévenir les risques de contamination ou d’émergence de nouveaux virus, il est nécessaire de réfléchir à notre rapport avec la biodiversité. Par exemple, les chauves-souris n’ont que peu de raison de venir au contact des humains, sauf si leur habitat est détruit ou réduit. Protéger la nature et la biodiversité c’est aussi nous protéger d’éventuelles émergences et donc des maladies nouvelles.

Meriadeg Le Gouil, Virologue, Université de Caen Normandie

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Académie de médecine contre Conseil d’Etat et la Ligue des Droits de l’Homme


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Info

Entendu ce soir 22 avril 2020 aux informations régionales de 19h00 sur Fr3.

L’Académie de médecine, des médecins et scientifiques supplient l’Etat de rendre le port du masque obligatoire, sans attendre le 11 mai prochain. Les Académiciens disent qu’attendre, c’est accorder trois semaines de répit au virus !

Le Conseil d’Etat peut aller se rhabiller et la Ligue des Droits de l’Homme itou avec les recours contre le port obligatoire du masque. Ceux qui savent ont parlé !

L’utilité des masques

Madame Natacha Polony, Directrice éditoriale de l’hebdomadairte Marianne, interviewvée le 4 avril 2020 à 19h20 sur RTL défend, arguments à l’appui, l’utilité des masques, ingrédient indispensable pour réussir un bon déconfinement. Elle parle de «  l’objet d’un mensonge de la part des plus hautes autorités politiques ». Ecoutez son intervention.

Le Conseil d’État aurait pu faire appel au brillant immunologiste qui vient de rejoindre ses rangs, M. Yves Lévy, époux de Mme Agnés Buzyn, récente ancienne Ministre de la Santé. Rappelons qu’elle à  « vigoureusement [mis] en cause la gestion de la crise sanitaire par l’exécutif » lors de l’interruption de sa campagne électorale pour la Mairie de Paris.

A quand l’inauguration d’une usine de masques en France ?

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Témoignage sur Facebook

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Info

Un de nos amis a fait un beau voyage au Vietnam et en Thaïlande, en début d’année 2020. Il s’agit d’un habitant de Lattes qui, informations vérifiées à ce jour, est en forme. Après son retour, il publie régulièrement sur sa page Facebook. Il s’agit de M. Jacky Chanton dont nous mettons ici l’adresse de la page. Cliquez sur ce lien pour le lire. C’est un honnête citoyen, retraité qui a voulu faire un beau voyage qui aurait pu mal finir.

Cliquez dur l’image pour agrandir

Son témoignage est clair. Il a voulu éviter de passer par la Chine à son retour, on lui demandait un prix prohibitif, sans garantie d’avoir une place d’avion. Il a dû revenir, comme prévu, par Pékin.

A son arrivée le 30 janvier dernier à Canton, il a été « épluché » par des contrôles sanitaires stricts ! Température, questionnaire inquisiteur.

A son arrivée à Roissy-Charles-de-Gaulle (Paris), rien ! Direction Montpellier via SNCF.

Que faut-il en penser ? Le jm’enfoutisme français nous a coûté cher, très cher !

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Greta Thurnberg raillée

Nous écoutons, nous voyons : Argos veille

Une blague d’une collaboratrice du Ministre de l’Agriculture (la directrice de cabinet adjointe) soulève une vague d’indignation à laquelle moi et mes amis se joignent ici.

Merci de nous donner la parole pour dénoncer une atteinte à l’environnement. Il faut parler d’urgence climatique !
On ne plaisante pas avec le changement climatique et ses causes dont les voyages aériens sont un des facteurs aggravants.

On ne plaisante pas avec le changement climatique, c’est sérieux et les jeunes ont raison de le prendre à coeur.

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué d’attendre




Taxes dites écologiques : vérités et mensonges


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire

Intro

Le sens du terme écologie a été dévoyé et approprié à tort pat bon nombre de gens totalement incompétents dont les soucis sont de s’approprier des pouvoirs pour gouverner ou récolter des impôts supplémentaires. A concept erroné, réponses fausses.

1 – L’Écologie scientifique

L’écologie est une sciences. Elle a été reconnue comme domaine scientifique au xixe siècle. L’Écologie en tant que science est généralement considérée comme récente, étant seulement devenue prééminente dans la seconde moitié du xxe siècle.

1.1 – Le domaine de l’Écologie

Le terme « écologie » vient du grec oikos (« maison », « habitat ») et logos (« science », « connaissance ») : c’est la science de la maison, de l’habitat. Historiquement, il fut inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel, bien que l’essayiste et poète américain Henry David Thoreau l’ait peut-être employé dès 1852.

Plus précisément : l’Écologie est la science des relations des organismes avec le monde environnant, c’est-à-dire, dans un sens large, la science des conditions d’existence. Il ne peut être question d’écologie là où il n’y a pas d’êtres vivants : on ne peut parler d’écologie sur la Lune !

1.2 – Écologie et Environnement

Ces deux termes sont fréquemment employés ensemble ou l’un pour l’autre. Dans ce dernier cas, c’est une erreur. L’Écologie, nous l’avons définie ci-dessus, c’est la Science de notre habitat, notre maison. Elle étudie l’habitat du point de vue des relations des êtres vivants, espèce humaine comprise et de la planète qui les abrité (terre, mers et océans et atmosphère). L’écologie scientifique considère ces relations au sein d’écosystèmes. Le niveau majeur est celui de la planète : l’écosystème Terre ou planétaire. Au niveau d’une ville, on parlera d’écosystème urbain. Un lac, une mer, un océan sont des écosystèmes élémentaires. Le sol d’une forêt constitue un écosystème élémentaire.

Le principe fondamental est que les écosystèmes communiquent entre eux et échangent des éléments (eau, air, énergie, …). L’énergie est un élément physique constant dans le échanges. Entre les êtres vivants qui habitent les écosystèmes, s’établissent des relations alimentaires, les proies servant de nourriture aux prédateurs. A la base de cette relation sont les herbivores qui tirent leur subsistance des plantes.

Et les plantes ? Elles tirent leur subsistance de l’eau, du gaz carbonique de l’air et de l’énergie du soleil qu’elle captent grâce à la chlorophylle. Elles synthétisent des hydrates de carbone qu’elles transforment en protéines et en huiles grâce à cette merveilleuse qu’est leur feuille. Même les algues (végétaux dits inférieurs) captent l’énergie solaires dans l’eau jusqu’à de grandes profondeurs et effectuent la synthèse chlorophyllienne. Les végétaux jouent un rôle fondamental dans notre environnement avec l’air, les sols terrestres et les océans et les mers.

1.3 – L’eau et la vie

L’eau est un élément fondamental de notre environnement. Sans eau, pas de vie. Toutes les eaux ne conviennent pas à la vie de notre espèce humaine et de ses animaux domestiques. Le Centre d’Information sur l’Eau nous indique que « L’eau recouvre 72% de la surface du globe pour un volume total estimé à 1 400 millions de Km3. Au cours des siècles passés, l’homme n’a pas endommagé la disponibilité en l’eau. Mais, le monde moderne, les aménagements et la maîtrise de l’eau disponible dans la nature ont transformé le régime des eaux et perturber leurs fonctions naturelles. ». Parmi cette eau, c’est l’eau douce, l’eau potable qui est la ressource qui a diminué. Selon le Ministère chargé de l’écologie « 40 000 millions de km3/an : évaluation des ressources mondiales en eau continentale constituant la seule source d’eau douce renouvelable (eau de pluie – évapotranspiration – évaporation). Ce qui équivaut à 5 700 m3 par habitant et par an.».

Hélas, cette eau est souillée, usée, par notre civilisation et la ressource diminue.

L’écologie n’est pas seulement la science qui analyse les écosystèmes, c’est celle qui protège le ressource en eau. Les industries et l’activité humaine en général diminue la ressource en eau potable sans discernement. Ici, dans la région de Montpellier, les associations se battent pour empêcher que les décharges d’ordures ménagères soient criminellement la cause de la pollution des nappes d’eau. La décharge de Castries est dans nos collimateurs. Pourquoi ?

2 – Evolution de l’écologie en France

Un de mes amis a été, en 1967-68, étudiant à l’Université de Montpellier, boursier du Gouvernement français. Il a suivi les enseignements de Grands professeurs comme Louis Emberger, Charles Sauvage (je ne peux les citer tous). Le Centre d’Études Phyto-Sociologique et Écologiques du CNRS à Montpellier (CEPE/CNRS) relayait en laboratoire de recherche les enseignements de l’Université et accueillait les DEA et les doctorats en Ecologie.

2.1 – Le premier ministère

Passé 1968 et ses remous, M. Robert Poujade, sous le gouvernement Jacques Chaban-Delmas est nommé ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Protection de la nature et de l’Environnement. Un espoir pour nous, militants à la recherche d’emplois, une grosse déception car les postes sont avidement squattés par des administratifs ayant peu ou pas de formation en biologie et en écologie scientifique. Les ministères successif seront le domaine réservé des corps d’état (Ponts-et-Chaussées, Eaux-et-Forêt, Mines). Il n’entrait pas alors dans la formation de ces ingénieurs le nouveau paradigme de l’écologie.

2.2 – Ecole Nationale d’Administration (ENA) et écologie

L »écologie était et reste étrangère à l’enseignement dispensé dans l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) pas plus à Paris qu’à Strasbourg. Si nous avons parlé des écologues de Montpellier, il convient de citer l’Université de Strasbourg où commence à se développer ce type d’enseignement qui se heurtera à la porte close de l’ENA. Comme conséquence, les Hauts-fonctionnaires du Ministère des Finances et nos préfets n’y connaissent rien en écologie et à fortiori dans le fonctionnement des écosystèmes comme dans le cycle de l’eau. Encore moins sur l’existence d’un Droit de l’Environnement et d’un Code éponyme. Les tribunaux administratifs commencent à le savoir et quelques procès ont freiné l’ardeur dévastatrice de certains préfet.

2.3 – Relations entre économie et écologie

Économie et Écologie sont deux mondes qui s’ignorent et se tournent le dos. Les enseignements qui forment nos Préfets et nos Inspecteurs des Phynances les blindent sur les question de « business » et de la phynance, pas sur la protection des ressources en eau et la géologie des zones karstiques. Mon ami (qui a fini par entrer au Ministère de l’Environnement en 1980 et à y faire un bon bout de route) peut témoingner qu’en 1981 il a été chargé de mettre sur pied un système d’information recensant les programmes de recherche en collaboration avec sa collègue du PIREN chargée de pister et d’identifier les Laboratoires et Instituts de recherche dédiant tout ou partie de leur temps à la recherche écologique et environnementale.

En 1986, nous avions un panorama conséquent de la dite recherche et de ses acteurs qui était consigné dans une banque de données disparue entre 1986 et 1990. Le panorama en question faisait apparaître un vide inquiétant sur les économistes s’intéressant à l’écologie et l’environnement. Circulez, il n’y a rien à voir.

Pourtant, il y a à voir et le bon-sens aurait dû guider nos gouvernants et leur éviter la douloureuse expérience des « gilets jaunes ».

3 – Écologie et phynances publiques

3.1 – Le grand mensonge ?

Il existe un grand principe général qui s’appelle la non-affectation des ressources publiques. L’État (par son ministère chargé des finances et du budget) a bâti une cloison étanche, difficile à franchir entre ses recettes et ses dépenses. Toutes les recette constituées par les impôts directs et indirects (taxes diverses) vont dans un pot commun. Les taxes soi-disant destinées à financer l’écologie, les recherches sur le climat, etc. vont dans un pot commun : le budget général de l’état.

pinocchio_surpris_200x348.gif Enarques menteurs !

L’état redistribue ensuite cet argent dans des cagnottes, les lignes budgétaires qui constituent le budget soumis au vote des assemblées. C’est ainsi que l’argent est distribué après d’âpres négociations au cours de conférences budgétaires où sont abondées avec la plus grande parcimonie, les budgets des ministères. Les résultats sont consignés dans des chapitres eux-mêmes divisés en articles. Ces « bleus » (ainsi sont appelés les documents) sont intangibles. Une dépense ne peut être engagée que si elle entre dans ces divisions et il n’y a pas de transferts possibles, chaque ministère possède un contrôleur financier délégué par le ministère du budget, un incorruptible qui ne peut être contredit que par le ministre en personne. Le ministre est alors responsable : la Cour de discipline budgétaire veille et sanctionne tout fonctionnaire.

3.2 – La vérité budgétaire ou le mensonge ?

Nous avons vu que dans la pratique budgétaire, il n’y a pas de liaison entre ce qui entre et ce qui sort des caisses de l’état. Taxer au nom d’une pseudo-idéologie écolo-environnementale un carburant, le gazole, fait rentrer de l’argent dans le budget général sans pour autant que le ministère chargé de l’environnement ne soit crédité automatiquement de la ressource. Là réside le mensonge dont un certain nombre de citoyens étaient conscients en lançant le mouvement des gilets jaunes.

L’association « Les Contribuables Associés », dans sa lettre du 24 juin 2019, dénonce le mépris du citoyen-contribuable « l’écologie est devenue l’alibi derrière lequel se cachent bon nombre d’activistes qui veulent diffuser leur idéologie et nous taxer encore plus.». Pour nous, ces activistes sont ceux qui, au ministères des budgets et des finances, ignares en écologie mais experts en calculettes, avaient cru trouver dans la taxe gazole un supplément de ressources pour le budget général !

Nous citons encore « Cette euphorie écolo qui s’est emparée de la France, est devenue le prétexte qui justifie toutes les taxes vertes.».  Il est temps que cesse ce mensonge et que la transparence soit affichée.

3.3 – Le vrai prix des carburants

L’essence délivrée par les pompes (SP95) n’est plus intégralement produite par les carburants fossiles, elle comporte 5% (cinq pour cent) de bio-éthanol produit par l’agriculture (10% pour le SP95-E10). Sun un plein de 40 litres de SP95, vous payez :

  • 23,60 € de carburant,
  • 37,60 € de taxes (61,4%), (c’est juste hallucinant dit Contribuables Associés),

A côté de cela, bateaux géants (porte conteneurs et croisières), avions, etc. ne sont pas taxés. Des camions étrangers font le plein en Belgique ou en Espagne et traversent la France (NS ou SN) sans payer de taxes en France mais en polluant chez nous.

Celà doit cesser !!!

4 – L’automobiliste vache à lait ?

La lettre des Contribuables associés du 24 juin 2019 cite également un rapport du Sénat :

« D’ailleurs, dans un récent rapport, le Sénat prévoyait que ces augmentations de taxes au nom de la « transition écologique » représenteraient pour les automobilistes entre 2018 et 2022, 46 milliards d’euros. Rien que ça ! »

En faut-il plus ? Oui, :

« Le rapport du sénat écrit clairement que seuls 10 milliards seront injectés dans l’écologie et 36 milliards serviront à éponger le déficit public.»

Encore  des mensonges pour gouverner et nous faire avaler des potions amère. Vade retro pinocchio.

Pinocchio très menteur
Pinocchio très menteur

Enarques, vous avez trop menti !

L’écologie entre les mains de gens formés et compétents, non entre les mains d’énarques ignares mais bien rémunérés, ne doit pas être punitive.

Nous demandons la publication du pourcentage exact des taxes (TGAP et autres, prélevées sur les carburants au nom de la défense de l’écologie-environnement qui  vont au Ministère chargé de l’écologie dans les programmes de lutte contre le réchauffement climatique (hors salaires).

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen