Non non non les retraités en ont assez

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observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

 

RMC
RMC

L’émission de RMC « les Grandes Gueules » de ce jour 22 août 2018 a atteint un sommet d’imbécilité avec un de ses animateurs qui a déclaré que « le pouvoir d’achat est du côté des retraités ». Donc, on peut nous taxer, nous raboter, nous tondre à merci ? Non, non, non, non, non, non, … !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Y’en a marre d’entendre ce refrain éculé digne de la banque Rothschild d’où notre président a fait une partie de sa carrière.

Les retraités sont des gens modestes certes, pour la plupart, mais ils sont nombreux et la CSG sur les retraites, ça rapporte ! Quand verrons nous la suppression de la Taxe d’Habitation qui doit compenser ce coup de rabot ? A la saint GlinGlin ? Et qui empêchera les collectivités territoriales et leurs dépensocrates d’augmenter d’autres taxes ? Car quand on évoque la « dépense publique », il faut parler de tout ce que l’état dépense, état central, collectivités territoriales et comités théodule de tout poils qui émargent au budget de l’état, mangeurs de subventions, commissions inter-ministérielles, clubs sportifs et tutti quanti. Tout ceux qui vivent « aux frais de la princesse ». Servir l’état, c’est servir ses concitoyens : c’est un honneur dont la contrepartie est de mériter son salaire par un travail effectif. Qu’on soit fonctionnaire de l’état, agent des collectivités territoriales, élu national ou local, tous doivent respecter celui qui les fait vivre : le CONTRIBUABLE !

Bien sûr, il y a des secteurs dans lesquels il n’est pas possible de tailler dans les budgets et qui sont la santé, la justice, la sécurité (police et gendarmerie) et l’armée. Ce qui n’empêche pas de veiller à ce que dans ces secteurs la plus grande rigueur soit de mise dans la dépense sans pour autant priver les responsables d’une souplesse indispensable pour ne pas empêcher les actions indispensables. Il est intolérable qu’un blindé à roues soit en panne dans le désert malien à cause d’un pneu en mauvais état. Il en va de la vie de nos soldats ! Dans les collectivités territoriales, notamment dans les intercommunalités, bien des personnels ont été embauchés qui font double emploi avec ceux des communes. Il y a là des gisements d’économies et de productivité et de redéploiement de budgets. Le recrutement surnuméraire a fait suffisamment l’objet d’accusations de clientélisme (thème de l’ACH).

M. Gérald Darmanin s’exprimant dans l’hebdomadaire « Valeurs Actuelles »du 9 août 2018 (pp. 26-27) précisait que la dépense publique représente 56% de la richesse nationale et affirme que oui, elle est trop importante pour notre pays. Il poursuit en indiquant qu’il ne s’agit pas là d’une situation nouvelle, puisque depuis 1974 (excusez du peu sic!) la France n’a pas voté un budget en équilibre. Elle a hérité de décennies d’habitudes [mauvaises] au cours desquelles, toute tendances politiques confondue, touus les gouvernants  ont considéré de bonne politique de dépenser davantage, endettant le pays. Il affirme que depuis deux ans, le déficit est revenu en dessous des3% du PIB national, ce qui est nouveau depuis 10 ans.

Nous, retraités, sommes d’accord si les hauts-revenu tirés des fonds publics acceptent également de faire un effort de rigueur : présidents divers y compris le premier, cabinets ministèriels et leurs haut-fonctionnaires, parlementaires (députés, sénateurs, retraités des assemblées), ministres et leurs collaborateurs, secrétaires et sous-secrétaires faisaient un effort. Servir l’état n’est pas se servir, c’est un honneur !

Les hauts-fonctionnaires doivent montrer l’exemple. Plus hauts, plus fort doit être le rabotage de leurs traitements !

Un contribuable retraité en colère
qui attend les réactions, les votres lecteurs


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean PEUPLUS
Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Il y a trop de mauvaises dépenses


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Info dernière

Une avocate fiscaliste au micro de JJ Bourdin (30/11/2018, RMC, 7h50) :« il y a en France de mauvaises dépenses publiques ».

Nous somme trop endettés !

Á quand la chasse au gaspi des finances publiques ?


17/02/2022 : le rapport de la Cour des Comptes nationale est commenté sur le site de Capital le 16/02/2022. L’endettement généré par le « Quoi qu’il en coûte » était nécessaire. Néanmoins, il va falloir payer. « Le nécessaire redressement de nos finances publiques va passer par un effort sans précédent sur la maîtrise de nos dépenses publiques.» a déclaré le président de la Cour.

Á nous contribuables d’être vigilants et d’exiger des efforts de la part des dépensocrates et notamment des plus hauts placés. L’austérité ne doit pas frapper les classes modestes et moyennes.

Qu’on se le dise.

Jacou le Croquant, un citoyen très en colère ! mais respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Analyse des taxes foncières et habitation

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Citoyen et Contribuable



Avis mal compris

Avis d’impôt sur les revenus (illustration)
Crédit : Joël SAGET / AFP

Introduction

Sur le principe, le paiement d’impôts est dû pour l’entretien des services de l’administration. Le contribuable a le droit de demander des comptes sur l’emploi de ces fonds. Les cours des Comptes (Nationale et Régionales) sont là pour demander des comptes, à postériori et proposer des sanctions en cas de mésemploi frauduleux. Les avis er remontrances des Cours sont rarement suivis d’effet. Pourquoi ? Les Cours des Comptes ne peuvent pas saisir directement les juridictions chargée de réprimer les mauvais emplois de fonds publics.

Le candidat à l’élection municipale, Maire de Montpellier et Président de la Métropole nous a gratifiés d’un luxueux « flyer » (un tract électoral) sur papier blanc certifié PEFC. En date du 4 mars 2020, le quotidien Midi-Libre nous amène une analyse du « mandat de Philippe Saurel passé au crible » sur deux pages (2 et 3). Ce bilan vu par la rédaction de Montpellier du quotidien ne jette pas de roses au candidat-maire-président.

Sous la plume de Mme Valérie Marco, l’article n° 1 s’intitule « La fiscalité n’a pas évolué ». Le candidat confond le taux d’imposition et la base d’imposition. Les taxes d’habitation (TH), foncière (TF) et d’enlèvement des ordures (TEOM) sont calculées sur des bases imposables, la valeur locative du logement. Ces bases peuvent être réévaluées à la hausse.

La Taxe d’habitation est payée par l’habitant, qu’il s’agisse du propriétaire-habitant ou d’un locataire.

La Taxe foncière est payée par le propriétaire ainsi que la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Le propriétaire-bailleur répercute la TEOM à son locataire au titre des charges récupérables.

Nous avons analysé les taxes levées par la commune sur le document (à télécharger). A Montpellier, on jette de l’argent par les fenêtres, on est pété de thunes.

1 – Oui, la fiscalité a évolué !

La fiscalité a évolué, dans le mauvais sens. Mais le candidat n’y est pour rien en apparence. Les instances gouvernantes locales (conseils de commune, département et région) n’ont pas bougé les taux. Pour la commune et l’intercommunalité (Agglo puis Métropole), la taxe foncière n’a pas été modifiée par les collectivités locales.

1.1 Évolution de la Taxe foncière

Le Taux de la Taxe Foncière pour la commune est resté inchangé  à 31,18% mais la base  valeur locative a augmenté. Elle était à 2.248,00 € en 2012 pour un logement situé en bordure de l’Écusson. Elle était rendue à 2.3007,00€ en 2014, et à 2.422,00€ en 2019. D’où une lente augmentation de 13,00 € en 2012, 6,00 € en 2014 et 16 € en 2019. C’est l’État qui a fait ce cadeau aux communes, agglos-métro et région.

1.2 Évolution de la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères

Pour la Taxe l’enlèvement des ordures ménagères, même topo car calculée elle aussi sur la valeur locative au taux exagérément élevé de 11,18%, le taux le plus élevé de France. Le montant à payer pour deux personnes était de 253,00€ en 2012, 260,00€ en 2014 et 275,00€ en 2019.

1.3 Évolution de la Taxe d’habitation

Pour la Taxe d’habitation, même topo. La taxe est calculée sur une valeur locative différente de celle de la TF. Elle était (valeur nette) de 4.018,00€ en 2012, 4.128,00€ en 2014 et de 467,00 € en 2019. Là, intervient la suppression progressive de la TH en vue de son extinction et l’État diminue progressivement la valeur locative.

Impôt injuste disait notre Président marcheur, oui ! En 2017, date de son élection, la base de la TF était de 2.352,00€ et celle de la TH de 4.721,00€ soit presque le double ! En 2018, la perte était de -766 € pour la commune ! En 2019 de – 63€. Ceci devait être compensé par l’État.

2 – Le scandale de la TEOM

Un site spécialisé dans le problème des ordures ménagères, le site de l’Observatoire des Déchets, de l’Environnement et de la Santé (ODAM) a dénoncé dans un de ses articles le scandale de cette taxe. Pour les Contribuables de l’Hérault, le problème des déchets est un scandale que les citoyens ne cessent de dénoncer depuis plus de 50 ans.

2.1 Déchets ménagers solides

M. Saurel, lors de son arrivée à la Mairie n’a rien fait que reconduire le calamiteux contrat de l’usine Amétyst, contrat dénoncé par son prédécesseur M. Moure, lui-même successeur de Mme Mandroux, elle même successeur de feu M. Georges Frèche.

2.2 Déchets ménagers liquides

Les déchets ménagers liquides sont les eaux usées. Ici, de même, M. Saurel s’est contenté de mettre ses pieds dans les pantoufles de ses prédécesseurs.  La station Maera (STEP Maéra) a failli passer pour un site à améliorer alors qu’il a voulu nous faire passer une augmentation de capacité pour une modernisation. Avec son tuyau de 13 km de long, cette station continue à « diluer » ses effluents dans le Golfe d’Aigues-Mortes et de là dans la mer Méditerrannée.

3 – Ecologie et Montpellier-Métropole

L’écologie politique a fait une entrée fracassante à Montpellier-Agglo avec l’alliance de « Les Verts » et feu Monsieur Georges Frèche lors de l’élection de 2001. M. Jean-Louis Roumégas devient 2e adjoint au Maire. Son mandat durera jusqu’en 2014 (site Wikipedia). Si la décharge du Thöt fermera en 2006, l’usine de traitement des déchets « Amétyst » inaugurée en 2008 se révêlera selon la Cour régionale des Comptes « un fiasco technique et économique ».

La station d’épuration des eaux usées de Lattes (Maéra) sera modernisée et cessera de polluer gravement la rivière « Le Lez ». Mais, la nouvelle STEP évacuera des effluents insuffisamment épurés au large de Palavas. Un bilan médiocre quant on sait que l’enquête d’utilité publique de l’été 2009 lancée par M. Saurel a recueilli une forte opposition. M. Roumégas, fondateur en 2019 d’une association de défense de la Méditerranée, était aux abonnés absents. Il n’y a eu aucune contribution de sa part  à l’enquête.

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Signature du Citoyen-Contribuable 34




Taxes dites écologiques : vérités et mensonges


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire

Intro

Le sens du terme écologie a été dévoyé et approprié à tort pat bon nombre de gens totalement incompétents dont les soucis sont de s’approprier des pouvoirs pour gouverner ou récolter des impôts supplémentaires. A concept erroné, réponses fausses.

1 – L’Écologie scientifique

L’écologie est une sciences. Elle a été reconnue comme domaine scientifique au xixe siècle. L’Écologie en tant que science est généralement considérée comme récente, étant seulement devenue prééminente dans la seconde moitié du xxe siècle.

1.1 – Le domaine de l’Écologie

Le terme « écologie » vient du grec oikos (« maison », « habitat ») et logos (« science », « connaissance ») : c’est la science de la maison, de l’habitat. Historiquement, il fut inventé en 1866 par le biologiste allemand Ernst Haeckel, bien que l’essayiste et poète américain Henry David Thoreau l’ait peut-être employé dès 1852.

Plus précisément : l’Écologie est la science des relations des organismes avec le monde environnant, c’est-à-dire, dans un sens large, la science des conditions d’existence. Il ne peut être question d’écologie là où il n’y a pas d’êtres vivants : on ne peut parler d’écologie sur la Lune !

1.2 – Écologie et Environnement

Ces deux termes sont fréquemment employés ensemble ou l’un pour l’autre. Dans ce dernier cas, c’est une erreur. L’Écologie, nous l’avons définie ci-dessus, c’est la Science de notre habitat, notre maison. Elle étudie l’habitat du point de vue des relations des êtres vivants, espèce humaine comprise et de la planète qui les abrité (terre, mers et océans et atmosphère). L’écologie scientifique considère ces relations au sein d’écosystèmes. Le niveau majeur est celui de la planète : l’écosystème Terre ou planétaire. Au niveau d’une ville, on parlera d’écosystème urbain. Un lac, une mer, un océan sont des écosystèmes élémentaires. Le sol d’une forêt constitue un écosystème élémentaire.

Le principe fondamental est que les écosystèmes communiquent entre eux et échangent des éléments (eau, air, énergie, …). L’énergie est un élément physique constant dans le échanges. Entre les êtres vivants qui habitent les écosystèmes, s’établissent des relations alimentaires, les proies servant de nourriture aux prédateurs. A la base de cette relation sont les herbivores qui tirent leur subsistance des plantes.

Et les plantes ? Elles tirent leur subsistance de l’eau, du gaz carbonique de l’air et de l’énergie du soleil qu’elle captent grâce à la chlorophylle. Elles synthétisent des hydrates de carbone qu’elles transforment en protéines et en huiles grâce à cette merveilleuse qu’est leur feuille. Même les algues (végétaux dits inférieurs) captent l’énergie solaires dans l’eau jusqu’à de grandes profondeurs et effectuent la synthèse chlorophyllienne. Les végétaux jouent un rôle fondamental dans notre environnement avec l’air, les sols terrestres et les océans et les mers.

1.3 – L’eau et la vie

L’eau est un élément fondamental de notre environnement. Sans eau, pas de vie. Toutes les eaux ne conviennent pas à la vie de notre espèce humaine et de ses animaux domestiques. Le Centre d’Information sur l’Eau nous indique que « L’eau recouvre 72% de la surface du globe pour un volume total estimé à 1 400 millions de Km3. Au cours des siècles passés, l’homme n’a pas endommagé la disponibilité en l’eau. Mais, le monde moderne, les aménagements et la maîtrise de l’eau disponible dans la nature ont transformé le régime des eaux et perturber leurs fonctions naturelles. ». Parmi cette eau, c’est l’eau douce, l’eau potable qui est la ressource qui a diminué. Selon le Ministère chargé de l’écologie « 40 000 millions de km3/an : évaluation des ressources mondiales en eau continentale constituant la seule source d’eau douce renouvelable (eau de pluie – évapotranspiration – évaporation). Ce qui équivaut à 5 700 m3 par habitant et par an.».

Hélas, cette eau est souillée, usée, par notre civilisation et la ressource diminue.

L’écologie n’est pas seulement la science qui analyse les écosystèmes, c’est celle qui protège le ressource en eau. Les industries et l’activité humaine en général diminue la ressource en eau potable sans discernement. Ici, dans la région de Montpellier, les associations se battent pour empêcher que les décharges d’ordures ménagères soient criminellement la cause de la pollution des nappes d’eau. La décharge de Castries est dans nos collimateurs. Pourquoi ?

2 – Evolution de l’écologie en France

Un de mes amis a été, en 1967-68, étudiant à l’Université de Montpellier, boursier du Gouvernement français. Il a suivi les enseignements de Grands professeurs comme Louis Emberger, Charles Sauvage (je ne peux les citer tous). Le Centre d’Études Phyto-Sociologique et Écologiques du CNRS à Montpellier (CEPE/CNRS) relayait en laboratoire de recherche les enseignements de l’Université et accueillait les DEA et les doctorats en Ecologie.

2.1 – Le premier ministère

Passé 1968 et ses remous, M. Robert Poujade, sous le gouvernement Jacques Chaban-Delmas est nommé ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Protection de la nature et de l’Environnement. Un espoir pour nous, militants à la recherche d’emplois, une grosse déception car les postes sont avidement squattés par des administratifs ayant peu ou pas de formation en biologie et en écologie scientifique. Les ministères successif seront le domaine réservé des corps d’état (Ponts-et-Chaussées, Eaux-et-Forêt, Mines). Il n’entrait pas alors dans la formation de ces ingénieurs le nouveau paradigme de l’écologie.

2.2 – Ecole Nationale d’Administration (ENA) et écologie

L »écologie était et reste étrangère à l’enseignement dispensé dans l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) pas plus à Paris qu’à Strasbourg. Si nous avons parlé des écologues de Montpellier, il convient de citer l’Université de Strasbourg où commence à se développer ce type d’enseignement qui se heurtera à la porte close de l’ENA. Comme conséquence, les Hauts-fonctionnaires du Ministère des Finances et nos préfets n’y connaissent rien en écologie et à fortiori dans le fonctionnement des écosystèmes comme dans le cycle de l’eau. Encore moins sur l’existence d’un Droit de l’Environnement et d’un Code éponyme. Les tribunaux administratifs commencent à le savoir et quelques procès ont freiné l’ardeur dévastatrice de certains préfet.

2.3 – Relations entre économie et écologie

Économie et Écologie sont deux mondes qui s’ignorent et se tournent le dos. Les enseignements qui forment nos Préfets et nos Inspecteurs des Phynances les blindent sur les question de « business » et de la phynance, pas sur la protection des ressources en eau et la géologie des zones karstiques. Mon ami (qui a fini par entrer au Ministère de l’Environnement en 1980 et à y faire un bon bout de route) peut témoingner qu’en 1981 il a été chargé de mettre sur pied un système d’information recensant les programmes de recherche en collaboration avec sa collègue du PIREN chargée de pister et d’identifier les Laboratoires et Instituts de recherche dédiant tout ou partie de leur temps à la recherche écologique et environnementale.

En 1986, nous avions un panorama conséquent de la dite recherche et de ses acteurs qui était consigné dans une banque de données disparue entre 1986 et 1990. Le panorama en question faisait apparaître un vide inquiétant sur les économistes s’intéressant à l’écologie et l’environnement. Circulez, il n’y a rien à voir.

Pourtant, il y a à voir et le bon-sens aurait dû guider nos gouvernants et leur éviter la douloureuse expérience des « gilets jaunes ».

3 – Écologie et phynances publiques

3.1 – Le grand mensonge ?

Il existe un grand principe général qui s’appelle la non-affectation des ressources publiques. L’État (par son ministère chargé des finances et du budget) a bâti une cloison étanche, difficile à franchir entre ses recettes et ses dépenses. Toutes les recette constituées par les impôts directs et indirects (taxes diverses) vont dans un pot commun. Les taxes soi-disant destinées à financer l’écologie, les recherches sur le climat, etc. vont dans un pot commun : le budget général de l’état.

pinocchio_surpris_200x348.gif Enarques menteurs !

L’état redistribue ensuite cet argent dans des cagnottes, les lignes budgétaires qui constituent le budget soumis au vote des assemblées. C’est ainsi que l’argent est distribué après d’âpres négociations au cours de conférences budgétaires où sont abondées avec la plus grande parcimonie, les budgets des ministères. Les résultats sont consignés dans des chapitres eux-mêmes divisés en articles. Ces « bleus » (ainsi sont appelés les documents) sont intangibles. Une dépense ne peut être engagée que si elle entre dans ces divisions et il n’y a pas de transferts possibles, chaque ministère possède un contrôleur financier délégué par le ministère du budget, un incorruptible qui ne peut être contredit que par le ministre en personne. Le ministre est alors responsable : la Cour de discipline budgétaire veille et sanctionne tout fonctionnaire.

3.2 – La vérité budgétaire ou le mensonge ?

Nous avons vu que dans la pratique budgétaire, il n’y a pas de liaison entre ce qui entre et ce qui sort des caisses de l’état. Taxer au nom d’une pseudo-idéologie écolo-environnementale un carburant, le gazole, fait rentrer de l’argent dans le budget général sans pour autant que le ministère chargé de l’environnement ne soit crédité automatiquement de la ressource. Là réside le mensonge dont un certain nombre de citoyens étaient conscients en lançant le mouvement des gilets jaunes.

L’association « Les Contribuables Associés », dans sa lettre du 24 juin 2019, dénonce le mépris du citoyen-contribuable « l’écologie est devenue l’alibi derrière lequel se cachent bon nombre d’activistes qui veulent diffuser leur idéologie et nous taxer encore plus.». Pour nous, ces activistes sont ceux qui, au ministères des budgets et des finances, ignares en écologie mais experts en calculettes, avaient cru trouver dans la taxe gazole un supplément de ressources pour le budget général !

Nous citons encore « Cette euphorie écolo qui s’est emparée de la France, est devenue le prétexte qui justifie toutes les taxes vertes.».  Il est temps que cesse ce mensonge et que la transparence soit affichée.

3.3 – Le vrai prix des carburants

L’essence délivrée par les pompes (SP95) n’est plus intégralement produite par les carburants fossiles, elle comporte 5% (cinq pour cent) de bio-éthanol produit par l’agriculture (10% pour le SP95-E10). Sun un plein de 40 litres de SP95, vous payez :

  • 23,60 € de carburant,
  • 37,60 € de taxes (61,4%), (c’est juste hallucinant dit Contribuables Associés),

A côté de cela, bateaux géants (porte conteneurs et croisières), avions, etc. ne sont pas taxés. Des camions étrangers font le plein en Belgique ou en Espagne et traversent la France (NS ou SN) sans payer de taxes en France mais en polluant chez nous.

Celà doit cesser !!!

4 – L’automobiliste vache à lait ?

La lettre des Contribuables associés du 24 juin 2019 cite également un rapport du Sénat :

« D’ailleurs, dans un récent rapport, le Sénat prévoyait que ces augmentations de taxes au nom de la « transition écologique » représenteraient pour les automobilistes entre 2018 et 2022, 46 milliards d’euros. Rien que ça ! »

En faut-il plus ? Oui, :

« Le rapport du sénat écrit clairement que seuls 10 milliards seront injectés dans l’écologie et 36 milliards serviront à éponger le déficit public.»

Encore  des mensonges pour gouverner et nous faire avaler des potions amère. Vade retro pinocchio.

Pinocchio très menteur
Pinocchio très menteur

Enarques, vous avez trop menti !

L’écologie entre les mains de gens formés et compétents, non entre les mains d’énarques ignares mais bien rémunérés, ne doit pas être punitive.

Nous demandons la publication du pourcentage exact des taxes (TGAP et autres, prélevées sur les carburants au nom de la défense de l’écologie-environnement qui  vont au Ministère chargé de l’écologie dans les programmes de lutte contre le réchauffement climatique (hors salaires).

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Les privilégiés en France


La fiscalité pour tous

Ce bon Monsieur de Lafontaine disait dans une de ses fables « Selon que vous serez puissant ou misérable … ». L’abolition des privilèges la nuit du 4 août 1789 ni l’horrible Terreur qui a suivi n’ont rien changé !

Nous sommes respecteux de la Loi, celle qui découle de notre Constitution et des différents codes.

Le Président de la République est mis en cause, entre autres, par deux écrivains-journalistes :

Il est question des privilèges de la haute-fonction publique dont le Président est qualifié de porte-parole, de bouclier, … La question des salaires et des privilèges revient au premier plan avec les retraites qui vont avec. Les ors de la République aussi, un décor feutré qui isole du monde extérieur, des « gens » et de leurs problèmes quotidiens de retraités, de petits retraités, de smicards, de RMistes, de routiers, de plaquistes, de paysans, de caissières, de mères célibataires, … ceux que vous semblez mépriser et que vous ne connaissez pas.

Si dans les entreprises privées les salaires et les retraites sont l’affaire des fonds privés (cela ne signifie pas que nous nous en désintéresserons), le secteur de la fonction publique civile, militaire, santé publique, territoriale, … nous intéresse en priorité car il est financé par nos impôts, par notre argent, celui que tous les contribuables paient à l’état (citoyens, entreprises, …). L’utilisation de l’argent public se doit être exemplaire, aucune gabegie ou détournement de fonds ne doit être toléré, de même que tout enrichissement personnel ne devrait être admis. Notre pays a perdu son tissus industriel : il s’est désindustrialisé dans de nombreux domaines productif de richesses, donc d’impôts. moins d’impôts, moins de fonctionnaires ? On reparlerait de Contrat social ? Un contrat implicite ? Les fonctionnaires sont là pour servir leurs concitoyens, non pour se servir. Il doit en être de toute personne percevant des fonds publics, hauts-fonctionnaires compris.

1 – Les obligations et les droits des fonctionnaires

Les obligations et les droits des fonctionnaires se doivent d’être rappelés ici. Le portail de la fonction publique met les choses au point mais en parlant, d’abord, des droits, les devoirs venant en second. Nous inversons la proposition : les obligations, d’abord ! Tout travail méritant salaire (traitement), tout salarié doit travailler, y compris les hauts-fonctionnaires. Le « pantouflage » (passage de la haute-fonction publique vers le privé et vice-versa est une abomination ! Il y a des lois, elles sont souvent interprétées et mal ou pas appliquées. Selon que vous serez … Oui, mais il y a eu la prise de la Bastille et la nuit du 4 août ! Est-ce si loin ?

Nous citons « Loi n°83.634 du 13 juillet 1983, article 28 Le fonctionnaire « doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public. » Le refus d’obéissance équivaut à une faute professionnelle. ».

Qu’en est-il du pantouflage et des possibles collusions ou prises illégales d’intérêt ? Nous citons : « Code pénal article 432-11 : interdit à tout fonctionnaire ou agent public de conclure des contrats ou de travailler dans ou avec une entreprise dont il aurait « assuré le contrôle ou la surveillance » ou à propos de laquelle il aurait « proposé des décisions » ou « formulé des avis » aux autorités politiques. ».

1.1 – Les Hauts-Fonctionnaires

Les Hauts-fonctionnaires, ils sont au moins 600 hauts-fonctionnaires qui gagneraient plus de 150.000 € nets par an, plus que le Président de la République. Lisez cet article dans Orange.

Nous citons l’article d’Orange : « L’enquête de Vincent Jauvert, parue le 18 janvier, pourrait accroître la défiance de l’opinion à l’encontre de ce qu’il appelle la « noblesse d’État ». « Je ne m’attendais pas à découvrir un tel déclin de l’esprit public, un tel mépris des règles éthiques », écrit-il, cité par L’Obs qui publie des extraits du livre. Le directeur régional des finances publiques d’Île-de-France trois fois mieux payé qu’un ministre ». Nous ajoutons que l’un des mieux payés est le Gouverneur de la Banque de France avec 286.000 € bruts / ans sans compter primes et autres … Ils seraient 600 à gagner plus de 150.000 € nets par mois, soit un coût de 90 M€ hors charges sociales patronales (c’est l’état l’employeur). Ils sont supposés payer pour leurs retraites, des hautes retraites !

Lisez aussi le site de Capital sur ce sujet brûlant.

Ces hauts fonctionnaires « pantouflent », c’est à dire de manière familière en France, le fait pour un haut fonctionnaire d’aller travailler dans une entreprise privée. Avec la réforme Pénicaud, il semble que le gouvernement veuille promouvoir cette pratique dont les effets sont funestes ! Je cite « Travailler pour une banque et obtenir une « promo » en tant que fonctionnaire, c’est… bientôt possible. Le gouvernement souhaite encourager la mobilité de ses cadres vers le secteur privé, en leur permettant de conserver un temps leur avancement en tant que fonctionnaire. ». Un comble, car ils reviennent au bercail.

La carrière des jeunes énarques est le plus souvent jalonnée de parrainages. Celle du plus illustre de ces personnages commence à la Direction du Trésor, se poursuit chez Barclays. L’inspection des finances l’introduira dans l’équipe de campagne de M. Hollande, il deviendra secrétaire adjoint de l’Elysée et enfin il sera Ministre … des Phynaces ! Et de là, il sera candidat et élu Président de la République. Qui est-il ? Qui est ce parrain ? Devinez ! La femme de ce dernier (le parrain) siège au conseil d’administration de Suez, de HSBC France, de la FNAV-Darty, du Centre Pompidou (Françios Ruffin, 2018, p. 84). Ce parrain est en 2005 le directeur de l’Inspection Générale des Phynances (devinez qui c’est ?). Le pantouflage mène à tout !

2 – Les hautes-retraites

Les hautes retraites vont de pair avec les hauts-salaires, traitements et primes des hauts-fonctionnaires. La plus grande discrétion règne quant à la connaissance publique des montants perçus. Le problème des retraites en France est un véritable casse-tête et la réforme des différents régimes est un écueil sur lequel bien des ministres se sont heurtés.

2.1 – Les retraites des fonctionnaires parlementaires

Les retraites des fonctionnaires parlementaires sont très généreuses. C’est un des régimes spéciaux difficile à réformer.

2.2 – Les retraites des haut-fonctionnaires, ministres et autres

La plus grande discrétion règne à ce sujet et il ne faut pas compter sur Google et Internet pour renseigner les citoyens.

2.3 – Les petites retraites

Qu’il s’agisse du secteur privé ou du secteur privé, les retraités des classes moyennes ont vu s’abattre le bras armé du premier des phynanciers d’état, ces hauts-fonctionnaires et le Président en tête. Déjà pressurés par les gouvernements précédents, le fisc avec la CSG va se servir dans la poche de ceux qui ont travaillé toute une vie d’activité persuadés d’alimenter une Caisse de retraite et à qui on déclare froidement qu’il n’y avait pas de Caisse. Et vlan : 20% d’augmentation de CSG !

Deux de mes amis sont dans ce cas. Ils ont bossé, ils touchent leur retraite moins la Contribution Sociale Généralisée (CSG).Le premier, Jean Peuplus, est veuf à la suite d’une longue maladie de son épouse. Il aide ses enfants mais sa demi-part de veuf a sauté, son IRPP a augmenté. Mon second ami lui est à la limite : avec son épouse, il frise les seuils et n’y comprend rien ! L’usine à gaz fiscale fonctionne à plein : CSG déductible, non-déductibles ? De plus, ces deux honnêtes citoyens ont été prévoyants : ils sont propriétaires, l’un de sa villa, l’autre de son 3e étage. Des scélérats de propriétaires ! Si l’un se réjouit de la suppression de la taxe d’habitation, tous les deux vont en prendre plein la figure avec les collectivités dépensocrates qui vont essayer de se rattraper sur la taxe foncière et autres taxes spéciales. Jean Peuplus et Jean Aymar se contentent de dénoncer et de protester.

2.4 – La taxation des hauts-revenus

La taxation des hauts-revenus (contribution exceptionnelle sur les hauts-revenus ) existe. Elle est consultable sur Internet (Site service Public). Oui, mais ! Les technocrates ont pris leur précautions :

  • fraction du Revenu fiscal inférieure ou égale à 250.000 € (célibataire veuf ou divorcé) : 0% !
  • fraction du RFR comprise entre 250.001 et 500.000 € (célibatires, …) : 3% ou 0% pour un couple,
  • … et ainsi de suite !

Nos hauts-fonctionnaires sont-ils concernés ? C’est à voir ! Au cas par cas. Le RFR n’est pas le revenu réel, il y a des déductions !

3 – Que faire ?

Des élections approchent. Votre bulletin de vote a du poids. pensez-y avant de vous laisser hypnotiser par des discours d’amuseurs publics. Tous ces gens doivent comprendre qu’ils doivent accepter de se voir baisser les traitements et les primes et de voir augmenter de quelques points exceptionnels leur CSG. A quand la baisse des tranches de la contribution exceptionnelle sur les hauts-revenus ? Une piste à creuser ?

La Princesse a le dos large et les reins solides.

Père Siffleur




La fraude fiscale : arme contre la democratie

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Un ami de notre site que je nommerais « Citoyen de Lattes », me communique une adresse d’un document sur YouTube : une interview de Madame Monique Pinçon-Charlot sur France24.

Je l’ai visionnée et vous en livre un résumé.  Et d’abord un extrait de sa fiche Wikipedia.
« Monique Pinçon-Charlot, née Monique Charlot le 15 mai 1946 à Saint-Étienne, est une sociologue française. Elle a été directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), rattachée à l’Institut de recherche sur les sociétés contemporaines (IRESCO) de l’Université de Paris-VIII, jusqu’à son départ à la retraite en 2007. Durant toute sa carrière, elle a travaillé en collaboration principale avec son mari Michel Pinçon, également sociologue. Ensemble, ils ont co-écrit la majeure partie de leurs ouvrages qui traitent des classes supérieures de la société (en particulier de la grande bourgeoisie parisienne), à travers des concepts tels que la ségrégation urbaine, l’homogamie ou encore la reproduction sociale.
En 2014, Monique Pinçon-Charlot a été élevée au grade de chevalier de la Légion d’honneur après 48 ans de services au sein du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. ».
Elle présente une BD sur l’affaire Cahuzac et en arrive à l’oligarchie actuelle.
En gros, Mme Pinçon-Charlot dénonce la fraude fiscale comme une arme dont le pouvoir politique et principalement le Président de la République se servent pour asservir le peuple. Une accusation grave.
L’interview met aussi en cause la responsabilité de la classe politique dans le dérèglement climatique.
M. Emmanuel Macron en prend plein pour son grade. Nous laissons les avis à celle qui les exprime. Elle dénonce le copinage du Président à ses camarades de classe. Une oligarchie hautement prédatrice ? Que faire ?
Nous restons dubitatifs.

Contribuable34

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Des données rendues publiques


Nous avons entendu

Des données rendues publiques.
De nouvelles dispositions européennes vont dans le sens de la transparence dûe aux citoyens. C’est l’«Open Data». C’est à dire en bon français, les données ouvertes. Cliquez sur ce lien, vous saurez tout.
Vous pourrez passer des moments passionnants, par exemple, sur les budgets de notre métropole, sans vous déplacer, en toute quiètude.

Signature du Citoyen-Contribuable 34




Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ?

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observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Problématique

Il faut un long travail de remise à plat de notre fiscalité et un audit sans complaisance ni détours des privilèges indus car contrevenant au principe fondamental d’égalité qui fonde notre république. Cet audit doit s’appliquer aux hauts-fonctionnaires, membres de cabinets, ministres, députés et sénateurs. Il est nécessaire de débusquer les commissions, hautes-autorités, commissions inter-ministérielles, etc. qui coûtent cher par les prébendes, retraites dorées et autres avantages des hauts-fonctionnaires qui y siègent.

Une évaluation citoyenne est absolument nécessaire du rapport coût-efficacité de telles instances, s’agissant d’argent public. Il y a là un gisement d’économies. Il est absolument indispensable que les rapports remis par les magistrats de le Cours des Comptes (nationale et régionales) soient suivis de sanctions sévères et de poursuites pénales notamment dans le cas des marchés publics et des avantages indûs (délinquants, receleurs, etc.).

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Signature du Citoyen-Contribuable 34




Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ?

Essai

Il faut un long travail de remise à plat de notre fiscalité et un audit sans complaisance ni détours des privilèges indus car contrevenant au principe fondamental d’égalité qui fonde notre république. Cet audit doit s’appliquer aux hauts-fonctionnaires, membres de cabinets, ministres, députés et sénateurs. Il est nécessaire de débusquer les commissions, hautes-autorités, commissions inter-ministérielles, etc. qui coûtent cher par les prébendes, retraites dorées et autres avantages des hauts-fonctionnaires qui y siègent. Une évaluation citoyenne est absolument nécessaire du rapport coût-efficacité de telles instances, s’agissant d’argent public. Il y a là un gisement d’économies. Il est absolument indispensable que les rapports remis par les magistrats de le Cours des Comptes (nationale et régionales) soient suivis de sanctions sévères et de poursuites pénales notamment dans le cas des marchés publics et des avantages indûs (délinquants, receleurs, etc.).

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Plein le dos de vos coups de godille

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire

Problèmatique

J’en ai plein le dos de vos coups de godille en guise de gouvernement. Alors, ma femme et moi gagnons à peine plus de 33.000 € (revenu fiscal annuel de reférence : RFAR), soit un RFAR de 2.750 €/mois ! Or, notre RFAR est de 36.000 € soit 3.000 €/mois ! Or, ma retraite est de 2.000 €/mois et celle de ma femme 600 €/mois. Nous dépassons le RFAR de 250 € !

Il y a maldonne : nous sommes des contribuables-retraités moyens, on nous a pris 200 € sur ma retraite et 50 € sur celle de mon épouse, soit 250 € en moins sur nos deux retraites, au titre de l’augmentation de la CSG ! Et cette arnaque va continuer en 2019 ? ! Car nous n’aurons droit à aucune baisse de la CSG ! Nous sommes trop riches avec nos 2.500 € de retraite par mois ! Nous n’avons droit à rien sinon à payer (à raquer) pour que de hauts pensionnés ou haut-dépensocrates continuent à encaisser leurs hautes retraites et leurs hauts salaires, indemnités et pensions ! Nous sommes d’autant plus furaxs que nous apprenons par les médias radio et télé que nous faisons partie des 30% de français retraités qui n’auront pas de baisse de la CSG sur nos retraites ! Permettez nous de douter de ce chiffre de 30% ! Une question : n’a-t-on oublié personne dans des privilégiés qui raquent : nos présidents retraités, nos députés, sénateurs et ministres retraités ? Les retraités de EDF-GDF qui paient leur électricité au rabais ? Les hauts-fonctionnaires retraités ou en activité qui gagnent plus de 20.000 €/mois ?

On nous égorge et ce n’est pas la diminution d’un tiers de la Taxe d’habitation qui compensera !

Alors Gilets Jaunes, nous continuerons, sans casser mais avec la même revendication et la même détermination :

  • baisse des dépenses publiques,
  • des subventions abusives,
  • des hauts salaires de hauts fonctionnaires et
  • des dépensocrates !

On rabote tout le monde !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Président, ministres, députés, sénateurs, hauts-Directeurs d’administrations devenues inutiles, tout le monde au rabot !

Est-il normal de continuer à accorder des privilèges exorbitants ! A dépenser en finançant de Grands Projets Inutiles ou des comités théodules bien arrosés. On met tout à plat, on ne cache rien, tout mis à l’air !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Signé FURAX !!! :
Abraracourcix et Bonnemine réunis
Chefs gaulois mécontents

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