Vini, vidi, non vinci. Il est venu, il a vu mais n’a pas vaincu. Il a entendu les sifflets et les huées des habitants de ces quartiers, notamment à La Paillade (alias La Mosson). Il a entendu de près la colère, l’incivilité des résidents de ces quartiers. Il y a là des Français qui ne sont pas protégés des délinquants qui font régner la loi de la terreur dans ces quartiers où des milliards sont été déversés par ses prédécesseurs.
Il y a de la criminalité, des armes circulent dans ces ghettos où les gens ne sont plus protégés. Ces quartiers sont des territoires perdus pou notre république.
Ce qui est remarquable est que les médias ont à peine rendu compte de la bronca présidentielle dont les échos on vite disparu des médias. Curieusement, on a rendu compte d’évênements et d’incivilités du côté de Lille. Une belle diagonale Nord-Sud qui traverse la France ! Du nord au sud ?
L’observateur Argos Panoptes
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Contribution validée par le modérateur.
Le point sur la pandémie de COVID-19 due au SARS-CoV2
Je ne retiendrais, dans un premier temps, que l’attitude des autorités responsables sur le plan national, ainsi que les caractéristiques de la maladie et ses conséquences économiques, afin qu’une telle situation ne puisse plus se reproduire. Cette analyse critique se fait au nom de la défense de l’intérêt national, en excluant toute référence idéologique ou partisane. Je réclame le droit à la liberté d’expression à laquelle tout citoyen français à droit.
Introduction
La crise sanitaire mondiale, la pandémie due au SARS-CoV-2, peut être abordée sous deux angles. Il y a le point de vue civil, celui du citoyen de base et celui des militaires sur l’origine du virus dont personne ne doute qu’il a vu le jour en république populaire de CHINE (RPC). Plus précisément, à Wuhan (province de Hubei). La version officielle situe son lieu de naissance dans un marché dit « aux fruits de mer », en réalité un gigantesque marché à animaux plus ou moins exotiques vivants ou morts. Chauves-souris, serpents, pangolins et autres bestioles mortes ou vives (encagées) sont offerts à la gourmandise locale. Ce marché n’existe plus, impossible d’y faire la moindre investigation épidémiologique, il a brûlé ! C’est dans ce marché que deux personnes (aujourd’hui décédées) auraient été contaminées.Un virus résultant du mariage entre deux virus animaux (provoquant des zoonoses) aurait sauté d’une cage (laquelle ?) sur un balayeur ou un chaland. De là, le virus se serait répandu à Whuhan provoquant un « Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SRAS) » baptisé ensuite SARS-COVID19. De là, le virus est parti porté par des individus contaminés qui ont voyagé à pied, en auto, en vélo, en avion, …
La découverte des germes pathogènes par Pasteur (un chimiste !) n’a été reconnue qu’au terme de longues polémiques attribuées, pour la plupart, à des causes idéologiques, à l’époque ou les médecins et les chirurgiens ne se lavaient pas les mains après avoir disséqué des cadavres et allaient ensuite voir leurs patients. De nos jours, un grand Institut de recherches reconnu internationalement rayonne depuis Paris et porte le nom du grand chimiste-biologiste, l’Institut Pasteur. Il a essaimé dans le monde. L’existence des micro-organismes et particulièrement les pathogènes n’est plus contestée.
Malgré tout, nous devons rester modestes devant notre ignorance de l’inconnu à l’instar de Winston Churchill qui déclarait, à l’issue de la seconde guerre mondiale :
« Dense et déroutant est le voile de l’Inconnu. Aujourd’hui, dans la pleine lumière des lendemains, il est facile de voir où nous avons été ignorants ou exagérément inquiets, où nous avons été négligents ou maladroits ».
Cette citation est toujours d’actualité. Le mois de novembre 2019, en Chine, dans la province de Hubei, plus particulièrement à Wuhan, une maladie émergeait qui allait se répandre dans le monde entier. Son origine animale de fait aucun doute bien que par la puissance de diffusion des médias, d’autres causes ont pu être avancées. La montée en puissance de l’infection la faisait passer au stade d’épidémie puis de pandémie.
Le virus est parti à la conquête du monde ! Il est passé par ici, il repassera par là ! Comme le furet de la chanson. Il a gagné l’Europe puis le continent américain.
1 – Le point de vue civil
Nous avons assisté à une véritable incurie de nos démocraties européennes, en particulier de nos gouvernants français, du plus haut sommet au bas de l’échelle, par ignorance et dogmatisme. Notre économie en a fait les frais comme notre population, conséquence d’un Président ignorant tout de l’épidémiologie et de l’écologie, matières qui ne pas enseignées à l’École Nationale d’Administration, école censée former nos plus hauts-fonctionnaires. Ce n’est pas innocent, certains citoyens ont raillé cette École Nationale des Ânes ! Ignorants tout de la biologie mais prétendant savoir ce qui est bon pour le citoyen, d’une arrogance peu commune !
Or, le virus se propage en se moquant des idéologies, selon des lois qui ont été ignorées par les énarques, les lois de la biologie et de l’épidémiologie avec comme conséquences la crise économique que nous connaissons. Affirmer que le virus n’a pas besoin de passeport pour se déplacer et refuser de fermer nos frontières est lourd de conséquences, le virus infecte silencieusement des êtres humains. Leurs déplacements, eux, sont contrôlables. Ce sont des piétonsqui ont véhiculé le virus depuis la Chine, ces piétons empruntent des transports plus ou moins rapides, plutôt rapides, comme les avions. Les Chinois n’ont pas hésité à bloquer leurs aéroports mais n’ont pas restreint certaines destinations.
1.1 – Les frontières ouvertes
Lorsqu’en décembre 2019, les premières informations sur l’épidémie arrivaient à nos médias, le gouvernement de la RPC confinait la ville de Wuhan et la province du Hubei mais curieusement des citoyens de la RPC pouvaient encore circuler notamment vers l’Europe et vers l’Italie où des voyageurs de RPC transitaient par Bâle et allaient en voiture vers Turin. Le 31 janvier 2020, aucun contrôle n’était fait sur les voyageurs arrivant de Pékin à Paris-Charles-de-Gaulle (un de mes amis en était et a témoigné. Lui et ses compagnons de voyage venant de Thaïlande changeaient d’avion à Pékin où ils ont été « épluchés ». Arrivé à Paris, rien : ils sont montés dans le TGV pour Montpellier sans avoir vu l’ombre d’un contrôle sanitaire, pas même une prise de température. Au même moment, l’inimitable porte parole du Gouvernement affirmait (sans rire !) que le virus n’avait pas de passeport ! Oui mais ceux qui ont ramené le virus à pied, de la Chine, en avion et en bus, eux avaient des passeports et auraient pu se heurter à un cordon sanitaire bien contrôlé. Nada, oualou, niemals : bloquer les frontières était politiquement, dogmatiquement, incorrect ! La réaction a été longue à venir ! Trop longue. On a confiné les ressortissants français évacués spectaculairement de Wuhan mais pas les pilotes d’avion et le personnel d’accompagnement.
Les frontières ont été laissées ouvertes, un rassemblement religieux à Metz de protestants évangéliques ou un match de football n’ont pas été interdits. La premier a eu des conséquences fâcheuses en répandant le virus sur notre territoire. Rapidement, les services des urgences de nos hôpitaux ont été saturés et nos EPHAD touchés.
1.2 – Les matériels et les places d’hôpital manquent
Ce sont les porteurs du SRAS-CoV-2, agent du CoViD-19, qui en débarquant en France, ont été responsables de la contamination qui a fait plus de 20.000 décès. La pandémie a été le révélateur du mal bureaucratique et de la désorganisation d’une pétaudière sans précédent ! Les uns et les autres, c’est si bête, s’exprimant et contredisant les directives venues d’en haut ou faisant du psittacisme ! Le service de santé publique a eu du mal à réagir et à faire face, avec la diminution des moyens, résultant d’une politique d’« épiciers » à courte vue, enseignée à l’ENA et mise en pratique depuis 3 décennies. On a vu et entendu des ARS dire « attendre des décisions … » qui ne dépendaient que … des ARS ! Situation ubuesque ! Situation tragiques : des êtres humains en sont morts !
La plus haute autorité de la République, le Président Emmanuel Macron, a employé le mot « guerre ». Sommes-nous vraiment en guerre ? Qui est l’ennemi ? Quelles sont les armes et quelle armée ? Qui sont les cadres de la Nation qui ont dirigé l’affrontement de l’ennemi ? Il n’y avait pas d’armes, pas de protections non plus. Le service de santé publique a eu du mal à réagir et à faire face, avec la diminution des moyens, résultant d’une politique d’« épiciers » à courte vue, enseignée à l’ENA et mise en pratique depuis 3 décennies. Il ‘y avait plus de stocks stratégiques de masques, de bouses de protection, de gel hydroalcoolique, … en bref la pétaudière (la cour du Roi Pétaud et une porte-parole du Gouvernement si bête !, comme l’a raillée un de nos très spirituels chanteurs, notre Pierre Perret !).
L’hebdomadaire Marianne (n° 1211, 29 mai au 5 juin 2019) sous la plume de Mme Natacha Polony (p. 3) écrit « Pour l’heure et faute d’industrie pour produire les équipements nécessaires à notre protection contre la pandémie, l’État a fait le choix de bloquer l’économie en compensant par une indemnisation massive du chômage partiel. ». Une telle affirmation se base sur des faits, non sur une idéologie. La communication de l’État a essayé de convaincre la masse des citoyens par des affirmations mensongères sur l’inutilité des masques et vêtements de protection, des tests de dépistage, etc.
Il y a eu, depuis le sommet de l’État sous-évaluation de l’importance de l’épidémie, en marche vers la pandémie, et l’absence de mesures adéquates pour barrer la progression qui allait crescendo jusqu’à provoquer, en finale, l’immobilisation du fleuron de notre Marine Nationale, le porte-avions « Charles-de-Gaulle ». Mme la Ministre de la Santé (une médecin pourtant) déclarait « c’est une gripette » !
Or, le virus se propage en se moquant des idéologies, selon des lois qui ont été ignorées par les énarques, les lois de la biologie et de l’épidémiologie avec comme conséquences la crise économique que nous connaissons. Affirmer que le virus n’a pas besoin de passeport pour se déplacer et refuser de fermer nos frontières est lourd de conséquences, le virus infecte silencieusement des êtres humains. Leurs déplacements, eux, sont contrôlables. Ce sont des piétons qui ont véhiculé le virus depuis la Chine, ces piétons empruntent des transports plus ou moins rapides, plutôt rapides, comme les avions. Les Chinois n’ont pas hésité à bloquer leurs aéroports mais n’ont pas restreint certaines destinations.
La France a refusé de fermer ses frontières pour des motifs idéologiques, son gouvernement n’a eu d’autre choix que de décréter le confinement, dernière barrière contre la propagation qui s’accélérait. Son économie s’est paralysée alors que continuaient les graves pénuries de matériel de protection, de soins et un engorgement des services hospitaliers d’urgence et de réanimation avec une pénurie de matériels barrières. Il fallait dépister, nous manquions de tests. Il fallait des respirateurs, nous en manquions.
1.3 – La guérison par le confinement ?
La barrière consiste à éviter par tous les moyens le contact entre individus : c’est le confinement qui a été choisi. Pour empêcher la propagation du virus, on a verrouillé les habitants de notre pays chez eux. Le confinement s’est terminé, le virus ressurgit dans des « clusters », nous dirons en bon français des centres d’infection.
Enfin, nous avons eu des masques, du gel hydroalcoolique pour désinfecter nos mains. Nous avons eu aussi la paralysie de notre économie et la révélation de la désindustrialisation de notre pays qui a délocalisé la production de ses médicaments en Inde et en Chine. Nous avons eu aussi les querelles entre médecins et professeurs de haut-niveau.
1.4 – Les guerres pichrocholines
Les médecins chinois, faute de mieux, ont essayé des substances réputées pour leur action anti-virale dans d’autres maladies. Les lopinavir, ritonavir et remdesivir ont fait l’objet d’essais thérapeutiques. Une lourde controverse s’est installée entre les partisans de ces antiviraux et ceux de la chloroquine-hydoxychloroquine (Professeur Didier Raoult, Marseille). La polémique a encore enflé avec la dernière « étude » publiée par la revue Lancet. Cet article s’est révélé être une autre triste pantalonnade destinée à décrédibiliser l’emploi du traitement Raoult.
La triste révélation des conflits d’intérêt entre l’industrie pharmaceutique mondiale (Big-Pharma) et certains hauts-professeurs de médecine a été le clou du mauvais mélodrame qui s’est joué dans le paysage audio-visuel. Une molécule ancienne a été interdite du jour au lendemain. J’ai nommé l’hydroxychloroquine, un antipaludéen dérivé de la chloroquine. Ce médicament ne coûte que quelques centimes d’euro le comprimé, le professeur Raoult s’en est servi pour diminuer la charge virale du patient au début de sa maladie (et non en fin de vie !), en association avec un antibiotique (azythromycine) pour éviter une surinfection bactérienne. Il y a eu une levée de boucliers réclamant des essais thérapeutiques selon les règles avec administration à certains patients d’un placebo. Ce médecin a appliqué sa liberté de prescription et a soigné conformément au serment d’Hippocrate. Il a refusé l’administration d’un placebo (eau claire ou comprimé de maïs), il a tenté de soigner ses patients. Ses détracteurs ont proposé des molécules produites à grand frais (2.500 € la boite d’une semaine de traitement !). Depuis plusieurs mois, nous attendons les résultats des essais thérapeutiques officiels statistiques en aveugle des 4 molécules concurrentes. Anne, ma sœur Anne, ne voit-tu rien venir ? Je ne vois rien que la route qui poudroie … De l’eau est passée sous les ponts de la Seine, des malades ont été guéris (comment ?), des patients sont morts (après quel traitement) ? Cela n’a pas empêché la Commission européenne de commander pour 60 Millions d’€uros de comprimés à un membre de Big-Pharma, un traitement hors de prix dont l’efficacité n’a pas été prouvée ! Au secours, le virus revient ! Notre économie en a pris un sacré coup. L’Europe a fait un emprunt de 800 Milliards d’€uros dont une partie reviendra à notre pays pour relever une économie en ruines, triste conséquence du ralentissement économique dû au confinement. Certes, on nous promet que la France va re-localiser ses industries et se remettre à produire chez elle des produits stratégiques !
Peut-on faire confiance au chef qui nous gouverne ? La gestion de la crise résultant de la pandémie avec des comités de défense dont la composition nous laisse dubitatifs sur leur capacité à mettre en œuvre l’esprit de défense.
2 – Le point de vue militaire
La France, dans sa grande générosité, avait décidé de doter la RPC d’un laboratoire de haute sécurité dit P4 semblable à celui qui existe à Lyon. En effet, nombre de maladies, dont la grippe, ont leur foyer d’origine en Asie et notamment en Chine. Les scientifiques chinois souhaitaient disposer d’un outil de haute-sécurité pour manipuler et abriter des souches microbiennes hautement dangereuses ou le devenant suite à des manipulations génétiques provoquées. L’exemple dénoncé en 2012 par Science et Avenir ‘n° 781 mars 2012) nous montre ce qu’il est possible de faire dans ce domaine. Or, en République Populaire de Chine (RPC), rien n’est clair. Ce pays n’a pas un régime démocratique au sens où nous l’entendons. Il ne faut pas être naïfs.
2.1 – Histoire de P4
Les travaux du P4 de Wuhan avancent mais l’équipe de chercheurs français qui devait le vérifier et le remettre aux autorités chinoises ne partira jamais. L’armée de la RPC s’installe dans le labo. On ne saura pas ce qui s’y passe. La curiosité de la CIA des USA s’exerce, vite limitée dans ses investigations. Le gouvernement de la RPC est appuyée sur une armée populaire qui contrôle tout. Que peuvent faire des chercheurs même de très haut niveau, avec un outil très sophistiqué demandant une formation très pointue face à des virus dangereux ? Cette intervention de l’armée dans un équipement d’utilisation civile laisse planer de lourds soupçons sur une possible activité à des fins militaires soigneusement occultée.
Ce P4 est situé à environ 40 km à vol d’oiseau du marché aux fruits de mer de Wuhan mais, il existe à proximité du dit marché un laboratoire P2 (sécurité moindre).
2.2 – Questions sans réponses
Des questions se posent.
Le virus est-il le résultat d’une manipulation ?
Le virus a-t-il été transporté depuis le P4 vers le P2, sciemment ou inconsciemment ?
Le virus s’est-il échappé accidentellement vers le marché, à l’occasion d’une visite d’un chercheur chaland du marché ?
Pourquoi le médecin qui a le premier donné l’alerte au SRAS a-t-il été incarcéré et inculpé de diffuser des fausses nouvelles ?
Pourquoi une médecin chinoise a dirigé pendant plusieurs années à la tête de l’organisation mondiale de la Santé (OMS) ?
Pourquoi les autorités de la RPC ont immédiatement fermé les linges aériennes intérieures à la déclaration de l’épidémie devenue pandémie et n’ont pas interdit les vols internationaux ?
Quand il a été établi qu’un nouveau virus circulait et devenait une pandémie, les autorités militaro-scientifiques de RPC se sont précipitées pour séquencer le virus SRAS-CoV-2. Pourquoi cette précipitations ? La séquence ainsi publiée est-elle réelle ? On sait que dans une séquence d’ARN de virus, il est possible de retrouver la généalogie du dit virus ! Y-a-t-il eu « bidonnage » de la séquence ?
Pour retrouver les séquences de virus supposés avoir été manipulés, il faut avoir séquencé les virus connus, notamment ceux des grippes qui ont tant intéressé les dirigeants militaro-communistes de la RPC. Au point de mettre la main sur le labo P4 de Wuhan initialement prévu pour l’étude des virus dont le continent chinois est si bien doté.
Une récente révélation vient jeter le trouble.
2.3 – Une chercheure chinoise transfuge
Le quotidien L’Indépendant du Roussilon a repris une information sur une chercheure transfuge de la RPC, Li Meng-Yan. C’est une virologue qui exerçais à Hong-Kong qui « était chargée par un supérieur d’étudier un « virus qui ressemble au SRAS » » (nous citons). Le journal poursuit « Après avoir mis en évidence que le nombre de cas augmentait de manière exponentielle, son superviseur lui a alors demandé « de garder le silence et de faire attention » ». C’est une petite main de la recherche et le monde scientifique occidental est dubitatif quand à ses affirmations « Selon elle, le coronavirus a été fabriqué en laboratoire, et n’a pas été transmis à l’homme par des animaux dans le marché de Wuhan. ».
Quand on connait les affirmations hostiles du président des Etats-Unis sur les responsabilités de la RPC, on peut douter de la thése officielle sur la contamination par un animal du marché de Wuhan. Il y aurait eu une imprudence, une mauvaise manipulation dans le labo P4. Le virus, par imprudence, a amené le virus au P2 proche du marché, des laborantins ont véhiculé le virus au marché voisin. Le mauvais emploi du laboratoire P4 par des chercheurs militaro-scientifiques insuffisamment formés éclaire d’un jour nouveau cette hypothèse. N’oublions pas « Ce qui se passe en Chine est pour le moins opaque ! ». Le civil est au service du militaire. Il ne faut pas être naifs.
Tous ceux qui ont analysé l’emploi d’armes chimiques ou biologiques savent qu’elles peuvent se retourner contre leur émetteur ! On ne plaisante pas avec la sécurité des laboratoires de recherches. La sécurité ne se décrète pas, elle se vit. Comme l’esprit de défense : on l’a ou on l’a pas. Ce qui nous amène à analyser l’attitude des autorités nationales françaises.
3 – La France et la pandémie
Arrivés à ce niveau de notre propos, il nous faut reconnaître, en dehors de toute conception dogmatique ou partisane, que la structure de l’Europe est inachevée. Les tentatives d’intégration d’une défense et d’une sécurité européenne n’ont abouti que partiellement. Les frontières dites de Schengen ferment et ouvrent de manière assez erratique ! Or, en présence d’un virus inconnu qui a commencé à se répandre en Europe, la mesure barrière numéro UN est la fermeture énergique et immédiate des frontières. A défaut de la fermeture européenne, la fermeture immédiate au niveau national s’imposait. Des raisons dogmatiques, partisanes, ont empêché cette barrière numéro UN. Le virus a pénétré et voyagé, sans passeport (un virus, c’est si bête, n’en a pas) certes, mais les porteurs eux, en ont et on aurait pu contrôler les voyageurs en provenance du foyer de départ de la pandémie.
3.1 – Pouvait-on prévoir ce qui est arrivé ?
Pouvait-on prévoir ? Non répondent nos autorités civiles. On ne peut prévoir l’imprévisible ! Pourtant les avertissements n’ont pas manqué. Mais ils ont été délibérément ignorés ? Est-ce parce que ces avertissements venaient de haut, des « Hauts-Képis » de l’Armée française ? Gouverner c’est prévoir disait Adolphe Thiers, c’est devenu un adage populaire.
Depuis 12 ans, « par des voies autorisées et les plus hauts-képis de l’armée française », nos hommes politiques étaient prévenus. Le pouvoir civil avait été mis sous pression par plusieurs « Livres blancs ». Selon Philippe de Villiers (p. 59), « ils auraient dû savoir. Qui « ils » ? Ce sont selon lui « les cercles des jocrisses au pouvoir », qui, la main sur le cœur, nous assurent, pour se dédouaner de leur impéritie, de leur incurie, de leur inertie « Nous ne savions pas … nous ne pouvions pas savoir. Comment prévoir l’imprévisible ? ».
Ils auraient dû savoir, si leur éducation, faite dans les écoles préparatoires à l’ENA (Institus d’études « politiques ») et les enseignement qu’il y ont reçu, n’en avaient fait des jocrisses imbus de leur toute-puissance ! Ils nous ont pris pour des bestiaux doux, polis, bien tranquilles, … Nous citons les avertissements que nous avons pu trouver dans la citation que fait Philippe de Villiers (2020).
Nous évoquons aussi les livres blancs de la Défense Nationale (2007, 2008, 2013, …). Ces livres blancs soulignaient la menace virale comme un risque majeur pour la France. Ces ouvrages sont le fait de militaires tout comme les rapports des Anciens Auditeurs de l’Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale [IHEDN] ». Ces derniers associent militaires, fonctionnaires et membres de la société civile. Il n’y a pas d’imprévisible.
Le livre blanc de 2007 comporte un premier avertissement, adressé à tout l’appareil d’État qui n’en a pas tiré le moindre enseignement.
« L’accroissement de la mobilité de la population favorise l’extension des aires de diffusion de certaines maladies, ainsi que la propagation d’épidémies diverses […]. Le service de santé des armées et ses capacités de recherche sont ainsi régulièrement mobilisés pour faire face à ce type de situation. La dernière épidémie d’Ebola survenue en 2015-2016 dans les pays fragiles d’Afrique de l’Ouest a démontré combien la densification des flux pouvait compliquer le confinement des grandes crises sanitaires, au point de devoir faire appel à la communauté internationale. Le risques d’émergence d’un nouveau virus franchissant la barrière des espèces ou échappant à un laboratoire de confinement est réel. De même, l’interconnexion des filières alimentaires génère des risques sur la santé humaine et offre un terrain propice à d’éventuelles action « agro-terroristes ». Plus grave encore, la diffusion des bio-technologies pourrait permettre à des groupes terroristes de conduire des attaques biologiques sophistiquées. ».
C’est clair, sans ambiguïtés, le pouvoir civil est averti, les spécialistes de la « Défense Nationale » classent le risque de pandémie comme « très haut ». Il auraient été traités de « cassandres ».
Le livre blanc de 2013 disait :
« les risques naturels, sanitaires et technologiques susceptibles par leur ampleur de désorganiser nos sociétés ». […] en matière sanitaire, la circulation des personnes et des marchandises, la concentration des populations dans les mégalopoles et la défaillance des systèmes de santés dans certaines zones favorisent la survenue de crises majeures. Le risque existe notamment d’une nouvelle pandémie hautement pathogène et à forte létalité. ».
A bon entendeur, salut. Cause toujours, …
Et ailleurs, existe-t-il aussi des cassandres ?
Aux USA, les services de renseignement (CIA) ont aussi adressé à leurs autorités (Département d’État) des alertes semblables. Dans un rapport de 2005 curieusement intitulé « Comment sera la monde en 2020 », la situation pandémique actuelle (nous y sommes, en 2020) et ses conséquences « sont décrites avec une acuité saisissante ».
Même Bill Gates (et sa fondation « Bill et Melina Gates ») traité d’« apprenti sorcier, avait tiré la sonnette d’alarme :
« Des gênes pathogènes, apparus dans la nature […] et se propageant rapidement, pourraient tuer trente millions de personnes en moins d’un an. ».
Il nous semble que, plus nous approfondissons notre étude, plus il nous semble y avoir une méfiance congénitale (ENA ?, etc.) à tout ce qui vient de notre Armée Nationale (Air, Terre, Mer, Cyber). Nous osons espèrer qu’il ne s’agit pas de bêtise idéologique ! Nous pensons que ceux qui nous gouvernent actuellement sont des banquiers ou des financiers qui ne lisent pas les livres blancs. Ils ont une formation « politique », ils sont passés par les classes littéraires (philo, …). Les sciences naturelles et la biologie sont un vieux souvenir effacé. L’esprit de défense, qu’est-ce que c’est que ce « militarisme » ?
Pour combattre un ennemi et lui déclare la guerre, il faut le connaître et employer les moyens appropriés. Faute de celà, on fait appel à des comités de scientifiques pour « se couvrir« . Et on aboutit au confinement, faute de mieux car les hôpitaux qu’on a désossé sont embouteillés ! On n’a pas prévu ! On manque de tout !
3.2 – Le confinement : les conséquences
Le confinement : ultime barrière, on enferme les gens chez eux, la pandémie ralentit, peu à peu mais les conséquences sont lourdes. Sur le plan économique, l’économie est en ruines ! Des PME sont au bord de la cessation de paiement, le monde du spectacle est au bord de l’agonie (sauf quelques privilégiés).
On a découvert l’étendue de la désindustrialisation de la France, phénomène qui a progressé encouragé par les gouvernements précédents (l’actuel chef de l’état en était le Ministre des Finances et de l’Industrie !). On ne produit plus en France les molécules de base, leur production est confiée à l’Inde et à la Chine. La dernière usine française de fabrication de masques est sur le point d’être fermée par ses propriétaires américains ! Le Gouvernement dispose d’une porte-parole atteinte de psittacisme et ses initiatives sont pour le moins du ressort de la bêtise crasse assortie d’une arrogance peu commune de donneuse de leçons !
On a découvert les Comités de défense du Gouvernement composés de ministres dont on ignore s’ils connaissent l’esprit de défense et la notion de défense globale.
3.3 – Un institut bafoué : l’IHEDN
La Défense est globale, ce concept est fondamental. Il est rappelé dans l’histoire de l’Institut de Hautes-Etudes de la Défense Nationale (IHEDN). Je cite :
«[…] à partir de la Ve république, l’Institut devient le lieu d’explication d’une défense devenue globale et permanente. La priorité n’est plus de former des spécialistes, mais d’initier aux questions de défense des cadres de l’État et du secteur privé. Accomplissement d’une démarche menée sous l’égide du concept global, l’IHEDN est placé sous la tutelle du Premier Ministre en 1979. Il devient le foyer du rayonnement de l’esprit de défense. En 1997, l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale devient établissement public administratif, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. ».
Ces principes sont-ils respectés ? Le Président de la République et son Premier Ministre disposent avec l’IHEDN d’un instrument qu’ils n’ont pas utilisé. À quoi pouvons nous servir ? Or, nous affirmons haut et fort que le concept de défense recoupe l’ensemble des domaines stratégiques de notre pays. Cela concerne, bien sûr, les matériels militaires de haute-technologie conçus et fabriqués sur le territoire de notre nation mais aussi la santé publique. La crise de la CoVid-19 a révélé les domaines stratégiques dont nous avions abandonné la maîtrise, notamment celui de la santé et des productions pharmaceutiques et médicales.
3.3.1 -L’ordonnance de Gaulle 1959
C’est l’ordonnance n° 59-147 du 7 janvier 1959. Elle a été entièrement abrogée, titre par titre, article par article.
3.3.2 – Le Code de la Défense 2009
Rappelons les première lignes de ce code :
« La stratégie de sécurité nationale a pour objet d’identifier l’ensemble des menaces et des risques susceptibles d’affecter la vie de la Nation, notamment en ce qui concerne la protection de la population, l’intégrité du territoire et la permanence des institutions de la République, et de déterminer les réponses que les pouvoirs publics doivent y apporter. L’ensemble des politiques publiques concourt à la sécurité nationale »
3.3.3 – L’IHEDN et la gestion de la Crise
Le Président de la République, chef de l’État, convoque un Conseil de Défense (composé d’énarques, des anciens de l’école Nationale d’Administration -ENA). Pour gérer la crise, le Premier Ministre fait aussi appel à des énarques. Les spécialistes en gestion de crises, connus, n’ont pas été consultés. Nous, AA-IHEDN, sommes ignorés ! Nos entrées à l’ENA sont très rares. Or, elles devraient être de droit dans l’enseignement des futurs énarques, comme des notions de biologie et d’écologie. L’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale est nommément cité (Chapitre II : Institut des hautes études de défense nationale Article L1132-1).
Avis d’impôt sur les revenus (illustration) Crédit : Joël SAGET / AFP
Introduction
Sur le principe, le paiement d’impôts est dû pour l’entretien des services de l’administration. Le contribuable a le droit de demander des comptes sur l’emploi de ces fonds. Les cours des Comptes (Nationale et Régionales) sont là pour demander des comptes, à postériori et proposer des sanctions en cas de mésemploi frauduleux. Les avis er remontrances des Cours sont rarement suivis d’effet. Pourquoi ? Les Cours des Comptes ne peuvent pas saisir directement les juridictions chargée de réprimer les mauvais emplois de fonds publics.
Le candidat à l’élection municipale, Maire de Montpellier et Président de la Métropole nous a gratifiés d’un luxueux « flyer » (un tract électoral) sur papier blanc certifié PEFC. En date du 4 mars 2020, le quotidien Midi-Libre nous amène une analyse du « mandat de Philippe Saurel passé au crible » sur deux pages (2 et 3). Ce bilan vu par la rédaction de Montpellier du quotidien ne jette pas de roses au candidat-maire-président.
Sous la plume de Mme Valérie Marco, l’article n° 1 s’intitule « La fiscalité n’a pas évolué ». Le candidat confond le taux d’imposition et la base d’imposition. Les taxes d’habitation (TH), foncière (TF) et d’enlèvement des ordures (TEOM) sont calculées sur des bases imposables, la valeur locative du logement. Ces bases peuvent être réévaluées à la hausse.
La Taxe d’habitation est payée par l’habitant, qu’il s’agisse du propriétaire-habitant ou d’un locataire.
La Taxe foncière est payée par le propriétaire ainsi que la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Le propriétaire-bailleur répercute la TEOM à son locataire au titre des charges récupérables.
Nous avons analysé les taxes levées par la commune sur le document (à télécharger). A Montpellier, on jette de l’argent par les fenêtres, on est pété de thunes.
1 – Oui, la fiscalité a évolué !
La fiscalité a évolué, dans le mauvais sens. Mais le candidat n’y est pour rien en apparence. Les instances gouvernantes locales (conseils de commune, département et région) n’ont pas bougé les taux. Pour la commune et l’intercommunalité (Agglo puis Métropole), la taxe foncière n’a pas été modifiée par les collectivités locales.
1.1 Évolution de la Taxe foncière
Le Taux de la Taxe Foncière pour la commune est resté inchangé à 31,18% mais la base valeur locative a augmenté. Elle était à 2.248,00 € en 2012 pour un logement situé en bordure de l’Écusson. Elle était rendue à 2.3007,00€ en 2014, et à 2.422,00€ en 2019. D’où une lente augmentation de 13,00 € en 2012, 6,00 € en 2014 et 16 € en 2019. C’est l’État qui a fait ce cadeau aux communes, agglos-métro et région.
1.2 Évolution de la Taxe d’enlèvement des ordures ménagères
Pour la Taxe l’enlèvement des ordures ménagères, même topo car calculée elle aussi sur la valeur locative au taux exagérément élevé de 11,18%, le taux le plus élevé de France. Le montant à payer pour deux personnes était de 253,00€ en 2012, 260,00€ en 2014 et 275,00€ en 2019.
1.3 Évolution de la Taxe d’habitation
Pour la Taxe d’habitation, même topo. La taxe est calculée sur une valeur locative différente de celle de la TF. Elle était (valeur nette) de 4.018,00€ en 2012, 4.128,00€ en 2014 et de 467,00 € en 2019. Là, intervient la suppression progressive de la TH en vue de son extinction et l’État diminue progressivement la valeur locative.
Impôt injuste disait notre Président marcheur, oui ! En 2017, date de son élection, la base de la TF était de 2.352,00€ et celle de la TH de 4.721,00€ soit presque le double ! En 2018, la perte était de -766 € pour la commune ! En 2019 de – 63€. Ceci devait être compensé par l’État.
2 – Le scandale de la TEOM
Un site spécialisé dans le problème des ordures ménagères, le site de l’Observatoire des Déchets, de l’Environnement et de la Santé (ODAM) a dénoncé dans un de ses articles le scandale de cette taxe. Pour les Contribuables de l’Hérault, le problème des déchets est un scandale que les citoyens ne cessent de dénoncer depuis plus de 50 ans.
2.1 Déchets ménagers solides
M. Saurel, lors de son arrivée à la Mairie n’a rien fait que reconduire le calamiteux contrat de l’usine Amétyst, contrat dénoncé par son prédécesseur M. Moure, lui-même successeur de Mme Mandroux, elle même successeur de feu M. Georges Frèche.
2.2 Déchets ménagers liquides
Les déchets ménagers liquides sont les eaux usées. Ici, de même, M. Saurel s’est contenté de mettre ses pieds dans les pantoufles de ses prédécesseurs. La station Maera (STEP Maéra) a failli passer pour un site à améliorer alors qu’il a voulu nous faire passer une augmentation de capacité pour une modernisation. Avec son tuyau de 13 km de long, cette station continue à « diluer » ses effluents dans le Golfe d’Aigues-Mortes et de là dans la mer Méditerrannée.
3 – Ecologie et Montpellier-Métropole
L’écologie politique a fait une entrée fracassante à Montpellier-Agglo avec l’alliance de « Les Verts » et feu Monsieur Georges Frèche lors de l’élection de 2001. M. Jean-Louis Roumégas devient 2e adjoint au Maire. Son mandat durera jusqu’en 2014 (site Wikipedia). Si la décharge du Thöt fermera en 2006, l’usine de traitement des déchets « Amétyst » inaugurée en 2008 se révêlera selon la Cour régionale des Comptes « un fiasco technique et économique ».
La station d’épuration des eaux usées de Lattes (Maéra) sera modernisée et cessera de polluer gravement la rivière « Le Lez ». Mais, la nouvelle STEP évacuera des effluents insuffisamment épurés au large de Palavas. Un bilan médiocre quant on sait que l’enquête d’utilité publique de l’été 2009 lancée par M. Saurel a recueilli une forte opposition. M. Roumégas, fondateur en 2019 d’une association de défense de la Méditerranée, était aux abonnés absents. Il n’y a eu aucune contribution de sa part à l’enquête.
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Défense de notre souveraineté nationale
Introduction
Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines.
Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public. L’hebdomadaire poursuit la dénonciation des mensonges et des blocages (n° du 1er mai).
De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.
1 – Minimisation de la gravité du virus
Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité. Il en est résulté une mauvaise appréciation de la progression de l’épidémie devenue pandémie. La petite grippe ou « gripette » a tué plus de 25.531 décès sur 132.000 cas dont 52.736 guérisons. Cette minimisation a cessé rapidement face à la vérité terrain. C’était une pandémie due à un virus inconnu provoquant une maladie émergente. Nous étions démunis ! Démunis au point de vue connaissances comme au point de vue infrastructures : il y avait pénurie. La ministre Agnès Buzyn quitte son ministère remplacée par Olivier Véran. La presse (Marianne n° 1207, 1er au 7 mai) cite Mme Buzyn (en date du 21 janvier 2021, p. 23) « Le risque d’introduction en France de cas liés à cet épisode est faible. » !!! Nous avons vu !
2 – Dissimulation de la pénurie
Nous avons dénoncé le gros mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie. Ça continue avec la pénurie de tests de dépistage.
Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.
Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.
3 – Idéologie primant sur la raison
Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison. Il ne pouvait être question de fermer nos frontières alors qu’un parti d’opposition le préconisait !
La haute-technostructure qui prévaut en France est issue de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). Nous avons dénoncé ce
4 – Nous soutenons une France forte
Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens.
Une France forte non-seulement de son agriculture (pétrole « vert ») mais aussi de son industrie qui doit être réinstallée sans être une source de pollution.
Un Auditeur IHEDN 1985
L’état profond source de blocages ?
Un Auditeur IHEDN 1985
Introduction
La crise sanitaire majeure qui a frappé notre pays, ses voisins et une grande majorité de pays de notre planète est une pandémie due à un virus émergent. Un virus qui a émergé de la ville de Wuhan (province du Hubei, République populaire de Chine). Ce virus appartient à la famille des Coronavirus (virus à Couronne). Il a été baptisé SARS-CoV-2 et provoque une maladie, le CoViD-19.
Une des conséquences de cette crise majeure a été de mettre en lumière un certain nombre de carences administratives dans notre pays, des « lourdeurs » qu’a dénoncées la plus haute autorité de notre pays, M. Emmanuel Macron soi-même, le chef de l’État et Président de la République. Il est le chef, certes, mais il se heurte à un super-pouvoir, celui des bureaucrates et particulièrement des énarques (anciens élèves de l’École Nationale d’Administration) dont il est un des purs produits.
L’hebdomadaire Le Point (n° 2487 du 23 avril 2020, pp. 34-36) parle d’un « État profond ». Nous citons « Comme ses prédécesseurs, Emmanuel Macron s’est entouré de conseillers issus des grands corps de l’État … mais tout en adorant critiquer ceux-ci. ». Un paradoxe !
Nous n’inventons rien mais nous rapprochons et persifflons un peu.
1 – Les bureaucrates français
L’hebdomadaire que nous citons ci-dessus, sous le titre général « Les bureaucrates auront-ils notre peau ? » consacre plusieurs pages à la crise et à ses conséquences (pp. 5-59). D’où vient cette bureaucratie qui nous étouffe ?
1.1 – Les ancêtres : les scribes
D’ou viennent les scribes ?La bureaucratie n’est pas une invention française ni européenne. De tous temps, les puissants ont compris que pour gouverner, il ne suffisait pas d’avoir des armées puissantes. A côté de la caste militaire, il fallait une caste d’administrateurs. Ce furent les scribes. Les Chinois avaient les mandarins et le mandarinat. Les égyptiens avaient les scribes. Nous avons les énarques (les ancien élèves de l’ENA).
1.2 – Les énarques
Le terme énarque désigne les anciens élèves de l’École Nationale d’Admininistration. Notre Président a déclaré vouloir supprimer cette école. Elle forme une élite administrative dont la situation de fait est de contrôler toute la pyramide administrative depuis le sommet. Alors que nous sommes en démocratie et qu’il existe constitutionnellement trois pouvoirs :
le pouvoir exécutif, exercé par le Gouvernement ;
le pouvoir législatif, exercé par le Parlement et le Sénat ;
le pouvoir judiciaire, exercé par les magistrats.
Les pouvoirs sont, en principe, séparés.
1.3 – Noblesse oblige
Noblesse oblige, c’est une expression qui est devenue un proverbe et qui signifie que « quiconque prétend être noble, doit se conduire noblement ». Traduit de nos jours par « On doit agir en conformité avec la situation qu’on occupe, avec la réputation qu’on s’est acquise ». Qui « on » ? Ceux qui nous gouvernent. Nous sommes en démocratie mais de fait, il existe une autocratie collective, la bureaucratie que dénonce l’hebdo Le Point. Le législateur a mis en place, à compter de 1679, ce type de recrutement : la fonction publique. Les « fonctionnaires » (on ne les appelait pas ainsi à l’époque) étaient recrutés par concours ou sur tires et étaient soumis à des obligations strictes de résidence, droit de réserve et ponctualité. Ceci devait éviter le clientélisme et garantissait une rémunération fixe. La Révolution de 1789 supprima les offices mais reconnut le libre accès aux fonctions publiques sans autre distinction que celle des talents (article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen). Le statut actuel découle de l’action du Gouvernement provisoire de la République française qui élabore alors un statut général des fonctionnaires adopté par l’assemblée nationale constituante et devenu la loi du 19 octobre 1946. Ce statut général est remplacé par l’ordonnance du 4 février 1959 à la suite de l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution du 4 octobre 1958. Les fonctionnaires sont titulaires et qu’il s’est créé une Haute-Fonction Publique destinée à encadrer dans le cadre des grands corps d’état.
L’existence des corps de fonctionnaires est une spécifité française. La hiérarchie des corps (selon Wikipedia) est la suivante, à la fin de la 2e Guerre Mondiale :
Actuellement, le haut du pavé est tenu par le corps de l’Inspection Générale des Finances. Deux Présidents de la République en viennent : : Valéry Giscard d’Estaing (ENA), Emmanuel Macron (ENA)
Deux corps dominent également, créés pour les besoins et qui ont donné des Présidents de la République :
A ces corps correspondent des modes de recrutement passant ou non par de grandes écoles ou des instituts spécialisés. La magistrature a son propre système de recrutement.
1.3.3 Les établissements publics
Les établissements publics sont des personnes morales de droit public financés sur fonds publics. Ils dérogent aux règles de la fonction publique. Ils exercent des missions d’intérêt général.
1.3.4 La notion de gouvernement parallèle
Le gouvernement parallèle ou « État profond » est une expression employée par notre Président. L’hebdomadaire Le Point (n° 2487 du 23 avril 2020, pp. 34-36) mentionne que c’est un pouvoir de fait qui résulte de ce que se sont constituées de véritable féodalités administratives avec une certaine hiérarchie établies en fonction des prestiges historiques administratifs et techniques. Un tel édifice a favorisé un certain corporatisme qui vient de loin. L’Ecole Nationale d’Administration semble être le pivot autour duquel s’articule ceux qui ont été qualifiés d’«intouchables d’état » par différents auteurs. A tous les niveaux, les énarques s’établissent avec une hiérarchie qui place au sommet des cabinets (présidentiel et ministériels) des énarques. Une calamité française ! Le sommet de la pyramide serait situé au niveau du chef des inspecteurs des finances.
Que le chef de l’État en ait fait mention et que cela soit rapporté par la presse (Marianne 28/05/2019, Le Monde 11/09/2019, …) ainsi que l’hebdo Marianne du 23/04/2020, montre bien que cette engeance existe et prétend tirer les ficelles.
Wikipedia rapporte « L’État profond, transcription de l’américain deep state, est un concept politique qui désigne, au sein d’un État ou de sa bureaucratie, une hiérarchie parallèle, une ligue, ou une entité informelle qui détient secrètement le pouvoir décisionnel, manipulant ainsi l’État de droit. ». C’est grave mais je ne suis pas surpris. J’ai été témoin dans le ministère où j’exerçais de la manière et avec l’aval de qui étaient choisis les directeurs de cabinet des ministres venant de la société civile ou n’appartenant pas à la majorité politique du moment.
Chaque niveau fonctionne avec une assemblée et un président qui exercent leurs compétences.
Historiquement, il n’y avait que les régions, les départements et les communes. On a voulu regrouper les communes pour faire des économies d’échelles. Il a été créé les intercommunalités avec objectif de supprimer les départements. Enfin, la loi NOTRE pour bien fixer la réorganisation territoriale, a vu le renforcement des compétences des régions et la diminution des compétences des départements et des communes vers les intercommunalités. Des compétences de l’État ont été également transférées La réforme s’est arrêtée et a, pour le moment, manqué ses objectifs.
2.2 – Les objectifs manqués
L’objectif principal du point de vue fiscal qui était de diminuer la pression fiscale locale n’a pas été atteint car la diminution escomptée des effectifs en personnels n’a pas abouti, des doublons ont persisté. La pression fiscale a été diminuée de manière forcée avec la suppression de la taxe d’habitation. La suppression, à terme, des départements au profit des intercommunalités a avorté. On a ajouté une couche de plus au millefeuille administratif au lieu d’en supprimer une.
2.3 – Le poids du dinosaure ou du mammouth
Le dinosaure étatique (le mammouth) a grossi. Le millefeuilles a épaissi. Au niveau des régions, il y a une Préfecture de région avec un Préfet de région qui exerce une certaine tutelle de l’État sur l’administration et les élus régionaux. Le Préfet du département exerce sa tutelle sur les 3 autres niveaux. Chaque Préfet a son administration.
Les Préfets n’ont pas autorité sur la Santé, l’Éducation nationale et les affaires militaires. A la Santé correspondent les Agences Régionales de Santé, à l’Education nationale les Recteurs et à l’Armée les Délégués à l’accompagnement Régional.
La conséquence de l’inflation administrative entre le mille-feuilles territorial et le niveau national se compare aux dinosaures qui ont démesurément grossi sans que la vitesse de transmission de l’influx nerveux n’ai augmenté. Bien que le développement des réseaux de communication et des moyens ait permis la communication rapide, les différents niveaux ajoutent les inerties des responsables administratifs. C’est là qu’intervient la remarque « Le bureaucrate se prend pour « le phénix des hôtes de ces bois » » chère à M. Jacques Bichot (Le Point, n° 2487, 23 avril 2020, p. 38).
Dans la crise sanitaire due au SRAS-CoViD-2, le dinosaure administratif a mis du temps à ressentir l’agression dont le pays a été victime. Pour diverses raisons mais surtout parce que nous n’étions pas prêts, surtout dans la haute fonction publique, celle qui est à la tête de la France et qui n’a pas écouté les scientifiques qui tiraient les sonnettes d’alarme (cause toujours ?).
3 – L’administration de la France face à la pandémie
Le virus a frappé, nous n’étions pas préparés. La France n’était pas préparée. Le système de santé était en pleine « réorganisation » avec des grèves notamment des services d’urgence. Avec insistance la presse s’est faite l’écho des réticences de notre Haute-administration à fermer les voies empruntées par les chaînes de contamination, notamment les frontières. Le brontosaure a mis du temps à réagir face au tyrannosaures qui lui mordait la queue. Ici, le tyrannosaure était une minuscule particule d’acide ribonucléique ARN organisée en virus, mesurant quelques millionièmes de mm, visibles seulement avec de puissants microscopes mais virulent ! Leur finalité, se reproduire en infectant un être vivant pluricelluleaire.
J’ai été personnellement plongé dans le marasme des hôpitaux avec trois passages aux urgences espacés de 2 à trois semaines de septembre 2019 au 23 février 2020. Entré à 19h00 pour la première, j’ai dû attendre 3h du matin un IRM et une hospitalisation à 7h00. La seconde a été plus rapide. Entré à 19h30, j’ai été pris en mains à 2h du matin pour une radio. Lors de la 3e, toujours à 19h00, j’ai vu le jour se lever en entrant dans ma chambre. Le personnel a fait le maximum et les 34 jours d’hospitalisation, je n’ai jamais manqué de soins éclairés et d’assistance. Je leur doit d’être debout et en forme. Pourtant depuis quelques années, les bruits de fermeture de petits établissements pour causes d’économies ne cessaient d’être dénoncés par les médias. Cause toujours !
3.1 – Démolition des services de santé
Sous prétexte de réorganisation, on a mis en place une machine ) raboter ! La politique de santé est pilotée au niveau régional par les Agences Régionales de Santé (ARS). Selon Wikipedia « Une agence régionale de santé (ARS) est un établissement public administratif de l’État français chargé de la mise en œuvre de la politique de santé dans sa région. ». La politique est impulsée par le Ministère de la Santé.
3.1.1 Action négative des ARS
Courteline n’est pas mort ! Les bureaucrates s’occupent d’un domaine assez limité. Certains se prennent pour « le phénix des hôtes de ces bois » (Le Point n° 2487 du 23 avril 2020, p. 38, Jacques Bichot).
3.1.1.1 Histoire de gel hydroalccolique
Le Point (n° 2487, p. 21) donne un premier exemple de « couenneries » courtelinesques. Une pénurie de gel hydroalcoolique sévère sévit. « Pharmacies, EPHAD, … Même les hôpitaux en manquent. Les fonctionnaires de l’Agence régionale de santé (ARS) sonnent à toutes les portes. Sauf une : celle des pompiers » qui avaient pu en fabriquer 300 litres avec des ingrédients qu’ils avaient retrouvé dans leurs stocks ! L’ARS considérant que les pompiers ne relèvent pas du même ministère, les agents de l’ARS ont interdiction d’accepter l’offre !
3.1.1.2 Coût des lits d’hôpital
Depuis plus de 10 ans (Le Point, n° 2487, p. 38), les ARS ont poussé à la réduction du nombre de lits. On a favorisé les chirurgies ambulatoires. L’opéré sort quelques heures après son opération. On réduit les dépenses hospitalières mais pas les dépenses de santé : un lit occupé coûte moins cher que l’intervention à domicile d’infirmiers libéraux. Ubuesque ! L’hôpital dépense moins, la communauté paie plus cher.
3.1.1.3 Achats de matériels
Les scanners se sont révélés très utiles dans le dépistage du CoVid-19 par l’examen des poumons. De mon passage en hôpital, j’ai pu toucher de près la grande sollicitation des matériels d’imagerie médicale pour toutes sortes d’affections. J’ai appris récemment que les ARS n’autorisaient les achats de scanners qu’au compte-goutte. Comme dit la fable « la fourni se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue ». J’ai pu néanmoins apprécier le fronton des énormes machines blanches avant d’y être avalé : SIEMENS ! Une machinerie allemande ! Il y a d’autres fabricants, la France a disparu du PAV. Et du marché de l’informatique qui va avec. Connaissez vous des fabricants français équipant notre recherche en biologie ?
On ne peut combattre les yeux bandés. Pour se rattraper, les ARS ont mis le paquet, après ! Pour faire face aux diverses pénuries.
3.1.2 Constat d’impréparation
La « gripette » de Madame la Ministre Agnès Buzyn est devenue pandémie. L’épidémie a fait, au 16 avril 2020, 22.000 morts et 169.000 personnes contaminées, soit le pire bilan d’Europe. Si on compare l’Allemagne et la France, la comparaison est accablante, bien que cette comparaison déplait !
Ce sont 5.000 lits de réanimation pour une population de 67 millions pour la France et 60 Millions pour l’Allemagne ! Ce pays a su dépister rapidement les porteurs de virus grâce à l’emploi de tests. Nous avons manqué de tests et il a fallu enfoncer des portes d’administrations pour autoriser l’emploi de produits de médecine vétérinaires pourtant disponibles !
L’hebdo Le Point (n° 2487, 23 avril 2020, p. 23) dénonce la barrière bureaucratique qui a empêché les laboratoires privés d’intervenir, les centres de recherches et les laboratoires vétérinaires. Ces derniers disposaient de machines performantes, indépendantes des réactifs « propriétaire » du fabricant de la machine. Malgré l’Académie de Médecine qui soulignait l’absurdité de la loi interdisant à un labo vétérinaire de toucher un prélèvement humain et vice-versa Pourtant, coronavisores animales ou humaines, le virus s’en fiche lui. Passé d’un animal à l’homme. S’agit-il d’un corporatisme de biologistes ? Il aura coûté cher !
Nous avons manqué de masques, de gel hydroalcoolique, de vêtements de protection (visières, surblouses, etc.) et de respirateurs, dans une improvisation foisonnante.
3.1.3 Lourdeurs et inerties bureaucratiques
La dispersion des centres de décision a joué. Face aux structures complexes sommairement décrites ci-avant, il fallait un commandement unique ! Nous avons eu une pétaudière ! Les critiques ont plu ! Nos énarques si grassement rétribués (voir Vincent Jauvert « Les intouchables d’état », Robert Lafont : 2018, 248 pp) ont-ils été à la hauteur ? Une minorité d’entre eux ont assumé mais leur formation littéraire et juridique n’a pas permis à l’ensemble de comprendre le phénomène écologique et biologique qui a déferlé sur notre pays.
Certaines collectivités territoriales (régions et départements) ont tenté de suppléer à la pénurie de masques. Elles se sont vues confisquer leurs commandes par des Préfets ou des ARS !
3.2 – Les conséquence de notre organisation
La guerre des masques n’est pas tout. Dans cette crise, a surgi le spectre d’une France dépourvue, désindustrialisée. Nos usines sont parties à l’étranger, General Electric (USA), entre autres, a pompé nos industriels !
Le cas de l’usine de fabrication de masques de Plaintel est un des exemples, entre plusieurs centaines. Fr3 parle d’un scandale d’état. Il suffirait de nationaliser le site et de le faire rédémmarrer mais il y a un hic ! La France a sacrifié l’usine selon l’enquête de France Info. Cette usine d’une capacité de production de 200 millions / an de masques FFP2 garantissait 180 millons / an au Ministère de la Santé. Ses machines ont été ferraillées puis détruites ! Sous le quinquennat Hollande, en 2018. Certaines machines étaient neuves ! Cliquez sur ce lien. Ce site met en cause les ordonnances Macron. Plus cynique encore : Plus cynique encore : « à l’heure de la pandémie du Covid-19, le groupe Honeywell rouvre une usine à Rhode Island, aux États-Unis, pour subvenir aux besoins américains, avec les mêmes masques que ceux fabriqués à Plaintel. » !
Depuis quelques jours, des collectivités locales, notamment la région Bretagne et le Conseil départemental des Côtes d’Armor, travaillent avec d’autres partenaires et avec l’ancien directeur du site, à un projet de relance. Celui-ci pourrait prendre la forme d’une Société coopérative d’intérêt collectif (SCIC). Mais la relance de l’activité ne se ferait pas avant un an. !!! Nous sommes aujourdhui 28 avril 2020 à 23.293 décès !
La France a délocalisé la production des molécules de base de ses médicaments, en Inde et en Chine. Sous prétexte de payer moins cher le médicament en baissant le coût de la main d’œuvre de production et en échappant aux lois de protection de l’environnement. Car les usines pharmaceutiques polluent.
Conclusion
Citoyens et Contribuables de l’Hérault, nous avons la chance que notre région et notre département soient parmi les moins impactés par ce fichu virus ! Gouverner, c’est prévoir dit un adage qui semble oublié. Depuis 2016, l’OMS avait tiré la sonnette d’alarme : une pandémie menaçait. L’impréparation française fait rire jaune ! En Allemagne, il est dépensé 1264 € par habitant contre 1487 € en France. Il y a huit lits d’hôpital pour un habitant en Allemagne contre cinq en France. Oui mais en France, on dépense en frais administratifs 800 millions de plus qu’en Allemagne ! Les personnels de santé français (médecins, infirmiers, …) sont moins bien payés que leurs collègues allemands et italiens. D’où vient cette fuite d’argent. Où passe l’argent des contribuables ? Nous rappelons ici une citation de Georges Clémenceau « Les fonctionnaires sont comme les livres d’une bibliothèque: ce sont les plus haut placés qui servent le moins ». Ceux qui empochent de hauts-salaires sur des fonds publics doivent en tirer leurs conclusions.
Le jour d’après va venir. Il faudra bien revoir nos politiques de rémunération de toute notre pyramide administrative, feuille par feuille du millefeuille. Il faudra surtout réévaluer notre politique de délocalisations industrielle, sauver ce qui peut l’être et remettre en route les équipements et fournitures stratégiques. Le principe de précautions souvent mis en avant n’est pas contre le développement industriel durable. !
Depuis que l’espèce humaine, l’Homme a domestiqué des animaux, dixit un de mes amis directeur de recherches à l’INRA et généticien, il y a eu sans cesse franchissement de la barrière interspécifique de l’animal vers l’homme. L’origine des maladies émergentes est là ! C’est une loi de la nature. La concentration humaine-animale et les moyens de communication ont fait le reste.
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Le webmestre-écolo-maboul
Il y aurait des remèdes au COVID-19
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
Introduction
Avertissement : en aucune façon, l’information que nous apportons ne peut se substituer à un diagnostic médical et à une prescription médicale.
Info
Le virus est officiellement nommé SRAS-CoV-2. Il est originaire de la Chine, de Wuhan (province de Hubei). Pour en savoir plus, voyez l’article publié par le site Citoyens34 et l’article publié par l’ODAM. Dans le foisonnement des informations, face aux mensonges dont nous sommes abreuvés, j’ai décidé de faire bénéficier mes collègues du CIDES34 de mes connaissances de Biologiste-Ecologue initiales, affutées par mon passage au Ministère de l’Environnement (1980-1996) et dans des laboratoires de biologie fondamentales (CNRS-INSERM-CHUs-INRA : Paris, Dijon et Montpellier). J’ai aussi appris à dépouiller les informations et à faire des rapprochements et des synthèses.
1 – Première mise au point
Dès le début de la pandémie, on nous a affirmé qu’il s’agissait d’une gripette ! Puis la gripette a montré ses dents ! Sortie de Chine, aéroportée par les transports aériens et les automobiles-autocars-TGV, le virus a commencé ses ravages ! Le début des mensonges d’un État pris au dépourvu et qui a fait passer sa gestion de la pénurie pour une gestion de l’épidémie. C’est si bête que ça !
1.1 – Controverse sur les traitements
S’agissant d’un nouveau virus, une maladie émergente pour laquelle les scientifiques et les médecins n’avaient pas de traitement bien défini et connu et les organismes humains aucun anticorps. Nous en sommes à 20.000 décès en France. Dés le début en France, les controverses ont fusé entre ceux qui ont analysé l’épidémie en Chine et qui, au contact des malades, ont appliqué un traitement à base de chloroquine et dérivé (Pr. Didier Raoult, IHU-Méditerrannée, Marseille) et ceux qui ont voulu refaire les essais des anti-viraux (lopinavir, remdesivir et ritonavir associés à d’autres substances). Les Chinois nous avaient dit que les résultats étaient décevant !
J’ai interrogé Google et j’ai trouvé deux informations de sources présumées sûres.
Le Collège de Médecine Générale (CMG) est une autre institution dans le monde des médecins généralistes. Les partenaires individuels sont de grandes pointures :
Je pense que cette brochette de partenaires cautionne les résultats que publient conjointement le Vidal (via son lien) et le CMG. Quels sont ces résultats ?
1.1.3 Les résultats des essais cliniques
Les traitements de l’IHU-Marseille et les essais académiques (programme Discovery) ne sont pas synchronisés, des patients ont décédé en France. Que dit la fiche du CMG (version du 27 mars 2020) ?
Il y a l’énoncé des pour et des contre. Quand un médecin hospitaliers (seuls eux ont le HCQ et le CQ à disposition) a évalué les contre et éliminé de son protocole les patients à risques, il peut appliquer le protocole HCQ-AZT. La conclusion est :
« Les auteurs concluent que cette étude confirme l’efficacité du traitement HCQ-AZT et son potentiel dans la réduction rapide de la contagiosité. » !
Vous avez bien lu : potentiel dans la réduction rapide de la contagiosité ! Hydroxychloroquine (un médicament connu, disponible depuis un demi siècle (50 ans) et d’un prix très bas, produit en France, mis à disposition gratuitement par son distributeur, le Professeur Raoult n’a pas hésité une seconde !
Et l’essai des ant-vir à 480 € la boîte de 10 (Essai Discovery) ? Même si les fabricants ont mis leur médicament gratuitement à disposition des essayeurs cliniques. On attend encore à ce jour les résultats ! Lisez l’article de France-Avenir ! Résultats fin avril ! Nous sommes le 21, il y a 20.265 décès en France ! Heureusement, la courbe semble en pente descendante !
2 – Les enseignements à tirer
Il est difficile de comprendre les motifs qui ont provoqué la controverse, la polémique contre le Professeur Didier Raoult et son traitement : il a été un observateur pragmatique de l’épidémie en Chine et sur les essais des antiviraux, les classiques dont le nom finit en « vir ».
2.1 – L’efficacité de la chloroquine et de ses dérivés au début
Le principe de la méthode scientifique pour démontrer l’efficacité d’un médicament avant son utilisation conduisait à attendre les résultats d’études qui prennent un certain temps. Pendant ce temps, des malades mouraient ! Le Pr. Raoult a décidé « d’employer la méthode empirique, une vielle méthode qui a conduit dans le passé aux plus grandes avancées dans le domaine de la médecine. Attendre les résultats d’une étude en double aveugle pour traiter le coronavírus n’aura plus grand intérêt ! Par ailleurs, l’étude Discovery qui inclut la chloroquine n’aura aucun intérêt pour juger de l’efficacité de son administration précoce, puisque ce traitement ne sera administré qu’à des cas graves, ceux-là même pour lesquels ce traitement ne sert plus à rien selon le Pr [Raoult] » (citation d’une réaction à l’article du Figaro en date du 5/04/2020, Python77).
2.2 – Les deux phases de la maladie COVID-19
La maladie à Coronavirus SRAS-CoV-2 comporte deux phases, selon différentes sources hospitalières, aprés la contamination (ne pas confondre avec les stades de l’épidémie-pandémie).
2.2.1 Début de l’infection
Le début de l’infection est la pénétration dans l’organisme, suivie d’un temps de « maturation » au cours duquel le virus se multiplie et se répartit dans l’organisme. Il se déclare généralement un syndrome respiratoire aigu et la maladie peut décroitre et disparaître dans le meilleur des cas. Mais il peut y avoir des complications chez certains patients : c’est la phase aiguë.
2.2.2 Complication et décès
Certains patients développent une forme grave ou critique qui nécessite l’hospitalisation en réanimation sous assistance respiratoire. L’immunité du malade s’emballe alors que la charge virale serait en diminution. Cette phase nécessite des moyens lourds et des lits de réanimation. Cet emballement, notamment au niveau pulmonaire est dû à un emballement de la réaction auto-immune de l’organisme. A ce niveau, selon le Professeur Raoult, la charge virale est basse sinon nulle.
2.2.3 Inutilité de la chloroquine en phase critique
Le Professeur Raoult a signalé l’inutilité du traitement à la chloroquine dans la phase critique. Or, il semblerait que l’essai européen Discovery (lance le 22 mars). Ils seront « randomisés » dans les formes !. Ils porteraient sur des malades en phase de début alors que le Ministre Olivier Véran avait déclaré qu’il fallait réserver le traitement HCQ-AZT aux « cas les plus graves, en réanimation » (selon le site ‘? Pourquoi docteur » sous la plume d’un médecin, le Dr Jean-François Lemoine » citant le Professeur Harousseau, un ancien directeur de la HAS). Comment un Ministre a-t-il pu prononcer de telles paroles et étant médecin ? Il s’agit bien du docteur Oliver Véran, ministre !
S’il ne s’agissait pas de vies humaines, on pourrait faire un peu d’humour. Discovery arriverait trop tard ? Comme les fameux carabiniers ?
Nous citons à nouveau le site ‘? Pourquoi docteur » « Le professeur Jean-Luc Harousseau veut d’abord réagir à la déclaration d’Olivier Véran, le ministre de la Santé, dans le Journal Du Dimanche, qui s’étonne que des gens soient devenus « virologues en 24 heures ». Le professeur Harousseau est un ancien directeur de la Haute-Autorité de la Santé (HAS) citée plus haut. Il a derrière lui 40 années de lutte contre les maladies graves. Dans la situation de guerre contre le Covid-19 et face à l’absence de traitement il préconise la même stratégie : « utiliser le moindre espoir lorsqu’il existe » !. Téléchargez l’article et lisez le.
On est en droit, en citoyens responsables de se poser la question des conflits d’intérêt que cachent ces manœuvres et tergiversations ? Il faudra bien que des comptes soient rendu après. Le jour d’après va venir.
3 – Les autres alternatives
Les traitements alternatifs seraient des antiviraux déjà testés par les hôpitaux chinois :
Notre économie a été paralysée, des patients sont morts. De gros dégâts ont été causés.
4.1 – Le confinement
Face à un monstre qui avançait en sautant les frontières, inexorablement, il a fallu mettre en oeuvre un remède de cheval. Nos gouvernants ont commencé par minimiser la menace puis ont essayé de cacher la gravité de la situation, c’est si bête que ça ! Après plusieurs jours de perdus en tergiversations et bêtises, il a fallu se rendre compte de l’incurie, de l’absence de stocks stratégiques. Le confinement a été le remède ultime, heureusement il a marché.
Alain Bauer, criminologue et spécialiste de la gestion de crises jette une lumière crue sur le phénomène, ses paroles sont sans complaisance : il s’exprime dans sa tribune dans l’Opinion « Tout le problème posé par ce type de situation épidémique est qu’il est plus politique qu’épidémiologique ». Nous ne sommes pas entièrement d’accord. Dans le site de l’ODAM, je montre ce que peut faire comme ravages l’ignorance des lois de l’écologie. C’est une science qui ne s’apprend pas à l’Ecole Nationale d’Administration. Nos gouvernants sont des littéraires, non des scientifiques.
Le déconfinement est une « expérience » nouvelle pour notre pays. La nomination d’un « Monsieur Déconfinement » s’est faite au sein de proches du Premier Ministre. Le Chef de lÉtat a annoncé une date : le 11 mais mais il y a un mais ! ? L’épidémie sera-t-elle sous contrôle. Statistiquement, il n’y a qu’une faible proportion (heureusement) de personnes atteintes supposées être immunisées, ce qui n’est pas sûr ! Le Premier Ministre nous a mis en garde sur le fait que le 11 mai n’est qu’une étape, il va nous falloir cohabiter un certain temps avec le virus !
Ce qui est sûr, c’est que nous avons des incertitudes sur l’immunité acquise ! Il n’y en a pas et il est très possible qu’une 2e vague de l’épidémie risques de nous frapper !
Nous espérons que bientôt un vaccin va voir le jour, certainement pas avant quelques mois ! Nous nageons dans l’incertitude. Le déconfineur est-il le bon ? C’est la vie économique de notre pays qui en dépend ainsi que la vie de nos concitoyens.
4.3 – Le jour d’après
Le 22 avril, il y aura un débat au Parlement et le 23 un débat au Sénat. M. le Premier des Ministres nous a promis un plan de déconfinement pour la fin avril. Serait-ce le 30 avril ou plus tard ? Serait-ce comme pour les résultats de l’essais Discovery ?
Quelle conclusions va-t-on tirer de ce que nous avons exposé plus haut ?
Conclusion
Comme doivent le penser certains de nos ministres, secrétaires d’état et délégué interministèriel, qu’est-ce qu’on est venu faire dans cette galère ! Maudit soit le virus et ses propagateurs. Nous, citoyens, en avons fait les frais de cette incurie ! Le site du CMG nous révêle l’intrication des différents organismes qui se penchent sur la gestion de la Santé Publique en France.Un bel exemple de bureaucratie à la française. Mme Agnés Buzyn était médecin hématologue, immunologue et praticienne hospitalière. Son époux est Monsieur Yves Lévy, un médecin immunologsiste, spécialiste de l’infection VIH et Directeur de l’INSERM. Le site « Marianne » dénonce la nomination de M. Lévy « recasé au Conseil d’Etat » bien que n’étant pas juriste ! Entre immunologues, il devrait y avoir coopération avec le professeur Didier Raoult, un spécialiste des maladies émergentes. Or, ils ne s’entendent pas. Le bien public, autre nom de l’intérêt général aurait dû aider à mettre en place rapidement le traitement HCQ-AZT qui semble avoir été bien freiné par le Directeur de la Santé de Mme Buzyn. Pourquoi ? Le placard doré de M. Lévy au CE ressemblerait-il à une planque ?
M. Macron avait promis de mettre de l’ordre dans la haute-fonction publique d’état; Il avait dû lire le livre de Mme Agnés Verdier-Molinié Ce que doit faire le (prochain) Président (2017, Albin Michel, 299 p). Le chapitre 5 propsait de « Réorganiser la France » (pp. 61-68) et le chapitre 10 « Supprimer l’ENA est ses caméléons » (pp. 113-125) en égratignant au passage les Agences Régionales de Santé (p. 122). Ces ARS ont été très critiquées !
Le question se pose de l’efficacité des investissements budgétaires de l’État dans la gestion de la crise sanitaire qui nous a frappés et lé réponse à la question « Où passe l’argent des contribuables » ?
Avertissement : en aucune façon, l’information que nous apportons ne peut se substituer à un diagnostic médical et à une prescription médicale.
Père Siffleur
Président d’association Docteur en Sciences biologiques (non-médecin) Cadre technique supérieur de la recherche ER (IR-ITA-CNRS) Auditeur IHEDN 1985
PS : Je ne suis qu’un modeste retraité de 81 ans, 82 bientôt. J’ai été frappé en septembre 2020 par une maladie auto-immune. En 5 mois de soins dont 3 hospitalisations à temps plein et 45 demi-journées de ré-éducation neurologique, j’ai pu apprécier le grand dévouement et la gentillesse des médecins, des internes, des infirmières, des aides-soignantes, des kiné et ergo-thérapeutes, en un mot du personnel soignant des quatre établissements hospitaliers que j’ai fréquentés. Depuis mon confinement, je soutiens ces personnes admirables à qui je dois d’être debout sur mes jambes et de pouvoir taper à nouveau sur mon clavier. Je leur rend hommage ici et soutiens leur combat pour de meilleures conditions de travail et de rémunération.
Clubs d’influence et Sociétés d’Economie Mixte
Le problème ?
Clubs d’influence ou corps d’état ou sociétés d’économie mixte (SEM), autant d’organismes tu-me-tires-je-te-pousse chargés de défendre les intérêts particuliers contre l’intérêt général. Une plaie, car les objectifs initiaux ont été dévoyés.
1 – Les Clubs ou think-tanks
Il s’agit de la sphère privée mais ce sont des lieux où se mêlent fonctionnaires (surtout les hauts) et des dirigeants d’entreprises privées. Par le biais du pantouflage, la limite entre privé et public s’estompe, elle est floue. Il existe des clubs discrets :
club « le Siècle »,
club « les Gracques »,
club des Juristes,
groupes, etc.
Le club « Le Siècle » est une association qui regroupe des dirigeants politiques, économiques, culturels et médiatiques français.
Le club « Les Gracques » est « un groupe de réflexion et de pression » qui souhaite une rénovation de la gauche française autour de valeurs sociales-libérales. C’est là que se cache un « groupuscule » crypto-politique se targuant d’un héritage antique pour mieux construire le futur français
Le « Club des Juristes » est un think tank montré du doigt par Vincent Jauvert (p. 135). Un de ses membres les plus éminents est Bernard Cazeneuve, Président du Club.
Le « Groupe Bilderberg » aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d’environ 130 personnes, essentiellement des Américains et des Européens, dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias. Les premières fuites sur l’existence de la conférence couplées à la non-médiatisation des discussions ont alimenté les théories du complot pendant la guerre froide, notamment chez l’essayiste antimaçonnique Roger Mennevée. Dans un article de 1967, celui-ci présente la conférence de Bilderberg comme faisant partie d’une conspiration mondiale visant à instaurer un gouvernement mondial (la « Synarchie ») dirigé par les États-Unis et prévoyant l’abandon des souverainetés nationales. Comment est-ce possible ?
Mais, … Certains membres de cette institution l’ont utilisée comme marche-pied pour leurs ambitions personnelles, pour atteindre le sommet de l’état. C’est le cas de notre actuel Président de la République.
Mais, … ! Sorte d’« élite de l’élite », au sommet de la hiérarchie créée par la sélection à la française, l’Inspection des finances alimente nombre de suspicions et de critiques, justifiées ou exagérées, sur le caractère fermé et mandarinal du pouvoir en France. Dans les années 1990, les scandales financiers dont ont été victimes des entreprises à la tête desquelles se trouvaient des inspecteurs des finances (Vivendi avec J.-M. Messier, Alstom avec P. Bilger, Crédit lyonnais avec J.-Y. Haberer, France Telecom avec M. Bon ont alimenté les critiques de l’institution. L’IGF est également régulièrement critiquée pour être « un placard doré » et pour recaser les proches des politiques en fin de carrière.
2.2 – Les corps des Ponts-et-Chaussée
Le corps des Ponts-et-Chaussées a été créé en 1669 par Colbert. Il est devenu le est devenu le corps des ingénieurs des ponts, des eaux et des forêts. C’est ce corps qui s’est déclaré compétent pour les ministères chargés de l’Environnement qui se sont succédés depuis octobre 2009. Cette élite a la haute-main, avec les ingénieurs des mines, sur tout ce qui touche à l’environnement et à sa gestion, sans partage avec les scientifiques dont l’importance a peu à peu diminué au sein des différents ministères qui se sont succédés sous divers noms.
Le dispute la seconde place au corps des ponts-et-chaussées, eux et forêts. Il est rattaché actuellement au ministère de l’économie et des finances. Tous ces corps précités ont une vocation inter-ministérielle.
3 – Les sociétés d’économie mixte (SEM)
3.1 – Définitions
Les Sociétés d’économie mixte (SEM) sont, selon Wikipédia, des sociétés anonymes dont le capital est majoritairement détenu par une ou plusieurs personnes publiques (à savoir l’État, une Collectivité territoriale, ou tout autre Établissement public). Cette participation majoritaire publique est plafonnée à 85 % du capital depuis la Loi du 2 janvier 2002. Au moins une personne privée doit participer au capital de la SEM, sachant qu’il peut s’agir d’une autre SEM.
Le recours à la SEM garantit à la collectivité publique actionnaire et cocontractante la prise en compte effective de l’intérêt général dans les objectifs de l’entreprise et la souplesse de la société de droit privé. Là, les banquiers et les fonctionnaires, surtout ceux des collectivités territoriales peuvent se rencontrer en toute légalité. Mais il y a eu dévoiement.
3.2 – Les effets pervers
Selon Wikipedia (nous citons) « Les sociétés d’économie mixte étaient donc créées dans le but de répondre à un besoin précis de l’administration et le lien capitalistique certain entre ces deux acteurs a longtemps permis de faire échapper ces sociétés à l’application du droit de la concurrence. La passation de conventions avec ces entités a longtemps échappé à l’application des principes généraux de la commande publique, principes garants, depuis l’arrêt de la Cour de justice des communautés européennesTelaustria Verlags du 7 décembre 2000, d’une égalité dans l’accession aux contrats publics entre entreprises. L’influence du droit communautaire a eu pour conséquence un abandon progressif des exceptions à l’application des principes du droit économique qui bénéficiait aux sociétés d’économie mixte et ces sociétés ont progressivement été soumises au droit de la commande publique. ».
3.3 – Un exemple local entre autres
Il y a plus grave avec certaines collectivités locales qui se sont constituées un véritable bras armé pour des hiérarques locaux ambitieux. Les lis de décentralisation ont donné une autonomie quasi-totale aux responsables locaux et les instances de contrôle à posteriori sous l’autorité des Préfets sont le plus souvent absentes. Nous en avons maints exemples avec des marchés publics instruits par des SEM locales en sous-traitance de collectivités publiques. Les représentants de l’État étaient absents, les associations ont dénoncé les marchés ainsi passés, des responsables ont été entendus par les SRPJ, sans aucune suite judiciaire pour les auteurs de marchés de complaisance, leurs complices et les receleurs. Les réalisations ont été audités par le Sénat, par les Cours Régionales des Comptes avec des rapports accablants, sans suites judicaires connues.
L’usine de méthanisation « Amétyst » (Montpellier-Agglomération, 2 rapports défavorables) en est un des exemples : aucune sanction judiciaire. Deux de nos amis peuvent en témoigner.
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Les privilégiés en France
La fiscalité pour tous
Ce bon Monsieur de Lafontaine disait dans une de ses fables « Selon que vous serez puissant ou misérable … ». L’abolition des privilèges la nuit du 4 août 1789 ni l’horrible Terreur qui a suivi n’ont rien changé !
Nous sommes respecteux de la Loi, celle qui découle de notre Constitution et des différents codes.
Le Président de la République est mis en cause, entre autres, par deux écrivains-journalistes :
Il est question des privilèges de la haute-fonction publique dont le Président est qualifié de porte-parole, de bouclier, … La question des salaires et des privilèges revient au premier plan avec les retraites qui vont avec. Les ors de la République aussi, un décor feutré qui isole du monde extérieur, des « gens » et de leurs problèmes quotidiens de retraités, de petits retraités, de smicards, de RMistes, de routiers, de plaquistes, de paysans, de caissières, de mères célibataires, … ceux que vous semblez mépriser et que vous ne connaissez pas.
Si dans les entreprises privées les salaires et les retraites sont l’affaire des fonds privés (cela ne signifie pas que nous nous en désintéresserons), le secteur de la fonction publique civile, militaire, santé publique, territoriale, … nous intéresse en priorité car il est financé par nos impôts, par notre argent, celui que tous les contribuables paient à l’état (citoyens, entreprises, …). L’utilisation de l’argent public se doit être exemplaire, aucune gabegie ou détournement de fonds ne doit être toléré, de même que tout enrichissement personnel ne devrait être admis. Notre pays a perdu son tissus industriel : il s’est désindustrialisé dans de nombreux domaines productif de richesses, donc d’impôts. moins d’impôts, moins de fonctionnaires ? On reparlerait de Contrat social ? Un contrat implicite ? Les fonctionnaires sont là pour servir leurs concitoyens, non pour se servir. Il doit en être de toute personne percevant des fonds publics, hauts-fonctionnaires compris.
1 – Les obligations et les droits des fonctionnaires
Les obligations et les droits des fonctionnaires se doivent d’être rappelés ici. Le portail de la fonction publique met les choses au point mais en parlant, d’abord, des droits, les devoirs venant en second. Nous inversons la proposition : les obligations, d’abord ! Tout travail méritant salaire (traitement), tout salarié doit travailler, y compris les hauts-fonctionnaires. Le « pantouflage » (passage de la haute-fonction publique vers le privé et vice-versa est une abomination ! Il y a des lois, elles sont souvent interprétées et mal ou pas appliquées. Selon que vous serez … Oui, mais il y a eu la prise de la Bastille et la nuit du 4 août ! Est-ce si loin ?
Nous citons « Loi n°83.634 du 13 juillet 1983, article 28 Le fonctionnaire « doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public. » Le refus d’obéissance équivaut à une faute professionnelle. ».
Qu’en est-il du pantouflage et des possibles collusions ou prises illégales d’intérêt ? Nous citons : « Code pénal article 432-11 : interdit à tout fonctionnaire ou agent public de conclure des contrats ou de travailler dans ou avec une entreprise dont il aurait « assuré le contrôle ou la surveillance » ou à propos de laquelle il aurait « proposé des décisions » ou « formulé des avis » aux autorités politiques. ».
1.1 – Les Hauts-Fonctionnaires
Les Hauts-fonctionnaires, ils sont au moins 600 hauts-fonctionnaires qui gagneraient plus de 150.000 € nets par an, plus que le Président de la République. Lisez cet article dans Orange.
Nous citons l’article d’Orange : « L’enquête de Vincent Jauvert, parue le 18 janvier, pourrait accroître la défiance de l’opinion à l’encontre de ce qu’il appelle la « noblesse d’État ». « Je ne m’attendais pas à découvrir un tel déclin de l’esprit public, un tel mépris des règles éthiques », écrit-il, cité par L’Obs qui publie des extraits du livre. Le directeur régional des finances publiques d’Île-de-France trois fois mieux payé qu’un ministre ». Nous ajoutons que l’un des mieux payés est le Gouverneur de la Banque de France avec 286.000 € bruts / ans sans compter primes et autres … Ils seraient 600 à gagner plus de 150.000 € nets par mois, soit un coût de 90 M€ hors charges sociales patronales (c’est l’état l’employeur). Ils sont supposés payer pour leurs retraites, des hautes retraites !
Ces hauts fonctionnaires « pantouflent », c’est à dire de manière familière en France, le fait pour un haut fonctionnaire d’aller travailler dans une entreprise privée. Avec la réforme Pénicaud, il semble que le gouvernement veuille promouvoir cette pratique dont les effets sont funestes ! Je cite « Travailler pour une banque et obtenir une « promo » en tant que fonctionnaire, c’est… bientôt possible. Le gouvernement souhaite encourager la mobilité de ses cadres vers le secteur privé, en leur permettant de conserver un temps leur avancement en tant que fonctionnaire. ». Un comble, car ils reviennent au bercail.
La carrière des jeunes énarques est le plus souvent jalonnée de parrainages. Celle du plus illustre de ces personnages commence à la Direction du Trésor, se poursuit chez Barclays. L’inspection des finances l’introduira dans l’équipe de campagne de M. Hollande, il deviendra secrétaire adjoint de l’Elysée et enfin il sera Ministre … des Phynaces ! Et de là, il sera candidat et élu Président de la République. Qui est-il ? Qui est ce parrain ? Devinez ! La femme de ce dernier (le parrain) siège au conseil d’administration de Suez, de HSBC France, de la FNAV-Darty, du Centre Pompidou (Françios Ruffin, 2018, p. 84). Ce parrain est en 2005 le directeur de l’Inspection Générale des Phynances (devinez qui c’est ?). Le pantouflage mène à tout !
2 – Les hautes-retraites
Les hautes retraites vont de pair avec les hauts-salaires, traitements et primes des hauts-fonctionnaires. La plus grande discrétion règne quant à la connaissance publique des montants perçus. Le problème des retraites en France est un véritable casse-tête et la réforme des différents régimes est un écueil sur lequel bien des ministres se sont heurtés.
2.1 – Les retraites des fonctionnaires parlementaires
2.2 – Les retraites des haut-fonctionnaires, ministres et autres
La plus grande discrétion règne à ce sujet et il ne faut pas compter sur Google et Internet pour renseigner les citoyens.
2.3 – Les petites retraites
Qu’il s’agisse du secteur privé ou du secteur privé, les retraités des classes moyennes ont vu s’abattre le bras armé du premier des phynanciers d’état, ces hauts-fonctionnaires et le Président en tête. Déjà pressurés par les gouvernements précédents, le fisc avec la CSG va se servir dans la poche de ceux qui ont travaillé toute une vie d’activité persuadés d’alimenter une Caisse de retraite et à qui on déclare froidement qu’il n’y avait pas de Caisse. Et vlan : 20% d’augmentation de CSG !
Deux de mes amis sont dans ce cas. Ils ont bossé, ils touchent leur retraite moins la Contribution Sociale Généralisée (CSG).Le premier, Jean Peuplus, est veuf à la suite d’une longue maladie de son épouse. Il aide ses enfants mais sa demi-part de veuf a sauté, son IRPP a augmenté. Mon second ami lui est à la limite : avec son épouse, il frise les seuils et n’y comprend rien ! L’usine à gaz fiscale fonctionne à plein : CSG déductible, non-déductibles ? De plus, ces deux honnêtes citoyens ont été prévoyants : ils sont propriétaires, l’un de sa villa, l’autre de son 3e étage. Des scélérats de propriétaires ! Si l’un se réjouit de la suppression de la taxe d’habitation, tous les deux vont en prendre plein la figure avec les collectivités dépensocrates qui vont essayer de se rattraper sur la taxe foncière et autres taxes spéciales. Jean Peuplus et Jean Aymar se contentent de dénoncer et de protester.
2.4 – La taxation des hauts-revenus
La taxation des hauts-revenus (contribution exceptionnelle sur les hauts-revenus ) existe. Elle est consultable sur Internet (Site service Public). Oui, mais ! Les technocrates ont pris leur précautions :
fraction du Revenu fiscal inférieure ou égale à 250.000 € (célibataire veuf ou divorcé) : 0% !
fraction du RFR comprise entre 250.001 et 500.000 € (célibatires, …) : 3% ou 0% pour un couple,
… et ainsi de suite !
Nos hauts-fonctionnaires sont-ils concernés ? C’est à voir ! Au cas par cas. Le RFR n’est pas le revenu réel, il y a des déductions !
3 – Que faire ?
Des élections approchent. Votre bulletin de vote a du poids. pensez-y avant de vous laisser hypnotiser par des discours d’amuseurs publics. Tous ces gens doivent comprendre qu’ils doivent accepter de se voir baisser les traitements et les primes et de voir augmenter de quelques points exceptionnels leur CSG. A quand la baisse des tranches de la contribution exceptionnelle sur les hauts-revenus ? Une piste à creuser ?
La Princesse a le dos large et les reins solides.
Père Siffleur
Un homme en détresse appelle au secours
L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.
Argos panoptès
Intro
L’affaire serait risible si un tribunal, une cour d’appel administrative, n’avait donné tort à une association de défense de l’environnement. La gare fantôme du contournement sud de Montpellier «Sud de France» se dresse, glaçante, au milieu de vignes en fiches, dans une zone inondable saccagée par les pelleteuses et les bulldozers, bénie par une décision de justice et un label dit d’utilité publique.
Libération illustre son article au vitriol par l’image prise depuis un pont d’une statue d’un homme tournant le dos à la gare et regardant vers le nord, bars écartés dans un mouvement pathétique d’appel au secours ! A-t-on voulu illustrer le calvaire, l‘odyssée vers Odysséum, de ces voyageurs piègés sans navette et décidés d’aller a Montpellier à pied ? Une gare au milieu de nulle part, sans un guichet, sans quoi se restaurer et se rafraîchir ! Non, il faut chercher, se fouler la rate, pour découvrir qu’il s’agit d’une statue de Gagarine le Cosmonaute ! Quel lien ? Je pose la question !
Europe-Ecologie les Verts a constitué un collectif contre cette gare. Cliquez sur ce lien.
Ce grand projet inutile a coûté 142 M€uros, la Ministre des Transports ne s’est même pas déplacée pour l’inaugurer. La polémique bat son plein avec une plainte et une mise en examen pour diffamation contre le Maire et Président de la Métropole. Cliquez sur ce lien.
L’or blanc n’est pas de l’inox ! C’est par dessous de l’or noir ! Un ami me communique de document que je cite ci-dessous.
« La récession ! Mais quelle récession? Il parait que le monde est en récession. Et bien, la récession mondiale n’a pas le même impact sur tout le monde… Regardez bien! (ci-dessus)
C’est une Mercedes Benz commandée par un milliardaire D’Abu Dhabi (évidemment)….. Ils ne veulent pas de migrants musulmans…ça c’est réservé pour les Européens humanistes…! Le nouveau moteur V10 a 4 turbos qui l’équipe et développe la bagatelle de 1600 CV pour un couple de 2800 Nm le tout en consommant du biocarburant. Grâce à cet atout de taille, le véhicule fait le 0-100 km/h en moins de 2 secondes et il parvient ainsi à franchir le 1/4 de mile en 6.89 sec. Sa carrosserie n’est pas en acier inoxydable malgré ce qu’on pourrait croire. Mesdames et Messieurs, croyez le ou non, elle est fabriquée en OR BLANC !!!
Je suis certain que vous dormirez mieux cette nuit en sachant que vous payez votre essence à un prix exorbitant pour une bonne cause… »
Nos commentaires : elle roule au bio-carburant et pas au pétrole d’Abu Dahbi ? Pourquoi ?