Les controverses sur une maladie et ses traitements
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Controverses sur une maladie
Avertissement : Nous ne prescrivons pas un remède miracle, nous ne sommes pas médecins ni pharmaciens.
Seul un médecin peut prescrire et seul un pharmacien peut délivrer, sur ordonnance, un médicament garanti, pur de tout autre produit indésirable ou inactif (une contrefaçon).
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Introduction
Notre économie par terre, des décès, des moyens de lutte qui ont manqué, cela ne doit plus se reproduire. Nous sommes entrés en récession par la faute d’un micro-organisme : un microbe, un virus, un coronavirus : SARS-CoV-2 et la maladie qu’il provoque, la COVID-19. La polémique fait rage, des patients meurent ! La seule position possible est de faire baisser la mortalité.
1- Deux informations
1.1 – Interview de M. le Ministre et Professeur de Médecine, Philippe Douste-Blazy
Le 7 avril 2020 à 9h30 dans l’émission « La Matinale d’Europe 1 », le Professeur Philippe Douste-Blazy, ancien ministre de la Santé, professeur de médecine et épidémiologiste, s’exprimait. Il fait partie du Conseil d’Administration de l’IHU de Marseille avec lequel il nie tout conflit d’intérêt. Il déclare être un médecin et considérer le travail de son collègue, un homme qui doit être respecté.
Le traitement doit être appliqué, nous sommes dans l’urgence, des gens meurent. ! Le ministre dit « Il n’y a pas de group-control parfait ». Il est remarquable qu’un professeur de médecine retraité ait repris du service dans un hôpital ; c’est cet homme qui vient soutenir un professeur en exercice dont les équipes sont au contact. Comment peut-on admettre devant un patient atteint du virion SARS-CoV-2 de lui administrer un placebo (de l’eau distillée ou un comprimé d’amidon) sachant que la maladie peut évoluer vers une issue fatale ? Comment a-t-on pu, qui l’a fait, prévoir de ne donner le traitement à la chloroquine qu’à des malades au stade grave ? A ce stade, la charge virale est faible mais le patient est lourdement impacté, son système respiratoire serait dans un état quasiment irréversible ? La chloroquine et son dérivé auraient un rôle préventif ? C’est au début de l’atteinte qu’il faut agir. C’est mon opinion de biologiste non-médecin et signataire de la pétition. J’ai personnellement pris de la Nivaquine (nom commercial de la chloroquine) au Sénégal pendant 8 ans (1972-1980) sans être incommodé ! Je n’ose qualifier de criminelle cette préconisation ! Le professeur-ex ministre s’étonne « qu’ON veuille faire croire que la nivaquine et l’hdroxychloroquine soient des poisons » ! Bien entendu, il ne faut en aucune façon faire de l’automédication et commander des comprimés médicamenteux sur Internet.
Seul un médecin peut prescrire et seul un pharmacien peut délivrer, sur ordonnance, un médicament garanti, pur de tout autre produit indésirable ou inactif (une contrefaçon).
1.2 – Le livre de M. le Professeur de Médecine, Didier Raoult
J’ai reçu les références du livre de « Professeur Didier RAOULT » Épidémies : vrais dangers et fausses alertes (Document Michel LAFON, 24 mars 2020, ISBN : 978274994421). Je me le suis procuré et l’ai lu. Je pense avoir trouvé des affirmations qui concordent avec ce qui a déjà été écrit sur ce blog.
1.2.1 Affaire H1N1
Á la page 40, D. Raoult met en cause l’OMS (WHO) à propos de l’épidémie de grippe aviaire qu’il qualifie de « maladie fantasmatique … qui n’existe par chez l’Homme. ». Il met en cause l’ancienne directrice de l’OMS, Margaret Chan (nationalité chinoise) qui « avait joué un rôle imprtant dans « Outre le vaccin, cette fausse alerte … ». Je dois ajouter que Madame le Ministre Roselyne Bachelot s’est vu reprocher son action, elle aurait été abusée par l’OMS et sa directrice ? D. Raoult affirme que « l’OMS va devenir le pyromane de la planète sur les épidémies. ». Grave accusation. Ce n’est pas la seule.
1.2.2 Affaire H7N9
Un nouveau virus provenant des oiseaux apparu dans des fermes chinoises. 350 victimes, certes, ce n’est pas négligeable. D. Raoult en tire la conclusion que ces zoonoses frappent des élevages intensifs ou les animaux vivent en grandes quantités mais aussi des rongeurs et des chauve-souris (colonies de plusieurs milliers d’individus cavernicoles). Là encore (p. 41) l’OMS est mis en cause « c’est l’emballement de l’OMS et des médias … ». Une maladie qui n’est jamais devenue transmissible. C’est l’hubris, la démesure !
1.2.3 Les coronavirus
Les coronavirus, selon D. Raoult, « forment une famille dont le nom vient de la couronne. » Il s’agit de microorganismes très répandus. Le 3e à avoir été identifié en 2003 est le virus du SARS (Severe Acute Respiratory .Syndrome) . Il a fait 880 morts et s’est arrêté. Après lui, le MERS-corona ne s’est pas étendu au-delà de son foyer initial (moyen-Orient).
Le coronavirus chinois
Le coronavirus chinois est apparu en décembre 2019 dans un marché où se vendent des animaux sauvages dont ce peuple est friand. La mortalité initiale de cette maladie, sa transmission au personnel soignant en ont fait une pandémie mondiale. Ce virus s’est aéro-transporté, d’abord localement avec les crachats, dont ceux issus des malades, contenaient de nombreux virions actifs. Des malades ont échappé au confinement et ont atterri en Europe (et ailleurs ?). L’hystérie mondiale, cette fois, a un fondement ! 3.400 morts officiels en Chine (chiffre contesté !) L’épidémie est devenue pandémie ! Le 7 avril 2020, le chiffre macabre serait de 74.000 morts dans le monde. Cliquez sur ce lien. Ici, Didier Raoult présente (p. 56) une diminution des infections respiratoires et bactériennes dans le monde. Les Chinois sembleraient posséder le don de réagir à ces épidémies « venant d’Asie ». C’est là, dans le texte de son livre (p.56), que le Professeur Raoult introduit l’usage de la chloroquine et de ses dérivés
1.2.4 La chloroquine et ses dérivés
La chloroquine semble avoir été évaluée par les autorités médicales chinoises comme molécule anti-infectieuse. Je cite D. Raoult « Ils ont su rapidement montrer que la chloroquine, un des médicaments les plus prescrits au monde et les plus simples, est peut-être le meilleur traitement des coronavirus et la meilleure prévention. Ce qui en ferait une des infections respiratoires les plus simples à prévenir et à traiter ». Dans une situation d’urgence, de « GUERRE » (selon les paroles du chef de l’État), il faut agir pour sauver des vies humaines car des gens meurent. Le Professeur Didier Raoult AGIT.
Il y a eu sur ce blog un billet daté du 2 avri 2020 sur la curieuse position de l’OMS sur la chloroquine. Les autorités politiques et médicales françaises ont mis en avant l’avis de l’OMS. On a vu l’OMS convoquer un groupe (panel) d’experts et 11 jours après le Directeur de cet organisme venir contredire les conclusions de ce groupe ! Conclusions non-publiques par essence et largement et mondialement diffusées sur le site de l’OMS sans restriction ! UBU-roi ? Mais UBU aurait servi d’argument à notre gouvernement (et à ses conseillers scientifiques ?) pour publier un arrêté déclassant la chloroquine et ses dérivés !
2 – Mauvaises appréciations de la crise
Prévenir, c’est guérir. Gouverner c’est prévoir. Le larmes et la curieuse réflexion le 24 janvier 2020 de Mme la Ministre Agnès Buzyn nous laisse dubitatifs ? Des informations contradictoires ont été publiées (Le Monde). Il ne nous appartient pas de juger mais de fournir des bases de réflexion pour « Le jour d’après ».
2. 1 Les anti-viraux et la prévention-guérison
Le SARS-CoV-2 est un nouveau venu dans la série des coronavirus. Un inconnu dont les chercheurs chinois se sont empressés de séquencer le génôme. Il y a à Wuhan un laboratoire de haute sécurité P4 bien équipé sur le modèle du laboratoire P4 « Jean-Mérieux » de Lyon (INSERM). Les médecins chinois n’ont pas hésité à utiliser la chloroquine et ses dérivés. Ce laboratoire ne semble pas avoir joué son rôle de prévention du COVID-19.
2.2. Le rôle des médias
D. Raoult (p. 57) dénonce « l’intérêt des laboratoires qui vendent des anti-viraux (Gilead a fait une progression boursière spectaculaire) … ». Il dénonce aussi « ceux qui sont heureux d’être sur un plateau de télévision comme experts virtuels, qui font de l’audimat sur la peur, et de ceux qui se voient en sauveurs providentiels. » Des articles ont même été publiés de diverses sources qui ont accusé le professeur de retarder les essais cliniques d’anti-viraux (programme Discovery). Des menaces anonymes ont été proférées qui ont abouti à des excuses de la part de leur auteur. Le « Général chloroquine » (surnom affectueux) se plaint (p. 57) de ce que ses communications aient été traitées de fake news sur les réseaux sociaux ! La réaction a été la publication d’un site d’information hebdomadaire sur Youtube.
2.2. 1 France 5 « C dans l’Air »
Un média national, France 5 est à citer de notre point de vue. Ce 8 avril 2020, l’émission « C dans l’air » animée par Caroline Roux avait convoqué plusieurs médecins et chercheurs. Cliquez sur ce lien pour un « replay« . Ce replay ne marche pas sur tour les ordinateurs, nous avons repiqué le résumé et l’avons mis en forme lisible. Cependant, nous avons noté que ce débat mené courtoisement reflétait quelques divergences et l’animatrice a mis tout le monde apparemment d’accord.
- Un des protagonistes interrogé sur les essais a admis qu’en France nous refaisions des essais cliniques avec des molécules dont les médecins chinois avaient indiqué qu’elles ne marchaient pas !
- Il y a contradiction entre l’éthique du traitement contre l’éthique de la recherche : les deux se complètent mais il y a urgence du traitement.
Même si la chloroquine est jugée « un vieux médicament », l’urgence du traitement prime, c’est ce qui rend service au patient en vue de sa guérison qui doit être pris en considération. Ce qui n’empêche pas de continuer la mise au point de vaccins.
Nous soulignons que « l’hydroxychloroquine a été incluse au dernier moment dans l’essai, notamment en cours au CHU de Nantes. ». Le Professeur Didier Raoult semble avoir été victimes de menaces qui viendraient de médecins nantais ?
Le problème des réseaux sociaux est posé comme générateur de faux articles sur Internet assortis de récits complotistes. Un de nos articles sur ce site explique comment la zoonose se serait produite (1/04/2020, ce n’est pas un canulard !). Les scientifiques savent qu’on peut retrouver dans la séquences de gènes d’un micro-organisme manipulé (ADN), les traces du vecteur qui a introduit le gène modifié. Non, il n’y a pas eu malveillance. Il n’y a pas eu de virus fabriqué ! L’écologie et la biologie montrent que, hélas, les conditions de l’écosystème de Wuhan, de son marché aux « fruits de mer », les concentrations humaines et animales sont et ont été le creuset de maladies émergentes.
2.3 Les résultats sont là
Pourtant les résultats commence à arriver. La vérité terrain ! Ce que l’on enseigne aux écologues dans les DEA des Universités (Montpellier entre autres, j’y ai été formé). Les faits sont fournis par le terrain et non par des spéculations intellectuelles ou politiciennes qui sont des arrangements avec la vérité. Chloroquine et hydroxychloroquine, Remdesivir ou Lopinavir, c’est le malade qui doit gagner, le serment d’Hippocrate l’exige.
La santé va revenir, le jour d’après va venir !
3 – Le jour d’après
Nous ne pouvons dire ce que sera ce jour d’après. Nous allons le construire ensemble, démocratiquement. Allez sur le site Parlement ouvert : le jour d’après. Inscrivez vous, contribuez. Cependant, comme Citoyens et Contribuables, vous pouvez juger le travail du Conseil Scientifique présidé par le Professeur Jean-François Delfraissy.
Conclusion.
Le feuilleton du COVID-19 ou SARS-CoV-2 est loin d’être terminé. Le 7 avril 2020 la barre des 10.000 décès (point presse J. Salomon) a été dépassée dans notre pays (info RMC les GG 9h53) et la majorité des cas (3.000) sont des résidents d’EPHAD.
Il ne faut pas que la situation actuelle puisse se reproduire.
Un Auditeur IHEDN 1985