Relations tendues etre la France et l’Algérie

Père siffleur

Père Siffleur

Introduction

Les relations entre la France et l’Algérie sont conflictuelles, la volonté de réconciliation entre l’ancien état colonisateur et l’ancienne colonie sont tendues. La récente tentative de visite à Alger de notre Premier ministre a été repoussée sans ménagements par le gouvernement algérien. Mais le plus inacceptable est la déclaration rapporté par plusieurs médias français de la déclaration « d’un de ses ministres [qui] a qualifié la France d’« ennemi traditionnel et éternel » de l’Algérie. ». Nous avons voulu en savoir plus sur l’identité du Ministre en question. Il s’agit du Ministre du Travail et des Affaires sociales, Monsieur El Hachemi Djaâboub. C’est un grand nationaliste algérien, un islamiste membre influent du parti Hamas algérien qualifié de proche des frères musulmans.

Cet énarque ancien élève de l’ENA d’Alger occupe des fonctions de responsabilité de niveau ministèriel depuis 2003. A lui s’applique la citation d’Amine Maalouf :

« La vertu première du nationalisme est de trouver à chaque problème un coupable plutôt qu’une solution. ».

Un mauvais conseiller des interlocuteurs dans ce conflit verbal où l’interlocuteur algérien ne répond en aucune façon aux approches conciliantes et à la volonté de notre Président et de son gouvernement de se rapprocher et de faire un pas l’un vers l’autre et réciproquement. Il n’y a pas de réciprocité du côté algérien avec de tels jeteurs d’huile sur le feu. C’est un véritable noeud gordien et il faudra bien le trancher un jour.

Nous citons l’article publié sur le site de Boulevard Voltaire (Philippe Kerlouan, 19 avril 2021) :

« L’Algérie se comporte comme un garnement qui a longtemps défié l’autorité de ses parents pour tester leur autorité, redouble d’insolence. »

Nous dirions plutôt un voyou qui, 60 ans après avoir obtenu son indépendance (5 juillet 1962), fait preuve de la plus grande mauvaise foi alors que la première école destinée aux jeunes kabyles en 1873 fut ouverte par la Congrégation des Pères Blancs. Les nombreux soldats-instituteurs mobilisés pour lutter contre le FLN furent affectés dans des régions qui n’avaient jamais connu d’écoles. Oui mais voilà, il s’agissait d’enseigner la langue française et non l’arabe.

Un de mes amis né au Maroc, ayant fait la majorité de ses études supérieures à Rabat nous disait tous les efforts après l’indépendance d’arabiser l’enseignement. Il a été témoin oculaire et auditif des déclarations sur l’archaïsme de la langue arabe classique dans un pays parlant des dialectes locaux plus voisins et dérivés de l’arabe. Il a fallu, au Maroc, moderniser la langue et son écriture. Longtemps, il a fallu former de bons enseignants en langue française avant de les arabiser. Cet ami a été un des enseignants en biologie. Il y a eu aussi une volonté d’arabiser en Algérie.

Ph. Kerlouan affirme que :

« l’arabisation de l’enseignement ne fut pas un facteur de progrès. Ce sont ses propres carences que le gouvernement algérien reproche aujourd’hui à la France. ».

C’est là l’origine de la haie exprimée par le Ministre algérien Djaâboub. Il y a eu lors de l’indépendance une migration massive de ce qui faisait la force vive d’une économie notamment agricole qui ne s’est pas tarie. Professeurs, médecins, économistes, historiens, avocat, etc. ont quitté le pays, c’étaient des élites algériennes pourtant, formées en français et qui étaient arabophones. Des ouvriers sont restés en France, ils auraient pu revenir au pays et participer à l’essor post-indépendance. Cette élite a préfèré rester dans l’ex pays colonisateur et profiter de la démocratie et de ses bienfaits. Cette population qui a opté pour la France entretien des liens étroits et familiaux avec le bled (le pays).

Au bled, après 60 ans, la contestation bat son plein sous le nom de hirak. De là viennent les accusations de certains médias bledi (algériens) qui ont accusé la France de provocation. Quand des aveugles conduisent d’autres aveugles, ils ont toutes les chances de tomber dans le fossé dit la Bible. Nous souhaitons aux Algériens de ne pas tomber dans le fossé et à ceux qui y sont d’en sortir vite.

Un auditeur de l’IHEDN
descendant de Pieds-Noirs


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF AA-IHEDN

Association de soutien à l'Armée Française




Défense de notre souveraineté nationale

Introduction

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines.

Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public. L’hebdomadaire poursuit la dénonciation des mensonges et des blocages (n° du 1er mai).

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité. Il en est résulté une mauvaise appréciation de la progression de l’épidémie devenue pandémie. La petite grippe ou « gripette » a tué plus de 25.531 décès sur 132.000 cas dont 52.736 guérisons. Cette minimisation a cessé rapidement face à la vérité terrain. C’était une pandémie due à un virus inconnu provoquant une maladie émergente. Nous étions démunis ! Démunis au point de vue connaissances comme au point de vue infrastructures : il y avait pénurie. La ministre Agnès Buzyn quitte son ministère remplacée par Olivier Véran. La presse (Marianne n° 1207, 1er au 7 mai) cite Mme Buzyn (en date du 21 janvier 2021, p. 23) « Le risque d’introduction en France de cas liés à cet épisode est faible. » !!! Nous avons vu !

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le gros mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie. Ça continue avec la pénurie de tests de dépistage.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison. Il ne pouvait être question de fermer nos frontières alors qu’un parti d’opposition le préconisait !

La haute-technostructure qui prévaut en France est issue de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). Nous avons dénoncé ce

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens.

Une France forte non-seulement de son agriculture (pétrole « vert ») mais aussi de son industrie qui doit être réinstallée sans être une source de pollution.


Un Auditeur IHEDN 1985




Stop au pillage de nos retraites !

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Ici on s'honore du titre de Citoyen
Arrêtez de piller les retraites et de tondre les retraités. Stop à la division des Français !
Dépensocrates de Bercy, serrez les ceintures.