Le jihadisme

Le terme «jihad» («jihadisme» orthographié à tort djihadisme) désigne improprement une forme de terrorisme islamiste pratiqué par des prétendus fondamentalistes agissant au nom de versets violents du livre sacré des Musulmans, le Coran.

Le terme «fondamentaliste» appliqué à la philosophie des terroristes est impropre. Le terme signifie «retour aux fondamentaux». Ceux qui posent des bombes dans les transports et les lieux publics, qui tuent dans les centres commerciaux et les autobus …, s’en prennent à des citoyens innocents, à des policiers ou des gendarmes, … Ils ne reviennent en rien aux valeurs fondamentales de l’islam. Ils écrivent leur propre scénario et cherchent ensuite des passages du Coran pour justifier leur action.

Le jihad existe mais il a ses règles. Le mot désigne un combat personnel qu’on livre avec soi-même pour devenir un bon musulman. Dans ce cas, il n’a rien d’agressif. Dans un autre cas, il désigne une véritable guerre sainté, une lutte armée pour la défense de l’islam. C’est cette guerre que prétendent mener les terroristes mais ils invoquent le texte et ne mettent en pratique aucune des  règles qu’ils laissent de côté.

Seule une autorité religieuse reconnue et réputée pour sa haute connaissance du texte sacré peut appeler au jihad. On sait (ou on ignore) que les Ben Laden et ses acolytes, tout comme ses successeurs (Abou Bakr et Cie.) ne sont nullement des savants en la matières. Il y a des régles et le Coran est très précis à ce sujet.

<< Il est interdit d’attaquer et de tuer ceux qui ne vous ont pas offensé et ne vous ont fait aucun mal. Il est interdit de tuer des femmes et des enfants. Il est interdit de prendre des otages, interdit de maltraiter, torturer ou tuer des prisonniers.>>

Or, le problème vient de l’absence de clergé ni d’autorité religieuse centrale dans l’Islam sunnite. Plusieurs branches ou obédiences existent. Qui peut prétendre être la haute autorité.

Les « nouveaux jihadistes » mènent un combat qui n’a rien d’une guerre sainte, en dehors des régles du Coran et donc de l’Islam véritable. Le véritable jihad n’a rien à voir avec leur pratique.




Un pauvre homme maltraité

Nous ne voulons pas de çà

Blogons : nous observons, nous relayons

Intro

Nous donnons la parole à un de nos amis citoyen de l’Hérault.


Le procès des auteurs présumés des attentats du 13 novembre 2015 à Paris s’est ouvert hier 8 septembre 2021, soit 6 ans après. Le principal accusé, le (Franco-)Marocain Salah Abdeslam a tenté de transformer son procès en tribune politico-religieuse.

Il s’est présenté comme un soldat de DAECH (l’Etat Islamique) agissant au service de ce ramassis de malfaiteurs s’inspirant de l’Islamisme. Il s’est plaint d’avoir été maltraité depuis son arrestation alors qu’il a bénéficié d’un hébergement de luxe dans une aile de la prison de Fleury-Mérogis exclusivement réservée alors que bien des prisonniers seraient heureux de l’espace dont il dispose. Il est vrai qu’il est surveillé jour et nuit, un luxe pour éviter qu’il ne lui prenne l’envie de rejoindre le paradis d’Allah et ses 80 vierges éternelles (le suicide est interdit pas la loi islamique ?).

Il était atteint de mutisme depuis son arrestation et ne parlait plus, surtout aux juges d’instruction. Un miracle s’est produit : il a retrouvé la parole mais le procès n’est pas retransmis dans les médias, personne ne verra sa barbe noire fournie ni ses vêtements noirs (uniforme DAECH). Il aurait pu mesurer qu’il a des comptes à rendre, lui et ses complices, devant la loi républicaine au nom de laquelle ils sont jugés. La loi islamique ou prétendue telle n’a pas cours en France. Son action et celle de ses complices à provoqué en France, à Paris, des morts (130) et des blessés (413). Il aurait pu exprimer des regrets, se repentir devant les souffrances infligées à des innocents, des civils. A-t-il conscience que ses copains armés de fusils automatiques d’assaut AK47 (Kalashnikov) tiraient les victimes « comme des lapins » ou se faisaient exploser avec leurs ceintures explosives. Si on appliquait la loi islamique, ce serait « oeuil pour oeui, dent pour dent » ou une rafale de Kalash ! En pleine tête ? Sur la place publique ? Non, on lui offre neuf mois de procès !

Non, il ne regrette rien, il est accusé d’avoir dirigé les tueurs en liaison avec ses copains de DAECH qui téléguidaient les tueurs. Ignoble : il se plaint de maltraitances ! Le pôvre ! Cause toujours !

On lui souhaite, à l’issue de neuf mois de procès, de descendre de sont petit nuages jihadiste, de voir la réalité en face pour affronter la juste punition que lui infligera la justice républicaine, une longue perpétuité et un isolement total et la déchéance de la nationalité française. Car il est contagieux, porteur d’un virus très dangereux : l’islamisme radical ou jihadisme qui prétend que sa loi prime sur celle de la République. Il ne réalise pas qu’il est entre les mains des serviteurs vertueux de la République française qui le juge. Au nom de nos valeurs républicaines.

Il semblerait que nombre d’inculpés ne soient pas présents : il se seraient enfuis en Syrie et seraient tombés les armes à la main. Pour eux, la justice est faite. Leur chef est mort, Al Baghdadi est mort comme un rat au fond d’un tunnel, traqué par des soldats des USA. Il ne comparaitra pas devant une justice républicaine.

Citoyen34
Auditeur IHEDN


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

La société républicaine, notre peuple, a le droit de se protéger contre de pareils tueurs crapuleux qui s’en sont pris à des civils innocents.

Association de soutien à l'Armée Française




Contrer l’islamisation et la radicalisation

Argos Panoptés

In

Contrer l’islamo-jihadisme terroriste

M. Olivier Roy a publié un ouvrage intéressant sur lequel il a été interrogé au Club de la Presse d’Europe1. Il s’est exprimé sur le jihadisme et les jihadistes, apportant une vue nouvelle sur ce phénomène qui nous apporte le terrorisme en France. Il parle d’«islamisation des radicaux » en contredisant Gilles Kepel et ses élèves qui parlent de « radicalisation de l’islam ». Olivier Roy parle de « losers ». Il est vrai que militairement, les partisans de l’État Islamique (ad-dawla al-islāmiyya ou DAECH) a été durement étrillé sur le terrain de l’Irak et de la Syrie. Ils ont perdu mais n’ont pas été éradiqués. Le fondateur de ce mouvement islamiste Abou-bakr-al-Bagdadi est mort au fond d’un tunnel mais des groupes jihadistes, restes du califat, subsistent sur le terrain et ont laissé des relais dans les pays occidentaux, en France en particulier. Comment lutter contre ceux qui ont ce dernier mois, alimenté de manière tragique l’actualité de notre pays.

1 – Un précurseur lanceur d’alerte

Nous ne pourrons dire que nous avons été surpris, surtout en haut-lieu, parmi les hauts-personnages qui nous gouvernent. Xavier Raufer, Alain Bauer, les groupes de travail des Associations régionales des Anciens Auditeurs de l’IHEDN ont suffisamment tiré la sonnette d’alarme. Nous serions gouvernés par des Autistes ou par des gens qui affirment que l’Histoire (avec un H majuscule) commence avec eux. A l’opposé, les scientifiques qui vont traiter un sujet vont rechercher ce qui a été écrit avant eux et en font le point de départ de leur recherche, soit pour contredire, soit pour confirmer et ajouter, de toutes façons, une nouveauté. M. Olivier Roy vient de nous livrer sa version, M. Macron et ses marcheurs devraient bien lire ce que leurs prédécesseurs ont écrit et les lois qui ont été votées. C’est ce que trois auteurs ont publié en 2015 (Le jihadisme: le comprendre pour mieux le combattre.- David Benichou (magistrat), Farid Khoroskhavar (universitaire) et Philippe Migaux (universitaire), Plon (département d’Edit), 2015).

1.1 – un livre a relire

Le livre que nous citons ici est à relire avec attention surtout le chapitre rédigé par le magistrat anti-terroriste (AT) David Benichou (pp. 324 à 403). Les pages consacrées au plan de lutte contre les filères syriennes (pp. 358-368) ont retenu notre attention en les rapprochant des déclarations d’Olivier Roy. Le juge, fort de son expérience de magistrat AT et de son observatoire des phénomènes terroristes nous précise que « Le régime de lutte anti-terroriste est caractérisé par des procédures dérogatoires au droit commun », ce que nous admettons. Les méthodes des terroristes sont abjectes et le fait de lâches. Cependant, avec les autres formes de criminalité, il partage les techniques d’enquêtes strictement encadrées par la loi.

Le juge affirme (page 129) que le terrorisme islamisto-jihadiste emploie les mêmes techniques à la fois ancestrales et modernes : ruse élémentaire (contre-filatures, cloisonnement des moyens de communication) et les formes modernes (navigation Internet, cryptage, détection de micros-espions, de caméras, …). Il affirme que le jihadisme n’est qu’une forme de ciminalité organisée qui emploie régulièrement des anciens braqueurs, de petites frappes (voyous), trafiquants de stupéfiants et de cigarettes, parfaits connaisseurs des techniques d’interrogatoires et d’enquête pour les avoir endurés. Le profil du terroriste se construit avec le temps, soit en prison, soit dans ses quartiers.

1.2 – La stratégie islamo-jihadiste fasciste-terroriste

Quel est le rapport avec l’Islam ? Le jihado-terroriste sait que la liberté de religion est garantie par la constitution. Il va se servir de l’Islam pour semer les graines de la discorde, habiller ses actes crapuleux des valeurs religieuses. Il nous réclame, au nom de nos valeurs les droits et libertés inscrits dans nos textes fondamentaux, pour instituer une organisation totalitaire à caractère religieux (une théocratie). Lui ou ses maîtres à pense osent puiser dans le versets les plus belliqueux du Coran et les hadiths les plus sombres les affirmations les plus radicalement opposés à nos valeurs.

Le juge nous dit (p. 129), en 2015, que « l’assassinat perpétré à Charlie-Hebdo en a été la sanglante démonstration » (refus de reconnaître la primauté de nos lois).

1.3 – Le manque total d’esprit humoristique

La culture moyenâgeuse reçue par les candidats au martyre ignore totalement ce qu’est l’esprit critique et notamment le caractère humoristique d’une caricature. L’humour féroce s’oppose à l’interdiction pour le musulman de représenter un visage, voire un corps humain. Il exprime, certes, une dérision mais celle-ci est permise par la loi de notre pays. C’est un droit de l’homme (être humain) de s’exprimer librement Or, le militantisme islamiste se sert de cette liberté pour protester, il en a le droit mais pas le droit de tuer ou d’inciter un jeune écervelé (à qui on a lavé le cerveau) à parcourir 2.000 km depuis la Tunisie pour venir tuer trois citoyens français dans une église ! La pratique d’un tel islam est incompatible avec nos lois, nous sommes en état de légitime défense.

Le droit à la sûreté figure dans nos lois fondamentales, comme le droit de tirer accordé à nos forces de l’ordre devant un agresseur qui les menace.

Le terrorisme jihadiste est un monstre contemporain, une hybridation d’une sous-culture religieuse, d’une haine anti-juive, d’un fantasme conspirationniste, d’un nihilisme et d’un culte de la représentation de soi, le tout se développant sur des terreaux qui, au fil des interrogatoires judiciaires, commencent à livrer leurs invariants structurants. Le juge Benichou met en avant la fragilité des populations visées plus ou moins en difficultés (famille, revenus, emplois, relations affectives, …) chez lesquelles deux dimensions vont faire basculer le levier de la conversion radicale :

  • conversion au sens propre lorsqu’il sera question d’opter pour l’islam,
  • conversion au sens figuré lorsque le musulman d’origine va opter pour la radicalité, pour un projet collectif ou individuel jihadiste violent.

Toute forme d’humour est exclue de la pensée jihadiste.

2 – La reprise des théses sur la radicalisation

Selon le site d’Europe1 (La Club de la Presse, 4 décembre 2015), Olivier Roy reprend et valide sans la mentionner, l’analyse du magistrat David Benichou publiée la même année. Il va plus loin.

2.1 – L’islam, nouvelle aventure

Olivier Roy déclare que les islamistes radicaux sont « d’abord radicaux avant d’être islamistes ». Ce sont souvent des jeunes qui vont très peu à la mosquée, boivent et vont en boîtes de nuit (le portait de l’assassin de la basilique de Nice Ibrahim Issaoui, à ceci près qu’il n’y a pas de boîtes de nuit à Sfax accessibles à un jeune homme pauvre). Ce sont souvent des petits délinquants qui en quelques semaines se laissent pousser la barbe, cessent de boire et de fumer du shit et basculent vers le crime terroriste. Roy évoque un déclic individuel.

2.2 – Les convertis et les autres

En 2015, Olivier Roy souligne le rôle des convertis dans le jihadisme criminel violent. Un quart de ces individus français sont des français de souche chrétiens convertis ou des enfants de musulmans appartenant à la deuxième génération, souvent en rupture avec la cellule familiale et parentale. Ils trouvent dans l’islam radical et le jihadisme « le grand récit fantasmé des Mille et Unes nuits ». Convertis ou musulmans de souche, ces jeunes qui vont peu à la mosquée ont à peine entendu réciter un ou deux versets du Coran parlant d’épées flamboyantes, de courses à cheval ou à chameau, de butins rutilants, de belles esclaves capturées, … On leur promet monts et merveilles au nom de livres qu’ils sont incapables de lire, ils sont analphabètes en langue arabe ancienne. Mail, il y a le rêve de la reconquête de l’Andalus et de la Narbonnaise ! On ne leur dit pas que Charles Martel (Poitiers 732) a filé une bonne raclée aux Sarrazins d’Abd el-Rahman (tué là).

2.3 – Les shahids et les houris : le paradis d’Allah

Ces nouveaux Aladin (Alaeddine) voient s’ouvrir la possibilité de faire le grand récit de leurs aventures nouvelles sur les médias, de devenir des martyrs (shahids) et l’aller au paradis forniquer des vierges éternelles (houris) pour l’éternité ». Ce que leur ont fait croire des prêcheurs sans scrupules ravis d’avoir de la chair à canons bien fraîche. Du statut de losers (perdants), ces écervelés deviennent des vengeurs aux cris d’Allah Akbar. Ils savent que les policiers ont reçu la consigne de les abattre, au cas où ils dissimuleraient des ceintures explosives ! Ils vont au suicide le coeur joyeux ! en entraînant avec eux le plus possible de victimes chez les infidèles (kouffars). Selon Olivier Roy, en se tuant ou se laissant tuer, ils sont purifiés de leurs forfaits antérieurs et peuvent même gagner le paradis pour leur famille !

Comment lutter contre ce fléau ?

3 – Comment lutter

Lutter contre le terrorisme jihadiste et contre ses inspirateurs (DAECH, Al Quaïda et consorts), selon le politologue Olivier Roy, passerait par « passe par l’épuisement de la fascination », … « en cassant ce discours d’héroïsme que DAECH [et consorts] tient sur lui même ». Or, DAECH est donné comme anéanti mais son discours belliqueux et mortifère a été diffusé et entendu dans le monde entier. Abou Mohamed al-Adnani, le ministre des attentats de DAECH, a trouvé la mort en Syrie le 30 août 2016. Il a lancé un appel au jihad contre la Russie et l’Amérique mais on le soupçonne d’avoir organisé les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ses appels ont été entendus et sont rémanents malgré sa disparition. Entendus et écoutés en France et à l’étranger.

3.1 – Lutte sur notre territoire national

Comme pour la lutte contre le virus Sars-CoV2 (CoVid19), il faut barrer la route à, tracer et dépister le jihadisme terroriste. Il y a un parallélisme entre virus Covid et le virus terroriste.

3.1.1 – Barrer la route à l’immigration indésirable

Nous devons contrôler l’immigration qui entre en France. Nous devons exercer la Souveraineté Nationale. Nos forces de police et de gendarmerie, notre armée, sont là pour nous protéger. Elles doivent recevoir l’appui des réservistes. Au fait, où est passée notre Garde Nationale ? On n’en entend plus parler ! Elle a disparu ! Il faut y ajouter l’action de nos douanes et de TracFin. Tout ce qui réaffirme notre force et notre souveraineté nationale doit être mis en oeuvre, y compris la vigilance citoyenne. Notre pays a une fâcheuse relation à la vigilance citoyenne qui s’est exercée en 1940-45 par la collaboration avec une puissance occupante. En 2020, nous luttons contre l’occupation d’une 5e colonne terroriste et contre une maladie encore mal connue.

3.1.2 – Renseigner nos dirigeants

Le renseignement intérieur est le phare qui éclaire la route des policiers et gendarmes chargés de réprimer les actes délictueux et, surtout, les prévenir, les empêcher. La Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI) est chargée de ce travail indispensable. Au moins un attentat par mois est évité.

Du renseignement à la poursuite judiciaire des crimes terroristes, la question se pose des moyens mis en œuvre et de leur répartition. Comment se fait la mise en œuvre des trois composantes successives du traitement (instruction) d’une affaire de terrorisme (d’après David Benichou, 2015) :

  1. acquisition du renseignement,
  2. enquête judiciaire (enquête de flagrance, ou préliminaire) dirigée par le parquet anti-terroriste, information judiciaire sous la direction des magistrats instructeurs anti-terroristes,
  3. phase du procès devant la cour d’assises spéciale composée de magistrats professionnels puis juridiction d’application des peines.

La communication entre les activités de renseignement dans la plus grande discrétion, leur coordination au sommet de l’Êtat posent le problème des libertés publiques, une dérogation à une instruction de droit commun et le travail en commun renseignement-justice. La problématique jihadiste souligne la pertinence du risque de perte du contrôle démocratique qui s’exerce sur le renseignement.

Le problème de la coordination des services (DGSE, DGSI, DRM, DPSD, DND, DRP, etc.) semble en voie de solution. Se pose alors le problème de la coordination avec les autres pays européens.

3.2 – Lutte sur notre territoire européen

Le problème est soulevé de la création d’une agence de renseignements européenne. Après chaque attentat majeur sur le sol européen, des voix s’élèvent pour demander la création d’une agence européenne de renseignement. Ce problème est loin d’être résolu. « Nous n’avons pas d’amis, nous n’avons que des alliés » dit une membre d’un service de renseignement très fermé, la DPSD.

L’agence Frontex déployée sur les frontières de l’Europe ne semble pas donner satisfaction, l’exemple récent du transit de terroristes à travers l’Italie vers Nice en est un exemple. Notre Ministre de l’Intérieur va rencontrer son homologue italien pour traiter directement le problème du refoulement des indésirables et notamment le cas de ce Tunisien qui ‘na pas déposé de demande d’asile, n’a pas été refoulé et a pu gagner la France et la ville de Nice où il a commis son forfait.

3.3 – Lutte à l’étranger

Hors du territoire national commence le territoire étranger. Une certaine coopération existe avec certains états mais le gros du travail de renseignement est le fait de la Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE).

C’est une entité dépendant du Ministère des Armées, travaillant en étroite coopération avec la DGSI, son homologue civil. Bien entendu, ses activités sont secrètes. C’est la condition essentielle de son efficacité. C’est une jeune analyste de la DGSE qui a permis à un drone armé de pulvériser la voiture du chef shebabs (un terroriste somalien).

D’autres services sur lesquels il ne nous appartient pas de nous étendre assurent la sécurité de nos armées en opérations extérieures. Mais rien ne pourra être fait si la France, une démocratie, ne se dote pas d’une législation d’exception et, en attendant, n’applique pas les lois existantes et ne facilite pas le transfert des informations vers l’appareil judiciaire.

4 – La barrière législative en France

Le magistrat David Benichou décrit, en 2015, à propos du jihadisme, les 23 mesures découlant de la loi du 13 novembre 2014. Mais qu’en est-il de l’application de cette loi ?

En 2020, on nous annonce une loi sur le « séparatisme ». A-t-elle tenu compte de l’existant ? La loi du 13 novembre 2014 a été conçue pour contrarier les départs vers les terres du jihad (Syrie, Irak, …) et sanctionner les retours de combattants aguerris (hommes, femmes enfants). Déjà en 2015, des rapports parlementaires ont attiré l’attention des gouvernants sur la menace terroriste croissante. Ce sont :

  • Assemblée nationale : rapports Pietrasanta n° 2173 du 22 juillet 2014 et Ciotti n° 2828 du 2 juin 2015 ;
  • Sénat : rapport Goulet-Reichardt n° 388 du 1er avril 2015.

Ces rapports ont en commun d’attirer l’attention de la classe politique sur la menace terroriste croissante due aux groupes terroristes islamistes salafistes de la mouvance radicale (n° 2173 AN : p. 10 et suiv.), sur les conséquences des attentats des 7 et 9 janvier 2015 et de la cyber-attaque contre TV5 Monde (n° 2828 AN : p. 9 et suiv.) et sur l’existence de 1.432 ressortissants français partis vers les zones de combat irako-syriennes dont 119 femmes (n° 388 SEN : p. 9 et suiv.). En 2015, nous sommes sous la Présidence de François Hollande et le mandat ministèriel de Mme Christiane Taubira. Ces rapports semblent n’avoir pas été pris au sérieux pour des motifs idéologiques. Nous en subissons aujourd’hui les conséquences. Nous étions prévenus.

Conclusion

Il a fallu plusieurs années pour que l’ancien ministre des Finances Macron (2014-2017) élu Président de la République en 2017 change de paradigme et découvre l’islamisme, le désignant par son nom en octobre 2020. Pour lutter contre le « séparatisme » de l’Islam politique (jihadisme, islam politique et terrorisme), enfin les mots justes sont employés. Combien de deuils ? En moins d’un mois, Paris, Conflans, Nice ont enfin déclenché une timide répression qui doit aller en s’accélérant. Les mesures destinées à prévenir les retours de jihadistes doivent nous prémunir contre le 5e colonne des jihadistes installés et de leurs suppôts. Il nous faut encore recouvrer notre souveraineté en rendant effective la barrière sanitaire contre l’entrée d’individus indésirables futurs assassins porteurs de haine jihadiste et protéger nos ressortissants quelque soit la religion. Il y a des musulmans éclairés qui subissent aussi la haine de ces individus. Ils ont droit aussi à vivre en paix dans notre pays et doivent être protégés.

Monsieur Darmanin, ministre de l’intérieur, descendant d’un grand-père tirailleur algérien doit pouvoir continuer sa mission. Il a comme Directeur de Cabinet un Préfet qui sait ce que sont les services de renseignement dont il a été le coordonnateur auprès du Président. Son remplaçant devra poursuivre sa mission. Le lien entre les services de renseignement et les instances juridiques répressives doit être plus efficace et la loi doit être adaptée aux circonstances exceptionnelles devant lesquelles nous place le terrorisme islamiste. A l’abri du bouclier enfin opérationnels, un islam modéré, éclairé, débarrassé de l’obscurantisme, pourra enfin s’épanouir en France.smiley


extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Un meneur islamiste qui se croit tout permis

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Un qui se croit tout permis !

M. Sefrioui se croit tout permis. un de nos fidèles contributeurs nous a soumis une proposition de billet que nous avons remaniée et documentées. M. Abdelhakim Sefrioui est un agitateur islamo-fasciste bien connu de nos hautes-autorités nationales. Nous donnons la parole à notre contributeur qui est Ancien-Auditeur de l’Institut des Hautes-Études de la Défense Nationale (AA-IHEDN), organisme reconnu par le Code militaire et qui a son siège à l’École Militaire de Paris. Cet ami a fait partie de la 81e session régionale (Versailles, 1984). Il est toujours actif au sein de l’Association Régionale des AA-IHEDN-LR). Nous reproduisons son billet reçu via courriel.


En 1997, j’ai fait partie de l’AA-IHEDN Bourgogne où siégeait un comité de réflexion-rédaction très actif composé de réservistes militaires (terre-air-mer), de membres de la société civile et de fonctionnaires locaux. Notre comité avait reçu du Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN, actuellement SGDNS) un sujet à traiter « La République et les Sectes ». Après neuf mois consacrés en soirée et en week-ends à des réunions, conférences, visites de sites, …. nous avons remis un rapport dont une des conclusions était « Islam, danger ».

En fin de l’année 1998, nous avions vu émerger des mouvements religieux à caractère sectaire qui avaient commencé à faire parler d’eux. Parmi eux, des sectes se réclamant de l’Islam avaient commencé à faire parler d’elles. En ce 4e trimestre de 2020, après de nombreux attentats perpétrés dans le monde, en Europe et en France, nous sommes rendus ce 16 octobre 2020 dans une rue de Conflans-Sainte-Honorine menant à Eragny devant le corps décapité d’un enseignant de la République découvert par la Police municipale. Cet enseignant a été atrocement assassiné près de son collège, dans une rue sur le trajet de retour à son domicile. La Police nationale appelée découvre non loin de là un individu, l’assassin, qui prend à partie l’équipage policier avec une arme de poing. Il est abattu alors qu’il criait « Allahou akbar ». C’est un jeune russe tchetchène de 18 ans demeurant à Evreux où il bénéficie avec sa famille du statut de réfugié politique. L’enquête va vite progresser et aboutir, entre autres à l’arrestation d’une agitateur islamiste bien connu, M. Abdelhakim Sefrioui, français d’origine marocaine.

Ce monsieur est double national. Français par son mariage avec une française qu’il a dû sans doute convertir, il est marocain car né au Maroc à Fès (21 avril 1959). Aux termes de la loi du royaume du Maroc, la qualité de « sujet de Sa Majesté » chérifienne est inaliénable sur plus de sept générations, imperdable. Or, une procédure de déchéance de la nationalité française n’a pu aboutir en 2010, l’article de l’hebdomadaire Le Point met en cause « la bienveillance dont il jouissait après des autorité marocaines » (sic !). Ce f … de m … est donc resté chez nous, poursuivant son oeuvre malfaisante avec un double discours et un antisémitisme violent, s’opposant aux musulmans modérés.

La question se pose des réseaux entretenus par cet individu ! Au Maroc, il faisait était membre du « Parti de la Justice et du Développement », en France il a fait partie de « Forsane Alizza » (organisation dissoute). Il a importuné violemment des hauts-responsables musulmans modérés. Ça suffit, en prison, devant la justice puis dehors ! Le Roi du Maroc se fera un plaisir de récupérer ce trublion chez lui ! Barra, horj, fuera, dehors ! Dehors les vipères et à sa sortie de prison, il y a en France, une île au large de la Guyanne, l’île du Diable pour lui servir de résidence assignée.

Quel lien avec la mosquée de Pantin qui a diffusé la vidéo qui aurait déclenché le drame ? L’enquête nous le dira ! Il faut fermer ce lieu d’appel à la haine !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Assassinat de Samuel Patty : Argos a fait le lien

Qui est Argos Panoptes ?

Dans la mythologie grecque, Argos (en grec ancien Ἄργος / Árgos et en latin Argus), fils d’Arestor et de Mycène (ou du dieu fleuve Inachos, ou d’Argos, fils de Zeus ou de Gaïa selon les versions), est un Géant à 100 yeux.

Nous observons et informons

Un observateur averti, volontaire de la réserve citoyenne de la Gendarmerie Nationale (VRCGN), vient de trouver le lien vers Abdelhakin Sefrioui, un activiste islamiste virulent. C’est ce monsieur qui a accompagné le père de famille qui a porté plainte contre le professeur Samuel Paty, égorgé puis décapité entre Conflans-Sainte-Honorine et Eragny par Abdoullakh Abouyezidovitch A. (russe tchetchène bénéficiant du statut de réfugié en France). La question se pose du pourquoi a-t-on attendu en France plus de 3 jours pour qu’un média se décide, suivi de plusieurs autres, à dévoiler le nom de l’assassin ?

La France héberge une 5e colonne islamo-fasciste, un nid de vipères soigneusement réchauffées dans le sein de la République ! Ou comme aurait-dit le grand-père d’un de mes amis d’origine hispanique « Eléve des corbeaux, ils t’arracheront les yeux » ! (Cria cuervos, te sacaran los ojos), version française du « Réchauffe une vipère dans ton sein » !

Monsieur Sefrioui est un champion de l’activisme islamo-fasciste, il a été incarcéré à la suite de l’assassinat de Samuel Paty, tant mieux, hélas un peu tard ! Mais il est hautement viral, contagieux, à manipuler dans un P4 carcéral ! Nous lions avec une information de l’hebdo Le Point qui dévoile qu’un signalement a bien été fait par les agents du service de renseignements territorial des Yvelines (78) mais ce signalement est resté lettre morte ! M. Sefrioui a largement contribué à faire monter la tension dans cette affaire. Pourquoi ? Pourquoi l’enseignant n’a pas fait l’objet d’une évaluation de la menace qui pesait sur lui ?

Monsieur Abouyezdovitch donnait l’apparence d’un garçon tranquille. Un spécialiste des signaux faibles (y en avait-il à Evreux, dans l’entourage du Préfet de l’Eure ou du Préfet de la Région Normandie ?) aurait tiré la sonnette d’alarme sur cette famille tchetchène qui avait bénéficié d’une large protection comme réfugiés politiques ? On ne peut surveiller tout le monde, certes, mais on peut échantillonner ! Le hasard fait souvent bien les choses ?

Le site RTL-Info dit que « le père de l’élève avait une demi-soeur qui était partie en 2014 rejoindre l’organisation Etat islamique en Syrie et faisait l’objet d’un mandat de recherche, mais le procureur n’a fait publiquement aucun lien entre ce père de famille, son entourage et l’assaillant.« . Cette information n’a pas été liée avec l’affaire, elle aurait pu éviter un drame sanglant. Elle révèle l’arrogance des islamistes de tous poils ! Et surtout que certains abandonnent la tactique de la « taquiya » et n’avancent plus masqués sous la visière. Mais il en reste encore à démasquer, à sanctionner et à expulser de notre pays tous les prêcheurs de haine ! Pourquoi tolère-t-on en France des crypto-jihadistes ?

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Contribution validée par le modérateur.

L’apposition du logo en tête de cet article certifie que l’information a été vérifiée. Sources :




Le terrorisme en France


Charia : non !

Introduction

Par la terreur, d’aucuns se réclammant de la Charia (script ci-contre) pnt prétendu nous imposer leur loi. Nous n’en voulons pas ! Que des versets du Coran aient été abrogés et remplacés par des versets mortifères, nous devons être vigilants !


DAECH : non !

Ici commence une énumération des actes de terrorisme dans notre pays, le commencement est tiré de l’ouvrage de François Fillon « Vaincre le totalitarisme islamique » (Albin Michel, 2016). Nous extrayons des citations des pages 28 à 41. L’Etat Islamique (DAECH ou EI) est en cause.

Année 2015

  • 8 février 2015 : Moussa Coulibaly agresse à l’arme blanche 3 policiers en faction devant un centre communautaire juif.
  • 19 avril 2015 : Sid Ahmed Ghlam est soupçonné avoir tué une femme et projeté un attentat contre une église de Villejuif.
  • 26 juin 2015 : Yassin Salhi décapite son patron Hervé Cornara à Chassieu (Rhône) et tente de faire exploser une usine de produits chimiques.
  • 21 août 2015 : des militaires USA maîtrisent un homme lourdement armé dans le train THALYS Amsterdam-Paris ; l’individu ouvre le feu.
  • 13 novembre 2015 : la pire attaque en France, 100 personnes tuées et plus de 350 bléssées au Bataclan, aux terrasses de café et au Stade de France (Paris). L’EI peut conduire des opérations militaires en plein coeur de notre capitale.

Année 2016

  • 13 juin 2016 : Larossi Aballah se réclammant de l’EI assassine un couple de policiers à Magnanville devant leur petit garçon. Abattu par le RAID.
  • 14 juillet 2016 : Mohamed Lahouaiej Bouhlel, un Tunisien, lance un camion dans la foule et tue 85 personnes, suivant un mode d’attentat recommandé par l’EI. Il fini abattu dans son camion.
  • 26 juillet 2016 : Adel Kermiche et Abdel Malik assassinent un prêtre âgé, blessent deux personnes. Les deux terroristes sont abattus par les forces d’intervention. Adel avait été libéré et portait un bracelet électronique.

Année 2017

etc. En faut-il plus ?

Nous sommes en 2021. Faut-il poursuivre cette liste ? Nous renvoyons sur un site bien renseigné.


Un Auditeur IHEDN 1985




Dura lex sed lex : nul ne peut ignorer la loi

Une accompagnatrice controversée. L’actualité de ces derniers jours résonne des bruits de l’incident du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté. Un conseiller s’est adressé calmement et respectueusement à Madame la Présidente du Conseil pour lui demander de faire respecter la réglementation en vigueur sur le port de signes religieux ostentatoires par une accompagnatrice d’une classe d’école primaire en visite au Conseil (11 octobre 2019). Cette femme, Mme Fatima E, portait, en effet, un foulard noir cachant ses cheveux mais aussi un vêtement noir couvrant ses épaules et son corps : une tenue revendicative d’une religion islamique radicalisée.

La polémique a enflé, le parti pris de la Présidente de région est manifeste et parfaitement audible-visible dans les différents films consultables sur le net (Film de BFM-TV sur diverses questions communautaires).

1 – Notion de collaborateur occasionnel du service public

Aucun des protagonistes de cette lamentable affaire ne connait le droit et notamment la définition du statut des collaborateurs occasionnels et bénévoles du service public. Une accompagnatrice de classes en sortie est un collaborateur-trice occasionnel-le du service public et comme tel-le, soumis-e aux règles qui s’appliquent aux agents du service public, en particulier celles sur le port de signes religieux ostentatoires. Il est de notoriété publique que la tenue noire portée par cette accompagnatrice (un foulard-hijab et un jilbab-jellaba noirs) est un signe d’appartenance (ou de soumission) à un groupe qui se dit musulman et qui est animé par des gens proches de la mouvance des Frères Musulmans dont on connait les thèses radicales et les liens supposés avec les salafistes (voire avec les jihadistes ?). Rappelons que le noir est la couleur du drapeau arboré par DAECH. Est-de une coïncidence ?

Nous soumettons à nos lecteurs le texte situé à l’URL suivante (https://www.cdg61.fr/file_manager_download.php?id=1925). Ce texte est clair et protège tous ceux qui estiment que la loi de la républicaine prime sur la loi islamique et qui ne demandent qu’à vivre en paix en France.

D’autre part, il convient de préciser qu’une sortie scolaire est le prolongement de l’école, hors les murs. Elle reste une classe de l’école publique, une classe hors-les-murs (nous insistons) et, comme telle, soumis aux lois et règlements qui s’appliquent à l’école publique de la République, à savoir la laïcité et l’interdiction des signes religieux ostentatoires. Il n’est pas besoin d’une loi spéciale, il suffit d’appliquer celles qui existent.

2 – Suites de cet incident

Quelques jours après l’incident, l’accompagnatrice s’est rapprochée du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF, dissous en 2020), une association proche des Frères Musulmans. Rappelons que cette mouvance islamiste est interdite dans plusieurs pays musulmans et tolérée dans notre pays.

Si nous compatissons aux larmes de l’enfant de cette dame, bambin qui n’a pas très bien compris ce qui se passait, nous compatissons aussi au chagrin immense des enfants des victimes du tueur-égorgeur Mickaël Harpon et à celui des proches des 265 victimes des attentats islamistes en France, attentats commis au nom d’Allah (Allah akbar !).

Allah Akbar Surbaher
Quartier arabe de Sur Baher (en) au sud de Jérusalem : panneau portant l’inscription « Allahu akbar ».

3 – Distinction entre islam et islamistes

L’islam est une religion de paix et de tolérance. Elle n’a pas d’autorité centrale, à l’image des religions israélites et chrétiennes.Tel que présenté par de nombreux auteurs reconnus, l’islam est pratiqué par la majorité des musulmans qui souhaitent vivre en paix dans notre pays. Ils ont droit à tout notre respect et à pratiquer leur religion en toute liberté dans leur sphère privée. Il leur appartient de lutter contre les tenants d’une religion radicale. Celle-ci se réfère à des versets coraniques inacceptables et qui prêchent la haine et l’inégalité entre hommes et femmes. Ils contraignent des femmes à porter cette tenue noire, signe de l’islam radical à prétentions politiques. Cet islam qui n’a pas sa place dans notre France républicaine symbolisée par la « Liberté guidant le peuple » (tableau de Delacroix) brandissant un drapeau français républicain.

Tableau de Delacroix la Liberté
Tableau de Delacroix la Liberté

Nous avons le droit de ne pas vouloir. Nous en avons la phobie. Ce n’est pas de l’islamophobie mais de l’islamistophobie, de la salafistophobie, de la jihadophobie.




L’Islam politique en question

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Nous affirmons de la manière la plus formelle qui soit que nous faisons la différence (et non pas l’amalgame) entre les musulmans respectueux de la loi de notre république (Constitution et ce qui en découle) et les islamistes qui prétendent placer le Coran et la Sharia au-dessus de la loi de la République.

L’Islamisme

L’islamisme est le fait des islamistes, ceux qui pratiquent un islam politique. Ils n’ont rien à faire dans notre pays. Leur fascisme « vert » n’a pas de place dans notre pays. La loi de 1905 garantit à chaque citoyen de ce pays, la France, la liberté de pensée et de culte mais interdit toute expression religieuse ostentatoire et politique visant à instaurer une théocratie à la place notre démocratie.

Deux médias de la presse imprimée (un grand public « Paris-Match » du 20-26 juin 2019, l’autre à diffusion discrète « Engagement » de l’ASAF été 2019) abordent le sujet de l’Islam politique, de sa mise en question, de son idéologie mortifère menant au jihadisme terroriste via le wahhabisme et le salafisme.

Paris-Match rapporte un entretien entre Gérard Larcher (Président du Sénat) et Marcel Gaucher (philosophe) intervieuvés par le journaliste Bruno Jeudy. Engagement, dans sa rubrique Libre propos publie un article posthume du général Jean du Verdier (officier général 2s décédé le 27 avril 2019). Ces deux publications se complètent, nous allons essayer d’en extraire le principal et de le synthétiser.

1 – Un constat

Le Président de la République a souhaité renforcer la laïcité dans les rapports entre l’État et les religions dans notre pays. Gérard Larcher affirme qu’il faut d’abord faire respecter les lois existantes avant de prétendre en édicter de nouvelles. C’est une maladie française que nous ne cessons de dénoncer que de vouloir sans cesse légifèrer et ne pas faire appliquer ce qui est voté. Des questions se posent :

  • La loi de 1905 serait-elle insuffisante ?
  • Il conviendrait de s’interroger pourquoi ?
  • Est-ce le texte qui est insuffisant ou son application qui est inexistante ?

C’est tout ou partie qui pose problème en France.

1.1 – Le parcours de la laïcité

La plupart des religions qui ont pignon sur rue en France ont parcouru le chemin de la laïcité, celui de la conciliation avec la laïcité (judaïsme, christianisme, protestantisme, …). Dernière venue, la religion islamique (l’Islam et ses fidèles les musulmans) ne porte pas dans sa nature, cette conciliation, pas spontanément. A côté de l’aspect spirituel, se mêle une prétention temporelle à vouloir imposer à tous la foi islamique avec tout ce qu’elle comporte de rétrograde et de barbare.

1.2 – L’enjeu républicain

L’enjeu républicain se noue autour de l’acceptation par l’Islam des principes républicains et de la démocratie occidentale (USA, Europe, …), notamment le droit de tous à pratiquer un culte religieux de son choix sans se voir imposer quoi que ce soit ou d’être un citoyen de seconde zone, un dhimmi.

Il faudra faire naître cet « islam adapté » dont parlent si bien les auteurs de confession musulmane mais qui peine à se mettre en place. Celà va prendre du temps : islam et république ne seraient pas incompatibles mais il est notable qu’il y a une certaine crispation d’une minorité qui prétend imposer sa loi par la force. La République ne saurait admettre cette entrave grave à la liberté de pensée et à l’égalité entre citoyens. L’Islam ne reconnaît pas l’égalité des sexes, la femme étant inférieure à l’homme en droits. Les principes républicains français sont loin d’être admis par l’Islam.

Le contrôle de ce qui se dit et ce qui se prêche dans les lieux de culte est LE PROBLEME majeur. Des pays étrangers dotés de fonds importants contrôlent les lieux de culte qu’ils financent. Ce qui s’y dit n’est pas toujours tolérable du point de vue de nos lois.

1.3 – Le financement des cultes musulmans

L’enjeu de la transparence du financement est un des éléments à prendre en compte dans le danger que fait courir l’Islam politique. Nous parlons « des cultes musulmans ». L’Islam n’est pas uni, il existe plusieurs « chapelles » entretenues et surveillées par les représentants consulaires des états d’origine des musulmans installés chez nous (Maroc, Algérie, Turquie, …) par le biais des mosquées et de leurs imams avec les écoles coraniques qui en dépendent. Plus de lieux tolérés où on enseigne la haine de l’autre au nom d’une religion dévoyée.

2 – Islam et démocratie

L’histoire de l’Islam est intéressante à connaître pour pouvoir comprendre la situation actuelle et réagir sainement aux agressions dont nous sommes victimes. Les régimes musulmans qui ont suivi la mort de Muhammad (Mahomet) sont un exemple de luttes à mort, de guerres de conquête qui ont même asservi des états chrétiens. Ils ont été contenus et même refoulés vers leurs terres d’origine, l’Afrique du Nord.

2.1 – L’Islam pour les nuls ! ?

Nous empruntons à une célèbre collection « … pour les Nuls » le titre de ce paragraphe. Islam veut dire « soumission » et le musulman (celui qui pratique l’Islam) est « soumis« . Soumis à qui ? A Allah et à son prophète Muhammad. Et à ceux qui depuis le moyen âge manipulent les musulmans à l’aide de livres et documents largement tendancieux, prétendant leur imposer leur façon de voir. Voyons ceux qui font courir un danger mortel à notre démocratie !

2.1.1 – Le wahhabisme

Le terme wahhabisme vient d’Abdul Wahhab (1703-1792). Celui-ci, mille ans après Muhammad, prétendait « faire appliquer aux musulmans l’intégralité des prescriptions coraniques, faire table rase de tous les apports intervenus depuis 1.500 ans et revenir à l’époque du prophète afin de vivre comme lui. ». Les innovations sont condamnées et l’État doit fonctionner exclusivement selon la loi coranique (la Sharia). Les pays qui pratiquent le wahhabisme ont des ressources pétrolières qui leur permettent bien des financements occultes en vue du rayonnement de leur idéologie politico-religieuse.

2.1.2 – Le salafisme

Le salafisme, né à la fin du XIXe siècle est proche du wahhabisme et peut pratiquement lui être assimilé, dans sa version la plus conservatrice et radicale. Le salafisme devient jihadiste au Pakistan, en 1980, dans les camps de Peshawar. La question qui se pose est la filiation du salafisme vis à vis du wahhabisme. C’est la naissance des Frères Musulmans.

2.1.3 – Les Frères musulmans

Le mouvement des Frères musulmans est né en Egypte où l’universite Al-Ahzar (liée à la mosquée éponyme). Cet ensemble soutenu et financé par les états wahhabites va envoyer des missionnaires actifs et offensifs. En particulier, ils sont offensifs et en pointe dans l’agression contre l’Europe ! Ils véhiculent l’idéologie politique salafiste et jihadiste en vue de la conquête du monde par tous les moyens., comme jadis le communisme prétendait le faire.

L’idéologie anime certains musulmans d’une foi hystérique, ils sont courageux, forts de leur moral et de la faiblesse du nôtre. L’armée pourra les contenir, les écraser, elle n’en vindra pas à bout.

2.2 – Les mouvements radicaux

L’Islam ne comporte aucune autorité religieuse centrale reconnue comme autorité centrale. La lecture et l’interprétation du Coran (livre sacré) et de la Tradition (hadiths) ont donné lieu à un schisme majeur (sunnisme et chiisme), à des mouvements plus ou moins reconnus et/ou combattus par les états. Citons le sunnisme et le mouvement wahhabite lié à l’Arabie saoudite et aux émirats voisins. Ces états musulmans, appuyés sur l’université Al-Ahzar (Le Caire) et d’autres, ont envoyé des prêcheurs de combat dans le monde, demeurant en marge de la République. Certains ont même eu les honneurs des médias officiels (Antenne 2, la voix de l’Islam). Ils sont appuyés par des personnes non-religieuses qui poussent au nom de la liberté de pensée, appuyant les courants fondamentalistes qui agissent avec force.

Aujourdh’ui le principal courant fondamentaliste est le salafisme, dérivé et inspiré par le wahhabisme. Ce dernier est cantonné officiellement en Arabie saoudite et dans des émirats voisns. Le salafisme soutient le jihad, la guerre sainte, en vue de la conquête du monde entier.

2.3 – L’origine des mouvements radicaux

Les derniers aparaissent en Egypte. Le premier nom est celui de Sayyid Qutb q’on peut qualifier de père fondateur du jihad moderne et qui sera pendu. C’est en Egypte que naîtra le Mouvement des Frères musulmans inspiré par les croyances d’El-Kharij, de4l-Hashashen et la pensée d’Ibn-Tamiyah. C’est le cheikh Hassan Al-Bannah qui est crédité de cette fondation. Qutb pendu apparaît le Dr Salah Sereah qui fonde le Mouvement de Libération Islamique d’Egypte (hezb-al-Tahrir), basé sur les écrits de Qutb. Lui aussi sera pendu. Puis apparaît Shukri Mustafa qui sera condamné à mort et pendu. L’Université Al-Azhar va abriter l’émergence de la Gamaa al Islamiya (groupe islamique) avec d’enciens professeurs. De là sortiront le cheikh Abd al-Hamide Kishk, le cheikh Omar Abdel-Rahman et autres qui vont voir s’etendre ce mouvement au Soudan, à la Tunisie, à l’Agèrie, au Yemen, à la Syrie, à l’Irak, au Liban et autres. Le cheikh Abdel-Rahman est incarcéré à vie aux USA.

Pendant ce temps, l’Iran préparait un grand bouleversement dans la région. En 1979 commence l’opposition au Shah Mohamed Reza Pahlavi sous l’action d’un mollah qui deviendra célébre par son refuge de Neauphle-le-Château, l’ayatollah Khomeini. Les chiites vont exporter leur idéologie-religion. L’Iran attaquera l’Irak causant le mort de près d’un million de musulamns des deux côtés.

Al-Jihad est apparu en Egypte vers 1980. Son idéologie était d’élever la guerre sainte au plus haut niveau : « La guerre sainte arrive à Rome » ! Mohamed Abed Al-Salem, son fondateur commence à parler de l’invasion de l’Europe et de l’Occident. Le programme est menaçant :

  • Les musulmans qui se sont compromis sont condamnés,
  • le jihad supplante les autres devoirs,
  • tuer est la responsabilité du musulman,
  • le jihad est offensif, non défensif,
  • l’ennemi est constitué par les paiens (les koufars) et les musulmans non-gouvernés par la loi d’Allah et le Coran.

Il y a une stratégie de guerre.

3 – Vu de notre côté

Le général Verdier nous rejoint ici. Il désigne clairement l’ennemi, nos ennemis. Il les désigne sans abigüité.

3.1 – L’ennemi

Le premier acte d’un militaire est de circonscrire et de connaître son ennemi. Il doit aussi caractériser l’agression. L’ennemi n’est pas un ou plusieurs état musulmans (Maroc, Egype de Sissi, …). Une exception est constituée par l’Arabie saoudite wahhabite et les états du Golfe (Emirats) qui entretiennent des liens forts avec cette idéologie rigoriste.

3.2 – Ennemi désigné : wahhabisme et salafisme

Les ennemis de notre civilisation sont héritiers d’Abdul Wahhab. « Mille ans après Muhammad. Il entend faire appliquer aux musulmans l’intégralité des prescriptions coraniques, faire table rase de tous aports intervenue depuis 1.500 ans et revenir à l’épque du prophète afin vivre comme lui.

3.2.1 – Le wahhabisme

Le wahhabisme se caractérise par son rigorisme et son puritanisme, considérant que l’Etat doit vivre et fonctionner selon la loi religieuse.

3.2.2 – Le Salafisme

Le salafisme, rappelons le est né à la fin du 19e siècle et peut être assimilé au wahhabisme dont il est proche. Cependant, l’Etat islamique des salafs (les ancêtres vertueux)  souhaitent revenir à un califat à vocation mondiale pour l’ensemble des croyants. Il est illustrè par DAESH (ou EI) est son calife auto-proclammé Abou Bakr al-Baghdadi (Mossoul, 29 juin 2014).

3.3 – Le but ultime de l’Islam salafiste

Le but ultime de cette idéologie mortifère est, comme jadis le communisme, la conquête du monde par tout les moyens. L’idéologie salafiste-jihadiste anime certains musulmans d’une foi hystérique qui leur confère un grand courage. Ils sont forts de leur moral élevé et de la faiblesse ce certains d’entre nous.

« La force armée peut contenir ces gens là, les écraser localement, elle n’en viendra pas à bout » dit le général du Verdier. DAECH et AL-QUAEDA sont les bras armés de cette idéologie issue d’un Islam dévoyé. Cette prétention à appliquer le mode de vie du prophète se cantonne aux années de Médine où celui-ci agissait en homme de guerre, le sabre à la main. Les forces de DAECH nous l’ont montré en Irak et Syrie (Bilâd al-Cham).

Ce califat n’a été reconnu par aucun des grands pays musulmans peu séduits par la prétention au Califat mondial qui mettrait en péril leur intégrité ?

Le siège des Fréres Musulmans, en pointe pour l’agression de l’Europe, a été installé à Dublin (Irlande) en 1997 sous le nom de Conseil Européen de la Fatwa. Son président Youssef al-Qaradâwî reclame que les musulmans d’Europe puissent vivre « dans une civilisation musulmane complête, orientée par la foi musulmane, soumise à la loi de l’Islam [la sharia] », selon la citation de Philippe de Villiers dans son livre « Les cloches sonneront-elles encore demain? ».

3.4 – Les modes d’action de l’ennemi jihadiste

Le mode d’action directeur est une stratégie de conquête selon sept axes (nous citons le général du Verdier) :

3.4.1 Le terrorisme

Ce mode d’action désorganise nos sociétés en imposant des mesures de sécurité coûteuses et contraignantes. Chaque manifestation populaire annulée par crainte d’attentan est une victoire de l’ennemi. C’est un mode d’action voyants mais qui ne doit pas occulter les autres.

3.4.2 – La déstabilisation

La déstabilisation se fait par des comportements illégaux :

  • délinquance systématique,
  • violences,
  • insultes,
  • intimidations,
  • guerilla contre tout ce qui représente l’ordre (police, pompiers, conducteurs de bus, ambulanciers, …

Cette action est le plus souvent confiée à des jeunes mineurs dont on sait que la justice est assez impuissante à sanctionner.

3.4.3 – Présence islamiste

L’imposition de la présence islamiste et de sa loi se fait par :

  • la multiplication des mosquées avec dômes et minarets,
  • cimetières musulmans,
  • prières dans l’espace public et les entreprises,
  • calendriers musulmans, école coraniques,
  • exigence de ségrégation dans les piscines, installations sportives, hôpitaux et maternités,
  • nourriture halal imposée au grand public,
  • lieux d’abattage halal,
  • interdiction de sandwiches au porc sur certaines compagnies aérienees,

3.4.4 – Multiplication d’habitat musulmans

La multiplication des cités et des quartiers à majorité musulmane soumis à la sharia et aux prescriptions vestimentaires est un axe visible. Voile, burqua, femmes vêtues de noir sont un défi à nos us et coutumes où l’alcool et le porc sont combattus.

3.4.5 – Présence de plus en plus lourde

Les banques islamiques, les « tribunaux islamiques », les boutiques et restaurants halal ont une présence plus lourde dans nos villes.

3.4.6 – Infiltration des services

Les services sociaux, l’administration, la police, l’armée … sont infiltrés. Nos gouvernants sont embarassés face à cet entrisme. Souvent, au nom de la mixité sociale [et par naïveté], ils pratiquent une « discrimination positive » qui le favorise. Un rapport parlementaire parle d’une cinquantaine de cas observés dans l’armée française.

3.4.7 – La victimisation

C’est là l’axe d’attaque le plus violent. A toute critique de l’islam, du Coran ou du prophète, les mouvements islamistes répondent [avec vigueur] par des dépôts de plaintes, des campagnes médiatiques, des manifestations de rues.

Il faut leur opposer le triste spectacle des exactions commises dans les pays qui ont eu la malheur de tomber sous la coupe de ces islamistes !

3.5 – Le triste spectacle du jihadisme radical

Le jihadisme radical ou islamisme radical, le fascisme vert, a donné un triste spectacle à travers le monde, celui des attentats terroristes et leurs victimes avec les égorgements d’otages innocents (journalistes, touristes, amateurs de randonnées, …). Les jihadistes capturé(e)s en Irak et en Syrie, notamment des femmes de jihadistes décédés ou supposés tels versent des larmes de crocodiles (Voir l’hebdomadaire « Marianne » 8-14 fevrier 2019, p. 81, Guy Konopnicki, sur « Les larmes d’une jihadiste »). Ces pleureuses, qui ont quitté la France, brûlé leurs passeports et cartes d’identité, se retranchant de leur plein gré de la communauté nationale, ne pouvaient ignorer le triste spectacle de l’islamisme jihadiste là où elles avaient choisi d’aller avec leurs maris et leurs enfants. Pouvaient-elles prétendre « ignorer les viols systématiques, les mariages forcés de fillettes, le trafic d’être humains et l’extermination des yézidis. ». Le journaliste les compare à ces femmes de gardiens de camps nazis qui ont mené une petite vie tranquille dans une jolie maison jouxtant les barbelés, en prétendant ignorer ce qui se passait de l’autre côté. ». Sauf que des images existent, même si nous ne les exhibons pas !

Comment lutter contre ces fous qui menacent notre vie ? La réponse devrait être impitoyable à l’égard des prêcheurs jihadistes surtout s’ils sont étrangers : dehors après être passés devant la justice et par la case prison. La limite entre la liberté de pensée et de parole ne peut être franchie et ce franchissement ne doit pas être toléré s’agissant d’incitations au racisme, aux assasinats et aux meurtre pour motifs religieux. Pas d’ennemis de la liberté sur notre sol.

Epilogue

Nous affirmons ici solennellement que nous ne visons en aucun cas les musulmans qui vivent en paix dans notre pays (99%), en accord avec nos lois républicaines, travaillent et élèvent honnêtement leurs enfants dans le respect de nos valeurs. Nous ne sommes pas islamophobes mais détestons ceux qui suivent des enseignements manipulés par les islamo-salafistes-jihadistes qui nous ont déclaré la guerre. La guerre est interne dans notre pays, elle est externe ; deux théatres d’opérations mais une partie de notre pays à reconquèrir.

Il y a beaucoup de travail pour que les territoires perdus de la République soient reconquis et que les musulmans sécularisés, pacifiques et respectueux des lois se sentent en sécurité sous nos lois et ne subissent plus l’abandon dans lequel nos autorités on laissé leurs quartiers.

Nul n’est obligé de vivre en France, ceci s’adresse à ceux qui s’estiment lésés par notre laïcité et ne se sentent pas à l’aise dans nos villes et campagnes. Personne ne les empêche de quitter ce pays pour aller vivre ailleurs leur foi.

A ceux qui sont attirés par le miroir aux alouettes et qui pratiquent l’immigration-invasion, l’occupation illégale de notre territoire ne doit plus permettre de soumettre les habitants, quelle que soit leur religion, à la pression des islamistes (arabes, africains, …). Ceux qui prêchent le jihad doivent être traqués par nos services secrets (DGSI, DGSE, etc.), arrêtés et sanctionnés au minimum par l’expulsion de notre territoire.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




Notre-Dame-de-Paris : qui est responsable ?

Nous observons, nous analysons

Avec nos amis, nous nous posons les bonnes question concernant l’incendie de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. Tout d’abord qui ? Contrairement aux autorités, nous n’affirmons pas péremptoirement que les causes sont accidentelles. Nous emploierons le conditionnel et nous dirons que les causes seraient accidentelles, jusqu’à plus ample informé, c’est-à-dire qu’une enquête minutieuse le prouve. Cette formulation laisserait la porte ouverte à d’autres hypothèses et éviterait la conclusion prématurée et hâtive des autorités. Pourquoi cette hâte à conclure et à dire « circulez, y’a rien à voir ?».
Il existe des spécialistes de ce genre d’investigations et nous devons les laisser travailler. Cette cathédrale est un symbole national pour lequel des hommes, les Pompiers de Paris (des militaires) et des Pompiers d’autres brigades civiles des environs. Tous aussi méritants les uns que les autres, ils ont risqué leur vie pour éteindre le feu qui a fait rage. Ils la risquent encore dans le site, sur les toits et les balcons de l’édifice. Ils doivent sécuriser les lieux pour que les enquêteurs puissent travailler. Malgré les décombres, il sera possible de rechercher et découvrir le moindre indice, appuyés sur les laboratoires scientifiques (Police, Gendarmerie, Assurances, etc.). Les Pompiers aussi ont des spécialistes compétents en la matière.
S’il s’avérait que d’autres conclusions soient tirées et que des criminels aient pu ourdir un tel crime de destruction de notre symbole national, alors la main de la Justice doit s’abattre sans pitié aucune sur ces malfaiteurs.
Nous ne véhiculons aucune rumeur, respectons le travail des enquêteurs et faisons confiance à une justice sobre en mots et sur la plus grande réserve.

« Amour sacré de la Patrie, conduis-soutiens nos bras vengeurs »
La Marseillaise, notre hymne national


Un membre de l’ASAF




Le salafispe et la République

Introduction

Le salafisme, selon divers auteurs islamologues, est une doctrine de musulmans regroupés en communautés, en apparence inoffensives. De nombreuses échoppes communautaires fleurissent et offrent la possibilité de se vêtir en vêtements islamiques autant qu’en produits de beauté orientaux et en livres saints (Selon Mohamed SIFAOUI, 07/11/2009 Le salafisme en 10 questions dont nous nous sommes largement inspirés). Récemment, on a vu des poupées pour enfants sans visage apparaître dans certaines boutiques du nord de la France. Nous citons Zone Interdite : « ces jouets correspondent à une interprétation salafiste ou wahhabite de l’islam, pas à une tradition ancienne ».

1 – Qu’est-ce que le salafisme ?

Le terme salafisme puise sa racine dans le mot arabe salaf qui signifie « les prédécesseurs ». On parle aussi d’essalaf essalah ou de « pieux prédécesseurs », désignant ainsi les tout premiers compagnons du prophète Muhammad (Mahomet). De nos jours, les salafistes les veulent pour exemple, appelant à un retour à un « islam des origines », celui du VIIe Siècle. Ils veulent un islam expurgé de la bidaâ ou des « innovations blamâbles » (boko haram). De leur point de vue, ces innovations pervertissent l’islam. C’est un rejet absolu de toutes les idées humanistes, des principes philosophiques tels la démocratie ou la laïcité. C’est l’école fondée par l’imam Ahmed ibn Hambal (780-855) au IXe siècle, le hanbalisme, qui a forgé les racines de l’idéologie salafiste. Les deux disciples de cette doctrine, l’imam ibn Tamiya (1263-1328) et Mohamed ibn Abdelwahab (1703-1792), en deviendron ensuite les deux références idéologiques. Abdelwahab fondera le wahabisme dont l’idéologie rigoriste fondera la monarchie saoudienne qui règne en Arabie Saoudite, entre autres émirats arabes.

De là, sont partis des « missionnaires salafistes » formés en Egypte (Université Al-Ahzar) dopés au XXe siècle par les pétrodollars. Les wahabites prônent et appliquent la « charia ». Ce salafisme s’est propagé dans le monde.

Au XXe siècle, la pensée se politise en Egypte avec les Frères musulmans (1928, Hassan el Bannah 1906-1949). On les désigne parfois « salafistes en costard-cravate » par opposition aux « salafistes en barbe et khamiss » (ou en djellaba). Ces gens veulent se retirer de notre monde pour vivre leur islam historique mai ces nostalgiques en veulent aux croisés et à ceux qui les ont chassé d’Al-Andalus (Grenade, Espagne p.e.).

Le passage vers le jihad se fait lorsque les tenants se sentent en force et recherchent la confronation que prônent les versets du Coran issus de la période de Médine et qui abrogent les versets mecquois. Récemment, Al-Quaeda et DAECH ont illustrè sans conteste la mise en oeuvre d’actions mortifères !

2 – Que veulent les salafistes ?

Cette minorité du monde musulman est active (et belliqueuse, sous le couvert de la taquiya, la visière ou apparence piétiste calme). Ils font tout pour occuper le devant de la scène avec leurs activistes militanrts effrénés et autres idéologues. La pensée salafiste occupe un grand nombre de mosquées et des publications littéraires. Il cherchent à convertir, appelant au communautarisme avec une idéologie où le politique et le religieux sont indissociables (source coranique, VIIe siècle).

Ils veulent le monde, tout le monde, le monde entier (voir les écrits de Sayyid Abu A’la Maududi, pakistanais : 1903-1979). Les Frères musulmans souhaitent ériger un groupe de pression à même de peser sur les débats nationaux et internationaux. Ils visent à faire naître un « vote musulman ». Tous les moyens sont bons même séduire nos jeunes filles éblouies, naïves, les « niqabiser », les engrosser au besoin!

3 – Combien sont-ils en France

Il est difficile de connaître avec exactitude le nombre de ces « fous de dieu » présents en France (et en Europe). Selon une estimation, 5% des 5 millions de musulmans de France sont des pratiquants réguliers fréquentant le 1.900 mosquées et salles de prière avec assiduité. Les salafistes représentent une forte minorité de ces pratiquants mais donnant l’impression d’être majoritaires par leur excitation militante, leur activisme : ils font beaucoup de « mousse ».

L’UOIF serait la filiale française des Frères musulmans, les rencontres annuelles du Bourget et le vote de la loi contre les signes religieux ostentatoires ont montré ces accoutrements vestimentaires qui donnent une idée du poids réel de ces idéologues « pacifiques ».

Il existerait une cinquantaine de mosquées ou de lieux de prière tenus par ces partisans du wahhabisme saoudien et de la pensée salafiste prosélyte.

Les mosquées salafistes wahhabites sont souvent implantées au cœur des cités populaires (en région parisienne Sartrouville, Argenteuil, Gennevilliers, etc.) ou dans d’autres grandes villes (Lille, Strasbourg, Marseille, Besançon, etc.) ainsi que dans Paris-intra-muros (Barbés, Belleville, etc.).

4 – Qui finance la propagation

Outre l’État saoudien (au travers de la ligue islamique mondiale : LIM) a longtemps financé cette idéologie conforme à son wahhabisme. D’autres états mécènes du golfe persique (Emirats) accordent aussi quelques millions de dollars pour faire rayonner le « vrai islam » (le salafisme). En France, des mosquées ont été construites avec des financements provenant de ces monarchies (théocraties) et de la LIM : Evry, Mantes la Jolie, etc. Les universités saoudiennes (Riyad, La Mecque, Médine et autres) forment des milliers d’étudiants saoudiens ou étrangers (islamiques). Ces « missionnaires » sont aussi formés au Pakistan (Karachi, etc.). Cette dernière enseigne de « déobandisme », version indo-pakistanaise du salafisme (Abu-A’la Maududi est un des précurseurs). Cette idéologie a formé les fameux « talibans ».

Les Frères Musulmans ont eux aussi bénéficié de l’aide des Saoudiens notamment pour l’ouverture du Centre Islamique de genève (fondé par Saïd Ramadan, le père de Tariq et gendre de l’égyptien Hasan el-Banna).

Quand l’UOIF est créé au début des années 60 (par des islamistes tunisiens et l’activiste libanais Fayçal Mawlawi), il y aura de nombreux soutiens émanant des émirats Arabes Unis. Le financement (entre 30 et 80%) passe par des fondations privées de personnalités arabes.

Mais il y a l’autofinancement. Les diverses mosquées de disputent le produit de la redevance de certification halal sur les viandes et produits alimentaires divers, un commerce communautaire que les salafistes ne cessent de promouvoir et de contrôler. Il est très lucratif !

5 – Quels sont les idéologues

A côté des idéologues du VIIe siècle, il y a les contemporains et notamment les Égyptiens issus de la mouvance des Frères musulmans. Citons Sayyid Qutb (1906-1966) ou Youssouf al-Qardawi (le théoricien des attentats suicides et de l’instauration de la loi divine ou charia (sharia, etc). Citons Tariq Ramadan qui se laisse complaisamment traiter de théologien alors qu’il est en rélaité un idéologue sournois de la pensée salafiste des Frères Musulmans (il est le petit fils du fondateur auquel il voue une admiration sans bornes). Bien qu’il n’hésite pas à fustiger le wahhabisme (une attitude d’opportunité visant à tromper son auditoire), il n’est ni un progessiste ni un réformateur. La pensée des Frères musulmans entre ses mains (et d’autres) est un instrument de lutte politico-religieuse (dans le droit fil de l’islam originel) destiné à propager un salafimes costard-cavate plus « doux ». Il utilise les codes de langage et d’écriture occidentaux pour abuser son auditoire et adapter son discours aux opinions publiques européennes ainis abusées, trompées. Les médias ont été longtemps dupes.

D’autres « penseurs », des saoudiens principalement, ont assuré le « rayonnement » du salafisme wahhabite. Citons le cheikh Ibn Baz (1909-1999), précheur d’un islam pur et dur (celui des versets du Coran dits de Médine ? !), Salim bin Fawzan al-Fawzan (très apprècié des salafistes occidentaux : il recommande à ses adeptes de ne pas « ressembles aux mécréants (koufars) dans ce qui leur est spécifique »). Fawzan est de ceux qui incitent les femmes à se « burquiniser » (se voiler intégralement, refusant le voile classique). Citons aussi le cheik Mohamed ibn Saleh al-Otheimine (il interdit aux musulmans de « féliciter les mécréant juifs et chrétiens notamment durant leurs fêtes religieuses ». Citons enfin le cheikh Nacereddine al-Albani (1914-1999), idéologue albano-syrien qui a produit une floraison de fatwas (édits religieux) tout aussi intégristes les unes que les autres prohibant l’usage des médias (radio et télévision) !

6 – Quels sont les relais médiatiques ?

Bien que certains idéologues interdisant les médias (notamment la télévision), d’autres appellent à ce que l’utilisation de ces médias soit exclusivement réservé à la propagation de l’islam (émission La voix de l’Islam, France 2 dimanche matin !). Les chaînes satellitaires arabes accordent une large place à ces salafistes préchant « la bonne parole », dans de multiples directions (Occident comme Orient) avec une certaine surenchère.