Un mort, quatre blessés à Paris : DAECH revendique

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Information

Hier soir, 12 mais 2018, un islamiste radicalisé tue une personne et en blesse quatre à Paris (2e). L’assaillant a été abattu par la police. Cliquez ce lien pour lire l’information.

Les informations commencent à émerger dans les médias. L’identité de l’assaillant est désormais connue. C’est selon les autorités un « Français né en Tchétchénie » et fiché S. Un Tchétchène, Khamzat Azimov (Site France-Info), naturalisé français conséquence de la naturalisation de sa mère en 2010, alors qu’il était mineur (13 ans) !

Europe-1 disait ce matin, 14 mai 2018, que la Tchétchénie est un vivier de terroristes islamiques. N’oublions pas que le chef de DAECH « Al-Baghdadi avait appelé à frapper directement sur le sol européen d’une part et par tous les moyens que ce soit d’autre part ». Le terrorisme islamique est SANS FRONTIERES, les nationalités n’ont pas de valeur sauf que l’origine communautaire joue à fond !

Tuer des français, belle façon de remercier la France qui les a accueillis et soustrait à la vindicte russe. Celà s’appelle réchauffer des vipères dans son sein ! Ou formulé autrement «Nourris des corbeaux, ils t’arracheront les yeux.» (proverbe espagnol transcrit). Le site France-Info parle d’une filière caucasienne ! Quoi qu’il en soit, les parents sont responsables de l’éducation de leurs enfants.

Plus que jamais, il appartient aux citoyens de se mobiliser. Plus que jamais, la question des citoyens vigilants et actifs engagés dans les réserves citoyennes et la Garde Nationale, sous contrôle des autorités, cette question se pose de manière aigue. Les policiers du renseignement sont débordés, ils doivent faire des arbitrages sur les moins dangereux ! Khamzat Azimov était réputé « peu dangereux » !

Peu dangereux, voire ? Les signaux faibles sont importants à suivre ! Nous devons être sur nos gardes, la France a le droit de se défendre.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

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Embrigadement des jeunes


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Introduction

Un barbu
Dans ses écrits, le fondateur des Frères Musulmans, Hassan El-Banna dit vouloir «un individu musulman dans sa pensée et dans sa croyance, dans sa moralité et dans ses sentiments, dans ses actes et ses comportements. C’est une formation à l’échelle de l’individu.» Il dit attacher une grande attention à la formation de la jeunesse. Tous les régimes totalitaires que nous connaissons ont ce souci : s’emparer de l’esprit des jeunes et les modeler à leur idéologie. Les écoles coraniques sont un des éléments de cette prise en charge. On y apprend le Coran par coeur, sans n’y vraiment rien comprendre.
Comment expliquer l’influence des prédicateurs « barbus » pour susciter ce fanatisme chez les jeunes qui partent vers les théâtres d’opérations ? Les réponses sont multiples. En fait, il s’agit du processus de radicalisation qui va mener un ou plusieurs jeunes vers le crime terroriste, au non d’Allah.

1 – Le culte de l’héroïsme

Le culte de l’héroïsme s’incarne dans limage du martyr qui va accèder directement au paradis et à ses félciités, par le sacrifice qu’il fait. Le jeune jihadiste devient indifférent à l’idée de la mort, celle qu’il va donner, comme la sienne. La vraie vie pour eux est au paradis, il faut la mériter par le sacrifice (chahid) en mourant dans le meurtre des ennemis. La seule attitude légitime est de tuer et de mourir. Ceci découle des règles intransigeantes qui rendent obligatoire l’affrontement entre les «vrais musulmans» et les infidéles (les kafirs).
La chahada (la profession de foi islamique «Il n’y a de dieu qu’Allah et Mohamed est son prophète» ne fait pas que proclamer l’exclusivité de Dieu, mais nie le droit de vivre aux infidèles. Le vison jihadiste n’est pas seulement inhumaine, elle est profondément deshumanisée. L’infidèle ne peut échaper à la damnation éternelle que par son ralliement et sa conversion. Celà résulte de la vision jihadiste du monde, profondément dichotomique, basée sur un affrontement absolu entre le bien t le mal. Seul est admis le retour aux traditions originelles, radicales, des salafs. Les matrices afghanes et syro-irakiennes ont fonctionné : 2 millions de morts en Afghanistan.
Ceci ne suffit pas à expliquer le passage à l’acte criminel. Alain Bauer, François Freynet et Christophe Soullez ont écrit un livre «Comment vivre au temps du terrorisme»(First Document, First Editions, 2017) om le phénomène de radicalisation est passé au crible de nos connaissances (p. 136-145).

2 – L’hybridation

C’est le processus dans lequel il y a une tendance des groupes terroristes à s’impliquer dans des activités illicites :

  • pour leur financement, par le trafic de drogue ou des attaques de banques,
  • comme but en soi.

L’exemple en est donné de Khaled Kelkal ( en 1995) puis avec le gang de Roubaix (1996). La France connaît la douloureuse expérience des hybrides navigant entre les fichiers de police (renseignements et police judiciaires), échappant à l’attention de services incapables de dépasser leurs cloisonnement (guerre des polices). D’autres exemples nous montrent aux USA où mène l’aveuglement et la naïveté, avec les deux tchetchènes Djokar et Tamerlan Djojhar, radicalisés par Internet (revue Inspire). Cette revue a été interdite et son site démantelé.

2.1 – Les loups solitaires

Cette expression désigne un concept fourre-tout parfois hâtivement employé en matière de terrorisme, à tort par les journalistes ignorants et les services de renseignement, comme explication après l’échec de la prévention d’un acte terroriste. Trés fréqu’emment, après coup, se déroule une pelote de fils conducteurs aboutissant au démantèlement de réseaux jihadistes discrets. Nous posons par principe qu’il n’y a pas de loup solitaire !
Il convient de distinguer des fous solitaires.
Les soubresauts de l’agonie du courant Al-Qaïda ont conduit à la situation actuelle qui prolonge la disparition progressive des actions de terrain extérieures à la France.

2.2 – La radicalisation 2.0.

Bauer et al. font état des centaines de jeunes entre deux cultures, nés ou élevés en Occident, indécis sur leurs racines et qui partent combattre en Afghanistan, en Tchétchénie, en Bosnie, en Irak ou en Syrie, poussés par des prêcheurs de haine aussi discrets qu’efficaces.
Auprés des jeunes délinquants, le discours du martyr pardonné par Allah par son sacrifice, attendu par des vierges éternelles au paradis, ce discours semble porter. La radicalisation des jeunes nés en Occident et perméables à la culture du pays d’accueil semble difficile à comprendre. Que dire des jeunes nés de familles non-musulmanes qui se tretranchent ensuite dans l’interprétation la plus rigoureuse et la plus extrémiste de leur nouvelle foi ?
Le refus du matérialisme, de la pornographie permet de se radicaliser dans une religion de conte de mille et une nuits.

3 – Le milieu carcéral

Le passage en  milieu carcéral est un dénominateur commun à de nombreux jeunes radicalisés. On sait depuis longtemps que pour des jeunes délinquants, l’incarcération constitue une Université du crime. Il en va de même pour le jihadisme et la criminalité islamiste. La contamination des adultes rédicalisés de propage aux jeunes. Les jeunes délinquants sont fortement inlluençables et font la connaissance d’apprentis jihadistes mûris ou d’individus déjà passés à l’acte.

3.1 – Endoctrinement sectaire

L’endoctrinement pas des imams salafistes ou autres se fait de la même manière que dans une secte :

  • briser le lien familial (familles, copains, …),
  • briser les contours identitaires,
  • effacer les souvenirs,

3.2 – Dialectique

Les extrémistes usent d’une dialectique visant à faire de leur religion la seule susceptible d’apporter la rédemption et la vérité au futur jihadiste.

3.3 – Populations concernées

On ne doit pas avoir d’à-priori sur le profil du futur radicalisé. Le phénomène peut toucher autant des jeunes disposant d’une bonne situation professionnelle ou d’une bonne culture universitaire. elle peut aussi toucher des jeunes sans qualification professionnelle et ayant grandi dans une famille déstructurée.
Dans ce dernier cas, l’abandon à la suite d’un divorce (répudiation facile en islam et polygamie) est un puissant facteur de déstabilisation familiale comme le montrent des exemples récents.

En conclusion

Il y a alors un rejet de la société dans laquelle ils vivent avec la haine des valeurs du monde occidental. Ils se réfgient dans l’interprétation qu’ils vont faire et:ou qu’on va leur fournir sur la nécessité d’imposer un islam idéalisé et radical face à la décadence de l’Occident impie. L’Internet contribue à en faire des autodidactes du terrorisme avec les images des drapeaux noirs et des kalachnikovs
 

extrait bandeau IHEDN site institut

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Islamo-fascisme et victimes


observatoire phare

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Problématique

Allah Akbar

Illustration Wikipedia, plaque de rue au sud de Jérusalem
(Quartier arabe de Sur Baher).

Madame Chahdortt Djavann est une romancière et essayiste d’origine irakienne, de nationalité française. Elle a publié de nombreux esais et opuscules résolument anti-islamiques.  Elle demande que  l’Union européenne reconnaisse la fatwa (incitation au meurtre) comme un acte criminel et engage des poursuites internationales contre ceux qui décrètent des fatwas.  » Chahdortt Djavann, Le Figaro, 18 février 2008.

Elle déclare que  (Que pense Allah de l’Europe, Gallimard, 2004, p. 7) :

  1. La critique d’une religion quelques sévère qu’elle soit, n’a rien d’un acte raciste
  2. La France est un pays de droit et le racisme est considéré comme un crime par la loi. [On peut être musulman sans que cela constitue une origine raciale ou ethnique, il y a des arabes chrétiens au Moyen Orient et ailleurs].

Le terme d’islamo-fascisme a été introduit dans le débat politique en 1990, par le journal anglais The Independant. Le terme est repris après le 11 septembre 2001 par des intellectuels américains qui dénoncent la parenté entre l’islamisme, les mouvements et régimes totalitaires et les «idiots utilles» qui considèrent que les jihadistes participent à une pseudo-théologie de la libération. Selon François Fillon «on doit parler de totalitarisme islamique». Parce que «islamisme et totalitarisme propagent le culte d’une violence meurtrière qui exalte la mort et la destruction (Viva la muerte vociféraient les franquistes et l’insigne des SS, la totenkopf ou tête de mort !).

L’émission religieuse La Voix de l’Islam sur Antenne2 a vu se succéder en 1995 des prêcheurs barbus qui venaient par les sur nos ondes nationales de la pré-éminence de la loi de Dieu sur celle de la République. La mort a été apportée sur notre territoire national, la France, par toute une litanie de jeunes exaltés, radicalisés dont nous allons citer quelques noms. Allahu Akbar se retrouve en dénominateur commun des attentats et crime. C’est un hymne à une grande nation arabe. Qu’Allam maudisse la France. Nous allons subir les évènements et non les anticiper. La République perd peu à peu ses territoires.

1 – Khaled Kelkal

Khaled Kelkal est l’un des premiers dont le parcours a été médiatisé. C’est un algérien imigré à Vaulx-en-Velin. La prison a joué un rôle dans sa radicalisation et son passage à l’acte. Ses bombes vont faire 21 blessés. Il sera abattu par la Gendarmerie le 6 octobre 1995, les armes à la main. Avec ce partisan du FIS-GIA commence la danse macabre.

2 – Moussa Coulibaly

Moussa Coulibaly (à ne pas confondre avec Amédy Coulibaly), agresse 3 policiers à l’arme blanche le 3 février 2015. Il sera ecroué et mis en examen.

Nous ne déroulerons pas plus la liste des crapules prétrndant agir au nom d’un dieu soi-disant miséricorieux ! Drôle de miséricorde qui assassine !


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Un observatoire




Résister au terrorisme


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Préambule

Info

Un ouvrage fondamental à avoir toujours avec soi, à lire et relire : «Vivre avec la menace terroriste : réflexes, gestes et attitudes qui sauvent» Olivier et Raphaël de Saint-Vincent. Eyrolles20160 Les droits d’auteurs sont reversés à l’Association Français des Victimes du Terrorisme.

Nous soulignons les points essentiels. Achetez ce livre, son prix est modique.

Ne pas avoir peur : être citoyen vigilant

Parmi les moyens les plus efficaces de lutter contre le terrorisme figure la citoyenneté. La Rome républicaine (509/27 avant JC) était défendue par ses citoyens qui étaient chargés de l’effort de guerre. Une Garde Nationale en quelque sorte ?

Si chaque citoyen a des droits, il doit d’abord avoir conscience de ses devoirs. Le terrorisme ne trouvera pas, alors, de terreau fertils pour s’enraciner et prospérer.

Ne pas avoir peur

C’est là un leit-motiv rabâché au lendemain des attentats du 13 novembre 2015. Ne pas avoir peur, c’est ne pas hésiter à revenir sur les lieux et se recueillir, mais aussi continuer à faire son travail : nous sommes dans un État de droit ! Chaque citoyen a le droit de circuler librement et il ne doit pas y avoir de zone de NON-DROIT ! Personne ne peut s’approprier l’espace public ! Ne pas être terrorisé par les terroristes commence justement par le respect de cette règle élémentaire du vivre ensemble.

Ne changez pas de trottoir ! Dans la rue ou les transports en commun, dans les jardins publics, à la vue ou à l’approche d’un ou plusieurs individus que «vous ne sentez pas», ne vous laissez pas impressionner : vous êtes chez vous, continuez à marcher, ne trahissez AUCUN sentiment de peur ou de faiblesse. Les pratiquants des sports de combat savent que le regard dur et déterminé est le signe de la domination de l’autre. Pas de signes paraverbaux envoyés à l’autre. Le délinquant agit à la façon d’un prédateur en quête d’une proie facile et:ou vulnérable.

Ne craignes pas de regarde l’autre dans les yeux ! Bien souvent des situations conflictuelles s’installent parce que l’agreseur sent la peur chez la future victime. Pourtant les médias relatent des faits divers de coups portés à un citoyen par un agresseur inconnu au seul motif d’un regard dans les yeux. Les fauves n’aiment pas être regardés dans les yeux. Appremez à parer les coups : en parant, on peut faire très mal et aller jusqu’à infliger des blessures dissuasives.

N’ayez pas peur d’être là ! Vous pouvez être amené à porter assistance à ceux qui vous entourent ! Recréez le lien citoyen, la solidarité ! Un petit geste vers une dame enceinte dans un autobus ou une personne âgée en fait partie.

Ne pas laisser faire

Ne pas laisser faire. SI vous souhaitez ne pas vous laisser faire, commencez tout simplement par ne pas laisser faire. Des citoyens dans un avion n’ont pas hésité à s’attaquer à des terroristes ! Faite valoir votre droit de citoyen, opposez vous et entraînez les autres à le faire.

Ne jouez pas au redresseur de torts et encore moins au justicier, ne provoquez pas mais, dans l’attente de l’intervention des forces de l’ordre, appelez en aux règles de bon sens.

L’incivilité, la grossièreté éhontée, le manque de politesse, l’agressivité au volant ne tuent pas mais ce n’est pas une raison pour l’autoriser.

Porter secours et assistance

Il existe un principe juridique, celui de la non-assistance à personne en danger. (Code Pénal, article 223-7) qui est l’omission de porter secours et qui énonce gentiment les sanctions en cas de non-respect. Un citoyen doit venir au secours de son concitoyen à condition … qu’il n’y ait pas de danger pour lui ni pour d’éventuelr tiers présents lors d’un sinistre ou d’une agression.

En pratique, faites preuve de bon sens en évaluant le danger. Gardes un contrôle émotionnel suffisant !

La suite dans le livre, achetez le !


Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34


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