Un meneur islamiste qui se croit tout permis

Ici on s'honore du titre de Citoyen
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Un qui se croit tout permis !

M. Sefrioui se croit tout permis. un de nos fidèles contributeurs nous a soumis une proposition de billet que nous avons remaniée et documentées. M. Abdelhakim Sefrioui est un agitateur islamo-fasciste bien connu de nos hautes-autorités nationales. Nous donnons la parole à notre contributeur qui est Ancien-Auditeur de l’Institut des Hautes-Études de la Défense Nationale (AA-IHEDN), organisme reconnu par le Code militaire et qui a son siège à l’École Militaire de Paris. Cet ami a fait partie de la 81e session régionale (Versailles, 1984). Il est toujours actif au sein de l’Association Régionale des AA-IHEDN-LR). Nous reproduisons son billet reçu via courriel.


En 1997, j’ai fait partie de l’AA-IHEDN Bourgogne où siégeait un comité de réflexion-rédaction très actif composé de réservistes militaires (terre-air-mer), de membres de la société civile et de fonctionnaires locaux. Notre comité avait reçu du Secrétariat Général de la Défense Nationale (SGDN, actuellement SGDNS) un sujet à traiter « La République et les Sectes ». Après neuf mois consacrés en soirée et en week-ends à des réunions, conférences, visites de sites, …. nous avons remis un rapport dont une des conclusions était « Islam, danger ».

En fin de l’année 1998, nous avions vu émerger des mouvements religieux à caractère sectaire qui avaient commencé à faire parler d’eux. Parmi eux, des sectes se réclamant de l’Islam avaient commencé à faire parler d’elles. En ce 4e trimestre de 2020, après de nombreux attentats perpétrés dans le monde, en Europe et en France, nous sommes rendus ce 16 octobre 2020 dans une rue de Conflans-Sainte-Honorine menant à Eragny devant le corps décapité d’un enseignant de la République découvert par la Police municipale. Cet enseignant a été atrocement assassiné près de son collège, dans une rue sur le trajet de retour à son domicile. La Police nationale appelée découvre non loin de là un individu, l’assassin, qui prend à partie l’équipage policier avec une arme de poing. Il est abattu alors qu’il criait « Allahou akbar ». C’est un jeune russe tchetchène de 18 ans demeurant à Evreux où il bénéficie avec sa famille du statut de réfugié politique. L’enquête va vite progresser et aboutir, entre autres à l’arrestation d’une agitateur islamiste bien connu, M. Abdelhakim Sefrioui, français d’origine marocaine.

Ce monsieur est double national. Français par son mariage avec une française qu’il a dû sans doute convertir, il est marocain car né au Maroc à Fès (21 avril 1959). Aux termes de la loi du royaume du Maroc, la qualité de « sujet de Sa Majesté » chérifienne est inaliénable sur plus de sept générations, imperdable. Or, une procédure de déchéance de la nationalité française n’a pu aboutir en 2010, l’article de l’hebdomadaire Le Point met en cause « la bienveillance dont il jouissait après des autorité marocaines » (sic !). Ce f … de m … est donc resté chez nous, poursuivant son oeuvre malfaisante avec un double discours et un antisémitisme violent, s’opposant aux musulmans modérés.

La question se pose des réseaux entretenus par cet individu ! Au Maroc, il faisait était membre du « Parti de la Justice et du Développement », en France il a fait partie de « Forsane Alizza » (organisation dissoute). Il a importuné violemment des hauts-responsables musulmans modérés. Ça suffit, en prison, devant la justice puis dehors ! Le Roi du Maroc se fera un plaisir de récupérer ce trublion chez lui ! Barra, horj, fuera, dehors ! Dehors les vipères et à sa sortie de prison, il y a en France, une île au large de la Guyanne, l’île du Diable pour lui servir de résidence assignée.

Quel lien avec la mosquée de Pantin qui a diffusé la vidéo qui aurait déclenché le drame ? L’enquête nous le dira ! Il faut fermer ce lieu d’appel à la haine !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

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Le père qui a porté plainte contre le professeur de sa fille incarcéré


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Nous nous informons pour VOUS informer

La radio Europe-1 vient de l’annoncer ce 17 octobre 2020 : l’individu qui a osé porter plainte contre le professeur assassiné fait partie des personnes arrêtées et mises en examen. Il va devoir rendre compte de ses incitations à la haine !

La justice doit passer !

Hommage républicain à cet enseignant victime des islamistes pour avoir voulu exercer son métier de professeur de la République. Nos pensées émues à sa famille et à ses enfants.

La justice doit passer

Dehors la racaille ! Force à la loi ! Nous avons trop laissé la violence s’installer dans nos établissements scolaires ! L’islamisme radical n’a pas sa place dans notre pays. Dehors ! Barra, fuera, out !


extrait bandeau IHEDN site institut

Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

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Emblème république




La Chine démasquée, mise à nu


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Nous relayons

Deux nouvelles importantes :

  • une citoyenne française otage de jihadistes maliens depuis 4 ans (26 décembre 2016) a été libérée le 8 octobre 2020. Victime du Syndrome de Stockholm, elle s’est (ou a été) convertie à l’Islam. A suivre ….
  • la Chine avance masquée vers une hégémonie mondiale : elle veut dominer le monde, elle nous a envoyé un virus, elle veut faire un « Grand bon en avant », c’est une puissance militaire qui s’affiche, Xi Jinping a asservi son peuple et considère la France comme « terre de conquête ». Lise le numéro spécial « Les dossiers du Canard Enchaîné » n° 157 d’octobre 2020.

Les militaires français qui combattent au Mali ne sont pas du tout heureux d’apprendre que la libération de Maryam (Marie) ex Sophie Pétronin a été obtenue contre la libération de 200 jihadistes embastillés. Cette libération est le fait du Gouvernement malien, notre allié.
Le dossier du Canard nous révêle, entre autres, comment la Chine a acheté à l’Ukraine, après la chute de l’empire soviétique, la coque d’un porte-avions (ex Varyag, cf p. 69), a mis deux ans pour l’acheminer en Chine où sa destination comme hôtel-casino flottant à Macao était bidon ! Sa véritable destination était un chantier naval chinois où l’attendaient moteurs (machines dit-on en langage de marin), ses équipements électroniques (d’origine soviétique-russe), etc. achetés en sous-main par une société écran et envoyés en Chine. Les plans aussi avaient voyagé par la route (huit camions). La Chine s’est offert un second porte-avions copié bien sûr sur le Varyag, le Shandong, entièrement construit en Chine ! D’une pierre, deux coups !

extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française




Contribution à la connaissance des mineurs non-accompagnés

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Nous observons et nous informons

Info

Ce soir, nous pensons très fort aux familles des trois victimes innocentes du sauvage attentat qui a endeuillé les chrétiens de Nice, les français de toutes confessions et notamment les musulmans qui veulent vivre en paix dans notre beau pays.

Le sauvage assassinat qui a fait trois morts innocents à Nice ce 29 octobre 2020 est un jeune tunisien de 20 ans ! Il se nommerait Brahim A. Il s’agirait d’un clandestin qui se serait introduit en Italie via l’île de Lampedusa où il aurait débarqué début septembre. Comment a-t-il quitté cette île, qui le téléguidait ? Qui l’a caché et hébergé dans les quartiers nord de Nice ? Rappelons que c’est de ces quartiers que provenait une autre racaille qui avait provoqué un massacre le 14 juillet 2016 sur la promenade des Anglais (86 morts, 458 blessés). Ce fumier venait d’arriver début octobre à Nice. L’enquête devrait permettre d’extirper une des métastases du cancer islamo-fasciste implanté à Nice.

Il semblerait que les caméras de surveillance l’ont tracé jusqu’à la gare de Nice où il serait arrivé en provenance d’Italie.

Merci aux policiers municipaux niçois qui l’ont seulement blessé. Il faudra que nos enquêteurs le fassent parler dès que la médecine l’aura retapé et qu’il nous dénonce ses complices. Ensuite, nous l’embastillerons, loi, très loin, aux Îles Kerguélen ou au large de la Guyane, à l’île du Diable (le nom Diable est parfait pour un suppôt de Satan, le shaïtane en arabe) ! Nous avons dans nos îles potentiellement l’éqivalent de Guantanamo (USA).

Jean Aymar


Validé par le webmestre qui a ajouté un lien :

Après les 3 attentats récents, les bouffons dangereux islamistes qui gouvernent le Pakistan, le Tchetchénie, la Tunisie, … en un mot les pays d’où viennent les terroristes, nous font la leçon Ils nous envoient des assassins revêtus d’une peau d’agneau de réfugiés fuyant l’islamisme et qui viennent égorger « nos filles et nos compagnes … » La suite de notre hymne national, vous la connaissez ! Les armes de la France, oui, notre capacité de résilience oui ! Jusqu’à quand allons nous laisser des bateaux à vocation « humanitaire » recueillir des terroristes et nous les convoyer gentiment sur le sol européen ? Le Président islamiste qui gouverne la Turquie semble avoir mis de l’eau dans son vin ? Il a rétropédalé mais trop tard.

Le webmestre

Après l’attentat du 25 septembre 2020 au hachoir par un jeune pakistanais, les opinions les plus diverses ont été émises sur les motivations de ce jeune homme. Le bilan a failli être lourd : deux blessés gravement dont le pronostic vital a été engagé pendant quelques heures. Deux innocents citoyens français ont été sauvagement agressés au hachoir ! Grièvement blessés, leurs jours ne sont plus en danger. L’auteur des faits et un Pakistanais (se prétendant tel), d’âge incertain. Un second supsect arrêté s’est révélé être un jeune citoyen héroïque qui a tentés d’arrêter le présumé « coupable ». Tout d’un coup, les perquisitions aux deux domiciles présumés du présumé coupable ont ramené un beau coup de filet. Neuf personnes dont le frère du coupable ont été mis en garde à vue. Sept on été maintenues en détention.

Qui est ce suspect ?

Hassan A. a declare être né en 2002 à Islamabad (Pakistan). Il était arrivé il y a 3 ans et bénéficiait du statut de « mineur isolé ». Selon le journal Le Monde, il avait été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance qui avait déclaré « qu’il ne présentait aucun signe de radicalisation » ! M. le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin déclare que « la menace a été sous-évaluée » ! Pas celle des immigrés pakistanais mais celle de la rue où avaient étés les locaux de Charlie Hebdo, locaux déménagés. Rien qui ne soit en liaison avec l’origine du terroriste en herbe qui a failli tuer deux de nos concitoyens. C’est une bombe potentielle qui est venue, sous le statut de « mineur isolé » se joindre à la 5e colonne islamiste planquée dans notre pays, une bombe dormante dont quelqu’un a actionné la gâchette. Qui a envoyé cet individu chez nous où la législation sur les mineurs est une faille énorme dans notre sécurité nationale. On connaît la réponse : son père resté au pays (Pakistan) a félicité son fils pour son acte !

Les « madrassas » pakistanaises

Une madrassa est une école coranique. Selon le journal Libération « Les madrassas assurent l’éducation des enfants des milieux pauvres au Pakistan, elles sont d’autant plus attractives que les élèves y sont logés et nourris gratuitement. … Malheureusement, c’est parfois l’enfer qui attend ces enfants ». Elles foisonnent au Pakistan, surtout dans les zones tribales et les campagnes. Dire que ce jeune homme ne présentait aucun signe de radicalisation est une grave lacune dans la connaissance des mécanismes de l’islamisme pour un responsable du suivi de ces jeunes « mineurs isolés ». Ceux qui s’expriment ainsi ignorent tout (ou sont naïfs) du mécanisme de la taqya, mécanisme enseigné dans la tradition islamique et pratiqué pas les islamistes modernes comme anciens : la dissimulation érigée en art de guerre ! « A Rome, fais comme les Romains » : dissimule tes pratiques, prépare un mauvais coup sans te dévoiler.
Il faut être naïf pour ignorer ce qui est enseigné dans les écoles coraniques : dès le plus jeune âge (8 à 10 ans), les jeunes pakistanais sont assujettis dans ces écoles à l’apprentissage du Coran. Ils apprennent en arabe phonétique le Coran car leur langue de base est l’ourdou. De toute façons, l’arabe ancien dans lequel est écrit ce livre n’a rien à voir avec les dialectes arabe locaux pratiqués dans différents pays dits arabes. Cet arabe est la langue ancienne que seuls de grands lettrés sont capables de lire, parler ou écrire (c’est le cas de professeurs d’universités comme celle d’Al-Azhar au Caire).
Donc, dès leur plus jeune âge, les enfants apprennent par cœur ce livre qui contient des versets de paix et de tolérance abrogés par des versets plus « belliqueux » tels la sourate dite de l’épée. Du par cœur non compris, le jeune passe à des versets « expliqués », commentés par des maîtres proches des talibans pakistanais. On y enseigne, en se référant au Coran, des théories belliqueuses tirées des versets du Coran. Nous citons l’Expresse « La radicalité de ces écoles affleure jusque dans le centre de la capitale Islamabad. Habib Ullah, étudiant à la madrassa Jamia Faridia, ne cache pas son admiration pour Oussama Ben Laden, tué en 2011 dans le nord du Pakistan, ou sa haine des chiites, qui représentent 20% de la population de ce pays à majorité sunnite. ».
Ces informations sont publiques pour qui sait interroger les moteurs de recherche comme Google. Cet exercice devrait faire partie de l’apprentissage de ceux de nos dirigeants jusqu’au plus haut niveau. Cela éviterait de permettre l’accueil de bombes dormantes qui viennent se réfugier dans nos pays occidentaux en profitant de la faille de sécurité que constitue la législation sur les mineurs non-accompagnés (MNA). Ces mineurs, qui les envoie ? S’est-on posé la question ? Pourquoi ? Viennent-ils de pays en guerre ? L’accueil des MNA est régi par une directive européenne (Directive du Conseil 2001/55/CE, article 2, §f). Cette directive n’empêche en rien de soumettre ces jeunes gens à une batterie de tests de dépistage osseux pour contrôler leur âge et de dépistage de radicalité. Trop d’attentats terroristes ont eu lieu en France ces dernières années au nom d’un islam dévoyé (islamisme) pour que la plus grande prudence soit de mise avec les ressortissants de ces pays (Pakistan, Afghanistan, …) ou par des jeunes de nos pays qui y sont allés séjourner (affaire Merah et autres, …). L’excuse de la minorité ne doit plus être invoquée pour accueillir avec libéralité et sans suspicion n’importe quel jeune. Tout mineur non-accompagné, provenant de pays suspects d’abriter des centres d’enseignement islamistes comme le Pakistan, doit subir un « debriefing » poussé, approfondi, concernant ses objectifs, ses motivations, les raisons qui l’ont poussé à émigrer et sur son acceptation de nos lois. Sur ce dernier point, la discussion devrait porter sur la supériorité de la loi républicaine sur toute loi religieuse et sur le concept de laïcité. En cas de doute sur la sincérité de ses réponses et sur son âge, il sera renvoyé vers son dernier point d’embarquement, à défaut de connaître son lieu exact de provenance. Sans états d’âmes ni hésitation, il en va de la vie et de la sécurité de nos concitoyens pour leur éviter des coups de hachoirs mortels.
Nous sommes en guerre contre l’islamisme, la loi de la République ne peut admettre d’autre loi supérieure fut-elle religieuse. Or, un juge du tribunal des mineurs de Pontoise, saisi par les services sociaux, a refusé de soumettre l’individu à un test osseux pour déterminer son âge. Pour des raisons idéologiques ?

Nous avons manqué de vigilance

Dans le contexte actuel du procès des terroristes de l’hyper cacher et de Charlie-Hebdo ainsi que de la publication des caricatures mahométanes, un grave manquement à la sécurité a été commis à Paris. Qui du coordonnateur de la lutte anti-terroriste, du Préfet de Police de paris, du Ministre de l’Intérieur et de son cabinet ou du plus haut de l’État (Primature ou Présidence) porte la responsabilité du manque de vigilance ? Le Ministre de l’Intérieur a porté une accusation … sur les autres ! Il ne s’est pas posé la question de sa responsabilité ! Au peuple et aux citoyens de dire leur mécontentement. Ce qui s’exprime sur les radios périphèriques (RMC, Sud-Radio, …) est ahurissant (RMC les GG, 9h30 : 30/09/2020).
On ne peut surveiller tout le monde mais on peut faire un échantillonnage stratifié avec comme critères la provenance des individus, leur statut de réfugiés pseudo-mineurs. Mais ceux qui ont commis des délits en France (vols, port d’armes ou d’objets ayant vocation à l’être, agressions, …) n’ont rien a faire en liberté en France. Leur vocation est de retourner d’où ils viennent. Par contre, ceux qui se tiennent correctement et ont vocation à s’intégrer, doivent voir leur situation examinée à la lumière des besoins de notre pays et recevoir une réponse en conséquence.


Annexe : extrait de la Directive CEE

« Directive du Conseil 2001/55/CE

Article 2

Aux fins de la présente directive, on entend par:

a) « protection temporaire », une procédure de caractère exceptionnel assurant, en cas d’afflux massif

f) « mineurs non accompagnés« , les ressortissants de pays tiers ou apatrides âgés de moins de dix-huit ans qui entrent sur le territoire des États membres sans être accompagnés d’un adulte qui soit responsable d’eux, de par la loi ou la coutume, et tant qu’ils ne sont pas effectivement pris en charge par une telle personne, ou les mineurs qui ne sont plus accompagnés après leur entrée sur le territoire des États membres ; »

Rien ne doit légalement s’opposer que notre état souverain exerce son droit régalien de contrôle de l’âge par tout procédé médical, si besoin.
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Un volontaire de la Réserve Citoyenne de la Gendarmerie Nationale

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Gouvernants aveugles dans un tunnel

Les armoiries de la République


Emblême de la République
Emblême de la République

Nos fondamentaux

La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».

Info

Les manieurs de godille non ! Ce sont des aveugles dans un tunnel bien noir, ils n’y voient rien malgré leurs conseillers et leurs conseils de défense sans personne qui sache ce qu’est l’esprit de défense … ?

L’esprit de défense, la résilience d’une population, autant de notions inconnues dans l’enseignement donné à l’École Nationale des Ânes (nouveau nom de l’ENA ?). On peut imaginer que notre Président soit isolé dans une tour d’ivoire ! 67 personnes composent son Cabinet dont un Directeur (DirCab), un Chef (CheCab) et un Chef d’Etat-Major particulier (CEMP: un vice-Amiral). Le reste est composé de Conseillers de Cabinet (chargés de quoi faire ?) et deux « sherpas ». Plus des Conseillers (tout court) chargés de « pôles ». Une sacrée concentration de matière grise ! Le site de la Présidence ne donne pas leur CV. S’agit-il de copains ? Sûr qu’ils ne doivent pas être payés avec des clopinettes ?

Ces aveugles se démènent dans un tunnel, c’est de l’agitation stérile. Savent-il ce qu’est la notion de surprise stratégique ? Peut être le marin le sait-il ? L’Amiral et ses adjoints (un général de brigade, un capitaine de vaisseau, un colonel, un commissaire en chef de 1e classe et 3 aides de camp, eux, doivent le savoir ? Sont-ils présents dans les Conseils de défense ? Ils doivent savoir ce qu’est l’esprit de défense, eux ? Sont-ils aveugles ? Nous avons l’espoir que les représentants de l’Armée la représentent dignement. Sont-ils écoutés et entendus ?

Du côté de la Primature (1er ministre) , il y a aussi un Cabinet bien étoffé ! Un chef de cabinet militaire, un général de division. Toutes ces têtes à casquette-képis sont-elles écoutées et entendues ?

Le résultat est mince, CoVid19 a repris du poil de la bête ! On parle d’un nouveau confinement ! J’ai en, comme mon nom l’indique, MARRE de ce cirque et de ses amuseurs grassement rémunérés ! De vrais Shadocks !


Equipe du Président de la République : Cliquez sur ce lien

Pompes à fric ?


Shadocks qui pompent
Shadocks qui pompent

Il faut bien pomper !


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean AIMAR
ASAF-AAIHEDN

Association de soutien à l'Armée Française




Les blocages administratifs, mal français

Introduction

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Un de nos contributeurs a réagi à l’article sur l’État profond source de blocages. Nous réagissions donc et avons suivi son conseil. Nous avons lu l’article de l’hebdomadaire Marianne (n° 1207, 1er au 7 mai 2020) Notre administration naufragée (pages 22-31). Nous avons aussi relu nos « vieux » hebdos dont Le Nouvel Observateur (n° 2052, 4 au 10 mars 2004, pages 14 à 29) 

Cette caste qui tient la France.. Cet article signale et résume le livre de Ghislaine Ottenheimer Les Intouchables. Grandeur et décadence d’une caste : l’Inspection des Finances (Paris, Albin Michel, 2004). J’y ai ajouté plusieurs ouvrages :

  • Agnès Verdier-Molinié : Ce que doit faire le (prochain) Président (Paris, Albin Michel 2017),
  • Vincent Jauvert : Les intouchables d’état : bienvenue de Macronie (Paris, Robert Laffont, 2018),
  • François Ruffin : Ce pays que tu ne connais pas (Paris, Les Arènes, février 2019),
  • Juan Branco : Crépuscule : préface de Denis Robert (La Laune, 30600 Vauvert, Au Diable Vauvert, mars 2019).

Astérix le Gaulois et ses compains ont bu leur potion magique et vont faire valoir leur citoyenneté, leur civisme, leur attachement à leur patrie franque et le désir de vaincre, certes, le virus mais aussi par les urnes, ceux qui trônent au sommet de l’État et qui ont des comptes à rendre.


La crise sanitaire du Coronavirus (SRAS-CoV-2) a frappé notre pays de plein fouet. La pandémie CoVid-19, partie de Chine, a touché notre pays et le confinement qui a été déclaré et imposé a, certes, stoppé la progression du mal, limité son impact mais il en est découlé pour notre pays une crise économique qui s’inscrit dans un contexte mondial ! Sous la plume de Mme Natacha Polony (Marianne n° 1207, p. 22) écrit « L’impression d’avoir vécu une étrange défaite. Non pas que mars 2020 soit juin 1940. Il n’y a pas eu d’effondrement mais un sentiment de déclassement.». Un de mes amis, auditeur de l’Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale, membre de plusieurs associations qui défendent et soutiennent nos armées, historien militaire amateur, gendre d’officier, n’apprécie pas ce rappel douloureux à un passé encore proche. Revenons à notre 21e siècle et aux sources notre mal français.

1 – Une administration forte, centralisée

Nous avons démonté le mécanisme étatique dans un article sur ce qu’on appelle l’État profond.

1.1 – Le jacobinisme

Notre administration a été voulue forte et centralisée. C’est le jacobinisme. Cette doctrine a dominé la Ve République. Tout doit être gouverné du sommet, de la capitale, la république est une et indivisible. Il en est résulté une administration fortement hiérarchisée, centralisée. De la création des départements et des Préfets, proconsuls de l’État, est sorti une administration locale qui était gouvernée par les dits préfets.

1.2 – Le mille-feuilles administratif

L’empilement des couches administratives fait pense à un mille-feuilles.    Les français ont exprimé leur volonté de simplifier.

1.2.1 Les régions et la décentralisation

La création des régions a ajouté une couche au mille-feuille origine, lequel était relativement simple. La couche supplémentaire acquérait une certaine autonomie avec cependant un Préfet de région. La nouvelle collectivité, comme les autres (communes et départements) avait une assemblée délibérante. Le Préfet n’était là que pour veiller à la légalité des décisions prises et la conformité des actes à la loi (marchés publics, …). Deux domaines échappaient à l’autorité du Préfet : l’Education Nationale avec son Recteur d’académie et la Santé avec son Agence Régionale de la Santé. Chacun est placé sous l’autorité du Ministre compétent.

Pour compliquer le millefeuille, on a mis en place des collectivités placées à côté des départements : les établissements publics de coopération inter-communale (agglos, métropoles, communautés de communes).

1.2.2 Rivalités, conflits

Cette pyramide avec ses compartiments parallèles est compliquée par le fait qu’il y a une cassure entre l’échelon territorial (régions, départements, communautés de communes, communes) et l’échelon national. Les deux administrations ont des corps différents d’administration. il y a :

  • la fonction publique nationale,
  • la fonction publique territoriale,
  • la fonction publique hospitalière,
  • la fonction publique militaire,

Ces différents fonctionnaires sont jaloux de leurs prérogatives, d’où des conflits d’égos plutôt que des coopérations dans l’intérêt du bien public. Les prérogatives des uns et des autres ne sont pas ou sont mal coordonnées. L’équilibre des égos, en cas de crise grave, se brise.

1.2.3 Conséquences sur la crise

L’administration, au cours de notre histoire, a su affronter les tempêtes et les crises. Son caractère lent et procédurier s’est accentué au cours de la crise et elle n’a pas su éviter les écueils de la pandémie à SRAS-CoV-2 (maladie du CoViD-19). Pourquoi ?

L’hebdomadaire Marianne précité (p. 22) nous donne une piste supplémentaire : la complication avec l’introduction, de « La généralisation de la gestion à l’anglo-saxonne, à base de « process » et de « reporting », plaquée sur la culture administrative centralisée à la française, [qui] aboutit à une inflation paralysante.» Le néolibéralisme a fait son oeuvre !

Un de mes amis hospitalisé avant la crise avait remarqué dans les services où il était passé un bureau de « Cadre administratif ». Il n’a pas pu savoir quel était son rôle ? Compter les seringues, les cartouches d’encre des imprimantes ? Gérer les stocks de pharmacie et de consommables, veilleur aux approvisionnements ?

Une particularité, la gestion administrative des établissement publics de santé est complexe. Il existe un Conseil de surveillance et à Montpellier, le Maire-Président de Métropole en est le Président.

Le vaisseau de la Santé Publique en France est un lourd pachyderme, un « lourd vaisseau qui prend l’eau », en cas de crise majeure.

1.3 – La paralysie institutionnelle

Le fait que tout soit centralisé, avec des ramifications horizontales et verticales a eu pour conséquence une paralysie qui n’est pas conjoncturelle mais structurelle. « Quand la tête ne guide plus, chaque échelon est invité à limiter au maximum les initiatives et à se défausser sur l’échelon supérieur. ». On ouvre le parapluie et on ressort le bon vieux principe de sagesse des « trois petits singes », principe qui serait enseigné à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA).

Trois petits bonzes

Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire !

Or, en plein déploiement de la pandémie, la tête à changé, chacun selon son humeur a déployé son parapluie ou tiré la couverture à soi.

La tête nouvelle a dû affronter la vérité terrain, la gripette était une redoutable saleté venue à pied par la Chine, à pied, à cheval, en voiture, en avion. Si les virus n’ont pas de passeports, ceux qui les portent en ont, ils ont circulé !

2 – Les blocages constatés

En dehors des pénuries constatées (masques, tests, équipement des soignants, …) les blocages divers ont mis notre pays et sa population en danger et ont amené les premiers mensonges d’état. C’est pas si bête que çà, avec une porte-parole qui avait avoué ingénument « mentir pour protéger son Président ».

2.1- Le premier blocage

Selon comment on l’examine, ce blocage est un non-blocage venant d’un blocage intellectuel de la tête : il ne fallait pas fermer nos frontières et les piétons descendus de l’avion, à pied, en provenance de la Chine, ont introduit le virus.cry mad confused

Nous citons le cas d’un ami de retour du Vietnam le 30 janvier 2020 qui a changé d’avion à Pékin. Il a été « épluché » à l’aéroport de Pékin et à son arrivée à Roissy, rien, aucun contrôle sanitaire, même pas un contrôle de température. Il a regagné son domicile près de Montpellier en TGV.

2.2 – Pas de vétérinaires ici !

La médecine vétérinaire ne dépend pas du même ministre. Le principe est de veiller à la santé humaine en soignant les maladies des animaux et la surveillance des circuits alimentaires. Il y a des coronavirus animaux susceptibles de « sauter » sur un être humain.

Marianne (p. 23) dénonce le blocage pendant 3 semaines (par les ARS) des acteurs du diagnostic produisant des tests pour animaux. Or, ce sont les mêmes réactifs, les mêmes machines; Il y avait pénurie en milieu de médecine humaine hospitalière. Au final, le Ministre Olivier Véran a débloqué la situation ! « Les vétérinaires biologistes n’étaient pas habilités à traiter les prélèvements humains … ». Il a fallu trois semaines pour vaincre l’encadrement juridique qui s’imposait même en période de crise ! Ce n’est que le 6 avril 2020 que le verrou a sauté ! Merci Monsieur le Ministre !

Mais là où la mesure est à son comble, est le refus de mettre dans le circuit les laboratoires privés de biologie humaine ! UBU, Courteline, … pas morts !

2.3 – Un cabine privé de conseil en stratégie

L’hebdo Marianne nous apprend aussi que le Ministre de la Santé (et son ministère ?) a fait sauter le verrou en missionnant un cabinet privé de conseil en stratégie (Bain et Cie, bureau de Paris). Les laboratoires privés de biologie trouvent, enfin, un interlocuteur qui fait répondre aux courriers adressés depuis des semaines, restés sans réponses ! Des visioconférences ont lieu avec des représentants de l’Élysée, du Monsieur Déconfinement, … Nous posons la question : qui a bloqué et pourquoi ? Il y a des coups de pied au c… qui se perdent.

Le clivage administratif ministères-collectivités-ARS-Préfets a eu des conséquences.

2.4 – Les rivalités administration centrale et collectivités territoriales

Y-a-t-il eu une incompréhension entre les couches du millefeuilles administratif ? Nous lisons dans Marianne (p. 23) qu’il y aurait une « rivalité entre administrations centrales [ministères] et collectivités locales ». C’est un euphémisme ! Entre les ARS, les Préfets (de région et de département) et les Présidents de conseils divers, des murs de forteresses se sont dressés, au détriment de la santés et des mesures nécessaires. Les différences de couleurs politiques ont-elle joué ?

2.4.1 Cas des EPHAD

Marianne cite un président de Conseil départemental (sensibilité Les Républicains) qui écrit (le 4 avril 2020) au ministre pour demander un dépistage de tous les résidents d’un EPHAD (La Rivièra, Mougins). Il y a eu là 36 décès en moins de 30 jours. Cause toujours ! Il n’y a pas eu de réponses ! A croire, avec ce que nous avons exposé ci-dessus qu’il n’y a personne qui lit les lettres au Ministère de la Santé ou qu’un président ce collectivités est quantité négligeable, ou qu’il y aurait des directives données pour ne pas répondre aux « frères ennemis ». L’élu insiste, il avait réclamé ces tests auprès de l’ARS PACA. Là, il lui a été répondu « qu’on suivait les consignes du ministère.». Circulez, il n’y a rien à voir ! Les perdants de ce ping-pong administratif : on sait le drame vécu dans les EPHAD, le manque de moyens, … ARS, Préfets de région, quelle a été la posture ? Les échelons administratifs ont ouvert le parapluie. Ou alors, on a joué aux petits chefs.

2.4.2 Mesures prises par les maires

Des maires ont cru pouvoir utiliser leur qualité d’officiers de police judiciaire pour décréter des interdictions sur le territoire de leur commune, avec l’aval de leur assemblée délibérante communale. Pourquoi cette idée saugrenue ? Est-ce parce qu’un président de la république, au début de son mandat a snobé ces minus de campagne ? Le Préfet du coin s’est empressé de casser leurs arrêtés, a déféré ces papiers au Conseil d’État. Retour dans vos mairies, non mais ?  frown  Le masque ne sert à rien et l’interdiction de circuler vers Sète a été cassée !

2.4.3 La Direction générale de la Santé

La direction générale de la Santé a de grandes ambitions sur son site. Marianne (p. 24) l’accuse d’avoir « péché par ignorance ». Son rôle, pourtant est primordial, celui d’une vigie qui scrute l’horizon. Son directeur n’est autre que M. Jérôme Salomon. Cet éminent professeur gère une quantité impressionnante de sous-directions et d’agences. C’est ce professeur qui a averti le président de la république de l’impréparation du pays aux crises sanitaires qui pourraient survenir (5 septembre 2016). En février 2020, selon Marianne (p. 24) « il s’est félicité quotidiennement de la « stratégie française » pour empêcher l’épidémie estimant que la « surveillance étroite » de chaque cluster devait permettre de lutter contre un « virus de la grippe » … « probablement moins contagieux que la grippe saisonnière». ». Au même moment, la Chine faisait le bilan de son épidémie dont, manifestement, personne n’avait tiré la leçon. C’est loin, la Chine ! Pourtant, sa ministre, lui et divers autres ont étudié la médecine ! De médecins, ils sont devenus hauts-fonctionnaires et ont oublié leurs études ? Si on peut reprocher aux hauts-fonctionnaires sortant de l’ENA leur manque de formation médicale, biologique et écologique, eux au moins ont appris ce qu’est un virus. M. Salomon a complété ses études de médecin par un DES de médecine infectieuse et tropicale et un autre de santé publique.

Marianne accuse M. Salomon (p. 24) de n’avoir pas su « anticiper le crash sanitaire à venir.». Et d’avoir tenu « des discours lénifiants.» Ce n’est pourtant pas un énarque ! Eux au moins sont formés !

3 – Les causes du mal

On est en droit de s’interroger sur ce qui a pu ainsi paralyser une administration toute puissante ? Nous avons une école nationale présentée comme la meilleure au monde.

3.1 – La formation des hauts-fonctionnaires

Les hauts-fonctionnaires sont, en principe, formés dans l’École Nationale d’Administration (ENA). Pas tous, nous avons vu le cas de la Santé où les professeurs de médecine sont à la tête des ministères chargés de la santé et de ses sous-directions. Mais, rassurons nous, le chef de l’état et son premier ministre, ses ministres (finances notamment). Les énarques sont le haut-du-pavé !   

3.1.1 Préparation aux crises

La préparation aux crises semble être le nec-plus-ultra de leur formation. Ils semblent être bien préparés !  Pourtant, là, devant une micro-particule d’ARN et de protéines animées de mauvaises intentions, ils ont capitulé et vous connaissez la suite ! Sont-ils si bien préparés ?

3.1.2 Les préparations à la suppression …

Il est très difficile de connaître le programme exact de l’ENA. Mais, il y a des fuites. Un des trois petits singes a parlé ! En 2012 et 2015, un des exercices typiques était « la suppression d’un hôpital » ! L’enfer est pavé de bonnes intentions : nous avons eu l’enfer, arrivé à pied de la Chine ! A pied, en avion, en voiture !

3.1.3 La gestion de la crise sanitaire

Avec toutes ces sommités à la tête de notre état, pas de stratégie claire sinon des mensonges en cascade, des silences vis-à-vis des élus de l’opposition, des silences des élus de la majorité !

Il a fallu faire appel à un cabinet privé de stratégie.

3.2- Les insuffisances administratives

Un de mes amis m’a relaté son expérience comme chargé d’études de haut-niveau dans un ministère que je ne nommerais pas mais qui m’est cher. Ce ministère est solidement tenu par un corps d’état puissant, hiérarchisé avec ses Inspecteurs généraux, ses directeurs, ses Ingénieurs en chef et ingénieurs tout court, … Jamais un fonctionnaire ne fait une étude lui même, même s’il est compétent. Il s’abrite sous le parapluie d’un cabinet d’études privé commissionné et rétribué ! En cas de pépin (la trouille du fonctionnaire, Marianne p.25), on se rabat sur le coupable ! On tire la couverture, on ouvre le parapluie.

3.3 – Le recours à un bureau d’études privé

Le principe énoncé ci-dessus a été mis en œuvre par le premier ministre pour sa stratégie. Ce bureau semble compétent, il a tout intérêt à l’être. Toute stratégie implique un but (un objectif). C’est le déconfinement, en évitant une deuxième vague de l’épidémie.

Conclusion

Nous avons en France une administration pléthorique. Notre propos n’était pas la comparaison avec les pays voisins membres de l’Europe et particulièrement l’Allemagne. Nous consacrerons un autre article à ce sujet. Comme contribuables et citoyens, nous ne pouvons accepter que nos anciens aient été exposés à un danger mortel et que certains en soient morts. Nous ne pouvons accepter cette paralysie de l’appareil d’état ni les guerres picrocholines entre administrations supposées gérer le bien commun.    A quoi à servi le grand débat ? Du foutage de gu … !

La politique du parapluie et de la couverture tirée à soi doit cesser. Comme doit cesser la domination d’une caste puissante néolibérale sur notre pays. Nous ne nous réjouissons pas de la débâcle à la française et, pour le moment, il ne sera pas question de dissoudre quoi que ce soit. Comme doit cesser la désindustrialisation de la France ! L’affaire des masques et des test de dépistages nous a montré les ravages de l’appauvrissement industriel de notre pays.

Néanmoins, le jour d’après devra faire le bilan des responsabilités et de récompenser ceux qui ont essayé, contre l’inertie bureaucratique, de faire preuve d’initiatives qui ont profité au bien public.

De profondes réformes doivent être entreprises et le mensonge devra être déclaré hors-la-loi, passible de graves sanctions.

observatoire phare

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué

L’administrateur du site, webmestre
Docteur (non médecin) en sciences biologiques option écologie
Citoyen et contribuable de l’Hérault




Défense de notre souveraineté nationale

Introduction

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines.

Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public. L’hebdomadaire poursuit la dénonciation des mensonges et des blocages (n° du 1er mai).

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité. Il en est résulté une mauvaise appréciation de la progression de l’épidémie devenue pandémie. La petite grippe ou « gripette » a tué plus de 25.531 décès sur 132.000 cas dont 52.736 guérisons. Cette minimisation a cessé rapidement face à la vérité terrain. C’était une pandémie due à un virus inconnu provoquant une maladie émergente. Nous étions démunis ! Démunis au point de vue connaissances comme au point de vue infrastructures : il y avait pénurie. La ministre Agnès Buzyn quitte son ministère remplacée par Olivier Véran. La presse (Marianne n° 1207, 1er au 7 mai) cite Mme Buzyn (en date du 21 janvier 2021, p. 23) « Le risque d’introduction en France de cas liés à cet épisode est faible. » !!! Nous avons vu !

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le gros mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie. Ça continue avec la pénurie de tests de dépistage.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison. Il ne pouvait être question de fermer nos frontières alors qu’un parti d’opposition le préconisait !

La haute-technostructure qui prévaut en France est issue de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). Nous avons dénoncé ce

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens.

Une France forte non-seulement de son agriculture (pétrole « vert ») mais aussi de son industrie qui doit être réinstallée sans être une source de pollution.


Un Auditeur IHEDN 1985




Défense nationale et pandémies

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Défense nationale et pandémies

Combat contre une pandémie : relève-t-il de la Défense Nationale ?

L’esprit et la lettre des lois

La réponse est oui ! Incontestablement. Les textes fondateurs (ordonnance n° 59-147 du 7 janvier 1959, texte abrogé par l’ordonnance 2004-1374 du 20 décembre 2004), je cite le Général (2s) de gendarmerie Pierre Dolo « ont toujours privilégié une vision très large et intersectorielle de la Défense. » La défense  « a pour objet d’assurer en tous temps, en toutes circonstances et contre toutes les formes d’agression, la sécurité et l’intégrité du territoire ainsi que la vie de la population ».

Wikipedia propose une formulation qui va dans le même sens « La politique de défense a pour objet d’assurer l’intégrité du territoire et la protection de la population contre les agressions armées. Elle contribue à la lutte contre les autres menaces susceptibles de mettre en cause la sécurité nationale. Elle pourvoit au respect des alliances, des traités et des accords internationaux et participe, dans le cadre des traités européens en vigueur, à la politique européenne de sécurité et de défense commune ». Ce qui va dans le sens de la citation du Code de la Défense sur la notion de Sécurité Nationale. avec une vision extrêmement large de la question.

Conséquences

Il est indiscutable que « les autres menaces susceptibles de … » recouvre l’agression et la mise en danger de la Santé Publique par un virus tel que le SRAS-CoV-2, agent de la maladie COVID-19. Il est notoire que la première mesure de lutte contre la pandémie en France a été de réunir un Conseil de Défense (29/02/2020). Ce Conseil de défense ne comporte que des ministres, majoritairement des Énarques (ancien éléves de l’ENA).

Qui nous gouverne ?

Le chef de l’État

M. Emmanuel Macron est un Inspecteur des finances issu de l’ENA et qui a été banquier d’affaires. Il assure le pouvoir qualifié de jupitérien. Il est le Chef des armées mais ne leur fait pas confiance, il n’a jamais porté l’uniforme ni les armes de la France.

A suivre …


extrait bandeau IHEDN site institut

Jean PEUPLUS
Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Imprévoyance vs mauvaise gouvernance

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

« Non peripatos pro pedi ? » 

 Marche-t-il à pied ? Qui ? Le virus ? Oui, celui qui a déclenché une pandémie. Le premier cas est apparu à Wuhan officiellement le 16 novembre 2019.

Constat

Nous sommes entrés en pleine pandémie. Au début de janvier 2020, nous nous gaussions de ces chinois mangeurs de chauves-souris et de pangolins qui pataugeaient avec un virus inconnu. On ne savait pas que cette sale bébête allait venir jusqu’à nous et se répandre comme … la peste ! La Chine, c’est loin ! Des milliers de kilomètres, des terres à parcourir sur un certain chemin de la soie. Seulement, on a oublié que si le virus ne franchit pas naturellement plus de 2 m dans un postillon ou une gouttelette d’éternuat, un être humain contaminé peut prendre un avion. Le virus s’est installé dans un être à deux pattes capable de voyager très loin dans nos modernes monture que sont les avions, les trains, les automobiles. Et ainsi, ce chenapan de Corona-Virus ou SARS-CoV-2 a entrepris un long périple très tortueux. D’abord, il a fallu aller chercher, ce qui est normal, nos compatriotes bloqués en Chine, là où ils exerçaient leur métier d’expatriés ! Et on les a confinés 14 jours en deux voyages, en des lieux bien gardés et autrefois réservés à des vacances. Mais voilà, un malade venait de sauter plusieurs milliers de kilomètres aux frais de la Res Publica. Il y avait un ou plusieurs personnes contaminées.

Chez nos voisins italiens, il y avait des liens économiques très forts avec Wuhan et le temps que les autorités réagissent, il y avait des contaminations. A la fermeture des frontières, des petits malins ont atterri en Suisse, à Bâle plus exactement et on rallié Milan avec, dans leurs corps, le SARS-COV-2 ! On voit où en est actuellement l’Italie, saturée de malades, appelant au secours la Russie et ses Antonov géants. Le temps que les vols aériens cessent et les voyages de retour, la France et l’Espagne recevaient généreusement ce voyageur sans valises qui nous vaut une infestation majeure dans l’est de notre pays. Pédibus, à cheval, en voiture, en avion, SARS-Cov-2 a envahi l’Europe. La voie aérienne a largement contribué à l’extension de ce qui est devenu une pandémie majeure. Non, pas de peripatos pro-pedi ! La voie aérienne, mondialement !

La paralysie économique, rapide, de la Chine n’a pas été suffisamment analysée et aucune leçon n’a été tirée. Pourtant, des voix se sont élevées pour demander d’urgence la fermeture des frontières dès la mi-janvier. Comment a-ton répondu : fermer, confiner ? On s’est contenté de jalonner les jours en annonçant les étapes de la propagation du virus en France et dans le monde. Les ricanements on vite cessé mais il a fallu attendre le 17 mars 2020 pour qu’enfin, l’Union européenne se décide à décréter la fermeture des frontières de l’Europe ! Le confinement en France a débuté le 17 mars dernier ! Faute de pouvoir dépister les malade par pénurie de réactifs pour les tests, on a décidé de boucler tout le monde ! Les masques de protection se sont révélés introuvables ! Le gel hydro-alcoolique a dispararu des pharmacies. Le 16 mars 2020, le chef de l’Etat déclarait la guerre : nos sommes en guerre. Une drôle de guerre avec des soldats sans armes !

Les conséquences catastrophique pour notre pays

Les atermoiements, les coups de godille, les contradictions des uns et des autres ont eu pour conséquence la paralysie économique de notre pays ! On bricole à droite et à gauche, une ancienne ministre devenue candidate à la mairie de la capitale se met à parler ! Elle avait mis en garde dès le début de l’épidémie en Chine disait elle ! Cause toujours ! Et çà continue : manque de masques, manque de test pour dépister, rassemblements de supporters italiens pour un match de foot autorisés, etc.

Un grand rassemblement religieux dans l’est de la France essaime ses participants et le virus vers la région parisienne ! Le pays boit son activité économique paralysée : fermeture d’usines, fermetures de commerces, fermetures de marchés locaux dans les communes, au prétexte que quelques dans uns il n’y a pas eu respect des distances entre clients, etc. Une incohérence : on ferme les stations d’autoroutes, les conducteurs routiers sont privés de toilettes, de douches et de repas ; on ré-ouvrira en hâte quelques jours après !

La pénurie de masques est vite comblée dans les hôpitaux mais les soignants de ville, médecins, infirmiers.ères en manquent. Dans l’est, le mal empire, il faut faire installer un hôpital militaire de campagne équipé  en réanimation.

Cerise sur le gâteau : un éminent professeur de médecine de réputation internationale a observé qu’en Chine une molécule freinait l’évolution du virus : la chloroquine, plus connue pour ses qualités antipaludiques de longue dats (plus de 70 ans !). Il a obtenu des résultats dans son institut de Marseille. Il est victime d’une violente controverse de la part de ses collègues parisiens au prétexte qu’on manque de recul. Mal conseillé et incompétent en biologie, notre premier ministre décrète qu’il faut soigner les patients gravement atteints alors qu’au contraire, il faut attaquer la maladie au début !

Ici, à Montpellier, au CHRU, les essais cliniques sur cette molécule vont être continués. On n’a pas attendu le verdict négatif d’un quarteron de  mandarins parisiens ni l’appel désespéré du directeur des hôpitaux de Paris (APHP) qui voit arriver une situation de crise grave et la saturation de ses ressources ! Les ressources humaines en personnel soignant risquent de manquer !

Enfin, on apprend que des avions gros porteurs vont aller chercher en Chine les masques qui nous manquent ! Depuis combien de temps auraient-ils dûs être revenus avec leurs cargaisons ?

La chienlit, ça suffit !  Le monstre caricaturé ci-dessous ne doit pas avoir le dessus.

Un dangereux Corona-virus L'Agglorieuse
Un dangereux Corona-virus selon L’Agglorieuse

D’aprés le journal l’Agglorieuse n° 878 du 18 mars 2020

Père siffleur

Père Siffleur

Persiflez, persiflez, il en restera quelque chose

Ici on s'honore du titre de Citoyen




On a trouvé un complice receleur

Argos Panoptes

Nous observons et informons

Dans l’affaire du tueur assassin jihadiste de Nice, on a trouvé qui est le navire receleur qui a recueilli en mer le terroriste Brahim Issaoui et l’a amené le 20 septembre à Lampedusa. Il s’agit du navire allemand « Alan Kurdi », de l’ONG « See-Eye », le seul à avoir débarqué des naufragés ce jour là à Lampedusa. C’est un délit de complicité et de recel de malfaiteur !

Cliquez sur ce lien pour savoir.

On tient un complice !

Le veilleur et lanceur d’alerte

Nouvelle vérifiée et validée par la Webmestre. En colère et en deuil de nos compatriotes lâchement assassinés ; Conflans, Nice et les habitants de Vienne (Autriche).
Nous ne sommes pas inhumains mais prudents. Tout réfugié doit être filtré et sondé sur ses motivations et ses intentions réelles avant d’être admis chez nous. Nous avons le droit de nous protéger après avoir aidé et soigné ces naufragés volontaires.