La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».
Info
Les manieurs de godille non ! Ce sont des aveugles dans un tunnel bien noir, ils n’y voient rien malgré leurs conseillers et leurs conseils de défense sans personne qui sache ce qu’est l’esprit de défense … ?
L’esprit de défense, la résilience d’une population, autant de notions inconnues dans l’enseignement donné à l’École Nationale des Ânes (nouveau nom de l’ENA ?). On peut imaginer que notre Président soit isolé dans une tour d’ivoire ! 67 personnes composent son Cabinet dont un Directeur (DirCab), un Chef (CheCab) et un Chef d’Etat-Major particulier (CEMP: un vice-Amiral). Le reste est composé de Conseillers de Cabinet (chargés de quoi faire ?) et deux « sherpas ». Plus des Conseillers (tout court) chargés de « pôles ». Une sacrée concentration de matière grise ! Le site de la Présidence ne donne pas leur CV. S’agit-il de copains ? Sûr qu’ils ne doivent pas être payés avec des clopinettes ?
Ces aveugles se démènent dans un tunnel, c’est de l’agitation stérile. Savent-il ce qu’est la notion de surprise stratégique ? Peut être le marin le sait-il ? L’Amiral et ses adjoints (un général de brigade, un capitaine de vaisseau, un colonel, un commissaire en chef de 1e classe et 3 aides de camp, eux, doivent le savoir ? Sont-ils présents dans les Conseils de défense ? Ils doivent savoir ce qu’est l’esprit de défense, eux ? Sont-ils aveugles ? Nous avons l’espoir que les représentants de l’Armée la représentent dignement. Sont-ils écoutés et entendus ?
Du côté de la Primature (1er ministre) , il y a aussi un Cabinet bien étoffé ! Un chef de cabinet militaire, un général de division. Toutes ces têtes à casquette-képis sont-elles écoutées et entendues ?
Le résultat est mince, CoVid19 a repris du poil de la bête ! On parle d’un nouveau confinement ! J’ai en, comme mon nom l’indique, MARRE de ce cirque et de ses amuseurs grassement rémunérés ! De vrais Shadocks !
L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.
Argos panoptès
« Non peripatos pro pedi ? »
Marche-t-il à pied ? Qui ? Le virus ? Oui, celui qui a déclenché une pandémie. Le premier cas est apparu à Wuhan officiellement le 16 novembre 2019.
Constat
Nous sommes entrés en pleine pandémie. Au début de janvier 2020, nous nous gaussions de ces chinois mangeurs de chauves-souris et de pangolins qui pataugeaient avec un virus inconnu. On ne savait pas que cette sale bébête allait venir jusqu’à nous et se répandre comme … la peste ! La Chine, c’est loin ! Des milliers de kilomètres, des terres à parcourir sur un certain chemin de la soie. Seulement, on a oublié que si le virus ne franchit pas naturellement plus de 2 m dans un postillon ou une gouttelette d’éternuat, un être humain contaminé peut prendre un avion. Le virus s’est installé dans un être à deux pattes capable de voyager très loin dans nos modernes monture que sont les avions, les trains, les automobiles. Et ainsi, ce chenapan de Corona-Virus ou SARS-CoV-2 a entrepris un long périple très tortueux. D’abord, il a fallu aller chercher, ce qui est normal, nos compatriotes bloqués en Chine, là où ils exerçaient leur métier d’expatriés ! Et on les a confinés 14 jours en deux voyages, en des lieux bien gardés et autrefois réservés à des vacances. Mais voilà, un malade venait de sauter plusieurs milliers de kilomètres aux frais de la Res Publica. Il y avait un ou plusieurs personnes contaminées.
Chez nos voisins italiens, il y avait des liens économiques très forts avec Wuhan et le temps que les autorités réagissent, il y avait des contaminations. A la fermeture des frontières, des petits malins ont atterri en Suisse, à Bâle plus exactement et on rallié Milan avec, dans leurs corps, le SARS-COV-2 ! On voit où en est actuellement l’Italie, saturée de malades, appelant au secours la Russie et ses Antonov géants. Le temps que les vols aériens cessent et les voyages de retour, la France et l’Espagne recevaient généreusement ce voyageur sans valises qui nous vaut une infestation majeure dans l’est de notre pays. Pédibus, à cheval, en voiture, en avion, SARS-Cov-2 a envahi l’Europe. La voie aérienne a largement contribué à l’extension de ce qui est devenu une pandémie majeure. Non, pas de peripatos pro-pedi ! La voie aérienne, mondialement !
La paralysie économique, rapide, de la Chine n’a pas été suffisamment analysée et aucune leçon n’a été tirée. Pourtant, des voix se sont élevées pour demander d’urgence la fermeture des frontières dès la mi-janvier. Comment a-ton répondu : fermer, confiner ? On s’est contenté de jalonner les jours en annonçant les étapes de la propagation du virus en France et dans le monde. Les ricanements on vite cessé mais il a fallu attendre le 17 mars 2020 pour qu’enfin, l’Union européenne se décide à décréter la fermeture des frontières de l’Europe ! Le confinement en France a débuté le 17 mars dernier ! Faute de pouvoir dépister les malade par pénurie de réactifs pour les tests, on a décidé de boucler tout le monde ! Les masques de protection se sont révélés introuvables ! Le gel hydro-alcoolique a dispararu des pharmacies. Le 16 mars 2020, le chef de l’Etat déclarait la guerre : nos sommes en guerre. Une drôle de guerre avec des soldats sans armes !
Les conséquences catastrophique pour notre pays
Les atermoiements, les coups de godille, les contradictions des uns et des autres ont eu pour conséquence la paralysie économique de notre pays ! On bricole à droite et à gauche, une ancienne ministre devenue candidate à la mairie de la capitale se met à parler ! Elle avait mis en garde dès le début de l’épidémie en Chine disait elle ! Cause toujours ! Et çà continue : manque de masques, manque de test pour dépister, rassemblements de supporters italiens pour un match de foot autorisés, etc.
Un grand rassemblement religieux dans l’est de la France essaime ses participants et le virus vers la région parisienne ! Le pays boit son activité économique paralysée : fermeture d’usines, fermetures de commerces, fermetures de marchés locaux dans les communes, au prétexte que quelques dans uns il n’y a pas eu respect des distances entre clients, etc. Une incohérence : on ferme les stations d’autoroutes, les conducteurs routiers sont privés de toilettes, de douches et de repas ; on ré-ouvrira en hâte quelques jours après !
La pénurie de masques est vite comblée dans les hôpitaux mais les soignants de ville, médecins, infirmiers.ères en manquent. Dans l’est, le mal empire, il faut faire installer un hôpital militaire de campagne équipé en réanimation.
Cerise sur le gâteau : un éminent professeur de médecine de réputation internationale a observé qu’en Chine une molécule freinait l’évolution du virus : la chloroquine, plus connue pour ses qualités antipaludiques de longue dats (plus de 70 ans !). Il a obtenu des résultats dans son institut de Marseille. Il est victime d’une violente controverse de la part de ses collègues parisiens au prétexte qu’on manque de recul. Mal conseillé et incompétent en biologie, notre premier ministre décrète qu’il faut soigner les patients gravement atteints alors qu’au contraire, il faut attaquer la maladie au début !
Ici, à Montpellier, au CHRU, les essais cliniques sur cette molécule vont être continués. On n’a pas attendu le verdict négatif d’un quarteron de mandarins parisiens ni l’appel désespéré du directeur des hôpitaux de Paris (APHP) qui voit arriver une situation de crise grave et la saturation de ses ressources ! Les ressources humaines en personnel soignant risquent de manquer !
Enfin, on apprend que des avions gros porteurs vont aller chercher en Chine les masques qui nous manquent ! Depuis combien de temps auraient-ils dûs être revenus avec leurs cargaisons ?
La chienlit, ça suffit ! Le monstre caricaturé ci-dessous ne doit pas avoir le dessus.
D’aprés le journal l’Agglorieuse n° 878 du 18 mars 2020
Père Siffleur
Persiflez, persiflez, il en restera quelque chose
La fête à M. Macron
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
La fête à Macron
La fête du dieu Lupercus à Rome était « les Lupercales ». Des citoyens, en France, célébrent chaque samedi, la fête de la Macronie en enfilant des gilets jaunes. Nous n’empoierons pas de termes « étrangers » mais par analogie un néologisme bien français « Les Macronales ». Des voyous ont profité de ces fêtes populaires du samedi pour casser le bien d’autrui. Nous les désignons à la vindicte citoyenne. Un journaliste, François RUFFIN, auteur du livre « Ce pays que tu ne connais pas », fait du persiflage sur notre Président. Persiflez, persiflez, … il en restera toujours quelque chose. Voici ce qui est écrit, je cite :
pp. 43-44
« Le petit génie de l’élysée »,
« piéce maitresse dans le dispositif élyséen »,
« garçon d’un commerce délicieux avec un naturel désarmant »
« tout le monde loue les qualités : une intelligence maligne, une capacité de travail de bûcheron »,
du Nouvel Observateur l’« enfant prodige de l’élysée, doté d’un incroyable charisme »,
l’Express « Mozart à l’élysée »,
les Échos, le Figaro, le Monde, Challenges, … partout vous « posez avec vos mines pour catalogue des 3 Suisses : les traits réguliers, le nez droit, la peau lisse, la mâchoire carrée. »
Cette dithyrambe cache mal son ironie pour notre chef de l’état à qui est dû tout le respect. Pour l’auteur que nous citons « C’est physique. C’est viscéral. C’est très mal. … ». Oui mais, je dois avouer que si je ne partage pas les convictions politiques de l’auteur du livre précité, je n’en ai pas moins une aversion profonde dont la limite s’arrête à la considération dûe au chef de notre état. Cette aversion a commencé quand j’ai vu qui le suivait et se mettait en marche derrière lui, notamment à Montpellier et dans la Métropole. Les milieux que je fréquente ont la même opinion que moi : un chef qui ne sait pas commander et s’entoure de gens douteux qui ont provoqué une affaire dont la justice a eu à connaître et va encore avoir à connaître.
p. 57 :
L’auteur du livre fait une citation que j’ai du mal à comprendre. Elle est extraite d’une pièce qui aurait été écrite par notre jeune génie « Ainsi, nous pouvons décider ensemble que le cri du chien sera nommé hennissement et que tous les chiens de la terre vont se mettre à hennir » ! ? Je suis perplexe, je ne suis pas un chien qui hennit. Jupiter ne me fera jamais hennir, je ne suis pas un chien mais un retraité frustré, spolié d’une partie de revenus parce que cet homme qui plane aura décidé de faire des retraités une variable d’ajustement budgétaire. J’ai payé pour la retraite des autres, je ne veux pas payer pour assurer aux hauts-fonctionnaires des traitements et des retraités dorés.
M. François RUFFIN est un député « La France Insoumise » de la 1ère circonscription de La Somme. C’est un des 577 représentants élus au suffrage universel. Si ses prises de position dérangent ses adversaires politiques, ce qu’il dénonce comme privilèges, passe-droits et gabegies diverses est appuyé par des faits. Il n’a pas été encore poursuivi pour outrages au chef de l’État (ce délit n’en est plus un), le dit chef de l’État, avec tout le respect qui lui est dû, ne doit pas se sentir tout à fait à l’aise ! Les frappes sont dures et sans pitié ! Car ce sont des faits prouvés qui sont mis en exergue.
« Ce pays que tu ne connais pas », éditeur Les Arénes, Paris, 2019, est écrit par François RUFFIN, le titre tutoie mais il commence par une adresse à « Monsieur le Président ». Il a été à la rencontre du « peuple des ronds-points » ; il cite Montpellier où il est allé à la fin de 2018. Il raconte l’histoire de Marie dont il accuse le Président de l’avoir fait pleurer. C’est un peuple que Monsieur le Président ne connaît pas ! Elle dira « Je suis blessée par son arrogance. Au moins les autres, ils avaient un côté humain. Là j’ai l’impression d’avoir une espèce de robot, pré-programmé. Je ne comprends pas son but : il y a des choses belles à faire. Pourquoi on va toujours vers l’intérêt financier, vers l’argent ? ». L’argent dont Monsieur le Président semble n’avoir jamais manqué ?
Le premier chapitre (page 21) « Ministre : aux frais de la République » explique, faits à l’appui (jamais démentis), comment deux anciens élèves du même lycée privé d’Amiens (à 2 ans d’intervalle) ont eu deux destinées différentes. La fin explique comment le futur président investit les locaux du Ministère des Finances (Bercy, 26/08/2014). Il va utiliser ce haut-poste à préparer sa future élection, payé « 9.940 » €(uros/mois) : « … vous avez trouvé le temps de poser pour L’Express, Le point, Le Monde, Paris Match, de donner des entretiens au Monde, au Figaro, à France 2, de vous produire en shows à Amiens, à Bercy (pas encore le Palais des Sports, le Ministère), à la Mutualité, … ». Il a pu lancer le mouvement « En Marche », « … de jouer au chat et à la souris avec Valls et Hollande … ». Il a utilisé dans son intérêt personnel « Le tout, et c’est là le plus grand scandale, aux frais de la République ![…] En 2016, pendant les huit premiers mois, les crédits de l’année entière ont été consommés en frais de représentation ! ». Christian Eckert, « voisin de bureau à Bercy » (Secrétaire d’Etat au Budget) s’est interrogé dans un livre, semble-t-il, resté dans la poussière. Il s’interrogeait « Je me demande, avec toutes ses rencontres, ses réunions privées, ses voyages escortés par les médias, comment Macron [sic !] a trouvé le temps et les moyens pour être ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique. […]. ».
Les accusations justifiées de M. Eckert, homme réputé intègre (il est élu local, agrégé de mathématiques, n’a pas fait l’ENA), nous font regretter que le crime de forfaiture ait été supprimé du Code pénal. Se servir des moyens de l’État à des fins personnelles, trahir la confiance du chef de l’État d’alors, etc. pourraient être appréciés comme forfaiture (trahison du suzerain). Et pendant ce temps là, des salariés « se noyaient » et M. Macron passait son temps à séduire, séduire les gens de pouvoir, financer sa campagne présidentielle, avant de démissionner de son poste ministèriel. Au lieu de s’occuper des ouvriers du Grésivaudan.
Faut-il en dire plus ! Le dépensocrate bien payé (119.280 €/an) s’est servi, en plus, dans les caisses de l’État pour caresser dans le sens du poil les gens qu’il voulait séduire ; comme il s’est servi, Président, dans les pensions des retraités pour alimenter la CSG, une taxe inique, inacceptable quand on a cotisé toute sa vie professionnelle sans savoir qu’on « payait la retraite des autres et qu’on ne capitalisait pas pour l’avenir », comme vous l’avez dit Monsieur MACRON ! Honte à vous, je rejoins les « Gilets jaunes », je dénonce violemment les casseurs, les « black blocks » dont vous vous montrez incapable avec vos Ministres, de prévenir et de réprimer les casses, malgré les aversissement des services de renseignement. Certains vous ont accusé de vouloir faire endosser par l’extrême droite ce que des casseurs d’extrême gauche ont commis.
Le Gaulois Insoumis, que je suis, sonne du carnyx, la trompe de guerre de nos ancêtres. Je voudrais prendre parti contre vous (élu avec une abstention record), contre vos députés godillots. Je n’ai pas voté pour vous.
Lors de la visite à Montpellier de François RUFFIN, j’étais à La Carmagnole. Le nom d’une chanson qui promettait aux aristocrates un sort physique infâmants : les aristocrates à la lanterne : une corde attachée à la lanterne comme gibet.
Je fais partie, je l’espère, des gens civilisés : des démocrates issus du peuple. L’Association des Contribuables de l’Hérault (ACH34 dont j’ai été membre actif) avait proposé en 2002 de remplacer « aristocrates » par « dépensocrates ». Nous proposons de remplacer la corde du gibet par le vote du suffrage universel aux prochaines élections ! Le couperet du suffrage universel, sans abstentions, avec vote obligatoire sanctionné, pour virer les dépensocrates grassement payés qui sont incapables de gouverner, qui divisent les Français et vivent sur le « dos de la princesse », faisant passer leur intérêt personnel avant l’intérêt général. Ça suffit ! On comprend le rejet du Référendum d’Initiative Citoyenne.
A Montpellier-la-Surdouée, le Maire et Président de la Métropole a fait allégeance à Monsieur MACRON et à son mouvement. Nous avons pu apprécier le niveau atteint par les Grands Projets Inutiles et Coûteux. Depuis plusieurs années, l’ACH34 s’est battue contre les dépensocrates de tous poils. Nous proposons de relancer cette association entrée en léthargie, c’est possible !
Nous avons longtemps déploré la muselière dont on a doté la Cour des Comptes. La Cour et ses cours régionales examinent, analysent, font des remontrances mais rares sont les poursuites. Nous attendons avec intérêt l’examen des dépenses que M. Christian ECKERT reprochait à son voisin ministre. Peuh ! Un secrétaire d’état oser s’attaquer un ministre, de surcroît inspecteur général des finances ! Qui oserait ?