Le botox et la fabrique du mensonge Poutine

Un homme dangereux

Gospodin Poutine, Vladimir Vladimirovitch de ses prénoms, est né en 1952, le 7 octobre plus pécisément. Il a fait 70 ans le 7 octobre dernier. Un triste anniversaire pour ce septuagénaire au visage lisse de bébé ! Pourtant, il a de gros soucis à se faire et on peut remarquer la calvitie qui commence à éclaircir ses cheveux qui ne tombent plus sur son front. Son regard de bête fauve des steppes, un regard de loup sibèrien, attire le nôtre qui ne remarque plus l’absence de rides, aucune patte d’oie au coin des yeux ! Pardi, c’est le botox. « Il est botoxé à fond » nous dit Jean-François Colossimo dans son interview. Un mensonge de plus à destination du peuple russe et des quelques idiots utiles occidentaux. Hélas, il y en a, des deux sexes !, inconscients et mal informés ou conscients et achetés (les plus dangereux. Ils propagent une fausse image du régime dictatorial de cet autocrate qui devrait méditer les chefs d’accusation du procès des responsables nazis à Nurenberg (protocole de Londres du 12 décembre 1944) : 

  1. Conjuration contre la paix (il a volontairement envahi un pays indépendant membre de l’ONU) ;
  2. Crimes contre la paix (il a volontairement joué sur les mots en parlant d’opération spéciale au lieu de guerre) ;
  3. Crimes contre les lois de la guerre (son armée ne respecte aucune des lois de la guerre) ;
  4. Crimes contre l’humanité (l’armée russe a volontairement détruit des sites civils dont des hôpitaux et des immeubles civils ).

Poutine a volontairement usurpé le pouvoir en Russie, nous répétons que c’est un voleur, un criminel, un mafieux entouré de mafieux ! Il pratique de manière éhontée le mensonge vis-à-vis de son peuple. Le botox fait partie de la panoplie destinée à faire croire au peuple russe qu’il est en pleine forme alors qu’il cache son véritable état de santé, celui d’un aliéné fou à lier. Il a hérité de l’URSS du droit de véto de la Russie à l’ONU et possède un arsenal nucléaire dont il nous menace. Ment-il ? Oui, il est le roi de la maskirovka, l’art du mensonge qu’il a appris au KGB (il est guebiste !).

La fabrique du mensonge est en Russie

Radio Moscou ment, Radio Moscou ment, Radio Moscou ment tout le temps ! (sur l’air de la cucaracha). Une vidéo montre comment la Russie a, de manière criminelle, détruit la ville de Marioupol, sa maternité et assassiné des civils innocents. De fausses informations, fabriquées par les services informationnels du Kremlin ! présentant la maternité comme occupée par des soldats ukrainiens ! Faux, faux, faux ! ! !

La corruption règne en Russie ! Cet autocrate, Vladimir Vladimirovitch Poutine est un voleur, un escroc, un mafieux !

Le 11 décembre 2022, la chaîne La Cinq, a diffusé le film La fabrique du mensonge. On y voit l’ancien membre du KGB qui retrouve les ors du Kremlin et va cadenasser son opposition ! A partir de 2012, il va mettre la Russie à sa botte ! Il est persuadé que l’opposition qui secoue son pouvoir ! Il prépare une guerre hybride, une guerre à plusieurs aspects !

Sa dernière agression est l’opération speciale contre l’Ukraine. Lorsque son homme de paille Voctor Ianoukovitch (3 ans au pouvoir) s’en va. A Moscou, on perd un allié et un rideau sabat sur la Crimée : des petits hommes verts sans insignes militaires envahissent la Crimée. La Russie a envahi le territoire souverain et prétexte que l’Ukraine est gouvenée par des nazis qui persécutent la population russophone ! ! ! Une sacrée invention que des idiots utiles vont relayer et soutenir.

Une énorme machine de propagande s’est mise en place et distille ses fausses informations. En février, 2022 la Russie envahit l’Ukraine contientale et se heurte au peuple ukrainien libre. Nous connaissons la suite. Après la Syrie où il triomphe, de vetos russes en vetos russes au Conseil de Scurité de l’ONU. Le monstre froid Poutine ex KGB pousse ses pions contre l’Occident. Cet Occident qui refuse d’entrer en guerre contre l’utilisation des armes chimiques en Syrie.

En Ukraine, çà tourne mal pour les Russes qui reculent. Ils se retranchent deriière le Dniepr, ce fleuve imposant, un grand obstacle large de 3 km et demi, profond de 12 mètres, un vrai obstacle antichar. Cependant, la rive droite (rive occidentale) est très abrupte (falaise de 30 m par endroits), occupée par les troupes ukrainiennnes. On a pu observer que les Russes fortifient la rive gauche à quelques kiloimètres du fleuve. Pourquoi s’éloignent-ils du fleuve ?

Les carottes sont cuites en Crimée et ailleurs

La prise de Kerson sur le Dniepr, par les Ukrainiens (Slava Ukraïnia), vise maintenant Mélitopol et la porte de la Crimée avec l’isthme de Perekop. Un enveloppement par le Nord. A l’est, la Crimée communique maintenant par le pont jeté sur le détroit de Kertch avec un pont construit par les Russes, partiellement et mystérieusement détruit.

Objectif Crimée enveloppée

La tactique des armées ukrainiennes est de provoquer le moins de destructions possibles sur les villes ukrainiennes occupées par les Russes. Ils enveloppent les armées russes, les coupant de leurs approvisionnements. Le Kremlin tient les Russes en mains par le mensonge, la propaganda(staffel). La ligne Kerson-Mélitopol doit permettre de fermer l’accès nord de la Crimée par l’isthme de Pérekop, un couloir large de 7 à 8 km. Le pont de Kertch, qui relie la Crimée à la pénisule de Taman est très endommagé ; seul reste l’accès par la mer où domine la marine russe. A suivre !

Les lieux traditionnels de recrutement militaire

Loin de Moscou, aux fins fonds de la Sibérie, près dle Mongolie, s’étend la région, la province-république de Bouriatie. Plus de cent nationalités et groupes ethniques différents sont présents en Bouriatie, parmi lesquels des Russes (69,9 %), des Bouriates (24 %), des Ukrainiens (2,2 %), des Tatars (1 %) et des Biélorusses (0,5 %) (statistiques du recensement de 1999). Les Bouriates ont depuis longtemps fourni les armées soviétiques et l’armée russe actuelle en conscrits. Ces conscrits, quand ils reviennent dans des cercueils, nuisent la propagande du Kremlin et commencent à indigner des mères de familles bouriates ! Les yeux s’ouvrent lentement d’autant plus que les soldes promises aux parents des soldats défunts font défaut.

L’infiltration en Afrique

Pour ennuyer la France, la Russie s’attaque à différents pays où les agents russes trouvent des failles à exploiter .

Madagascar

A Madagascar, le coup à foiré.

La France

La communauté des gilets jaunes sera approchée mais leur coup a foiré. Néanmoins, le pouvoir russe détient une équipe d’influences, des idiots utiles.

Le Mali

Au Mali, le coup a marché. Les militaires maliens ont mis la France en demeure de cesser son assistance. Fin de l’opération Barkhane. Les miliciens de Wagner-Euvgueni Prigogyne remplacent les troupes françaises et tentent de faire endosser un massacre. Une logique de prédation ! Un écosystème d’information.

Organisation du Traité e Sécurité Collective (OTSC)

L’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) (en russe : Организация Договора о коллективной безопасности (ОДКБ)) est une organisation à vocation politico-militaire fondée le 7 octobre 2002, dont les objectifs affichés sont « le renforcement de la paix, internationale et régionale », la sécurité et la stabilité, la protection sur une base collective d’indépendance, l’intégrité territoriale et la souveraineté des États membres. Ces objectifs doivent être atteint principalement par une coopération étroite dans les domaines de politique étrangère, des affaires militaires, de la recherche de nouvelles technologies militaires et de la lutte contre les menaces transfrontalières des terroristes et extrémistes. Elle regroupe l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Russie et le Tadjikistan. Dans les faits, la coalition est largement dominée par la Russie, du moins jusqu’en 2022 et la forte mobilisation des forces russes en Ukraine3.

La dernière réunion de l’OTSC a montré un Poutine isolé et peu soutenu. Ostensiblement, les autres présidents s’écartent de lui et son principal allié le président bélarus Alexandre Loukatchenko prononce des paroles surprenantes ! Défaitiste ? Non, réaliste !

Poutine ne doit pas gagner !

Keitel a été pendu, le visage est tuméfié par un choc contre la trappe du gibet.

Poutine ne doit pas gagner ! Il faut arrêter le conflit et sortir Poutine. Nous ne souhaitons pas humilier la Russie, il faut vider Poutine en lui laissant une porte de sortie. Mais alors, qui va payer les milliards que va coûter la reconstruction des dégâts causés à l’Ukraine ? Pendre Poutine ne réglera pas le réglement des destructions mais quel soulagement d’avoir débarassé le monde d’un dangereux autocrate. La corde des exécutions de Nurenberg nous ont débarassé des vrais nazis. Il faut cravater Poutine et sa mafia d’exploiteurs du peuple russe trompé. Les portes des prisons et des camps de travail doivent s’ouvrir et les Russes exilés doivent revenir.

Puisse le sort misérable des hauts-responsables nazi inspirer les dirigeants russes fauteurs de guerre.

Heureusement pour Poutine : la peine de mort n’existe plus en Europe et dans les pays civilisés.




La primauté de la loi républicaine sur toute autre

Emblême de la République

Les armoiries de la République

Nos fondamentaux

La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».

 La loi de la République s’applique à toutes les personnes qui habitent sur le sol de la République (Consitution, chartes, décrets, arrêtés, …). Nul ne saurait ignorer la Loi.

La République est laïque, elle reconnait à chacun le respect de ses convictions religieuses. Cependant, celles-ci font partie de la sphère privée. Aucune religion ne saurait prétendre que sa loi est au-dessus de celle de la République.

Ceux qui prétendent le contraire n’ont rien à faire dans notre pays et doivent le quitter pour aller exercer leurs pratiques religieuse AILLEURS, où bon leur semblera mais de manière pacifique.

L’expression de croyances religieuses par des signes religieux trop visibles, ostensibles, n’est pas souhaitable en public. La discrétion s’impose, notamment pour celles qui ne font pas partie des coutumes héritées de notre histoire et de nos racines historiques.

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un volontaire de la Réserve Citoyenne de  la Gendarmerie Nationale

Logo IHEDN




Le point sur la laïcité

Problèmatique

« Rares sont les mots à la fois aussi utilisés et aussi mal compris que celui de laïcité » dit Patrick Weil dans un article publié dans l’hebdomadaire « Marianne » n° 1094 du 2 au 8 mars 2018 (pages 38-40). L’auteur cite le rapport du préfet Gilles Clavreul censé améliorer la coordination des administrations publiques en matière de laïcité.

Nous donnerons ici les idées forces exprimées par l’hebdomadaire Marianne. Selon le site de l’hebdomadaire « Le Point » « Les manifestations d’affirmation identitaire inspirées par la religion se multiplient et se diversifient ». Il ajoute que « ces manifestations et les perturbations qu’elles entraînent sont le fait, dans la grande majorité des cas, d’un islam rigoriste voire radical, mais concernent également catholiques intégristes, mouvements évangéliques et juifs orthodoxes ».

Laïcité et loi de 1905

« La loi de 1905 a prévu des peines de prison pour toute personne qui forcerait quelqu’un à exercer un culte ou qui voudrait l’en empêcher.» L’auteur défend cette disposition de la loi qui semble avoir été oubliée par notre Président de la République qui prétend que cette loi ne s’appliquait pas aux musulmans au prétexte qu’il n’y en avait pas en France en 1905, ce qui est faux ! Les gouvernements se permettent de suspendre l’applications des lois ! (cas de l’Algérie jusqu’à son indépendance).

Le législateur de 1905 avait rédigé une loi de portée générale, universelle. Ce que n’ont pas compris ceux qui font une mauvaise querelle à la notion de laïcité.

Les mauvais débats

Il y a de nombreux débats sur le principe de la laïcité qui proviennent de la projection des différences culturelles, du degré de religiosité ou de discriminations voire de racisme. Tout cela n’a rien a voir avec la laïcité ! Il y a un abîme de méconnaissance sur la laïcité. La laïcité n’est pas un glaive contre les musulmans, c’est une garantie pour eux d’exercer en toute liberté une religion qui respecte nos lois républicaines.

Les bonnes notions

La laïcité est d’abord un régime juridique fondé sur la liberté de conscience laquelle existe dans toutes les grandes démocraties libérales. La manière dont cette liberté est organisée est particulière à la France. La France respecte à égalité le croyant et le non-croyant. L’État est neutre, disposition propre à la France.

La loi de 1905 a prévu des peines de prison pour toute personne qui forcerait une autre à exercer un culte ou qui voudrait l’en empêcher ! M. Clavreuil méconnait cette disposition de la loi, pas plus que les Ministres qu’il a servis !

Pour les élèves de nos établissements, il faut leur apprendre à débattre sur le fond des choses, sur le terrain des idées.

Réfléchir à la laïcité dans l’histoire de notre pays permet de travailler sur l’héritage de la tolérance et du respect des autres qui vient de notre passé. La promesse républicaine de respect des cultes et des consciences est le terrai sur lequel doivent travailler nos enseignants.

En conclusion

Se battre pour l’esprit laïc est se battre pour défendre la garantie de la liberté de conscience et de culte. Les gens qui vivent à travers leur affiliation idéologique et qui se sentent meurtris quand on remet en question leurs idées doivent admettre que leur foi ne peut s’imposer par le meurtre et la vocifération de la grandeur de leur dieu. Ils doivent respecter la loi de notre république, se soumettre ou s’en aller. Se soumettre c’est exercer sa foi en toute quiétude et discrétion.


Un Auditeur IHEDN 1985




Samuel Patty : un an déjà

N’oublions pas !

Un an déjà, un professeur mal défendu par sa hiérarchie, victime de mensonges d’élèves et de parents d’élèves, victime d’un tueur islamiste (Abdoullakh Anzorov, réfugié tchetchène ayant bénéficié de l’accueil généreux de la France), Victime de la haine d’un incitateur islamiste Abdelhakim Sefrioui, mis en examen pour « complicité d’assassinat » du professeur Samuel Paty, assassiné à Conflans-Sainte-Honorine.

.Cet individu n’a rien à faire dans notre pays. Il faut le juger, le condamner, lui faire purger sa peine et le réexpédier au Maroc, son pays d’origine ! Horj !!! Barra !!! Dehors !!! Fous le camp, tu n’as rien à faire dans notre pays où aucune religion ne peut prétendre imposer une quelconque loi divine mais où toute personne peut exercer son culte et sa foi dans sa sphère privée, dans le respect de la liberté des autres. La laïcité s’oppose à ce qu’une quelconque religion ne veuille exercer un quelconque pouvoir politique comme prétend le faire l’islamisme radical.

Honte à ceux qui n’ont pas su soutenir un professeur irréprochable ! Ils se reconnaîtront, nous les reconnaitrons !


Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines




Anne ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?

Persiflons, c’est tout ce qui nous reste (suite)

Lors de l’ouverture de la vaccination, nous seniors âgés de plus de 75 ans avons eu l’immense espoir d’être rapidement vaccinés ! Hélas, dans un souci de se faire bien voir, nos Enarquocrates ont poussé un Cocorico. Trés vite, il s’est avèré que la maigre livraison de vaccins Pfizer-BioNTech a été vite distribuée. Y’a pus !

Le grand chef Pattex (mon coiffeur l’appelle ainsi), entouré de ses assistants (Véran, Darmanin et cie) n’est toujours pas avare en paroles ! Il a parlé hier soir 5 février ! Ma fidèle compagne et épouse Bonnemine et moi avons écouté, oreilles grandes ouvertes. Nous, gaulois Arécomiques, pas si comiques que ça, avons entendu que demain, nous ouvrons de nouveau les vaccinations.

Ce matin, au saut du lit, j’ouvre mon ordinateur et je constate que pour les centres de vaccination montpellièrains, rien, nada ! Au contraire, les prévisions de vaccinations à 28 jours ont baissé ! Hier, elle étaient de 5.658, ce matin, j’ai relevé 5.477 ! Soit une baisse de 181 vaccins prévus ! Le copain Doctolib baisse dans ses prévisions alors qu’il aurait dû en ouvrir ! Sont-ce des mensonges, des couenneries, des fakes-news ?

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Nos braves Shadoks auraient-ils-raison ?

Faut-il à la fête des Paihasses de nos bons voisins de Cournonterral inviter nos gouvernants à une séance supplémentaire de plumes et goudron ? Les Gaulois Arécomiques sont à cran, y compris les Tectosages !

Assez de paroles, nous en avons assez, nous n’en pouvons plus !

Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins ! Des vaccins !

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Un citoyen-biologiste très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen




A propos du fanatisme


Préambule

La Liberté guidant le Peuple. Nul ne peut prétendre imposer sa religion aux autres, par la force. Tous ont la liberté de pratique leur culte sans que celà ne gêne les autres. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. Nul ne peut voir sa loi religieuse s’imposer à celle de la République française. C’est le principe de laïcité. Nul n’est obligé de vivre en France si celà ne lui convient pas.

Avertissement

Nous ne citerons pas les sources récentes sur l’Islam et le fanatisme de crainte de mettre en danger les islamologues dont nous avons étudié les thèses récentes. Le hanbalisme est, heureusement, bien connu de l’actuel Directeur de Cabinet du Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, j’ai nommé le Préfet Pierre de Bousquet de Florian. Les faits que nous dénonçons touchent notre sécurité nationale et notre Défense Nationale. Je suis un ancien auditeur de l’Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale. Notre pays est en danger par l’action des fanatiques salafistes. Nous avons utilisé plusieurs livres récents (voir bibliographie).


Introduction

Nous sommes victimes du fanatisme au nom d’une religion, au nom de l’Islam, aux cris d’« Allah akbar » ! Le fanatisme est un mal qui ronge nos sociétés modernes alors que nous pouvions penser que notre époque si rationnelle avait éradiqué cette attitude irrationnelle qui porte une grave atteinte aux droits humain les plus élémentaires. Un fanatique (islamiste ou autre) peut tuer et/ou sacrifier sa vie pour faire triompher sa cause et/ou sa doctrine délétère. Le fanatique se moque de la démocratie, seule compte SA doctrine totalitaire.

1 – Signification et historique

1.1- Etymologie

Le mot fanatisme dérive de fanum, qui signifie « temple » en latin. Il désigne donc au départ une attitude religieuse, mais avec une notion d’excès qui peut aller jusqu’au meurtre. Le fanatique s’arroge le droit d’assassiner ceux qu’il juge contraires à sa conception de la religion qu’il professe. Il ne reconnait pas les lois du pays où il s’est installé.

1.2 – Les lumières historiques et contemporaines

Dans notre littérature, François Marie Arouet (dit Voltaire) dénonce vigoureusement cette conception totalitaire qui a abouti dans le passé aux pires exactions comme le massacre de la Saint-Barthélémy. Il dénonce ceux qui le 25 août 1572, « les bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, […] leurs concitoyens qui n’allaient pas à la messe. Ce sont les guerres de religion du XVIe siècle, dires-vous ? Hélas, la lumière n’inonde pas le monde. La récente agression du territoire Arménien du Haut-Karabagh pas les armées de l’Azerbaïdjan ont donné lieu à des scènes incroyables de sévices azéris destinés à faire fuir les arméniens en terrorisant les habitants. Ce matin, 21 décembre 2020, la radio Europe-1 fait état d’un vieillard refusant de quitter sa maison, torturé puis décapité, sa tête photographiée posés sur la carcasse d’un cochon ! Des crimes de jihadistes ? Ce n’est plus de l’histoire mais des évènements contemporains (les combats ont éclaté le 27 septembre 2020 !) . Ecœurant ! Ignoble !
L’actualité bruit des échos de l’élection de Miss France. Les réseaux sociaux s’enflamment à cause de la 1ère dauphine qui s’appelle April Benayoun. Pensez-donc, on a élu une israélite, Miss Provence ! Qui sont « les fripons » qui sont derrière ceux qui utilisent les réseaux sociaux pour salir une belle jeune femme ? ! Cette jeune femme a fait état de des racines israéliennes de son père ! Voltaire employait le terme de fripons !

1.3 – Voltaire et nos fripons

Voltaire ne connaissait pas l’État islamique (DAECH) ni les salafistes. De nos jours, on ne dit plus fripons ! On utilise le terme d’habiles manipulateurs de marionnettes qui font marcher les fanatiques à leur profit. La grille de lecture mise au point par Voltaire s’applique encore de nos jours avec une actualité qui ne se dément pas. Les mots employés par le grand philosophe sont « Fièvre », « peste des âmes », « maladie épidémique », « accès de rage » qui « gangrène le cerveau ». Il nous faut corriger l’article de Wikipédia cité ci-dessus dans notre introduction. Cet article ne met en cause que le fanatisme religieux chrétien. Il convient de lui ajouter le fanatisme religieux islamique, celui qui, partant des Frères musulmans, aboutit au salafisme moderne. Les débordements sont mondiaux comme le montre l’article du Monde Diplomatique sur le Nigéria.
La question se pose de savoir qui sont les fripons manipulateurs qui mettent les poignards (couteaux de cuisine) ? Sont-ils des états, des individus qui favorisent les organisations internationale, de puissantes entreprises collectives capables de planifier des actions complexes ? Voltaire connaissait la secte des Haschichins (qui donnera assassins). Le Vieux-de-la-Montagne a fait des émules modernes qui font danser et marcher des imbéciles en leur promettant les joies du Paradis (une éternité de plaisirs sexuels) et les envoient assassiner ceux qu’ils désignent. Il utilisent des jeunes paumés, des caïds de banlieue, des réfugiés, … comme le montrent les récents assassinats terroristes (Samuel Paty, attentat de Nice dans une église, …). Un récent séminaire de l’Abbé Fabrice Loiseau (23 mars 2017) renferme des alertes qui ont malheureusement été ignorées. Peuh ! Encore un catho qui gueule sa haine de l’islam ? Non, un chrétien, dans un état laïque, qui prend la défense des musulmans traditionnels épris de paix, des chrétiens victimes, en France et ailleurs ?) du fanatisme islamique. Il cite les musulmans sécularisés respectueux des lois républicaines et les avertissements qu’ils nous adressent. Les fripons sont nommés, ils manipulent nos territoires perdus de la République ‘(ZEP, quartiers périohériques, … le Quatar, l’Arabie saoudite, les débris d’Al Quaeda, de Daech, AQMI, Boko Haram, …). Les librairies islamiques, les échoppes des marchés, les mosquées salafistes, … déversent leurs messages de fanatisme à porté des paumés. Les réseaux sociaux aussi déversent aussi leurs tombereaux de haine, de fanatisme islamique.

2 – Le fanatisme islamique

Le fanatisme conduit au crime, à l’assassinat terroriste. Pourquoi ? Comment ? Les criminels ne sont pas des fous irresponsables comme voudraient nous le faire croire certains médias ou certains responsables politiques. L’approche psychanalytique du fanatisme et de ses crimes est fausse. Elle s’est largement, depuis le XVIIIe siècle, largement perfectionnée, complété par des études sociologiques. On voit apparaître à côté de névroses individuelles, les causes sociales (humiliations géopolitiques importées de nations humiliées, chômage des banlieues et des quartier, …).

2.1 – La criminalité du fanatisme

Depuis notre cher Voltaire, de nombreux travaux utiles, essentiels, expliquent la psychologie des terroristes, des processus tortueux qui amènent un individu ou un groupe, à basculer dans la violence. Les récents attentats et les procès qui ont eu lieu montrent au départ le rôle néfaste des médias qui commencent par traiter le terroriste de loup solitaire puis d’aliéné. Les enquêtes de police exploitent les téléphones portables (ils ont les moyens ce craquer les codes les mieux cryptés !). On voit apparaître des réseaux de complices, voire de sympathisants plus ou moins proches, un morceau d’une 5e colonne installée dans notre pays.

2.2 – La 5e colonne terroriste

Le jeune terroriste, Brahim Aouissaoui (un Tunisien de 21 ans), parti de Djerba (Tunisie) a été motivé via un téléphone portable par un manipulateur logé au Moyen-Orient, un débris actif de DAECH. Il a été financé pour payer son passage sur un zodiac de passeurs vers Lampedusa, comme réfugié économique. Le navire allemand de Sea Eye « Alan Kurdi », un receleur de migrants, l’a opportunément recueilli et débarqué en Italie. Il a bénéficié du laxisme des autorités italiennes et a pu gagner le continent, remonté la péninsule italienne, franchi la frontière française et dormi à Nice près du lieu de son forfait ! Il n’y a pas eu de « Patriotic School » pour éplucher son CV et ses motivations ! Les frontières de la France sont largement ouvertes ! Il a tué trois personnes innocentes dont une décapitée ! Qui est responsable dans la chaîne de responsabilités dont les maillons sont malades, une raquette de tennis trouée ?

2.3 – Ibn Taymiyya : le moyen âge contemporain ?

2.3.1 – Un auteur rigoriste

Que vient faire cet imam irakien ? Ibn Taymiyya est né en 1263 à Harran (Turquie actuelle) et mort en 1328 à Damas (Syrie actuelle). Ce théologien et jurisconsulte du XIIIe siècle appartient au mahdab hanbalite, une école juridique rigoriste. Un islamologue chrétien, Adrien Candiard, cite sa fatwa condamnant à mort tout musulman qui « continuerait à échanger des oeufs de Pâque avec ses voisins chrétiens ou les inviterait à dîner à cette occasion ». Il cite un émule salafiste de l’imam moyennâgeux qui, à Glasgow (Ecosse) assassine un épicier musulman d’origine pakistanaise qui avait posté sur Facebook un message de vœux à l’occasion de Pâques ! Les salafistes sont les héritiers volontaristes du penseur du XIIIe siècle ! Les pakistanais sont, de plus, très dangereux !

2.3.2 – Une théologie hanbalite

La fatwa d’Ibn Taymiyya se fonde sur « une théologie, un discours raisonné sur Dieu, en l’occurrence la théologie de l’école hanbalite, à laquelle Ibn Taymiyya appartient » (citation Adrien Candiard). L’analyse du hanbalisme aboutit au concept paradoxal : le pieux agnosticisme.
Ce concept est celui d’une version de l’Islam d’où Dieu, selon le Coran (42, 11) est impossible à saisir du fait de son absolue transcendance qui condamne les musulmans à ne pas le connaître ! Mais les croyants ont quelque chose de lui, sa volonté exprimée à travers ce livre.
C’est le paradoxe qui s’oppose radicalement au christianisme et le combat de nos jours au prétexte que faire comme les chrétiens pour un musulman, c’est devenir chrétien, c’est apostasier l’Islam, cesser d’être musulman, un crime puni de mort ! Une simple courtoisie devient un crime puni de mort ! Comme le fait de caricaturer le prophète ? La religion devient idolâtrie au nom d’une théologie entre autres, dont le fanatique veut à toutes forces et envers et contre nos lois, contre la laïcité, le vivre ensemble, nous imposer son fanatisme mortifère !
Hélas, un certain nombre de musulmans nouvelle vague existent et s’opposent aux autres musulmans traditionalistes, ceux qui ne demandent qu’à vivre en paix dans le respect de nos lois. Les musulmans dits traditionnalistes sont ceux issus des pays de l’ancien empire ottoman qui a été gouverné par un califat disparu et qui avait à gérer la cohabitation de nombreux peuples et cultures différentes. On désigne cet islam en y accolant l’adjectif impérial. Il s’agit d’un islam du juste milieu qui a permis de gouverner l’empire ottoman.

2.3.3 – Le moyen âge face aux vrais traditionnalistes

Les émules modernes d’Ibn Tammiyya, appliquent de nos jours, à l’époque moderne, les termes d’une fatwa du moyen âge, à une époque où les hordes mongoles ravagent le proche orient. Un avis juridique (fatwa) d’un auteur rigoriste, volontiers polémiste, tenant d’un islam sunnite de combat, au temps d’invasions qui ravagent la Syrie vers 1260, cette fatwa hors contexte sert de prétexte de nos jours à des actes d’une barbarie insensée. Des choses aussi innocentes que de se réjouir en bons voisins de fêtes chrétiennes deviennent des prétextes à tuer des innocents, de rappeler à l’ordre des musulmans qui s’y prêtent.
Il convient de lutter contre cette plaie, cette maladie de la religion musulmane. Il y a un face à face entre une grosse majorité de musulmans désireux de vivre en paix leur islam du juste milieu ou islam impérial et ces nouveaux venus (ils con commencé avec les Frères musulmans en Egypte en 1928. De là sont sortis les fanatiques salafistes modernes et les jihadistes, mouvements contemporains modernes inspirés par Ibn Hanbal et Ibn Tammyyia. Des marionnettistes habiles, se disant inspirés par les ancêtres vertueux (les salafs) font marcher la folie des fanatiques à leur profit (Al Quaeda, DAECH et consorts). Ils puisent dans le Coran les versets qui justifient leurs doctrines totalitaires criminelles pour tuer. Ils en sont arrivés, par leur raisonnement religieux dévoyé à prêcher une doctrine d’où Dieu (est-ce bien Allah) a disparu mais où seule est prise en considération sa volonté exprimée par un Coran qu’ils sont les seuls à prétendre connaître. L’affirmation répétée de la transcendance divine aboutit à un « pieux agnosticisme » (A. Candiard), un paradoxe ! Une conception agnostique de la foi ! Elle se traduit par des attitudes intransigeantes sur des prescriptions alimentaires ou vestimentaires apparues à la fin du XIXe siècle et qui ont explosé au XXe. Ils en arrivent à oublier l’essentiel, la relation à Dieu. C’est un dialogue de sourds avec les autres musulmans du juste milieu. Le totalitarisme des fanatiques englobe aussi la prise de pouvoir temporel qui aboutit actuellement aux territoires perdus de la République. Territoires à reconquérir.
S’agissant d’une maladie de la religion, c’est aux pratiquants de cette religion qu’il appartient de créer un « aggiornamiento », à l’instar des religions intégrées dans les principes de la laïcité républicaine. Connaître son ennemi est une vielle maxime du vieux chinois Sun Tzu. Une fois étudié et compris le phénomène théologique qui conduit le fanatique à se radicaliser et à tuer, il convient que la loi républicaine s’impose à tous pour permettre l’exercice religieux ou non, permettre la liberté de pensée religieuse ou non, dans la mesure où cette liberté ne remet pas en cause le bien public et l’ordre. « Quand la France aura fait entendre sa voix souveraine, croyez-le bien Messieurs, il faudra se soumettre ou se démettre » disait Léon Gambetta le 15 août 1877. Les fanatique n’ont d’autre alternative que de partir ou d’encourir la rigueur de la loi républicaine : notre constitution et nos lois. Le devoir impératif des pouvoirs publics et de ses exécutants (Préfets, forces de l’ordre, …) est de faire respecter ces lois : « Dura lex, sed lex ». C’est ce que disent nos dictionnaires « Dans son sens strict, cette expression s’emploie pour souligner que la loi s’impose dans toute sa rigueur. Mais dans un sens plus large, elle peut faire référence à une situation où quelqu’un doit se soumettre à une règle, même si elle ne lui convient pas.» (D »après le dictionnaire « L’Orthodidacte« ).

3 – Les raisons d’espérer

Si la guérison de la religion dévoyée doit être l’œuvre des musulmans, la République doit protection absolue à tous ses citoyens, quelque soit leur religion ou leur absence de religion. Toute personne respectueuse des lois de la République et ne provoquant aucun trouble à l’ordre public, a droit à la protection de sa vie et de ses biens au nom du principe de laïcité. Les services de renseignement qui opèrent sur notre territoire et à l’extérieur (ils son au nombre d’une dizaine) doivent agir de façon coordonnée au plus haut de l’État. Pour boucher les trous de la raquette, il existe l’institution de la Réserve citoyenne, les citoyens vigilants. Ils sont le « 11e service de renseignement », un composant négligé de la Garde Nationale, vivant au contact quotidien de la 5e colonne jihadiste. Nous citons l’ASAF « Aucune victoire dans la guerre contre l’islamisme ou dans la lutte contre la Covid ne sera acquise sans l’engagement déterminé de chaque Français » et nous ajoutons « aux côtés des pouvoirs publics ». C’est l’esprit d’une « Garde civique et citoyenne« .
Mais où en sont nos services de sécurité ?

3.1 – Les services de renseignement coordonnés

Le hanbalisme est connu de nos dirigeants. Le Préfet Pierre de Bousquet de Florian nous en a parlé, en 2013, lors d’une discussion à bâtons rompus à l’École d’Agriculture à l’occasion d’une remise de décorations. Cet éminent ancien directeur de la DST a été récemment nommé Directeur de Cabinet du Ministre de l’intérieur le 13 juillet 2020 après avoir été coordonnateur national de la lutte anti-terroriste. Le Coordonnateur qui l’a remplacé, M. Laurent Nuñez, a une carrière éloquente.
Mais avoir des hommes au passé éloquent et riches de compétences ne suffit pas, la volonté politique doit les encourager et les accompagner. Depuis la mort du regretté Samuel Paty, il semble que la coordination fonctionne et que des attentats majeurs aient été évités en France. C’est ce les militaires qualifient d’OPINT (par opposition à OPEX).

3.2 – Les théâtres d’opération et l’armée

Les théâtres d’opérations extérieures n’ont pas manqué. A côté de l’opération Vigie Pirate (OPINT), les opérations extérieures faites à la demande des pays (Barkhane au Mali) ont permis de détruire les bases éloignées d’où les fanatiques contrôlaient leurs séides.


Un Auditeur IHEDN 1985




Les blocages administratifs, mal français

Introduction

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Un de nos contributeurs a réagi à l’article sur l’État profond source de blocages. Nous réagissions donc et avons suivi son conseil. Nous avons lu l’article de l’hebdomadaire Marianne (n° 1207, 1er au 7 mai 2020) Notre administration naufragée (pages 22-31). Nous avons aussi relu nos « vieux » hebdos dont Le Nouvel Observateur (n° 2052, 4 au 10 mars 2004, pages 14 à 29) 

Cette caste qui tient la France.. Cet article signale et résume le livre de Ghislaine Ottenheimer Les Intouchables. Grandeur et décadence d’une caste : l’Inspection des Finances (Paris, Albin Michel, 2004). J’y ai ajouté plusieurs ouvrages :

  • Agnès Verdier-Molinié : Ce que doit faire le (prochain) Président (Paris, Albin Michel 2017),
  • Vincent Jauvert : Les intouchables d’état : bienvenue de Macronie (Paris, Robert Laffont, 2018),
  • François Ruffin : Ce pays que tu ne connais pas (Paris, Les Arènes, février 2019),
  • Juan Branco : Crépuscule : préface de Denis Robert (La Laune, 30600 Vauvert, Au Diable Vauvert, mars 2019).

Astérix le Gaulois et ses compains ont bu leur potion magique et vont faire valoir leur citoyenneté, leur civisme, leur attachement à leur patrie franque et le désir de vaincre, certes, le virus mais aussi par les urnes, ceux qui trônent au sommet de l’État et qui ont des comptes à rendre.


La crise sanitaire du Coronavirus (SRAS-CoV-2) a frappé notre pays de plein fouet. La pandémie CoVid-19, partie de Chine, a touché notre pays et le confinement qui a été déclaré et imposé a, certes, stoppé la progression du mal, limité son impact mais il en est découlé pour notre pays une crise économique qui s’inscrit dans un contexte mondial ! Sous la plume de Mme Natacha Polony (Marianne n° 1207, p. 22) écrit « L’impression d’avoir vécu une étrange défaite. Non pas que mars 2020 soit juin 1940. Il n’y a pas eu d’effondrement mais un sentiment de déclassement.». Un de mes amis, auditeur de l’Institut des Hautes-Etudes de la Défense Nationale, membre de plusieurs associations qui défendent et soutiennent nos armées, historien militaire amateur, gendre d’officier, n’apprécie pas ce rappel douloureux à un passé encore proche. Revenons à notre 21e siècle et aux sources notre mal français.

1 – Une administration forte, centralisée

Nous avons démonté le mécanisme étatique dans un article sur ce qu’on appelle l’État profond.

1.1 – Le jacobinisme

Notre administration a été voulue forte et centralisée. C’est le jacobinisme. Cette doctrine a dominé la Ve République. Tout doit être gouverné du sommet, de la capitale, la république est une et indivisible. Il en est résulté une administration fortement hiérarchisée, centralisée. De la création des départements et des Préfets, proconsuls de l’État, est sorti une administration locale qui était gouvernée par les dits préfets.

1.2 – Le mille-feuilles administratif

L’empilement des couches administratives fait pense à un mille-feuilles.    Les français ont exprimé leur volonté de simplifier.

1.2.1 Les régions et la décentralisation

La création des régions a ajouté une couche au mille-feuille origine, lequel était relativement simple. La couche supplémentaire acquérait une certaine autonomie avec cependant un Préfet de région. La nouvelle collectivité, comme les autres (communes et départements) avait une assemblée délibérante. Le Préfet n’était là que pour veiller à la légalité des décisions prises et la conformité des actes à la loi (marchés publics, …). Deux domaines échappaient à l’autorité du Préfet : l’Education Nationale avec son Recteur d’académie et la Santé avec son Agence Régionale de la Santé. Chacun est placé sous l’autorité du Ministre compétent.

Pour compliquer le millefeuille, on a mis en place des collectivités placées à côté des départements : les établissements publics de coopération inter-communale (agglos, métropoles, communautés de communes).

1.2.2 Rivalités, conflits

Cette pyramide avec ses compartiments parallèles est compliquée par le fait qu’il y a une cassure entre l’échelon territorial (régions, départements, communautés de communes, communes) et l’échelon national. Les deux administrations ont des corps différents d’administration. il y a :

  • la fonction publique nationale,
  • la fonction publique territoriale,
  • la fonction publique hospitalière,
  • la fonction publique militaire,

Ces différents fonctionnaires sont jaloux de leurs prérogatives, d’où des conflits d’égos plutôt que des coopérations dans l’intérêt du bien public. Les prérogatives des uns et des autres ne sont pas ou sont mal coordonnées. L’équilibre des égos, en cas de crise grave, se brise.

1.2.3 Conséquences sur la crise

L’administration, au cours de notre histoire, a su affronter les tempêtes et les crises. Son caractère lent et procédurier s’est accentué au cours de la crise et elle n’a pas su éviter les écueils de la pandémie à SRAS-CoV-2 (maladie du CoViD-19). Pourquoi ?

L’hebdomadaire Marianne précité (p. 22) nous donne une piste supplémentaire : la complication avec l’introduction, de « La généralisation de la gestion à l’anglo-saxonne, à base de « process » et de « reporting », plaquée sur la culture administrative centralisée à la française, [qui] aboutit à une inflation paralysante.» Le néolibéralisme a fait son oeuvre !

Un de mes amis hospitalisé avant la crise avait remarqué dans les services où il était passé un bureau de « Cadre administratif ». Il n’a pas pu savoir quel était son rôle ? Compter les seringues, les cartouches d’encre des imprimantes ? Gérer les stocks de pharmacie et de consommables, veilleur aux approvisionnements ?

Une particularité, la gestion administrative des établissement publics de santé est complexe. Il existe un Conseil de surveillance et à Montpellier, le Maire-Président de Métropole en est le Président.

Le vaisseau de la Santé Publique en France est un lourd pachyderme, un « lourd vaisseau qui prend l’eau », en cas de crise majeure.

1.3 – La paralysie institutionnelle

Le fait que tout soit centralisé, avec des ramifications horizontales et verticales a eu pour conséquence une paralysie qui n’est pas conjoncturelle mais structurelle. « Quand la tête ne guide plus, chaque échelon est invité à limiter au maximum les initiatives et à se défausser sur l’échelon supérieur. ». On ouvre le parapluie et on ressort le bon vieux principe de sagesse des « trois petits singes », principe qui serait enseigné à l’Ecole Nationale d’Administration (ENA).

Trois petits bonzes

Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire !

Or, en plein déploiement de la pandémie, la tête à changé, chacun selon son humeur a déployé son parapluie ou tiré la couverture à soi.

La tête nouvelle a dû affronter la vérité terrain, la gripette était une redoutable saleté venue à pied par la Chine, à pied, à cheval, en voiture, en avion. Si les virus n’ont pas de passeports, ceux qui les portent en ont, ils ont circulé !

2 – Les blocages constatés

En dehors des pénuries constatées (masques, tests, équipement des soignants, …) les blocages divers ont mis notre pays et sa population en danger et ont amené les premiers mensonges d’état. C’est pas si bête que çà, avec une porte-parole qui avait avoué ingénument « mentir pour protéger son Président ».

2.1- Le premier blocage

Selon comment on l’examine, ce blocage est un non-blocage venant d’un blocage intellectuel de la tête : il ne fallait pas fermer nos frontières et les piétons descendus de l’avion, à pied, en provenance de la Chine, ont introduit le virus.cry mad confused

Nous citons le cas d’un ami de retour du Vietnam le 30 janvier 2020 qui a changé d’avion à Pékin. Il a été « épluché » à l’aéroport de Pékin et à son arrivée à Roissy, rien, aucun contrôle sanitaire, même pas un contrôle de température. Il a regagné son domicile près de Montpellier en TGV.

2.2 – Pas de vétérinaires ici !

La médecine vétérinaire ne dépend pas du même ministre. Le principe est de veiller à la santé humaine en soignant les maladies des animaux et la surveillance des circuits alimentaires. Il y a des coronavirus animaux susceptibles de « sauter » sur un être humain.

Marianne (p. 23) dénonce le blocage pendant 3 semaines (par les ARS) des acteurs du diagnostic produisant des tests pour animaux. Or, ce sont les mêmes réactifs, les mêmes machines; Il y avait pénurie en milieu de médecine humaine hospitalière. Au final, le Ministre Olivier Véran a débloqué la situation ! « Les vétérinaires biologistes n’étaient pas habilités à traiter les prélèvements humains … ». Il a fallu trois semaines pour vaincre l’encadrement juridique qui s’imposait même en période de crise ! Ce n’est que le 6 avril 2020 que le verrou a sauté ! Merci Monsieur le Ministre !

Mais là où la mesure est à son comble, est le refus de mettre dans le circuit les laboratoires privés de biologie humaine ! UBU, Courteline, … pas morts !

2.3 – Un cabine privé de conseil en stratégie

L’hebdo Marianne nous apprend aussi que le Ministre de la Santé (et son ministère ?) a fait sauter le verrou en missionnant un cabinet privé de conseil en stratégie (Bain et Cie, bureau de Paris). Les laboratoires privés de biologie trouvent, enfin, un interlocuteur qui fait répondre aux courriers adressés depuis des semaines, restés sans réponses ! Des visioconférences ont lieu avec des représentants de l’Élysée, du Monsieur Déconfinement, … Nous posons la question : qui a bloqué et pourquoi ? Il y a des coups de pied au c… qui se perdent.

Le clivage administratif ministères-collectivités-ARS-Préfets a eu des conséquences.

2.4 – Les rivalités administration centrale et collectivités territoriales

Y-a-t-il eu une incompréhension entre les couches du millefeuilles administratif ? Nous lisons dans Marianne (p. 23) qu’il y aurait une « rivalité entre administrations centrales [ministères] et collectivités locales ». C’est un euphémisme ! Entre les ARS, les Préfets (de région et de département) et les Présidents de conseils divers, des murs de forteresses se sont dressés, au détriment de la santés et des mesures nécessaires. Les différences de couleurs politiques ont-elle joué ?

2.4.1 Cas des EPHAD

Marianne cite un président de Conseil départemental (sensibilité Les Républicains) qui écrit (le 4 avril 2020) au ministre pour demander un dépistage de tous les résidents d’un EPHAD (La Rivièra, Mougins). Il y a eu là 36 décès en moins de 30 jours. Cause toujours ! Il n’y a pas eu de réponses ! A croire, avec ce que nous avons exposé ci-dessus qu’il n’y a personne qui lit les lettres au Ministère de la Santé ou qu’un président ce collectivités est quantité négligeable, ou qu’il y aurait des directives données pour ne pas répondre aux « frères ennemis ». L’élu insiste, il avait réclamé ces tests auprès de l’ARS PACA. Là, il lui a été répondu « qu’on suivait les consignes du ministère.». Circulez, il n’y a rien à voir ! Les perdants de ce ping-pong administratif : on sait le drame vécu dans les EPHAD, le manque de moyens, … ARS, Préfets de région, quelle a été la posture ? Les échelons administratifs ont ouvert le parapluie. Ou alors, on a joué aux petits chefs.

2.4.2 Mesures prises par les maires

Des maires ont cru pouvoir utiliser leur qualité d’officiers de police judiciaire pour décréter des interdictions sur le territoire de leur commune, avec l’aval de leur assemblée délibérante communale. Pourquoi cette idée saugrenue ? Est-ce parce qu’un président de la république, au début de son mandat a snobé ces minus de campagne ? Le Préfet du coin s’est empressé de casser leurs arrêtés, a déféré ces papiers au Conseil d’État. Retour dans vos mairies, non mais ?  frown  Le masque ne sert à rien et l’interdiction de circuler vers Sète a été cassée !

2.4.3 La Direction générale de la Santé

La direction générale de la Santé a de grandes ambitions sur son site. Marianne (p. 24) l’accuse d’avoir « péché par ignorance ». Son rôle, pourtant est primordial, celui d’une vigie qui scrute l’horizon. Son directeur n’est autre que M. Jérôme Salomon. Cet éminent professeur gère une quantité impressionnante de sous-directions et d’agences. C’est ce professeur qui a averti le président de la république de l’impréparation du pays aux crises sanitaires qui pourraient survenir (5 septembre 2016). En février 2020, selon Marianne (p. 24) « il s’est félicité quotidiennement de la « stratégie française » pour empêcher l’épidémie estimant que la « surveillance étroite » de chaque cluster devait permettre de lutter contre un « virus de la grippe » … « probablement moins contagieux que la grippe saisonnière». ». Au même moment, la Chine faisait le bilan de son épidémie dont, manifestement, personne n’avait tiré la leçon. C’est loin, la Chine ! Pourtant, sa ministre, lui et divers autres ont étudié la médecine ! De médecins, ils sont devenus hauts-fonctionnaires et ont oublié leurs études ? Si on peut reprocher aux hauts-fonctionnaires sortant de l’ENA leur manque de formation médicale, biologique et écologique, eux au moins ont appris ce qu’est un virus. M. Salomon a complété ses études de médecin par un DES de médecine infectieuse et tropicale et un autre de santé publique.

Marianne accuse M. Salomon (p. 24) de n’avoir pas su « anticiper le crash sanitaire à venir.». Et d’avoir tenu « des discours lénifiants.» Ce n’est pourtant pas un énarque ! Eux au moins sont formés !

3 – Les causes du mal

On est en droit de s’interroger sur ce qui a pu ainsi paralyser une administration toute puissante ? Nous avons une école nationale présentée comme la meilleure au monde.

3.1 – La formation des hauts-fonctionnaires

Les hauts-fonctionnaires sont, en principe, formés dans l’École Nationale d’Administration (ENA). Pas tous, nous avons vu le cas de la Santé où les professeurs de médecine sont à la tête des ministères chargés de la santé et de ses sous-directions. Mais, rassurons nous, le chef de l’état et son premier ministre, ses ministres (finances notamment). Les énarques sont le haut-du-pavé !   

3.1.1 Préparation aux crises

La préparation aux crises semble être le nec-plus-ultra de leur formation. Ils semblent être bien préparés !  Pourtant, là, devant une micro-particule d’ARN et de protéines animées de mauvaises intentions, ils ont capitulé et vous connaissez la suite ! Sont-ils si bien préparés ?

3.1.2 Les préparations à la suppression …

Il est très difficile de connaître le programme exact de l’ENA. Mais, il y a des fuites. Un des trois petits singes a parlé ! En 2012 et 2015, un des exercices typiques était « la suppression d’un hôpital » ! L’enfer est pavé de bonnes intentions : nous avons eu l’enfer, arrivé à pied de la Chine ! A pied, en avion, en voiture !

3.1.3 La gestion de la crise sanitaire

Avec toutes ces sommités à la tête de notre état, pas de stratégie claire sinon des mensonges en cascade, des silences vis-à-vis des élus de l’opposition, des silences des élus de la majorité !

Il a fallu faire appel à un cabinet privé de stratégie.

3.2- Les insuffisances administratives

Un de mes amis m’a relaté son expérience comme chargé d’études de haut-niveau dans un ministère que je ne nommerais pas mais qui m’est cher. Ce ministère est solidement tenu par un corps d’état puissant, hiérarchisé avec ses Inspecteurs généraux, ses directeurs, ses Ingénieurs en chef et ingénieurs tout court, … Jamais un fonctionnaire ne fait une étude lui même, même s’il est compétent. Il s’abrite sous le parapluie d’un cabinet d’études privé commissionné et rétribué ! En cas de pépin (la trouille du fonctionnaire, Marianne p.25), on se rabat sur le coupable ! On tire la couverture, on ouvre le parapluie.

3.3 – Le recours à un bureau d’études privé

Le principe énoncé ci-dessus a été mis en œuvre par le premier ministre pour sa stratégie. Ce bureau semble compétent, il a tout intérêt à l’être. Toute stratégie implique un but (un objectif). C’est le déconfinement, en évitant une deuxième vague de l’épidémie.

Conclusion

Nous avons en France une administration pléthorique. Notre propos n’était pas la comparaison avec les pays voisins membres de l’Europe et particulièrement l’Allemagne. Nous consacrerons un autre article à ce sujet. Comme contribuables et citoyens, nous ne pouvons accepter que nos anciens aient été exposés à un danger mortel et que certains en soient morts. Nous ne pouvons accepter cette paralysie de l’appareil d’état ni les guerres picrocholines entre administrations supposées gérer le bien commun.    A quoi à servi le grand débat ? Du foutage de gu … !

La politique du parapluie et de la couverture tirée à soi doit cesser. Comme doit cesser la domination d’une caste puissante néolibérale sur notre pays. Nous ne nous réjouissons pas de la débâcle à la française et, pour le moment, il ne sera pas question de dissoudre quoi que ce soit. Comme doit cesser la désindustrialisation de la France ! L’affaire des masques et des test de dépistages nous a montré les ravages de l’appauvrissement industriel de notre pays.

Néanmoins, le jour d’après devra faire le bilan des responsabilités et de récompenser ceux qui ont essayé, contre l’inertie bureaucratique, de faire preuve d’initiatives qui ont profité au bien public.

De profondes réformes doivent être entreprises et le mensonge devra être déclaré hors-la-loi, passible de graves sanctions.

observatoire phare

Signé : Le veilleur et lanceur d’alerte

Ecologiste indépendant et écologue fatigué

L’administrateur du site, webmestre
Docteur (non médecin) en sciences biologiques option écologie
Citoyen et contribuable de l’Hérault




Défense de notre souveraineté nationale

Introduction

Des paroles prophétiques ? Dans l’hebdomadaire Marianne du 26 juillet 2019 (n° 1167), Mme Natacha Polony donne son opinion (site Marianne du 25 juillet 2019) écrit « Comment faire renaître un peu de confiance ? Les esprits les plus lucides n’ont pas attendu les homards de François de Rugy (RugyGate), ni même la crise des « gilets jaunes », pour sentir qu’il y avait là un enjeu vital pour les institutions républicaines.

Une société dans laquelle le soupçon se généralise, dans laquelle chacun finit pas se demander d’où parle tel ou tel, s’il ne défend pas quelque intérêt caché, si le discours scientifique, même, n’est pas instrumentalisé par des puissances financières, est une société qui crève. Quelque chose s’est brisé, qui faisait le ciment de la démocratie. Quelque chose qui s’appelle le bien commun. ». La Directrice de la rédaction, une grande journaliste, a prophétisé l’appropriation, au nom du néolibéralisme, du bien public. L’hebdomadaire poursuit la dénonciation des mensonges et des blocages (n° du 1er mai).

De nos jours, en mai 2020, après l’extension à la France, l’Europe et le monde de la pandémie à SRAS-CoV-2, nous pensons que la pétaudière actuelle était prévisible, il y a longtemps que, citoyen et contribuable de l’Hérault, je dénonce avec mes amis, le non-respect de l’intérêt général et l’appropriation du bien public par des intérêts privés dont la conséquence est la crise actuelle avec l’incurie des pouvoirs publics. Elle poursuit « Car l’excès de soupçon ne naît pas d’un manque de transparence mais du constat répété que des intérêts privés ont pu s’approprier ce bien commun dont l’Etat est le garant au nom des citoyens. Si chaque décision, chaque arbitrage, semble se faire non pas en fonction de la volonté majoritaire, mais au nom d’intérêts catégoriels, en faveur de quelques-uns, qui ont su peser plus lourd, s’installent dans toutes les strates de la société deux gangrènes mortelles : le ressentiment et cette tentation du chacun pour soi qu’on appelle l’incivisme ». Cette grande dame, citoyenne et mère de famille, voit aujourdh’ui se réaliser les années d’observation impartiale et objective de la vie publique. Elle ne cesse de pourfendre le mensonge comme moyen de gouvernement.


1 – Minimisation de la gravité du virus

Nous avons dénoncé la minimisation de la gravité du virus et de sa contagiosité. Il en est résulté une mauvaise appréciation de la progression de l’épidémie devenue pandémie. La petite grippe ou « gripette » a tué plus de 25.531 décès sur 132.000 cas dont 52.736 guérisons. Cette minimisation a cessé rapidement face à la vérité terrain. C’était une pandémie due à un virus inconnu provoquant une maladie émergente. Nous étions démunis ! Démunis au point de vue connaissances comme au point de vue infrastructures : il y avait pénurie. La ministre Agnès Buzyn quitte son ministère remplacée par Olivier Véran. La presse (Marianne n° 1207, 1er au 7 mai) cite Mme Buzyn (en date du 21 janvier 2021, p. 23) « Le risque d’introduction en France de cas liés à cet épisode est faible. » !!! Nous avons vu !

2 – Dissimulation de la pénurie

Nous avons dénoncé le gros mensonge qui nous a été servi pour dissimuler la pénurie. Ça continue avec la pénurie de tests de dépistage.

Le mensonge sur les stocks de masques et leur utilité. Nous avons dénoncé la suppression des EPRUS.

Nous dénonçons l’incapacité à tester massivement les Français.

3 – Idéologie primant sur la raison

Nous dénonçons le confinement tardif et l’idéologie qui a primé sur la raison. Il ne pouvait être question de fermer nos frontières alors qu’un parti d’opposition le préconisait !

La haute-technostructure qui prévaut en France est issue de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA). Nous avons dénoncé ce

4 – Nous soutenons une France forte

Nous soutenons une France forte qui suppose un État fort capable de mobiliser en propre et sans assistance étrangère tous les moyens nécessaires à la protection de ses citoyens.

Une France forte non-seulement de son agriculture (pétrole « vert ») mais aussi de son industrie qui doit être réinstallée sans être une source de pollution.


Un Auditeur IHEDN 1985




L’Islam politique en question

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.

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Argos Panoptés déchaîné

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Argos panoptès

Nous affirmons de la manière la plus formelle qui soit que nous faisons la différence (et non pas l’amalgame) entre les musulmans respectueux de la loi de notre république (Constitution et ce qui en découle) et les islamistes qui prétendent placer le Coran et la Sharia au-dessus de la loi de la République.

L’Islamisme

L’islamisme est le fait des islamistes, ceux qui pratiquent un islam politique. Ils n’ont rien à faire dans notre pays. Leur fascisme « vert » n’a pas de place dans notre pays. La loi de 1905 garantit à chaque citoyen de ce pays, la France, la liberté de pensée et de culte mais interdit toute expression religieuse ostentatoire et politique visant à instaurer une théocratie à la place notre démocratie.

Deux médias de la presse imprimée (un grand public « Paris-Match » du 20-26 juin 2019, l’autre à diffusion discrète « Engagement » de l’ASAF été 2019) abordent le sujet de l’Islam politique, de sa mise en question, de son idéologie mortifère menant au jihadisme terroriste via le wahhabisme et le salafisme.

Paris-Match rapporte un entretien entre Gérard Larcher (Président du Sénat) et Marcel Gaucher (philosophe) intervieuvés par le journaliste Bruno Jeudy. Engagement, dans sa rubrique Libre propos publie un article posthume du général Jean du Verdier (officier général 2s décédé le 27 avril 2019). Ces deux publications se complètent, nous allons essayer d’en extraire le principal et de le synthétiser.

1 – Un constat

Le Président de la République a souhaité renforcer la laïcité dans les rapports entre l’État et les religions dans notre pays. Gérard Larcher affirme qu’il faut d’abord faire respecter les lois existantes avant de prétendre en édicter de nouvelles. C’est une maladie française que nous ne cessons de dénoncer que de vouloir sans cesse légifèrer et ne pas faire appliquer ce qui est voté. Des questions se posent :

  • La loi de 1905 serait-elle insuffisante ?
  • Il conviendrait de s’interroger pourquoi ?
  • Est-ce le texte qui est insuffisant ou son application qui est inexistante ?

C’est tout ou partie qui pose problème en France.

1.1 – Le parcours de la laïcité

La plupart des religions qui ont pignon sur rue en France ont parcouru le chemin de la laïcité, celui de la conciliation avec la laïcité (judaïsme, christianisme, protestantisme, …). Dernière venue, la religion islamique (l’Islam et ses fidèles les musulmans) ne porte pas dans sa nature, cette conciliation, pas spontanément. A côté de l’aspect spirituel, se mêle une prétention temporelle à vouloir imposer à tous la foi islamique avec tout ce qu’elle comporte de rétrograde et de barbare.

1.2 – L’enjeu républicain

L’enjeu républicain se noue autour de l’acceptation par l’Islam des principes républicains et de la démocratie occidentale (USA, Europe, …), notamment le droit de tous à pratiquer un culte religieux de son choix sans se voir imposer quoi que ce soit ou d’être un citoyen de seconde zone, un dhimmi.

Il faudra faire naître cet « islam adapté » dont parlent si bien les auteurs de confession musulmane mais qui peine à se mettre en place. Celà va prendre du temps : islam et république ne seraient pas incompatibles mais il est notable qu’il y a une certaine crispation d’une minorité qui prétend imposer sa loi par la force. La République ne saurait admettre cette entrave grave à la liberté de pensée et à l’égalité entre citoyens. L’Islam ne reconnaît pas l’égalité des sexes, la femme étant inférieure à l’homme en droits. Les principes républicains français sont loin d’être admis par l’Islam.

Le contrôle de ce qui se dit et ce qui se prêche dans les lieux de culte est LE PROBLEME majeur. Des pays étrangers dotés de fonds importants contrôlent les lieux de culte qu’ils financent. Ce qui s’y dit n’est pas toujours tolérable du point de vue de nos lois.

1.3 – Le financement des cultes musulmans

L’enjeu de la transparence du financement est un des éléments à prendre en compte dans le danger que fait courir l’Islam politique. Nous parlons « des cultes musulmans ». L’Islam n’est pas uni, il existe plusieurs « chapelles » entretenues et surveillées par les représentants consulaires des états d’origine des musulmans installés chez nous (Maroc, Algérie, Turquie, …) par le biais des mosquées et de leurs imams avec les écoles coraniques qui en dépendent. Plus de lieux tolérés où on enseigne la haine de l’autre au nom d’une religion dévoyée.

2 – Islam et démocratie

L’histoire de l’Islam est intéressante à connaître pour pouvoir comprendre la situation actuelle et réagir sainement aux agressions dont nous sommes victimes. Les régimes musulmans qui ont suivi la mort de Muhammad (Mahomet) sont un exemple de luttes à mort, de guerres de conquête qui ont même asservi des états chrétiens. Ils ont été contenus et même refoulés vers leurs terres d’origine, l’Afrique du Nord.

2.1 – L’Islam pour les nuls ! ?

Nous empruntons à une célèbre collection « … pour les Nuls » le titre de ce paragraphe. Islam veut dire « soumission » et le musulman (celui qui pratique l’Islam) est « soumis« . Soumis à qui ? A Allah et à son prophète Muhammad. Et à ceux qui depuis le moyen âge manipulent les musulmans à l’aide de livres et documents largement tendancieux, prétendant leur imposer leur façon de voir. Voyons ceux qui font courir un danger mortel à notre démocratie !

2.1.1 – Le wahhabisme

Le terme wahhabisme vient d’Abdul Wahhab (1703-1792). Celui-ci, mille ans après Muhammad, prétendait « faire appliquer aux musulmans l’intégralité des prescriptions coraniques, faire table rase de tous les apports intervenus depuis 1.500 ans et revenir à l’époque du prophète afin de vivre comme lui. ». Les innovations sont condamnées et l’État doit fonctionner exclusivement selon la loi coranique (la Sharia). Les pays qui pratiquent le wahhabisme ont des ressources pétrolières qui leur permettent bien des financements occultes en vue du rayonnement de leur idéologie politico-religieuse.

2.1.2 – Le salafisme

Le salafisme, né à la fin du XIXe siècle est proche du wahhabisme et peut pratiquement lui être assimilé, dans sa version la plus conservatrice et radicale. Le salafisme devient jihadiste au Pakistan, en 1980, dans les camps de Peshawar. La question qui se pose est la filiation du salafisme vis à vis du wahhabisme. C’est la naissance des Frères Musulmans.

2.1.3 – Les Frères musulmans

Le mouvement des Frères musulmans est né en Egypte où l’universite Al-Ahzar (liée à la mosquée éponyme). Cet ensemble soutenu et financé par les états wahhabites va envoyer des missionnaires actifs et offensifs. En particulier, ils sont offensifs et en pointe dans l’agression contre l’Europe ! Ils véhiculent l’idéologie politique salafiste et jihadiste en vue de la conquête du monde par tous les moyens., comme jadis le communisme prétendait le faire.

L’idéologie anime certains musulmans d’une foi hystérique, ils sont courageux, forts de leur moral et de la faiblesse du nôtre. L’armée pourra les contenir, les écraser, elle n’en vindra pas à bout.

2.2 – Les mouvements radicaux

L’Islam ne comporte aucune autorité religieuse centrale reconnue comme autorité centrale. La lecture et l’interprétation du Coran (livre sacré) et de la Tradition (hadiths) ont donné lieu à un schisme majeur (sunnisme et chiisme), à des mouvements plus ou moins reconnus et/ou combattus par les états. Citons le sunnisme et le mouvement wahhabite lié à l’Arabie saoudite et aux émirats voisins. Ces états musulmans, appuyés sur l’université Al-Ahzar (Le Caire) et d’autres, ont envoyé des prêcheurs de combat dans le monde, demeurant en marge de la République. Certains ont même eu les honneurs des médias officiels (Antenne 2, la voix de l’Islam). Ils sont appuyés par des personnes non-religieuses qui poussent au nom de la liberté de pensée, appuyant les courants fondamentalistes qui agissent avec force.

Aujourdh’ui le principal courant fondamentaliste est le salafisme, dérivé et inspiré par le wahhabisme. Ce dernier est cantonné officiellement en Arabie saoudite et dans des émirats voisns. Le salafisme soutient le jihad, la guerre sainte, en vue de la conquête du monde entier.

2.3 – L’origine des mouvements radicaux

Les derniers aparaissent en Egypte. Le premier nom est celui de Sayyid Qutb q’on peut qualifier de père fondateur du jihad moderne et qui sera pendu. C’est en Egypte que naîtra le Mouvement des Frères musulmans inspiré par les croyances d’El-Kharij, de4l-Hashashen et la pensée d’Ibn-Tamiyah. C’est le cheikh Hassan Al-Bannah qui est crédité de cette fondation. Qutb pendu apparaît le Dr Salah Sereah qui fonde le Mouvement de Libération Islamique d’Egypte (hezb-al-Tahrir), basé sur les écrits de Qutb. Lui aussi sera pendu. Puis apparaît Shukri Mustafa qui sera condamné à mort et pendu. L’Université Al-Azhar va abriter l’émergence de la Gamaa al Islamiya (groupe islamique) avec d’enciens professeurs. De là sortiront le cheikh Abd al-Hamide Kishk, le cheikh Omar Abdel-Rahman et autres qui vont voir s’etendre ce mouvement au Soudan, à la Tunisie, à l’Agèrie, au Yemen, à la Syrie, à l’Irak, au Liban et autres. Le cheikh Abdel-Rahman est incarcéré à vie aux USA.

Pendant ce temps, l’Iran préparait un grand bouleversement dans la région. En 1979 commence l’opposition au Shah Mohamed Reza Pahlavi sous l’action d’un mollah qui deviendra célébre par son refuge de Neauphle-le-Château, l’ayatollah Khomeini. Les chiites vont exporter leur idéologie-religion. L’Iran attaquera l’Irak causant le mort de près d’un million de musulamns des deux côtés.

Al-Jihad est apparu en Egypte vers 1980. Son idéologie était d’élever la guerre sainte au plus haut niveau : « La guerre sainte arrive à Rome » ! Mohamed Abed Al-Salem, son fondateur commence à parler de l’invasion de l’Europe et de l’Occident. Le programme est menaçant :

  • Les musulmans qui se sont compromis sont condamnés,
  • le jihad supplante les autres devoirs,
  • tuer est la responsabilité du musulman,
  • le jihad est offensif, non défensif,
  • l’ennemi est constitué par les paiens (les koufars) et les musulmans non-gouvernés par la loi d’Allah et le Coran.

Il y a une stratégie de guerre.

3 – Vu de notre côté

Le général Verdier nous rejoint ici. Il désigne clairement l’ennemi, nos ennemis. Il les désigne sans abigüité.

3.1 – L’ennemi

Le premier acte d’un militaire est de circonscrire et de connaître son ennemi. Il doit aussi caractériser l’agression. L’ennemi n’est pas un ou plusieurs état musulmans (Maroc, Egype de Sissi, …). Une exception est constituée par l’Arabie saoudite wahhabite et les états du Golfe (Emirats) qui entretiennent des liens forts avec cette idéologie rigoriste.

3.2 – Ennemi désigné : wahhabisme et salafisme

Les ennemis de notre civilisation sont héritiers d’Abdul Wahhab. « Mille ans après Muhammad. Il entend faire appliquer aux musulmans l’intégralité des prescriptions coraniques, faire table rase de tous aports intervenue depuis 1.500 ans et revenir à l’épque du prophète afin vivre comme lui.

3.2.1 – Le wahhabisme

Le wahhabisme se caractérise par son rigorisme et son puritanisme, considérant que l’Etat doit vivre et fonctionner selon la loi religieuse.

3.2.2 – Le Salafisme

Le salafisme, rappelons le est né à la fin du 19e siècle et peut être assimilé au wahhabisme dont il est proche. Cependant, l’Etat islamique des salafs (les ancêtres vertueux)  souhaitent revenir à un califat à vocation mondiale pour l’ensemble des croyants. Il est illustrè par DAESH (ou EI) est son calife auto-proclammé Abou Bakr al-Baghdadi (Mossoul, 29 juin 2014).

3.3 – Le but ultime de l’Islam salafiste

Le but ultime de cette idéologie mortifère est, comme jadis le communisme, la conquête du monde par tout les moyens. L’idéologie salafiste-jihadiste anime certains musulmans d’une foi hystérique qui leur confère un grand courage. Ils sont forts de leur moral élevé et de la faiblesse ce certains d’entre nous.

« La force armée peut contenir ces gens là, les écraser localement, elle n’en viendra pas à bout » dit le général du Verdier. DAECH et AL-QUAEDA sont les bras armés de cette idéologie issue d’un Islam dévoyé. Cette prétention à appliquer le mode de vie du prophète se cantonne aux années de Médine où celui-ci agissait en homme de guerre, le sabre à la main. Les forces de DAECH nous l’ont montré en Irak et Syrie (Bilâd al-Cham).

Ce califat n’a été reconnu par aucun des grands pays musulmans peu séduits par la prétention au Califat mondial qui mettrait en péril leur intégrité ?

Le siège des Fréres Musulmans, en pointe pour l’agression de l’Europe, a été installé à Dublin (Irlande) en 1997 sous le nom de Conseil Européen de la Fatwa. Son président Youssef al-Qaradâwî reclame que les musulmans d’Europe puissent vivre « dans une civilisation musulmane complête, orientée par la foi musulmane, soumise à la loi de l’Islam [la sharia] », selon la citation de Philippe de Villiers dans son livre « Les cloches sonneront-elles encore demain? ».

3.4 – Les modes d’action de l’ennemi jihadiste

Le mode d’action directeur est une stratégie de conquête selon sept axes (nous citons le général du Verdier) :

3.4.1 Le terrorisme

Ce mode d’action désorganise nos sociétés en imposant des mesures de sécurité coûteuses et contraignantes. Chaque manifestation populaire annulée par crainte d’attentan est une victoire de l’ennemi. C’est un mode d’action voyants mais qui ne doit pas occulter les autres.

3.4.2 – La déstabilisation

La déstabilisation se fait par des comportements illégaux :

  • délinquance systématique,
  • violences,
  • insultes,
  • intimidations,
  • guerilla contre tout ce qui représente l’ordre (police, pompiers, conducteurs de bus, ambulanciers, …

Cette action est le plus souvent confiée à des jeunes mineurs dont on sait que la justice est assez impuissante à sanctionner.

3.4.3 – Présence islamiste

L’imposition de la présence islamiste et de sa loi se fait par :

  • la multiplication des mosquées avec dômes et minarets,
  • cimetières musulmans,
  • prières dans l’espace public et les entreprises,
  • calendriers musulmans, école coraniques,
  • exigence de ségrégation dans les piscines, installations sportives, hôpitaux et maternités,
  • nourriture halal imposée au grand public,
  • lieux d’abattage halal,
  • interdiction de sandwiches au porc sur certaines compagnies aérienees,

3.4.4 – Multiplication d’habitat musulmans

La multiplication des cités et des quartiers à majorité musulmane soumis à la sharia et aux prescriptions vestimentaires est un axe visible. Voile, burqua, femmes vêtues de noir sont un défi à nos us et coutumes où l’alcool et le porc sont combattus.

3.4.5 – Présence de plus en plus lourde

Les banques islamiques, les « tribunaux islamiques », les boutiques et restaurants halal ont une présence plus lourde dans nos villes.

3.4.6 – Infiltration des services

Les services sociaux, l’administration, la police, l’armée … sont infiltrés. Nos gouvernants sont embarassés face à cet entrisme. Souvent, au nom de la mixité sociale [et par naïveté], ils pratiquent une « discrimination positive » qui le favorise. Un rapport parlementaire parle d’une cinquantaine de cas observés dans l’armée française.

3.4.7 – La victimisation

C’est là l’axe d’attaque le plus violent. A toute critique de l’islam, du Coran ou du prophète, les mouvements islamistes répondent [avec vigueur] par des dépôts de plaintes, des campagnes médiatiques, des manifestations de rues.

Il faut leur opposer le triste spectacle des exactions commises dans les pays qui ont eu la malheur de tomber sous la coupe de ces islamistes !

3.5 – Le triste spectacle du jihadisme radical

Le jihadisme radical ou islamisme radical, le fascisme vert, a donné un triste spectacle à travers le monde, celui des attentats terroristes et leurs victimes avec les égorgements d’otages innocents (journalistes, touristes, amateurs de randonnées, …). Les jihadistes capturé(e)s en Irak et en Syrie, notamment des femmes de jihadistes décédés ou supposés tels versent des larmes de crocodiles (Voir l’hebdomadaire « Marianne » 8-14 fevrier 2019, p. 81, Guy Konopnicki, sur « Les larmes d’une jihadiste »). Ces pleureuses, qui ont quitté la France, brûlé leurs passeports et cartes d’identité, se retranchant de leur plein gré de la communauté nationale, ne pouvaient ignorer le triste spectacle de l’islamisme jihadiste là où elles avaient choisi d’aller avec leurs maris et leurs enfants. Pouvaient-elles prétendre « ignorer les viols systématiques, les mariages forcés de fillettes, le trafic d’être humains et l’extermination des yézidis. ». Le journaliste les compare à ces femmes de gardiens de camps nazis qui ont mené une petite vie tranquille dans une jolie maison jouxtant les barbelés, en prétendant ignorer ce qui se passait de l’autre côté. ». Sauf que des images existent, même si nous ne les exhibons pas !

Comment lutter contre ces fous qui menacent notre vie ? La réponse devrait être impitoyable à l’égard des prêcheurs jihadistes surtout s’ils sont étrangers : dehors après être passés devant la justice et par la case prison. La limite entre la liberté de pensée et de parole ne peut être franchie et ce franchissement ne doit pas être toléré s’agissant d’incitations au racisme, aux assasinats et aux meurtre pour motifs religieux. Pas d’ennemis de la liberté sur notre sol.

Epilogue

Nous affirmons ici solennellement que nous ne visons en aucun cas les musulmans qui vivent en paix dans notre pays (99%), en accord avec nos lois républicaines, travaillent et élèvent honnêtement leurs enfants dans le respect de nos valeurs. Nous ne sommes pas islamophobes mais détestons ceux qui suivent des enseignements manipulés par les islamo-salafistes-jihadistes qui nous ont déclaré la guerre. La guerre est interne dans notre pays, elle est externe ; deux théatres d’opérations mais une partie de notre pays à reconquèrir.

Il y a beaucoup de travail pour que les territoires perdus de la République soient reconquis et que les musulmans sécularisés, pacifiques et respectueux des lois se sentent en sécurité sous nos lois et ne subissent plus l’abandon dans lequel nos autorités on laissé leurs quartiers.

Nul n’est obligé de vivre en France, ceci s’adresse à ceux qui s’estiment lésés par notre laïcité et ne se sentent pas à l’aise dans nos villes et campagnes. Personne ne les empêche de quitter ce pays pour aller vivre ailleurs leur foi.

A ceux qui sont attirés par le miroir aux alouettes et qui pratiquent l’immigration-invasion, l’occupation illégale de notre territoire ne doit plus permettre de soumettre les habitants, quelle que soit leur religion, à la pression des islamistes (arabes, africains, …). Ceux qui prêchent le jihad doivent être traqués par nos services secrets (DGSI, DGSE, etc.), arrêtés et sanctionnés au minimum par l’expulsion de notre territoire.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




Les privilégiés en France


La fiscalité pour tous

Ce bon Monsieur de Lafontaine disait dans une de ses fables « Selon que vous serez puissant ou misérable … ». L’abolition des privilèges la nuit du 4 août 1789 ni l’horrible Terreur qui a suivi n’ont rien changé !

Nous sommes respecteux de la Loi, celle qui découle de notre Constitution et des différents codes.

Le Président de la République est mis en cause, entre autres, par deux écrivains-journalistes :

Il est question des privilèges de la haute-fonction publique dont le Président est qualifié de porte-parole, de bouclier, … La question des salaires et des privilèges revient au premier plan avec les retraites qui vont avec. Les ors de la République aussi, un décor feutré qui isole du monde extérieur, des « gens » et de leurs problèmes quotidiens de retraités, de petits retraités, de smicards, de RMistes, de routiers, de plaquistes, de paysans, de caissières, de mères célibataires, … ceux que vous semblez mépriser et que vous ne connaissez pas.

Si dans les entreprises privées les salaires et les retraites sont l’affaire des fonds privés (cela ne signifie pas que nous nous en désintéresserons), le secteur de la fonction publique civile, militaire, santé publique, territoriale, … nous intéresse en priorité car il est financé par nos impôts, par notre argent, celui que tous les contribuables paient à l’état (citoyens, entreprises, …). L’utilisation de l’argent public se doit être exemplaire, aucune gabegie ou détournement de fonds ne doit être toléré, de même que tout enrichissement personnel ne devrait être admis. Notre pays a perdu son tissus industriel : il s’est désindustrialisé dans de nombreux domaines productif de richesses, donc d’impôts. moins d’impôts, moins de fonctionnaires ? On reparlerait de Contrat social ? Un contrat implicite ? Les fonctionnaires sont là pour servir leurs concitoyens, non pour se servir. Il doit en être de toute personne percevant des fonds publics, hauts-fonctionnaires compris.

1 – Les obligations et les droits des fonctionnaires

Les obligations et les droits des fonctionnaires se doivent d’être rappelés ici. Le portail de la fonction publique met les choses au point mais en parlant, d’abord, des droits, les devoirs venant en second. Nous inversons la proposition : les obligations, d’abord ! Tout travail méritant salaire (traitement), tout salarié doit travailler, y compris les hauts-fonctionnaires. Le « pantouflage » (passage de la haute-fonction publique vers le privé et vice-versa est une abomination ! Il y a des lois, elles sont souvent interprétées et mal ou pas appliquées. Selon que vous serez … Oui, mais il y a eu la prise de la Bastille et la nuit du 4 août ! Est-ce si loin ?

Nous citons « Loi n°83.634 du 13 juillet 1983, article 28 Le fonctionnaire « doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public. » Le refus d’obéissance équivaut à une faute professionnelle. ».

Qu’en est-il du pantouflage et des possibles collusions ou prises illégales d’intérêt ? Nous citons : « Code pénal article 432-11 : interdit à tout fonctionnaire ou agent public de conclure des contrats ou de travailler dans ou avec une entreprise dont il aurait « assuré le contrôle ou la surveillance » ou à propos de laquelle il aurait « proposé des décisions » ou « formulé des avis » aux autorités politiques. ».

1.1 – Les Hauts-Fonctionnaires

Les Hauts-fonctionnaires, ils sont au moins 600 hauts-fonctionnaires qui gagneraient plus de 150.000 € nets par an, plus que le Président de la République. Lisez cet article dans Orange.

Nous citons l’article d’Orange : « L’enquête de Vincent Jauvert, parue le 18 janvier, pourrait accroître la défiance de l’opinion à l’encontre de ce qu’il appelle la « noblesse d’État ». « Je ne m’attendais pas à découvrir un tel déclin de l’esprit public, un tel mépris des règles éthiques », écrit-il, cité par L’Obs qui publie des extraits du livre. Le directeur régional des finances publiques d’Île-de-France trois fois mieux payé qu’un ministre ». Nous ajoutons que l’un des mieux payés est le Gouverneur de la Banque de France avec 286.000 € bruts / ans sans compter primes et autres … Ils seraient 600 à gagner plus de 150.000 € nets par mois, soit un coût de 90 M€ hors charges sociales patronales (c’est l’état l’employeur). Ils sont supposés payer pour leurs retraites, des hautes retraites !

Lisez aussi le site de Capital sur ce sujet brûlant.

Ces hauts fonctionnaires « pantouflent », c’est à dire de manière familière en France, le fait pour un haut fonctionnaire d’aller travailler dans une entreprise privée. Avec la réforme Pénicaud, il semble que le gouvernement veuille promouvoir cette pratique dont les effets sont funestes ! Je cite « Travailler pour une banque et obtenir une « promo » en tant que fonctionnaire, c’est… bientôt possible. Le gouvernement souhaite encourager la mobilité de ses cadres vers le secteur privé, en leur permettant de conserver un temps leur avancement en tant que fonctionnaire. ». Un comble, car ils reviennent au bercail.

La carrière des jeunes énarques est le plus souvent jalonnée de parrainages. Celle du plus illustre de ces personnages commence à la Direction du Trésor, se poursuit chez Barclays. L’inspection des finances l’introduira dans l’équipe de campagne de M. Hollande, il deviendra secrétaire adjoint de l’Elysée et enfin il sera Ministre … des Phynaces ! Et de là, il sera candidat et élu Président de la République. Qui est-il ? Qui est ce parrain ? Devinez ! La femme de ce dernier (le parrain) siège au conseil d’administration de Suez, de HSBC France, de la FNAV-Darty, du Centre Pompidou (Françios Ruffin, 2018, p. 84). Ce parrain est en 2005 le directeur de l’Inspection Générale des Phynances (devinez qui c’est ?). Le pantouflage mène à tout !

2 – Les hautes-retraites

Les hautes retraites vont de pair avec les hauts-salaires, traitements et primes des hauts-fonctionnaires. La plus grande discrétion règne quant à la connaissance publique des montants perçus. Le problème des retraites en France est un véritable casse-tête et la réforme des différents régimes est un écueil sur lequel bien des ministres se sont heurtés.

2.1 – Les retraites des fonctionnaires parlementaires

Les retraites des fonctionnaires parlementaires sont très généreuses. C’est un des régimes spéciaux difficile à réformer.

2.2 – Les retraites des haut-fonctionnaires, ministres et autres

La plus grande discrétion règne à ce sujet et il ne faut pas compter sur Google et Internet pour renseigner les citoyens.

2.3 – Les petites retraites

Qu’il s’agisse du secteur privé ou du secteur privé, les retraités des classes moyennes ont vu s’abattre le bras armé du premier des phynanciers d’état, ces hauts-fonctionnaires et le Président en tête. Déjà pressurés par les gouvernements précédents, le fisc avec la CSG va se servir dans la poche de ceux qui ont travaillé toute une vie d’activité persuadés d’alimenter une Caisse de retraite et à qui on déclare froidement qu’il n’y avait pas de Caisse. Et vlan : 20% d’augmentation de CSG !

Deux de mes amis sont dans ce cas. Ils ont bossé, ils touchent leur retraite moins la Contribution Sociale Généralisée (CSG).Le premier, Jean Peuplus, est veuf à la suite d’une longue maladie de son épouse. Il aide ses enfants mais sa demi-part de veuf a sauté, son IRPP a augmenté. Mon second ami lui est à la limite : avec son épouse, il frise les seuils et n’y comprend rien ! L’usine à gaz fiscale fonctionne à plein : CSG déductible, non-déductibles ? De plus, ces deux honnêtes citoyens ont été prévoyants : ils sont propriétaires, l’un de sa villa, l’autre de son 3e étage. Des scélérats de propriétaires ! Si l’un se réjouit de la suppression de la taxe d’habitation, tous les deux vont en prendre plein la figure avec les collectivités dépensocrates qui vont essayer de se rattraper sur la taxe foncière et autres taxes spéciales. Jean Peuplus et Jean Aymar se contentent de dénoncer et de protester.

2.4 – La taxation des hauts-revenus

La taxation des hauts-revenus (contribution exceptionnelle sur les hauts-revenus ) existe. Elle est consultable sur Internet (Site service Public). Oui, mais ! Les technocrates ont pris leur précautions :

  • fraction du Revenu fiscal inférieure ou égale à 250.000 € (célibataire veuf ou divorcé) : 0% !
  • fraction du RFR comprise entre 250.001 et 500.000 € (célibatires, …) : 3% ou 0% pour un couple,
  • … et ainsi de suite !

Nos hauts-fonctionnaires sont-ils concernés ? C’est à voir ! Au cas par cas. Le RFR n’est pas le revenu réel, il y a des déductions !

3 – Que faire ?

Des élections approchent. Votre bulletin de vote a du poids. pensez-y avant de vous laisser hypnotiser par des discours d’amuseurs publics. Tous ces gens doivent comprendre qu’ils doivent accepter de se voir baisser les traitements et les primes et de voir augmenter de quelques points exceptionnels leur CSG. A quand la baisse des tranches de la contribution exceptionnelle sur les hauts-revenus ? Une piste à creuser ?

La Princesse a le dos large et les reins solides.

Père Siffleur