Piqûre de rappel sur l’hydroxy-chloroquine

Monsieur Emmanuel Macron est candidat au renouvellement de sa fonction de Président de la République. C’est pour bientôt, dans pas longtemps : le 2e tour de l’élection présidentielle est pour le dimanche 24 avril prochain.

Contribuables34 vous rappelle un certain nombre de casseroles que nous avons dénoncées ici, casseroles qui éclairent le quinquennat écoulé de ce banquier d’affaires, ex-ministre des finances de Monsieur François Hollande.

Les grosses casseroles

Les gilets jaunes : ce mouvement de protestation populaire qui s’exprimait tous les samedis après-midi.

L’affaire Benallah : une curieuse affaire de milice privée à l’Elysée.

Un Président ne doit pas faire çà ! Une honte ! Réaulf Flemming est un ancien braqueur récemment sorti de prison.

Les photos de Paris-Match avec un délinquant qui fait un doigt d’honneur  et un autre qui fait les cornes !

L’interview Bourdin-Plenel : une véritable insulte à la fonction présidentielle.

Un drôle de compagnon de voyage : le rappeur Vegedream. Drôle de fréquentations !

Nous avons dénoncé le recours aux bureaux de conseil comme MacKinsey. Un rapport du Sénat dénonce des marchés publics passés avec une entreprise qui ne paie pas ses impôts en France.

Et ainsi de suite ! Pour être respecté, il faut être respectable !

Une affaire qui interroge : hydroxychloroquine

Il y a l’affaire de l’hydroxy-chloroquine dénoncée par de nombreux ouvrages. Nous rappelons celui du journaliste scientifique Xavier Bazin « Big pharma démasqué » (Guy Trédaniel éditeur, 2021). Une ânerie de Monsieur le Ministre de la Santé Publique Olivier Véran. Le Pr. Christian Perrone (ex chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches), un spécialiste internationalement reconnu des virus a été promptement sanctionné et viré de son poste. Pourquoi ? Il a osé dénoncer diverses décisions dont l’interdiction de l’hydroxychloroquine comme traitement préventif de la CoVid-19 (traitement IHU Marseille) et l’a dit dans son livre « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! » (Albin Michel éd., 2021, pp.71- …). Il a aussi dénoncé un médicament qu’on voulait nous vendre, le remdesivir des laboratoires Gilead.

Affaire Gilead remdesivir

Début octobre 2021 : l’Europe achète pour plus d’un milliard d’euros de doses de l’antiviral remdesivir (500.000 doses). Ce médicament semble avoir été vu d’un bon oeil de la plupart des membres du Conseil scientifique (le nôtre). Quelques autres grand de la médecine aussi.

Le 15 octobre 2021 : , l’étude Solidarity de l’OMS revêle que (nous citons) :

« Les résultats provisoires de l’essai Solidarity ont été publiés le 15 octobre 2020. Il a été constaté que les 4 traitements évalués (remdésivir, hydroxychloroquine, lopinavir/ritonavir et interféron) n’avaient que peu ou pas d’effet sur la mortalité globale, la mise en route de la ventilation et la durée du séjour à l’hôpital chez les malades hospitalisés. ».

L’antiviral, ainsi que les trois autres, n’a aucun effet sur les malades ! L’Europe a commandé un produite de surcroît reconnu toxique pour les reins et le foie.

Le 20 novembre 2021 : l’OMS déconseille l’usage du remdesivir insistant sur la « possibilité d’importants effets secondaires » notamment sur les reins. Son coût important et son implication logistique (administration en milieu hospitalier par voie intraveineuse) sont soulignés. L’hdoxychloroquine ne coûte que 5 € la boîte contre plus de 1.970 € la boîte pour l’antiviral Gilead.

L’hydroxychloroquine

Nous ne résistons pas au plaisir de rappeler la diabolisation de l’hydroxychloroquine-chloroquine et la décision de Monsieur le Ministre d’interdire l’usage de cette substance « le medicament le plus prometteur » interdit de prescription en pleine pandémie. Ni sur le fait qu’une étude frauduleuse d’un bureau d’études publiée par deux éminents journaux scientifiques (The Lancet et New Journal of …) a servi de prétexte à notre ministre de la Santé Olivier Véran pour interdire ce médicament.

Qui est l’actuel chef ?

Qui est le patron de Monsieur le Ministre ? La pyramide des hiérarchies administratives de notre monarchie républicaine place Monsieur Macron au sommet : c’est lui qui a couvert ! Conseillé par qui ? Par des cabinets de conseil ? Pas besoin de MacKinsey chez nous. MacKinsey go home ! Fous le camp ! Nous n’avons pas besoin de payer la montre pour qu’on nous donne ensuite l’heure. Le chef est celui qui assume ! 

Nous citons le rapport sénatorial de Mme Eliane Assassi sur « Un phénomène tentaculaire ». Nous citons une partie :

« En 2021, l’État a dépensé plus d’un milliard d’euros en prestations de conseil.

Ces dépenses ont plus que doublé depuis 2018, ce qui interroge à la fois notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés et la bonne utilisation de nos deniers publics.

Après quatre mois d’investigation et 7 300 documents recueillis, la commission d’enquête démontre que des pans entiers des politiques publiques ont été sous-traités à des cabinets privés : crise sanitaire, réforme de l’aide juridictionnelle, radars routiers, évaluation de la stratégie nationale de santé…

Le recours aux consultants est ainsi devenu un réflexe pour un État qui donne parfois l’impression qu’il « ne sait plus faire », malgré le dévouement de ses propres agents.».

L’important est la synthèse faite par la Commission d’enquête. Cette synthèse met en évidence les risques de conflits d’intérêts. Le nom de M. Olivier Véran est cité dans ce document. Pourquoi ? Nous citons une étrange phrase :

« M. Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé, l’a d’ailleurs confirmé devant la commission d’enquête : « si vous aviez voulu [les] documents estampillés McKinsey présents dans le dossier, vous auriez trouvé une feuille blanche ».» ???

Le ministre refuserait de livrer une information payée sur fonds publics, avec nos impôts ? Ou Mac Kinsey vendrait-il des feuilles blanches ? Celà ne doit pas rester sans sanctions. Au moins, vous, électeurs, pouvez infliger une sanction citoyenne contre un candidat Président qui permet de genre de pratiques.

D’autre part, le document de synthèse démonte le mécanisme qui permet de contourner le Code des marchés publics. Nous citons : 

« En pratique, le recours aux cabinets de conseil est facilité par des accords-cadres, dont celui de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et de la centrale d’achat UGAP. Ces contrats mettent à la disposition des ministères un vivier de cabinets de conseil, dans lequel ils peuvent aisément piocher. »

Quelle suite à cette commission d’enquête ? Qui va sanctionner ? La réponse, chers contribuables français et en particulier de l’Hérault, c’est vous qui en avez le pouvoir avec votre bulletin de vote citoyen.

Ne vous abstenez pas, ne votez pas blanc

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Alors qui voter ? Votez ! Voter est le devoir et la marque du citoyen. Pas d’abstention. Réfléchissez ! Il y a suffisamment de compétences dans nos militaires et nos fonctionnaires, des gens honnêtes ! Et après le 2e tour des élections, il y aura les élections législatives ! Il s’agit de l’avenir de nos enfants et petits-enfants. Pas d(abstention, pas de bulletins blancs ou nuls !

J’ai personnellement, depuis une cinquantaine d’années, essayé de ne JAMAIS manquer un scrutin. J’ai accepté de veiller sur des bureaux de vote, j’ai participé à des dépouillements. J’ai observé depuis quelques années les signatures se raréfier sur les registres d’émargement, l’abstention augmenter. J’ai extrait d’enveloppes bleues des carrès de papier hygiènique, des bulletins nuls. Plus jamais çà ! Votez !

Le père Spicace




Un antiviral bon marché

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observatoire phare

Argos Panoptes

Argos Panoptés

Nous n’en pouvons plus depuis plus d’un an de cette pandémie. Le premier confinement le 19 mars 2021 a coûté cher, très cher à l’économie de notre pays. Celui-ci s’est privé volontairement d’un médicament qui pouvait aider à enrayer la propagation du virus, j’ai nommé la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Le petit livre noir du Professeur Christian Perronne publié en juillet 2020 pose une question sur l’hydroxychloroquine, une question à laquelle personne n’a répondu clairement (page 152) :

« Le Président du HCSP, Franck Chauvin, professeur de santé publique et membre du Conseil Scientifique Covid-19 signe l’avis. Et dans cet avis, qu’est-ce qui est écrit ? Qu’il faut réserver l’hdroxychloroquine aux formes graves de la maladie. Devant le tollé suscité par ce texte chez les médecins et dans la population, le Pr Chauvin déclarqe quelques jours plus tard dans le Canard Enchaîné qu’il reconnaît que cet avis est absurde mais qu’il a subi des pressions pour le signer. Des pressions ? Lesquelles ? De qui ? On aurait aimé en savoir plus ! »

Jean Aymar,
citoyen français indigné !


Publication validée


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




La COVID19 recule à Marseille


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Info

La COVID-19 recule à Marseille ? Allons nous continuer à nous aveugler, sommes nous victimes du syndrome de Byzance ? Discuter du sexe des anges n’avait servi à rien aux membres du Concile de Constantinople de 1424 alors que les Turcs assiégeaient la ville ?

Nous devons être pragmatiques face au COVID-19 et à son agent le SARS-CoV-2 comme l’a été le professeur Didier Raoult avec le traitement à la chloroquine et à ses dérivés associés à l’azythromycine. Les faits lui donnent raison : l’épidémie recule à Marseille ! Il est possible que l’épidémie disparaisse au printemps ?

La vérité terrain n’empêche pas les chercheurs de continuer leurs essais cliniques et la mise au point de vaccins et de traitements par sérums de malades guéris.

La lutte féroce en France pour l’utilisation de médicaments nouveaux expliquerait la différence de mortalité plus faible dans les pays du tiers monde qui n’ont pas la choix ! Dixit Didier Raoult ! (15/04/2020).

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Les controverses sur une maladie et ses traitements


observatoire phare

Argos Panoptes

Nous observons, nous avons l’oeil !

Argos Panoptés

Controverses sur une maladie


Avertissement : Nous ne prescrivons pas un remède miracle, nous ne sommes pas médecins ni pharmaciens.
Seul un médecin peut prescrire et seul un pharmacien peut délivrer, sur ordonnance, un médicament garanti, pur de tout autre produit indésirable ou inactif (une contrefaçon).
Ce document peut évoluer au fil des jours en fonction de l’actualité. Rafraîchissez l’affichage de votre navigateur avec (touche F5 du clavier, rangée du haut)


Introduction

Notre économie par terre, des décès, des moyens de lutte qui ont manqué, cela ne doit plus se reproduire. Nous sommes entrés en récession par la faute d’un micro-organisme : un microbe, un virus, un coronavirus : SARS-CoV-2 et la maladie qu’il provoque, la COVID-19. La polémique fait rage, des patients meurent ! La seule position possible est de faire baisser la mortalité.

1- Deux informations

1.1 – Interview de M. le Ministre et Professeur de Médecine, Philippe Douste-Blazy

Le 7 avril 2020 à 9h30 dans l’émission « La Matinale d’Europe 1 », le Professeur Philippe Douste-Blazy, ancien ministre de la Santé, professeur de médecine et épidémiologiste, s’exprimait. Il fait partie du Conseil d’Administration de l’IHU de Marseille avec lequel il nie tout conflit d’intérêt. Il déclare être un médecin et considérer le travail de son collègue, un homme qui doit être respecté.

Le traitement doit être appliqué, nous sommes dans l’urgence, des gens meurent. ! Le ministre dit « Il n’y a pas de group-control parfait ». Il est remarquable qu’un professeur de médecine retraité ait repris du service dans un hôpital ; c’est cet homme qui vient soutenir un professeur en exercice dont les équipes sont au contact. Comment peut-on admettre devant un patient atteint du virion SARS-CoV-2 de lui administrer un placebo (de l’eau distillée ou un comprimé d’amidon) sachant que la maladie peut évoluer vers une issue fatale ? Comment a-t-on pu, qui l’a fait, prévoir de ne donner le traitement à la chloroquine qu’à des malades au stade grave ? A ce stade, la charge virale est faible mais le patient est lourdement impacté, son système respiratoire serait dans un état quasiment irréversible ? La chloroquine et son dérivé auraient un rôle préventif ? C’est au début de l’atteinte qu’il faut agir. C’est mon opinion de biologiste non-médecin et signataire de la pétition. J’ai personnellement pris de la Nivaquine (nom commercial de la chloroquine) au Sénégal pendant 8 ans (1972-1980) sans être incommodé ! Je n’ose qualifier de criminelle cette préconisation ! Le professeur-ex ministre s’étonne « qu’ON veuille faire croire que la nivaquine et l’hdroxychloroquine soient des poisons » ! Bien entendu, il ne faut en aucune façon faire de l’automédication et commander des comprimés médicamenteux sur Internet.

Seul un médecin peut prescrire et seul un pharmacien peut délivrer, sur ordonnance, un médicament garanti, pur de tout autre produit indésirable ou inactif (une contrefaçon).

1.2 – Le livre de M. le Professeur de Médecine, Didier Raoult

J’ai reçu les références du livre de « Professeur Didier RAOULT » Épidémies : vrais dangers et fausses alertes (Document Michel LAFON, 24 mars 2020, ISBN : 978274994421). Je me le suis procuré et l’ai lu. Je pense avoir trouvé des affirmations qui concordent avec ce qui a déjà été écrit sur ce blog.

1.2.1 Affaire H1N1

Á la page 40, D. Raoult met en cause l’OMS (WHO) à propos de l’épidémie de grippe aviaire qu’il qualifie de « maladie fantasmatique … qui n’existe par chez l’Homme. ». Il met en cause l’ancienne directrice de l’OMS, Margaret Chan (nationalité chinoise) qui « avait joué un rôle imprtant dans « Outre le vaccin, cette fausse alerte … ». Je dois ajouter que Madame le Ministre Roselyne Bachelot s’est vu reprocher son action, elle aurait été abusée par l’OMS et sa directrice ? D. Raoult affirme que « l’OMS va devenir le pyromane de la planète sur les épidémies. ». Grave accusation. Ce n’est pas la seule.

1.2.2 Affaire H7N9

Un nouveau virus provenant des oiseaux apparu dans des fermes chinoises. 350 victimes, certes, ce n’est pas négligeable. D. Raoult en tire la conclusion que ces zoonoses frappent des élevages intensifs ou les animaux vivent en grandes quantités mais aussi des rongeurs et des chauve-souris (colonies de plusieurs milliers d’individus cavernicoles). Là encore (p. 41) l’OMS est mis en cause « c’est l’emballement de l’OMS et des médias … ». Une maladie qui n’est jamais devenue transmissible. C’est l’hubris, la démesure !

1.2.3 Les coronavirus

Les coronavirus, selon D. Raoult, « forment une famille dont le nom vient de la couronne. » Il s’agit de microorganismes très répandus. Le 3e à avoir été identifié en 2003 est le virus du SARS (Severe Acute Respiratory .Syndrome) . Il a fait 880 morts et s’est arrêté. Après lui, le MERS-corona ne s’est pas étendu au-delà de son foyer initial (moyen-Orient).

Le coronavirus chinois

Le coronavirus chinois est apparu en décembre 2019 dans un marché où se vendent des animaux sauvages dont ce peuple est friand. La mortalité initiale de cette maladie, sa transmission au personnel soignant en ont fait une pandémie mondiale. Ce virus s’est aéro-transporté, d’abord localement avec les crachats, dont ceux issus des malades, contenaient de nombreux virions actifs. Des malades ont échappé au confinement et ont atterri en Europe (et ailleurs ?). L’hystérie mondiale, cette fois, a un fondement ! 3.400 morts officiels en Chine (chiffre contesté !) L’épidémie est devenue pandémie ! Le 7 avril 2020, le chiffre macabre serait de 74.000 morts dans le monde. Cliquez sur ce lien. Ici, Didier Raoult présente (p. 56) une diminution des infections respiratoires et bactériennes dans le monde. Les Chinois sembleraient posséder le don de réagir à ces épidémies « venant d’Asie ». C’est là, dans le texte de son livre (p.56), que le Professeur Raoult introduit l’usage de la chloroquine et de ses dérivés

1.2.4 La chloroquine et ses dérivés

La chloroquine semble avoir été évaluée par les autorités médicales chinoises comme molécule anti-infectieuse. Je cite D. Raoult « Ils ont su rapidement montrer que la chloroquine, un des médicaments les plus prescrits au monde et les plus simples, est peut-être le meilleur traitement des coronavirus et la meilleure prévention. Ce qui en ferait une des infections respiratoires les plus simples à prévenir et à traiter ». Dans une situation d’urgence, de « GUERRE » (selon les paroles du chef de l’État), il faut agir pour sauver des vies humaines car des gens meurent. Le Professeur Didier Raoult AGIT.

Il y a eu sur ce blog un billet daté du 2 avri 2020 sur la curieuse position de l’OMS sur la chloroquine. Les autorités politiques et médicales françaises ont mis en avant l’avis de l’OMS. On a vu l’OMS convoquer un groupe (panel) d’experts et 11 jours après le Directeur de cet organisme venir contredire les conclusions de ce groupe ! Conclusions non-publiques par essence et largement et mondialement diffusées sur le site de l’OMS sans restriction ! UBU-roi ? Mais UBU aurait servi d’argument à notre gouvernement (et à ses conseillers scientifiques ?) pour publier un arrêté déclassant la chloroquine et ses dérivés !

2 – Mauvaises appréciations de la crise

Prévenir, c’est guérir. Gouverner c’est prévoir. Le larmes et la curieuse réflexion le 24 janvier 2020 de Mme la Ministre Agnès Buzyn nous laisse dubitatifs ? Des informations contradictoires ont été publiées (Le Monde). Il ne nous appartient pas de juger mais de fournir des bases de réflexion pour « Le jour d’après ».

2. 1 Les anti-viraux et la prévention-guérison

Le SARS-CoV-2 est un nouveau venu dans la série des coronavirus. Un inconnu dont les chercheurs chinois se sont empressés de séquencer le génôme. Il y a à Wuhan un laboratoire de haute sécurité P4 bien équipé sur le modèle du laboratoire P4 « Jean-Mérieux » de Lyon (INSERM). Les médecins chinois n’ont pas hésité à utiliser la chloroquine et ses dérivés. Ce laboratoire ne semble pas avoir joué son rôle de prévention du COVID-19.

2.2. Le rôle des médias

D. Raoult (p. 57) dénonce « l’intérêt des laboratoires qui vendent des anti-viraux (Gilead a fait une progression boursière spectaculaire) … ». Il dénonce aussi  « ceux qui sont heureux d’être sur un plateau de télévision comme experts virtuels, qui font de l’audimat sur la peur, et de ceux qui se voient en sauveurs providentiels. » Des articles ont même été publiés de diverses sources qui ont accusé le professeur de retarder les essais cliniques d’anti-viraux (programme Discovery). Des menaces anonymes ont été proférées qui ont abouti à des excuses de la part de leur auteur. Le « Général chloroquine » (surnom affectueux) se plaint (p. 57) de ce que ses communications aient été traitées de fake news sur les réseaux sociaux ! La réaction a été la publication d’un site d’information hebdomadaire sur Youtube.

2.2. 1 France 5 « C dans l’Air »

Un média national, France 5 est à citer de notre point de vue. Ce 8 avril 2020, l’émission « C dans l’air » animée par Caroline Roux avait convoqué plusieurs médecins et chercheurs. Cliquez sur ce lien pour un « replay« . Ce replay ne marche pas sur tour les ordinateurs, nous avons repiqué le résumé et l’avons mis en forme lisible. Cependant, nous avons noté que ce débat mené courtoisement reflétait quelques divergences et l’animatrice a mis tout le monde apparemment d’accord.

  • Un des protagonistes interrogé sur les essais a admis qu’en France nous refaisions des essais cliniques avec des molécules dont les médecins chinois avaient indiqué qu’elles ne marchaient pas !
  • Il y a contradiction entre l’éthique du traitement contre l’éthique de la recherche : les deux se complètent mais il y a urgence du traitement.

Même si la chloroquine est jugée « un vieux médicament », l’urgence du traitement prime, c’est ce qui rend service au patient en vue de sa guérison qui doit être pris en considération. Ce qui n’empêche pas de continuer la mise au point de vaccins.

Nous soulignons que « l’hydroxychloroquine a été incluse au dernier moment dans l’essai, notamment en cours au CHU de Nantes. ». Le Professeur Didier Raoult semble avoir été victimes de menaces qui viendraient de médecins nantais ?

Le problème des réseaux sociaux est posé comme générateur de faux articles sur Internet assortis de récits complotistes. Un de nos articles sur ce site explique comment la zoonose se serait produite (1/04/2020, ce n’est pas un canulard !). Les scientifiques savent qu’on peut retrouver dans la séquences de gènes d’un micro-organisme manipulé (ADN), les traces du vecteur qui a introduit le gène modifié. Non, il n’y a pas eu malveillance. Il n’y a pas eu de virus fabriqué ! L’écologie et la biologie montrent que, hélas, les conditions de l’écosystème de Wuhan, de son marché aux « fruits de mer », les concentrations humaines et animales sont et ont été le creuset de maladies émergentes.

2.3 Les résultats sont là

Pourtant les résultats commence à arriver. La vérité terrain ! Ce que l’on enseigne aux écologues dans les DEA des Universités (Montpellier entre autres, j’y ai été formé). Les faits sont fournis par le terrain et non par des spéculations intellectuelles ou politiciennes qui sont des arrangements avec la vérité.  Chloroquine et hydroxychloroquine, Remdesivir ou Lopinavir, c’est le malade qui doit gagner, le serment d’Hippocrate l’exige.

La santé va revenir, le jour d’après va venir !

3 – Le jour d’après

Nous ne pouvons dire ce que sera ce jour d’après. Nous allons le construire ensemble, démocratiquement. Allez sur le site Parlement ouvert : le jour d’après. Inscrivez vous, contribuez. Cependant, comme Citoyens et Contribuables, vous pouvez juger le travail du Conseil Scientifique présidé par le Professeur Jean-François Delfraissy.

Conclusion.

Le feuilleton du COVID-19 ou SARS-CoV-2 est loin d’être terminé. Le 7 avril 2020 la barre des 10.000 décès (point presse J. Salomon) a été dépassée dans notre pays (info RMC les GG 9h53) et la majorité des cas (3.000) sont des résidents d’EPHAD.

Il ne faut pas que la situation actuelle puisse se reproduire.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




Le mystère de la chloroquine et de ses dérivés

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Intro

Qui cherche trouve. Un de nos amis biologiste (non-médecin) a été fortement intrigué par la hargne que manifeste un quarteron de spécialistes à l’encontre du professeur Didier Raoult et son traitement à la chloroquine. Le professeur marseillais a tiré parti des essais cliniques chinois qui n’ont pas fait l’objet de publications acédémiques classiques.

Faire une publication académique bénie par des comités de lecture est un processus qui prend du temps. Or, notre chef de l’État l’a dit et répété « Nous sommes en guerre », par deux fois ! A la guerre comme à la guerre, nous sommes dans l’urgence et des essais cliniques qui peuvent sauver des vies, on ne doit pas les interdire ni les canaliser, voire les freiner, ou les contrarier. Le professeur Raoult lui, préfère agir auprès de ses malades (voyez l’article du Parisien du 27 mars 2020). Nous en donnons des extraits :

« S’appuyant notamment sur les travaux de scientifiques et médecins chinois, qu’il considère comme « les meilleurs spécialistes de virologie au monde », il aurait trouvé le remède au Covid-19. Sa solution : utiliser la chloroquine (plus précisément, l’un de ses dérivés, l’hydroxychloroquine), un anti-paludique employé depuis 1949, en association avec le seul antibiotique qui fonctionne sur les virus, l’azithromycine. « Ce sont des molécules anciennes, sans problème majeur de toxicité, et immédiatement disponibles », explique-t-il dans ses vidéos devenues « virales ». « C’est efficace sur les cas positifs d’infection à ce nouveau coronavirus, ajoute-t-il. Le Covid-19 est probablement l’infection la plus facile à traiter. Ce n’est donc pas la peine de s’exciter, il faut travailler. » …

Peut-être est-ce là des affirmations qui ont été mal comprises ?

La chloroquine, remède miracle contre le coronavirus selon le Pr Raoult, c’est quoi ? …

Sans filtre, il fustige les « oiseaux de plateaux télé » qui « parlent comme dans les bars et n’y connaissent rien ».

Lui, il agit! Et déclare qu’il n’attend rien des nouveaux essais cliniques à grande échelle, finalement autorisés par le gouvernement, …».

La question de la chloroquine

La chloroquine est un antipaludéen de synthèse, un vieux médicament qui ne coûte plus rien, les droits sont prescrit, il était en vente libre. Ses effets secondaires sont connus, bien connus. Il s’est révélé efficace contre un autre corona-virus et la Chine l’a employé avec succès contre celui qui l’a infectée (et nous par la même occasion).

La question est de savoir pourquoi l’usine qui le fabrique pour un grand laboratoire était en cessation de paiement ? Pourquoi le 10 janvier 2020 ce médicament a été interdit de vente libre ? Quels sont les intérêts dont on ne parle pas qui ont agi ?

Nous avons une partie de la réponse dans cet article de Libération (Cliquez sur ce lien). La chloroquine serait génotoxique ? Ce qui est contesté par les médecins qui prescrivent l’hydroxychloriquine pour le lupus.

Le mode d’action dans le paludisme

Le paludisme est provoqué par un protozoaire, le Plasmodium falciparum, un micro-organisme véhiculé par différents moustiques dont l’Anophèle. La femelle s’infecte en piquant un malade paludéen puis inocule la parasite, les piqures sont faites pour se nourrir du sang. Le réservoir du parasite est dans les glandes salivaires du moustique, l’hôte le sujet humain infesté.

En simplifiant, dans le sang, le parasite (sporozoïte) infecte les globules rouges en y pénétrant et s’y reproduit . Les globules rouges éclatent et libèrent des mérozoïtes, le cycle dure environ 48h. Sans traitement, l’infestation peut être mortelle. La chloroquine (et ses dérivés) bloquent le cycle de reproduction dans les globules rouges en empêchant un des processus de se produire. Nous citons :

« La chloroquine agit sur le parasite à son stade intra-érythrocytaire, période au cours de laquelle s’exprime la maladie. Dans le globule rouge, le Plasmodium digère l’hémoglobine en libérant la molécule d’hème, hautement toxique. Pour éviter cette toxicité, le parasite provoque la polymérisation de l’hème en cristaux inertes d’hémozoïne. Dans cette vacuole digestive créée par le Plasmodium à l’intérieur du globule rouge, la chloroquine s’oppose à la cristallisation et forme avec l’hème un complexe toxique qui détruit le parasite. ».

Hélas, le parasite acquier une résistance à la chloroquine, obligeant la recherche à mettre au point d’autres molécules.

Le mode d’action dans la maladie à SARS-COV-2

La maladie à SARS-COV-2 ou Covid-19 est provoquée par un virus, un organisme totalement différent du Plasmodium du paludisme. Ce virus à couronne (corona) pénêtre dans les cellules du système respiratoire. Le processus peut être simplifié, le virus de multiplie en détournant le fonctionnement de la cellule pour répliquer des virus, un peu comme le protozoaire responsable du paludisme (toutes proportions gardées) . La biochimie d’une cellule envahie est un domaine complexe maîtrisé par les professeurs de médecine et les grands chercheurs français.

Peut-on imaginer que, comme dans sont intervention dans le cycle du parasite Plasmodium, une chaîne de réactions bio-chimiques se bloquerait, empêchant la multiplication (la réplication) du virus ? Il y aurait diminution de la charge virale !

Les essais cliniques menés en Chine et maintenant en France, à Marseiile (Pr. Didier Raoult) semblent encourageants et vont dans le sens de la guérison des patients.

Histoire récente de la chloroquine

Vieux médicament, la chloroquine commercialisée par la grand pharmacien SANOFI a été classée parmi les substances vénéneuses (Liste II, à ne délivrer que sur ordonnance). C’est un arrêté du 13 janvier 2020 signé par le directeur général de la santé qui a validé ce qui était une pratique répandue (ordonnance).

Il est certain que même en invoquant une ordonnance médicale, la réponse de plusieurs pharmaciens a été « Adressez vous à l’hôpital ! ». Circulez, y’a rien a voir.

La question est de savoir si on veut empêcher les français de se soigner ? Le Professeur Raoult est médecin, libre de ses prescriptions et il semble avancer. Le président de la fédération des médecins de France (FMF), le docteur Jean-Paul Hamon, un sexagénaire, s’exprimant sur la chaîne C-News ce 28 mars 2020, a dit avoir été frappé du SARS-COV-2 et avoir pris du plaquenil (un nom commercial pour l’hydroxichloroquine). Il a arrêté sa médication pour cause de nausées au bout de 2 jours ½. Il parle maintenant de reprendre son travail.

Les antiviraux

Il n’existe, à ce jour, aucune molécule antivirale spécifique. Le virus est nouveau, il n’y a pas assez de recul et la course est lancée au « repositionnement » de médicaments existants. La revue Sciences et Avenir nous présente le tableau des possibilités de lutte.

En attendant, laissons travailler ceux qui sont sur le terrain, au contact des malades, de leurs patients.

13/02/2022 : nous révisons ce billet : des antiviraux spécifiques commencent à être commercialisés. Il s’agit essentiellement du paxlovid (Pfizer). Avec la vaccination, l’espoir est là de maîtriser la pandémie.

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

Ici on s'honore du titre de Citoyen