Monsieur Emmanuel Macron, chef de l’État, Président de la République, a décidé de prendre le pouls de nos malades, pas les patients atteints du SARS-CoV-2 (COVID-19) mais les professeurs qui se tapent dessus à coup de remdesivir, lopinavir, et autres ritonavir, oubliant toute dignité. Il a visité le centre hospitalier du Kremlin-Bicètre, ce matin 9 avril 2020 et cet AM l’IHU de Marseille. Il a voulu ainsi marquer l’intérêt qu’il porte aux traitements en cours. Celui à la chloroquine semble marcher ! Tant mieux pour les malades !
Assez de guerres pichrocolines !
Nous ne résistons pas au plaisir de vous faire découvrir le savoureux dessin publié hier 8 avril par nos amis de La Mouette
L’Agglorieuse du 8 avril 2020
(toute ressemblance avec une personne existante serait le fruit du hasard)
Des données rendues publiques
Nous avons entendu
Des données rendues publiques.
De nouvelles dispositions européennes vont dans le sens de la transparence dûe aux citoyens. C’est l’«Open Data». C’est à dire en bon français, les données ouvertes. Cliquez sur ce lien, vous saurez tout.
Vous pourrez passer des moments passionnants, par exemple, sur les budgets de notre métropole, sans vous déplacer, en toute quiètude.
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Faux numéros de Sécu : 14 milliards de fraude et consorts
Les faux numéros de sécurité sociale nous coûtent cher😢🤦♀️
La Lettre d’information « Tous contribuables » de l’association « Contribuables Associés » de mars-mai 2019 attire notre attention sur les conséquences désastreuses pour le finances publiques de la fraude dite « Faux numéros de Sécu » dénoncée par M. Charles Prats, magistrat spécialiste de la lutte anti-fraudes, le 18 février dernier.
Cette fraude est liée à la création de faux numéros INSEE (les fameux numéros de Sécu) sur la base de faux documents.
L’auteur de cet article, Frédéric Durtal, soulinge le coût estimé à 14 milliards d’€uros et invite nos gouvernants à « mettre fin à ce scandale … ». Nous nous joignons à lui !
Je suis allé consulter un numéro de Valeurs Actuelles dans mes archives (n° 4161 du 25-31 août 2016). Rien n’a beaucoup changé ! L’article « Profession assisté » (pp. 32-40 et partic. p. 33) sont éloquents : « Nous avons en France un système social dans lequel les bénéficiaires n’ont que des droits mais plus aucun devoir […]. Lorsqu’un gouvernement n’exige rien en échange de droits, c’est l’ère de la déresponsabilisation. » dit Laurent Wauquiez, cité par le journaliste.
Comment 3 ans après cette dénonciation cinglante, on ne fait rien contre une fraude qui coûte à notre pays 14 Milliards d’€uros par an selon la lettre d’iformation pré-citée, un torrent financier auquel s’ajoute bien des petites rivières. La valeur travail est bafouée.. La revue précitée (p. 36) clame « Fraude à tous les étages » et énumère les fraudes (arnaques aux allocations familiales, les aides frauduleuses au logement (dont ALS, …), les dissimulations (de concubinage : 20% des fraudes, omissions ou fausses déclarations …
Qui se souvient de la pantomine, de la farce présidentielle de l’affaire Léonarda ? Elle avait coûté la modique somme de 416.544 €uros. Selon la Cour des Comptes, « un demandeur d’asile coûte à la France 13.274 €uros en moyenne par an. Pour l’ensemble des migrants présents en métropole, les dépenses de l’État représenteraient 6,9 milliars d’euros par an. » selon M. de G.-M. (p. 38 encart).
La princesse a le dos large me disait souvent feu mon papa.
Jacou le Croquant, un citoyen très en colère ! mais respectueux des lois républicaines
Liberté-Egalité-Fraternité
Les armoieries de la République
Nos fondamentaux
La devise nationale est « Liberté Egalité Fraternité ». Les principes fondamentaux de notre République sont là ! Ils traduisent des droits intangibles, à la fois politiques et sociaux qui ont été reconnus aux citoyens par les différents régimes républicains. L’article 1er de la Constitution s’inscrit dans ce cadre puisqu’il proclame « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale ».
Un Auditeur IHEDN 1985
Un homme en détresse appelle au secours
L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.
Argos panoptès
Intro
L’affaire serait risible si un tribunal, une cour d’appel administrative, n’avait donné tort à une association de défense de l’environnement. La gare fantôme du contournement sud de Montpellier «Sud de France» se dresse, glaçante, au milieu de vignes en fiches, dans une zone inondable saccagée par les pelleteuses et les bulldozers, bénie par une décision de justice et un label dit d’utilité publique.
Libération illustre son article au vitriol par l’image prise depuis un pont d’une statue d’un homme tournant le dos à la gare et regardant vers le nord, bars écartés dans un mouvement pathétique d’appel au secours ! A-t-on voulu illustrer le calvaire, l‘odyssée vers Odysséum, de ces voyageurs piègés sans navette et décidés d’aller a Montpellier à pied ? Une gare au milieu de nulle part, sans un guichet, sans quoi se restaurer et se rafraîchir ! Non, il faut chercher, se fouler la rate, pour découvrir qu’il s’agit d’une statue de Gagarine le Cosmonaute ! Quel lien ? Je pose la question !
Europe-Ecologie les Verts a constitué un collectif contre cette gare. Cliquez sur ce lien.
Ce grand projet inutile a coûté 142 M€uros, la Ministre des Transports ne s’est même pas déplacée pour l’inaugurer. La polémique bat son plein avec une plainte et une mise en examen pour diffamation contre le Maire et Président de la Métropole. Cliquez sur ce lien.
Nous nous sommes connectés à Wikipédia et nous établissons, autant que faire se peut, les liens pour que notre lecteur puisse se renseigner sur les personnes ou les entités de l’oligarchie citées ici. Le grand cercle ou le collier étrangleur ?
Monsieur François RUFFIN n’aime pas Monsieur Emmanuel MACRON, notre Président de la République. Ils ne vivent pas dans la même sphère bien qu’ayant fréquenté le même lycée de Lille, à deux ans d’intervalle. Son livre commence par une citation :
« Le danger aujourd’hui est que la direction des affaires soit accaparée par des oligarchies de compétences associées aux puissances d’argent. » (Paul RICOEUR).
C’est ce que nous trouvons dans ce livre « Ce pays que tu ne connais pas » (Les Arénes éd., 2019). Le chapitre (p. 75) «énarque : Le temps des parrains ». S’agirait-il de parrains mafieux ? L’auteur cite Henry Hermand (P. 76), un industriel épris de politique au service de son protégé Emmanuel MACRON. Le quotidien du soir « Le Monde » publiait sur eux, lors du décès en 2016 du protecteur oligarque :
« Davantage qu’un soutien, un financier, un compagnon de route, Emmanuel Macron a perdu, en cet automne humide, un ami, un père de substitution. ».
Auparavant, il avait ouvert son carnet d’adresses, introduit le futur président aux bons endroits : Michel Rocard, Louis Schweitzer, Pascal Lamy, le Nouvel Observateur, Terra Nova, Fondation Saint-Simon, la revue Idées, … en bref toute la proclamée « social-démocratie ». Puis Jean-Pierre Chevênement est cité. Avec sa compagne (recrutée à Saint-Louis de Gonzague), le futur « Jupiter » « tisse une toile de connivences ». Il est cité comme un homme « de réseaux », des réseaux dormants qu’il saura réveiller l’heure venue.
L’auteur cite le « Bilderberg » (p. 83), un groupe confidentiel qui réunit chaque année une centaine de personnalités, des oligarques (affaires, politique, médias, diplomatie, …). Sont cités :
Henri de Castries (PDG AXA, dirige le groupe Bilderberg (ou Cercle du) et préside l’Institut Montaigne), un ami de longue date, « qui patronne (à ses heures) le Collège des Bernardins »,
Laurent Bigorne, hébergeur à ses débuts du mouvement En Marche,
Bertrand Collomb, ex PDG de LAFARGE et membre du Bilderberg et de la Commission Trilatérale (émanation du Cercle du Bilderberg),
Patricia Barbizet (qui dirige la holding de la famille Pinault), présidente du Club « Le Siècle » (un club d’influence), membre du comité directeur du Bilderberg et de La Trilatérale,
Anne Lauvergeon, ancienne Pdg d’AREVA, membre de la Trilatérale,
Sont cités aussi des amis de longue date ayant suivi une formation d’officiers de réserve puis l’ENA (promotion Voltaire : François Hollande, Ségolène Royal, Dominique de Villepin, Michel Sapin, …).
La cerise sur le gâteau des « parrains » est cité : Monsieur Jean-Pierre JOUYET, ami de longue date, influent Inspecteur général des Phynances « marié à une autre Brigitte, héritière de la famille Taittinger (qui siège au conseil d’administration de [groupe] Suez, de HSBC France, de la FNAC-DARTY ». Haut-fonctionnaire, il est passé de la direction du Trésor à celle de la Banque Barclays, un socialiste tendance Gracques (rose très pâle) à secrétaire d’état aux affaires européennes de Nicolas Sarkozy : « la politique, la banque, la haute administration, il a tout fait » !!! Directeur de l’Inspection générale des Phynances en 2005, il prend M. MACRON « sous son aile ». Le reste coule de la haute-source. Il sera introduit dans l’équipe de campagne Hollande puis « secrétaire général adjoint » de l’élysée et enfin il appuiera la nomination comme Ministre de l’économie de M. MACRON, auparavant proposé au Cercle Bilderberg. Comme le dit François Ruffin « le grand monde est un petit monde, qui se croise et se re-croise ». Un grand cercle qui ressemble à un collier étrangleur.
M. Emmanuel Macron, Président de la République dit « Je me suis fait tout seul ! ». Avec un sacré « piston » fait des milliers de liens, ce que les gens polis appellent « relations ». Le grand cercle n’est qu’un collier étrangleur, de ceux qu’on utilise pour dresser les chiens. François Ruffin (pp. 122-123) rappelle la fable de La Fontaine « Le loup et le chien » et dit « je le voyais, le collier qui se resserre autour de votre nuque, à vous étrangler, à vous étouffer. Ils vous ont si bien nourri, si bien rempli votre gamelle, vous êtes aujoud’hui leur créature, leur toutou, ils vous tiennent par la laisse. ». Nous laissons nos lecteurs juges.
Au Venezuela, les amis de MM. Mélanchon et Ruffin affament le peuple et accusent les USA de complot. En France, une oligarchie a pris le pouvoir avec son jockey, nous vendons nos biens à des puissances étrangères ou à des grands groupes. Nous ne voulons ni des amis de Maduro ni ceux qui ont rempli la gamelle de celui qui éructait avec des trémolos dans la voix « Nous allons sauver la France, vive la République, vive la France ! », une France endettée, désindustrialisée, qui veut jouer dans la cour des grands et donne les leçons venant de son « Jupiter » tonnant. L’argent doit servir notre pays en enrichissant nos concitoyens, tout travail doit être rémunéré à son juste prix. Une juste retraite égale pour tous est un droit acquis par le travail. Quel est le montant de la CSG payé par les oligarques, par les dépensocrates ?
Signature du Citoyen-Contribuable 34
La fête à M. Macron
Argos Panoptes
Nous observons, nous avons l’oeil !
La fête à Macron
La fête du dieu Lupercus à Rome était « les Lupercales ». Des citoyens, en France, célébrent chaque samedi, la fête de la Macronie en enfilant des gilets jaunes. Nous n’empoierons pas de termes « étrangers » mais par analogie un néologisme bien français « Les Macronales ». Des voyous ont profité de ces fêtes populaires du samedi pour casser le bien d’autrui. Nous les désignons à la vindicte citoyenne. Un journaliste, François RUFFIN, auteur du livre « Ce pays que tu ne connais pas », fait du persiflage sur notre Président. Persiflez, persiflez, … il en restera toujours quelque chose. Voici ce qui est écrit, je cite :
pp. 43-44
« Le petit génie de l’élysée »,
« piéce maitresse dans le dispositif élyséen »,
« garçon d’un commerce délicieux avec un naturel désarmant »
« tout le monde loue les qualités : une intelligence maligne, une capacité de travail de bûcheron »,
du Nouvel Observateur l’« enfant prodige de l’élysée, doté d’un incroyable charisme »,
l’Express « Mozart à l’élysée »,
les Échos, le Figaro, le Monde, Challenges, … partout vous « posez avec vos mines pour catalogue des 3 Suisses : les traits réguliers, le nez droit, la peau lisse, la mâchoire carrée. »
Cette dithyrambe cache mal son ironie pour notre chef de l’état à qui est dû tout le respect. Pour l’auteur que nous citons « C’est physique. C’est viscéral. C’est très mal. … ». Oui mais, je dois avouer que si je ne partage pas les convictions politiques de l’auteur du livre précité, je n’en ai pas moins une aversion profonde dont la limite s’arrête à la considération dûe au chef de notre état. Cette aversion a commencé quand j’ai vu qui le suivait et se mettait en marche derrière lui, notamment à Montpellier et dans la Métropole. Les milieux que je fréquente ont la même opinion que moi : un chef qui ne sait pas commander et s’entoure de gens douteux qui ont provoqué une affaire dont la justice a eu à connaître et va encore avoir à connaître.
p. 57 :
L’auteur du livre fait une citation que j’ai du mal à comprendre. Elle est extraite d’une pièce qui aurait été écrite par notre jeune génie « Ainsi, nous pouvons décider ensemble que le cri du chien sera nommé hennissement et que tous les chiens de la terre vont se mettre à hennir » ! ? Je suis perplexe, je ne suis pas un chien qui hennit. Jupiter ne me fera jamais hennir, je ne suis pas un chien mais un retraité frustré, spolié d’une partie de revenus parce que cet homme qui plane aura décidé de faire des retraités une variable d’ajustement budgétaire. J’ai payé pour la retraite des autres, je ne veux pas payer pour assurer aux hauts-fonctionnaires des traitements et des retraités dorés.
M. François RUFFIN est un député « La France Insoumise » de la 1ère circonscription de La Somme. C’est un des 577 représentants élus au suffrage universel. Si ses prises de position dérangent ses adversaires politiques, ce qu’il dénonce comme privilèges, passe-droits et gabegies diverses est appuyé par des faits. Il n’a pas été encore poursuivi pour outrages au chef de l’État (ce délit n’en est plus un), le dit chef de l’État, avec tout le respect qui lui est dû, ne doit pas se sentir tout à fait à l’aise ! Les frappes sont dures et sans pitié ! Car ce sont des faits prouvés qui sont mis en exergue.
« Ce pays que tu ne connais pas », éditeur Les Arénes, Paris, 2019, est écrit par François RUFFIN, le titre tutoie mais il commence par une adresse à « Monsieur le Président ». Il a été à la rencontre du « peuple des ronds-points » ; il cite Montpellier où il est allé à la fin de 2018. Il raconte l’histoire de Marie dont il accuse le Président de l’avoir fait pleurer. C’est un peuple que Monsieur le Président ne connaît pas ! Elle dira « Je suis blessée par son arrogance. Au moins les autres, ils avaient un côté humain. Là j’ai l’impression d’avoir une espèce de robot, pré-programmé. Je ne comprends pas son but : il y a des choses belles à faire. Pourquoi on va toujours vers l’intérêt financier, vers l’argent ? ». L’argent dont Monsieur le Président semble n’avoir jamais manqué ?
Le premier chapitre (page 21) « Ministre : aux frais de la République » explique, faits à l’appui (jamais démentis), comment deux anciens élèves du même lycée privé d’Amiens (à 2 ans d’intervalle) ont eu deux destinées différentes. La fin explique comment le futur président investit les locaux du Ministère des Finances (Bercy, 26/08/2014). Il va utiliser ce haut-poste à préparer sa future élection, payé « 9.940 » €(uros/mois) : « … vous avez trouvé le temps de poser pour L’Express, Le point, Le Monde, Paris Match, de donner des entretiens au Monde, au Figaro, à France 2, de vous produire en shows à Amiens, à Bercy (pas encore le Palais des Sports, le Ministère), à la Mutualité, … ». Il a pu lancer le mouvement « En Marche », « … de jouer au chat et à la souris avec Valls et Hollande … ». Il a utilisé dans son intérêt personnel « Le tout, et c’est là le plus grand scandale, aux frais de la République ![…] En 2016, pendant les huit premiers mois, les crédits de l’année entière ont été consommés en frais de représentation ! ». Christian Eckert, « voisin de bureau à Bercy » (Secrétaire d’Etat au Budget) s’est interrogé dans un livre, semble-t-il, resté dans la poussière. Il s’interrogeait « Je me demande, avec toutes ses rencontres, ses réunions privées, ses voyages escortés par les médias, comment Macron [sic !] a trouvé le temps et les moyens pour être ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique. […]. ».
Les accusations justifiées de M. Eckert, homme réputé intègre (il est élu local, agrégé de mathématiques, n’a pas fait l’ENA), nous font regretter que le crime de forfaiture ait été supprimé du Code pénal. Se servir des moyens de l’État à des fins personnelles, trahir la confiance du chef de l’État d’alors, etc. pourraient être appréciés comme forfaiture (trahison du suzerain). Et pendant ce temps là, des salariés « se noyaient » et M. Macron passait son temps à séduire, séduire les gens de pouvoir, financer sa campagne présidentielle, avant de démissionner de son poste ministèriel. Au lieu de s’occuper des ouvriers du Grésivaudan.
Faut-il en dire plus ! Le dépensocrate bien payé (119.280 €/an) s’est servi, en plus, dans les caisses de l’État pour caresser dans le sens du poil les gens qu’il voulait séduire ; comme il s’est servi, Président, dans les pensions des retraités pour alimenter la CSG, une taxe inique, inacceptable quand on a cotisé toute sa vie professionnelle sans savoir qu’on « payait la retraite des autres et qu’on ne capitalisait pas pour l’avenir », comme vous l’avez dit Monsieur MACRON ! Honte à vous, je rejoins les « Gilets jaunes », je dénonce violemment les casseurs, les « black blocks » dont vous vous montrez incapable avec vos Ministres, de prévenir et de réprimer les casses, malgré les aversissement des services de renseignement. Certains vous ont accusé de vouloir faire endosser par l’extrême droite ce que des casseurs d’extrême gauche ont commis.
Le Gaulois Insoumis, que je suis, sonne du carnyx, la trompe de guerre de nos ancêtres. Je voudrais prendre parti contre vous (élu avec une abstention record), contre vos députés godillots. Je n’ai pas voté pour vous.
Lors de la visite à Montpellier de François RUFFIN, j’étais à La Carmagnole. Le nom d’une chanson qui promettait aux aristocrates un sort physique infâmants : les aristocrates à la lanterne : une corde attachée à la lanterne comme gibet.
Je fais partie, je l’espère, des gens civilisés : des démocrates issus du peuple. L’Association des Contribuables de l’Hérault (ACH34 dont j’ai été membre actif) avait proposé en 2002 de remplacer « aristocrates » par « dépensocrates ». Nous proposons de remplacer la corde du gibet par le vote du suffrage universel aux prochaines élections ! Le couperet du suffrage universel, sans abstentions, avec vote obligatoire sanctionné, pour virer les dépensocrates grassement payés qui sont incapables de gouverner, qui divisent les Français et vivent sur le « dos de la princesse », faisant passer leur intérêt personnel avant l’intérêt général. Ça suffit ! On comprend le rejet du Référendum d’Initiative Citoyenne.
A Montpellier-la-Surdouée, le Maire et Président de la Métropole a fait allégeance à Monsieur MACRON et à son mouvement. Nous avons pu apprécier le niveau atteint par les Grands Projets Inutiles et Coûteux. Depuis plusieurs années, l’ACH34 s’est battue contre les dépensocrates de tous poils. Nous proposons de relancer cette association entrée en léthargie, c’est possible !
Nous avons longtemps déploré la muselière dont on a doté la Cour des Comptes. La Cour et ses cours régionales examinent, analysent, font des remontrances mais rares sont les poursuites. Nous attendons avec intérêt l’examen des dépenses que M. Christian ECKERT reprochait à son voisin ministre. Peuh ! Un secrétaire d’état oser s’attaquer un ministre, de surcroît inspecteur général des finances ! Qui oserait ?
La parole est à la Cour des Comptes et au peuple.
Le veilleur et lanceur d’alerte
Le Président de la République pris à partie
Nous lisons et rendons compte
Un livre est sorti récemment sous la signature de Monsieur François Ruffin, député de la République « Cette France que tu ne connais pas » (Les Arènes éditeur, 2019). Le député de La France Insoumise n’y va pas avec le dos de la cuillère, avec son tutoiement, sa dénonciation des hautes castes de fonctionnaires pantouflards et rétro-pantouflards, les parrains et les collusions avec les milieux d’affaire qui ont porté à la Magistrature suprême un inspecteur général des phynances. Ce livre complète le billet de notre blog où Jacou-le-Croquant dénonce les privilèges de la haute administration dont notre Président fait partie et où est cité le livre de Vincent Jauvert « Les Intouchables d’état : bienvenue en Macronie » (Robert Laffont, janvier 2018).
La parole sur ce site est libre pour qui respecte les règles de courtoisie et ne se livre à aucune insulte. Nos contributeurs sont libres tant qu’ils respectent la Net-étiquette. Les personnes souhaitant nous contredire sont les bienvenues tant que ces règle de bienséance ne sont pas outrepassées.
Nous sommes du côté des petits, des retraités modestes, de ceux qui ont cotisé toute leur vie d’activité croyant investir pour leur retraitée et qui ont été grugés ! La CSG sur les retraites est inadmissible. François Ruffin est du côté des petits, des sans-dents, des besogneux.
Signature du Citoyen-Contribuable 34
Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ?
Il faut un long travail de remise à plat de notre fiscalité et un audit sans complaisance ni détours des privilèges indus car contrevenant au principe fondamental d’égalité qui fonde notre république. Cet audit doit s’appliquer aux hauts-fonctionnaires, membres de cabinets, ministres, députés et sénateurs. Il est nécessaire de débusquer les commissions, hautes-autorités, commissions inter-ministérielles, etc. qui coûtent cher par les prébendes, retraites dorées et autres avantages des hauts-fonctionnaires qui y siègent.
Une évaluation citoyenne est absolument nécessaire du rapport coût-efficacité de telles instances, s’agissant d’argent public. Il y a là un gisement d’économies. Il est absolument indispensable que les rapports remis par les magistrats de le Cours des Comptes (nationale et régionales) soient suivis de sanctions sévères et de poursuites pénales notamment dans le cas des marchés publics et des avantages indûs (délinquants, receleurs, etc.).