Que dit l’OMS sur la chloroquine. Qui ment ?


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 Le rapport  OMS-WHO du 13 mars 2020

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS-WHO) a rendu public un brouillon (« draft« ) de 9 pages en anglais (nous traduisons 🙂  « Consultation informelle sur le rôle potentiel de la chloroquine dans la gestion clinique de l’infection à COVID 19 ». Ce brouillon est daté du 13 mars 2020, c’est un document rendant compte d’une réunion d’experts dont 25 étaient présents et 12 invités absents. Parmi ces derniers, le professeur Bruno Lina (France, ORPHANET). La date exacte de la réunion n’est pas explicitement indiquée, à moins que ce soit aussi la date de la publication dans les « R&DBlueprint ». Nous avons recherché sur le net et le site de l’OMS une version en français, en vain. Nous l’avons traduite pour notre usage personnel, afin de bien comprendre le sens des phrases. Bien que toutes réserves aient été faites sur la page de couverture sur l’usage de ce document et dans sa page finale sur les changements possibles en fonction de nouvelles informations, nous estimons qu’il s’agit d’un document officiel diffusé urbi et orbi, mondialement.

Ce document semble avoir été mal lu ou mal rapporté par les médias de langue française. Certains ont brandi ce rapport pour s’opposer au professeur Didier Raoult et l’emploi clinique qu’il fait de la chloroquine et de ses dérivés pour lutter contre le COVID 19, une maladie dont l’agent est le SARS-CoV-2. Coup de théatre, on nous dit que le 23 mars 2020 que l’OMS condamne « séchement »  l’emploi de la chloroquine. M. Edouard Philippe argue de cette « décision » pour réserver le traitement à la chloroquine aux malades les plus gravement atteints ! Une déclaration qui pourrait être jugée criminelle !

Le contenu du rapport OMS-WHO

Comment interpréter les conclusions du « panel » (groupe) d’experts convoqué par l’OMS et qui ne formule jamais dans les 9 pages  la moindre objection sur la mise sur pied de traitements à base de chloroquine et dérivés, encourageant au contraire et dans les meilleurs délais possibles la poursuite d’essais cliniques ! Comment comprendre que 12 jours après l’avis rendu par les 25 experts, le Directeur général de l’OMS prenne une position radicalement opposée à ce que ses experts ont préconisé ?

On peut se poser la question ? Où sont les éléments nouveaux susceptibles de modifier  le contenu du rapport amenant les experts du Panel OMS à manger leur chapeau ? Quel est le Pinoccho dont le nez est en train de s’allonger ? Au point de devenir un arbre ?

Pinocchio très menteur
Pinocchio très menteur

En attendant, les essais cliniques se multiplient dans notre pays : on appelle cela un « bras » sur la chloroquine ! Il y a d’autre bras avec les antiviraux aux noms poétiques :

  • Remdésivir (médicament expérimental conçu contre Ebola),
  • Lopinavir/ritonavir (un anti VIH), associé à l’interféron,
  • etc. (nous n’avons pas plus d’informations sur les bras et l’essai Discovery)

qui nous « coûtent un bras ! ».

A 430 euros le boite de 10 comprimés ! Rien à voir avec cette bonne vielle nivaquine à quelques centimes d’euro le comprimé ! Et de ses dérivés !

En attendant, hélas, des malades meurent.  Le professeur Didier Raoult poursuit son combat contre le SARS-CoV-2 à Marseille : dépistage suivi pour ceux qui sont atteints du traitement comprenant la Chloroquine et ses dérivés.

Lorsque la guerre contre le SARS-CoV-2 aura été gagnée et que le calme sera revenu, il faudra que ceux qui ont failli rendent des comptes. Ceux qui n’ont pas compris que gouverner c’est prévoir.

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La COVID19 recule à Marseille


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Info

La COVID-19 recule à Marseille ? Allons nous continuer à nous aveugler, sommes nous victimes du syndrome de Byzance ? Discuter du sexe des anges n’avait servi à rien aux membres du Concile de Constantinople de 1424 alors que les Turcs assiégeaient la ville ?

Nous devons être pragmatiques face au COVID-19 et à son agent le SARS-CoV-2 comme l’a été le professeur Didier Raoult avec le traitement à la chloroquine et à ses dérivés associés à l’azythromycine. Les faits lui donnent raison : l’épidémie recule à Marseille ! Il est possible que l’épidémie disparaisse au printemps ?

La vérité terrain n’empêche pas les chercheurs de continuer leurs essais cliniques et la mise au point de vaccins et de traitements par sérums de malades guéris.

La lutte féroce en France pour l’utilisation de médicaments nouveaux expliquerait la différence de mortalité plus faible dans les pays du tiers monde qui n’ont pas la choix ! Dixit Didier Raoult ! (15/04/2020).

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Signature du Citoyen-Contribuable 34

 Contribution validée par le modérateur.

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Les controverses sur une maladie et ses traitements


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Controverses sur une maladie


Avertissement : Nous ne prescrivons pas un remède miracle, nous ne sommes pas médecins ni pharmaciens.
Seul un médecin peut prescrire et seul un pharmacien peut délivrer, sur ordonnance, un médicament garanti, pur de tout autre produit indésirable ou inactif (une contrefaçon).
Ce document peut évoluer au fil des jours en fonction de l’actualité. Rafraîchissez l’affichage de votre navigateur avec (touche F5 du clavier, rangée du haut)


Introduction

Notre économie par terre, des décès, des moyens de lutte qui ont manqué, cela ne doit plus se reproduire. Nous sommes entrés en récession par la faute d’un micro-organisme : un microbe, un virus, un coronavirus : SARS-CoV-2 et la maladie qu’il provoque, la COVID-19. La polémique fait rage, des patients meurent ! La seule position possible est de faire baisser la mortalité.

1- Deux informations

1.1 – Interview de M. le Ministre et Professeur de Médecine, Philippe Douste-Blazy

Le 7 avril 2020 à 9h30 dans l’émission « La Matinale d’Europe 1 », le Professeur Philippe Douste-Blazy, ancien ministre de la Santé, professeur de médecine et épidémiologiste, s’exprimait. Il fait partie du Conseil d’Administration de l’IHU de Marseille avec lequel il nie tout conflit d’intérêt. Il déclare être un médecin et considérer le travail de son collègue, un homme qui doit être respecté.

Le traitement doit être appliqué, nous sommes dans l’urgence, des gens meurent. ! Le ministre dit « Il n’y a pas de group-control parfait ». Il est remarquable qu’un professeur de médecine retraité ait repris du service dans un hôpital ; c’est cet homme qui vient soutenir un professeur en exercice dont les équipes sont au contact. Comment peut-on admettre devant un patient atteint du virion SARS-CoV-2 de lui administrer un placebo (de l’eau distillée ou un comprimé d’amidon) sachant que la maladie peut évoluer vers une issue fatale ? Comment a-t-on pu, qui l’a fait, prévoir de ne donner le traitement à la chloroquine qu’à des malades au stade grave ? A ce stade, la charge virale est faible mais le patient est lourdement impacté, son système respiratoire serait dans un état quasiment irréversible ? La chloroquine et son dérivé auraient un rôle préventif ? C’est au début de l’atteinte qu’il faut agir. C’est mon opinion de biologiste non-médecin et signataire de la pétition. J’ai personnellement pris de la Nivaquine (nom commercial de la chloroquine) au Sénégal pendant 8 ans (1972-1980) sans être incommodé ! Je n’ose qualifier de criminelle cette préconisation ! Le professeur-ex ministre s’étonne « qu’ON veuille faire croire que la nivaquine et l’hdroxychloroquine soient des poisons » ! Bien entendu, il ne faut en aucune façon faire de l’automédication et commander des comprimés médicamenteux sur Internet.

Seul un médecin peut prescrire et seul un pharmacien peut délivrer, sur ordonnance, un médicament garanti, pur de tout autre produit indésirable ou inactif (une contrefaçon).

1.2 – Le livre de M. le Professeur de Médecine, Didier Raoult

J’ai reçu les références du livre de « Professeur Didier RAOULT » Épidémies : vrais dangers et fausses alertes (Document Michel LAFON, 24 mars 2020, ISBN : 978274994421). Je me le suis procuré et l’ai lu. Je pense avoir trouvé des affirmations qui concordent avec ce qui a déjà été écrit sur ce blog.

1.2.1 Affaire H1N1

Á la page 40, D. Raoult met en cause l’OMS (WHO) à propos de l’épidémie de grippe aviaire qu’il qualifie de « maladie fantasmatique … qui n’existe par chez l’Homme. ». Il met en cause l’ancienne directrice de l’OMS, Margaret Chan (nationalité chinoise) qui « avait joué un rôle imprtant dans « Outre le vaccin, cette fausse alerte … ». Je dois ajouter que Madame le Ministre Roselyne Bachelot s’est vu reprocher son action, elle aurait été abusée par l’OMS et sa directrice ? D. Raoult affirme que « l’OMS va devenir le pyromane de la planète sur les épidémies. ». Grave accusation. Ce n’est pas la seule.

1.2.2 Affaire H7N9

Un nouveau virus provenant des oiseaux apparu dans des fermes chinoises. 350 victimes, certes, ce n’est pas négligeable. D. Raoult en tire la conclusion que ces zoonoses frappent des élevages intensifs ou les animaux vivent en grandes quantités mais aussi des rongeurs et des chauve-souris (colonies de plusieurs milliers d’individus cavernicoles). Là encore (p. 41) l’OMS est mis en cause « c’est l’emballement de l’OMS et des médias … ». Une maladie qui n’est jamais devenue transmissible. C’est l’hubris, la démesure !

1.2.3 Les coronavirus

Les coronavirus, selon D. Raoult, « forment une famille dont le nom vient de la couronne. » Il s’agit de microorganismes très répandus. Le 3e à avoir été identifié en 2003 est le virus du SARS (Severe Acute Respiratory .Syndrome) . Il a fait 880 morts et s’est arrêté. Après lui, le MERS-corona ne s’est pas étendu au-delà de son foyer initial (moyen-Orient).

Le coronavirus chinois

Le coronavirus chinois est apparu en décembre 2019 dans un marché où se vendent des animaux sauvages dont ce peuple est friand. La mortalité initiale de cette maladie, sa transmission au personnel soignant en ont fait une pandémie mondiale. Ce virus s’est aéro-transporté, d’abord localement avec les crachats, dont ceux issus des malades, contenaient de nombreux virions actifs. Des malades ont échappé au confinement et ont atterri en Europe (et ailleurs ?). L’hystérie mondiale, cette fois, a un fondement ! 3.400 morts officiels en Chine (chiffre contesté !) L’épidémie est devenue pandémie ! Le 7 avril 2020, le chiffre macabre serait de 74.000 morts dans le monde. Cliquez sur ce lien. Ici, Didier Raoult présente (p. 56) une diminution des infections respiratoires et bactériennes dans le monde. Les Chinois sembleraient posséder le don de réagir à ces épidémies « venant d’Asie ». C’est là, dans le texte de son livre (p.56), que le Professeur Raoult introduit l’usage de la chloroquine et de ses dérivés

1.2.4 La chloroquine et ses dérivés

La chloroquine semble avoir été évaluée par les autorités médicales chinoises comme molécule anti-infectieuse. Je cite D. Raoult « Ils ont su rapidement montrer que la chloroquine, un des médicaments les plus prescrits au monde et les plus simples, est peut-être le meilleur traitement des coronavirus et la meilleure prévention. Ce qui en ferait une des infections respiratoires les plus simples à prévenir et à traiter ». Dans une situation d’urgence, de « GUERRE » (selon les paroles du chef de l’État), il faut agir pour sauver des vies humaines car des gens meurent. Le Professeur Didier Raoult AGIT.

Il y a eu sur ce blog un billet daté du 2 avri 2020 sur la curieuse position de l’OMS sur la chloroquine. Les autorités politiques et médicales françaises ont mis en avant l’avis de l’OMS. On a vu l’OMS convoquer un groupe (panel) d’experts et 11 jours après le Directeur de cet organisme venir contredire les conclusions de ce groupe ! Conclusions non-publiques par essence et largement et mondialement diffusées sur le site de l’OMS sans restriction ! UBU-roi ? Mais UBU aurait servi d’argument à notre gouvernement (et à ses conseillers scientifiques ?) pour publier un arrêté déclassant la chloroquine et ses dérivés !

2 – Mauvaises appréciations de la crise

Prévenir, c’est guérir. Gouverner c’est prévoir. Le larmes et la curieuse réflexion le 24 janvier 2020 de Mme la Ministre Agnès Buzyn nous laisse dubitatifs ? Des informations contradictoires ont été publiées (Le Monde). Il ne nous appartient pas de juger mais de fournir des bases de réflexion pour « Le jour d’après ».

2. 1 Les anti-viraux et la prévention-guérison

Le SARS-CoV-2 est un nouveau venu dans la série des coronavirus. Un inconnu dont les chercheurs chinois se sont empressés de séquencer le génôme. Il y a à Wuhan un laboratoire de haute sécurité P4 bien équipé sur le modèle du laboratoire P4 « Jean-Mérieux » de Lyon (INSERM). Les médecins chinois n’ont pas hésité à utiliser la chloroquine et ses dérivés. Ce laboratoire ne semble pas avoir joué son rôle de prévention du COVID-19.

2.2. Le rôle des médias

D. Raoult (p. 57) dénonce « l’intérêt des laboratoires qui vendent des anti-viraux (Gilead a fait une progression boursière spectaculaire) … ». Il dénonce aussi  « ceux qui sont heureux d’être sur un plateau de télévision comme experts virtuels, qui font de l’audimat sur la peur, et de ceux qui se voient en sauveurs providentiels. » Des articles ont même été publiés de diverses sources qui ont accusé le professeur de retarder les essais cliniques d’anti-viraux (programme Discovery). Des menaces anonymes ont été proférées qui ont abouti à des excuses de la part de leur auteur. Le « Général chloroquine » (surnom affectueux) se plaint (p. 57) de ce que ses communications aient été traitées de fake news sur les réseaux sociaux ! La réaction a été la publication d’un site d’information hebdomadaire sur Youtube.

2.2. 1 France 5 « C dans l’Air »

Un média national, France 5 est à citer de notre point de vue. Ce 8 avril 2020, l’émission « C dans l’air » animée par Caroline Roux avait convoqué plusieurs médecins et chercheurs. Cliquez sur ce lien pour un « replay« . Ce replay ne marche pas sur tour les ordinateurs, nous avons repiqué le résumé et l’avons mis en forme lisible. Cependant, nous avons noté que ce débat mené courtoisement reflétait quelques divergences et l’animatrice a mis tout le monde apparemment d’accord.

  • Un des protagonistes interrogé sur les essais a admis qu’en France nous refaisions des essais cliniques avec des molécules dont les médecins chinois avaient indiqué qu’elles ne marchaient pas !
  • Il y a contradiction entre l’éthique du traitement contre l’éthique de la recherche : les deux se complètent mais il y a urgence du traitement.

Même si la chloroquine est jugée « un vieux médicament », l’urgence du traitement prime, c’est ce qui rend service au patient en vue de sa guérison qui doit être pris en considération. Ce qui n’empêche pas de continuer la mise au point de vaccins.

Nous soulignons que « l’hydroxychloroquine a été incluse au dernier moment dans l’essai, notamment en cours au CHU de Nantes. ». Le Professeur Didier Raoult semble avoir été victimes de menaces qui viendraient de médecins nantais ?

Le problème des réseaux sociaux est posé comme générateur de faux articles sur Internet assortis de récits complotistes. Un de nos articles sur ce site explique comment la zoonose se serait produite (1/04/2020, ce n’est pas un canulard !). Les scientifiques savent qu’on peut retrouver dans la séquences de gènes d’un micro-organisme manipulé (ADN), les traces du vecteur qui a introduit le gène modifié. Non, il n’y a pas eu malveillance. Il n’y a pas eu de virus fabriqué ! L’écologie et la biologie montrent que, hélas, les conditions de l’écosystème de Wuhan, de son marché aux « fruits de mer », les concentrations humaines et animales sont et ont été le creuset de maladies émergentes.

2.3 Les résultats sont là

Pourtant les résultats commence à arriver. La vérité terrain ! Ce que l’on enseigne aux écologues dans les DEA des Universités (Montpellier entre autres, j’y ai été formé). Les faits sont fournis par le terrain et non par des spéculations intellectuelles ou politiciennes qui sont des arrangements avec la vérité.  Chloroquine et hydroxychloroquine, Remdesivir ou Lopinavir, c’est le malade qui doit gagner, le serment d’Hippocrate l’exige.

La santé va revenir, le jour d’après va venir !

3 – Le jour d’après

Nous ne pouvons dire ce que sera ce jour d’après. Nous allons le construire ensemble, démocratiquement. Allez sur le site Parlement ouvert : le jour d’après. Inscrivez vous, contribuez. Cependant, comme Citoyens et Contribuables, vous pouvez juger le travail du Conseil Scientifique présidé par le Professeur Jean-François Delfraissy.

Conclusion.

Le feuilleton du COVID-19 ou SARS-CoV-2 est loin d’être terminé. Le 7 avril 2020 la barre des 10.000 décès (point presse J. Salomon) a été dépassée dans notre pays (info RMC les GG 9h53) et la majorité des cas (3.000) sont des résidents d’EPHAD.

Il ne faut pas que la situation actuelle puisse se reproduire.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Auditeur IHEDN 1985

Un observatoire




Il y aurait-il matière à un scandale d’état ?

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Citoyen et Contribuable

La liberté guidant le peuple, oui, liberté d’expression, d’exprimer notre dégoût devant ce que un de nos amis a découvert en cherchant sur Internet avec le moteur de recherches Google !  Je lui donne la parole, en respectant son anonymat d’observateur citoyen intègre dans le cadre d’un site citoyen.

CheckNews est un moteur de recherches géré par des journalistes, lancé par Libération. Toute vérité n’est pas bonne à dire, nous rendons hommage au média de presse « Libération » et à son moteur de recherches.

En cherchant avec Google, nous sommes arrivés sur cette réponse à une question et à une réponse, sous la responsabilité de  Pauline Moullot , Fabien Leboucq et Anaïs Condomines, 28 mars 2020 à 12:45 (cliquez sur ce lien). A chaque nom de journaliste correspond, sur la réponse, à un article au contenu explosif.

La controverse est violente ! Alors qu’il faudrait être pragmatiques, concrets, pratiques, laissant de côté le formalisme académique et combattre le Corona Virus, empêcher que des gens meurent.

Nous serions en présence d’un scandale d’état, les fils aboutiraient au professeur Yves Lévy sur lequel planerait une accusation grave portée sur le réseau Wikipedia (cliquez sur ce lien). Ce professeur et immunologue est l’époux de Mme Agnés Buzyn, ancienne ministre de la santé du gouvernement actuel. Le professeur Didier Raoult et l’ancien directeur de l’INSERM sont loin d’être des amis. Le journal Le Monde l’a dénoncé dans un article écrit par Pascale Santi et Florence Rosier (Publié le 24 octobre 2017 à 10h00 – Mis à jour le 24 octobre 2017 à 11h53 :  Cliquez sur ce lien). Vingt réponses ont été faites à la question d’un internaute, « Brouazin » posée le 25 mars 2020.

La question reçoit en réponse 20 citations commentées par des articles de journaux. Un commentaire final est que « La chloroquine serait un possible « scandale d’état », selon une publication « virale» ! ».

La conclusion

Plusieurs affirmations de ce texte [lequel ?] sont fausses ou hors-contexte.

Notre avis de citoyens 

Il ne nous appartient pas de jouer aux justiciers mais de défendre l’intérêt des contribuables que nous sommes.  Des médecins ont porté plainte, nous espérons que la justice passera sans complaisance pour ceux qui ont failli et n’ont pas pris les dispositions pour éviter l’hécatombe en cours !

Nous sommes consternés de la légèreté avec laquelle sont confondus, es noms sont prononcés dans les médias sonores ou télévisuels, en vrac, par les journalistes et les hommes-femmes politiques à propos des anti-paludéens et de leurs dérivés, cités dans la presse :

  • chloroquine : le dictionnaire Vidal est un document clair, difficile à contester.
  • hydroxy-chloroquine : Wikipedia donne de très bonnes définitions (non-médicales) et dit que cette substance ne doit pas être confondu avec chloroquine !, cette molécule serait moins toxique que la chloroquine.
  • les sels de chloroquine : de là viennent de graves confusions pour le grand public (mésaventure aux USA) entre un produit industriel de nettoyage d’aquariums et une molécule pure dosés pharmaceutiquement dans un médicament.

Il ne faut pas prendre d’automédication et encore moins de produits non-pharmaceutiques. La différence entre un médicament et un poison est une question de dose, tous les biologistes et les pharmaciens le savent. Mais aussi, des noms de substances peuvent comporter le même vocable et avoir des propriétés radicalement différente : le cyanure de sodium est un produit toxique, dangereux, le chlorure de sodium est le sel de mer qui est un condiment. A ne pas confondre !

Nous sommes pour tout ce qui est positif, nous nous réservons pour ce qui est négatif.

On verra après la pandémie. Ceux qui ont agi avec légèreté devront rendre des comptes. La recherche publique, ce sont impôts qui financent.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




Le mystère de la chloroquine et de ses dérivés

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un citoyen très en colère !
respectueux des lois républicaines

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Intro

Qui cherche trouve. Un de nos amis biologiste (non-médecin) a été fortement intrigué par la hargne que manifeste un quarteron de spécialistes à l’encontre du professeur Didier Raoult et son traitement à la chloroquine. Le professeur marseillais a tiré parti des essais cliniques chinois qui n’ont pas fait l’objet de publications acédémiques classiques.

Faire une publication académique bénie par des comités de lecture est un processus qui prend du temps. Or, notre chef de l’État l’a dit et répété « Nous sommes en guerre », par deux fois ! A la guerre comme à la guerre, nous sommes dans l’urgence et des essais cliniques qui peuvent sauver des vies, on ne doit pas les interdire ni les canaliser, voire les freiner, ou les contrarier. Le professeur Raoult lui, préfère agir auprès de ses malades (voyez l’article du Parisien du 27 mars 2020). Nous en donnons des extraits :

« S’appuyant notamment sur les travaux de scientifiques et médecins chinois, qu’il considère comme « les meilleurs spécialistes de virologie au monde », il aurait trouvé le remède au Covid-19. Sa solution : utiliser la chloroquine (plus précisément, l’un de ses dérivés, l’hydroxychloroquine), un anti-paludique employé depuis 1949, en association avec le seul antibiotique qui fonctionne sur les virus, l’azithromycine. « Ce sont des molécules anciennes, sans problème majeur de toxicité, et immédiatement disponibles », explique-t-il dans ses vidéos devenues « virales ». « C’est efficace sur les cas positifs d’infection à ce nouveau coronavirus, ajoute-t-il. Le Covid-19 est probablement l’infection la plus facile à traiter. Ce n’est donc pas la peine de s’exciter, il faut travailler. » …

Peut-être est-ce là des affirmations qui ont été mal comprises ?

La chloroquine, remède miracle contre le coronavirus selon le Pr Raoult, c’est quoi ? …

Sans filtre, il fustige les « oiseaux de plateaux télé » qui « parlent comme dans les bars et n’y connaissent rien ».

Lui, il agit! Et déclare qu’il n’attend rien des nouveaux essais cliniques à grande échelle, finalement autorisés par le gouvernement, …».

La question de la chloroquine

La chloroquine est un antipaludéen de synthèse, un vieux médicament qui ne coûte plus rien, les droits sont prescrit, il était en vente libre. Ses effets secondaires sont connus, bien connus. Il s’est révélé efficace contre un autre corona-virus et la Chine l’a employé avec succès contre celui qui l’a infectée (et nous par la même occasion).

La question est de savoir pourquoi l’usine qui le fabrique pour un grand laboratoire était en cessation de paiement ? Pourquoi le 10 janvier 2020 ce médicament a été interdit de vente libre ? Quels sont les intérêts dont on ne parle pas qui ont agi ?

Nous avons une partie de la réponse dans cet article de Libération (Cliquez sur ce lien). La chloroquine serait génotoxique ? Ce qui est contesté par les médecins qui prescrivent l’hydroxychloriquine pour le lupus.

Le mode d’action dans le paludisme

Le paludisme est provoqué par un protozoaire, le Plasmodium falciparum, un micro-organisme véhiculé par différents moustiques dont l’Anophèle. La femelle s’infecte en piquant un malade paludéen puis inocule la parasite, les piqures sont faites pour se nourrir du sang. Le réservoir du parasite est dans les glandes salivaires du moustique, l’hôte le sujet humain infesté.

En simplifiant, dans le sang, le parasite (sporozoïte) infecte les globules rouges en y pénétrant et s’y reproduit . Les globules rouges éclatent et libèrent des mérozoïtes, le cycle dure environ 48h. Sans traitement, l’infestation peut être mortelle. La chloroquine (et ses dérivés) bloquent le cycle de reproduction dans les globules rouges en empêchant un des processus de se produire. Nous citons :

« La chloroquine agit sur le parasite à son stade intra-érythrocytaire, période au cours de laquelle s’exprime la maladie. Dans le globule rouge, le Plasmodium digère l’hémoglobine en libérant la molécule d’hème, hautement toxique. Pour éviter cette toxicité, le parasite provoque la polymérisation de l’hème en cristaux inertes d’hémozoïne. Dans cette vacuole digestive créée par le Plasmodium à l’intérieur du globule rouge, la chloroquine s’oppose à la cristallisation et forme avec l’hème un complexe toxique qui détruit le parasite. ».

Hélas, le parasite acquier une résistance à la chloroquine, obligeant la recherche à mettre au point d’autres molécules.

Le mode d’action dans la maladie à SARS-COV-2

La maladie à SARS-COV-2 ou Covid-19 est provoquée par un virus, un organisme totalement différent du Plasmodium du paludisme. Ce virus à couronne (corona) pénêtre dans les cellules du système respiratoire. Le processus peut être simplifié, le virus de multiplie en détournant le fonctionnement de la cellule pour répliquer des virus, un peu comme le protozoaire responsable du paludisme (toutes proportions gardées) . La biochimie d’une cellule envahie est un domaine complexe maîtrisé par les professeurs de médecine et les grands chercheurs français.

Peut-on imaginer que, comme dans sont intervention dans le cycle du parasite Plasmodium, une chaîne de réactions bio-chimiques se bloquerait, empêchant la multiplication (la réplication) du virus ? Il y aurait diminution de la charge virale !

Les essais cliniques menés en Chine et maintenant en France, à Marseiile (Pr. Didier Raoult) semblent encourageants et vont dans le sens de la guérison des patients.

Histoire récente de la chloroquine

Vieux médicament, la chloroquine commercialisée par la grand pharmacien SANOFI a été classée parmi les substances vénéneuses (Liste II, à ne délivrer que sur ordonnance). C’est un arrêté du 13 janvier 2020 signé par le directeur général de la santé qui a validé ce qui était une pratique répandue (ordonnance).

Il est certain que même en invoquant une ordonnance médicale, la réponse de plusieurs pharmaciens a été « Adressez vous à l’hôpital ! ». Circulez, y’a rien a voir.

La question est de savoir si on veut empêcher les français de se soigner ? Le Professeur Raoult est médecin, libre de ses prescriptions et il semble avancer. Le président de la fédération des médecins de France (FMF), le docteur Jean-Paul Hamon, un sexagénaire, s’exprimant sur la chaîne C-News ce 28 mars 2020, a dit avoir été frappé du SARS-COV-2 et avoir pris du plaquenil (un nom commercial pour l’hydroxichloroquine). Il a arrêté sa médication pour cause de nausées au bout de 2 jours ½. Il parle maintenant de reprendre son travail.

Les antiviraux

Il n’existe, à ce jour, aucune molécule antivirale spécifique. Le virus est nouveau, il n’y a pas assez de recul et la course est lancée au « repositionnement » de médicaments existants. La revue Sciences et Avenir nous présente le tableau des possibilités de lutte.

En attendant, laissons travailler ceux qui sont sur le terrain, au contact des malades, de leurs patients.

13/02/2022 : nous révisons ce billet : des antiviraux spécifiques commencent à être commercialisés. Il s’agit essentiellement du paxlovid (Pfizer). Avec la vaccination, l’espoir est là de maîtriser la pandémie.

Contribuables de l'Hérault

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 Contribution validée par le modérateur.

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Le Président de la République visite la Recherche

Monsieur Emmanuel Macron, chef de l’État, Président de la République,  a décidé de prendre le pouls de nos malades, pas les patients atteints du SARS-CoV-2 (COVID-19) mais les professeurs qui se tapent dessus à coup de remdesivir, lopinavir, et autres ritonavir, oubliant toute dignité. Il a visité le centre hospitalier du Kremlin-Bicètre, ce matin 9 avril 2020 et cet AM l’IHU de Marseille. Il a voulu ainsi marquer l’intérêt qu’il porte aux traitements en cours. Celui à la chloroquine semble marcher ! Tant mieux pour les malades !

Assez de guerres pichrocolines !


Nous ne résistons pas au plaisir de vous faire découvrir le savoureux dessin publié hier 8 avril par nos amis de La Mouette

L’Agglorieuse du 8 avril 2020
(toute ressemblance avec une personne existante serait le fruit du hasard)