Remdesivir de Gilead Sciences

Introduction

Gilead Sciences est un grand laboratoire pharmaceutique américain (USA). Il possède une succursale française située à Boulogne-Billancourt.

Le groupe pratique le lobbying, selon Wikipedia.  Selon Wikipedia, nous citons :

« En politique, le lobbying, lobbyisme ou représentation d’intérêts, est l’acte de tenter légalement d’influencer les actions, les politiques ou les décisions des représentants du gouvernement, des législateurs ou des organismes de réglementation ».

1. Que représente Gilead

1.1 En France

Selon Wikipédia, nous citons

«Le groupe est inscrit au répertoire des représentants d’intérêts de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique et déclare pour l’année 2017 des dépenses d’un montant compris entre 200 000 et 300 000 euros ».

1.2 En Europe

Toujours selon les mêmes sources, Wikipedia, nous citons

« Gilead Sciences est inscrite depuis 2016 au registre de transparence des représentants d’intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2017 pour cette activité des dépenses annuelles d’un montant compris entre 300 000 et 400 000 euros. En 2019, le budget de lobbying auprès des instances européennes est d’environ 800 000 euros ».

1.3 Aux USA

« Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying de Gilead Sciences aux États-Unis s’élèvent en 2018 à 2 990 000 dollars ».

Pourquoi dénoncer cette activité si le lobbying est une activité reconnue et licite ? Il convient de se pencher sur l’histoire du groupe.

2. Histoire du Groupe Gilead

Depuis sa fondation en juin 1987 — sous le nom initial de Oligogen — par Michael L. Riordan, alors âgé de 29 ans, le groupe est en contact avec le monde politique aux USA, nous citons toujours Wikipedia

« L’entreprise bénéficie d’une étroite connexion avec le monde politique, son conseil d’administration comprenant Donald Rumsfeld (ministre de la Défense de 1975 à 1977 puis de 2001 à 2006) et l’épouse du gouverneur de Californie Pete Wilson ».

Comment peut-on imaginer que ce groupe censé produire des médicaments efficaces ait besoin de pratiquer une politique d’influence sur des décideurs politiques ? La liste d’actionnaires américains (USA) impressionnante (voir Wikipedia). Tout en serait resté dans l’ombre s’il n’y avait pas eu le SARS-CoV-2 et la pandémie à CoVid-19 et un journaliste scientifique français Xavier Bazin, auteur d’un livre sur « Big Pharma » (Editions Guy Trédaniel – Paris 5e, 2021, ISBN : 918-2-8132-2449-1), livre en notre possession.

3. Big Pharma démasqué

Big Pharma est une appellation générique employée pour désigner l’industrie pharmaceutique dans son ensemble, mais souvent plus précisément les plus gros groupes la composant. Il est notamment utilisé dans le cadre de la dénonciation du lobbying pharmaceutique. Le secteur économique de cette industrie regroupe les activités de recherche, de fabrication et de commercialisation des médicaments pour la médecine humaine ou vétérinaire.

L’ouvrage de Xavier Bazin cible, entre autres, le Groupe Gilead, sans préciser lequel. Nous supposons que Giead Sciences Boulogne-Billancourt sert de relais vers notre ministre de la Santé et de ses services et vers la Commission Européenne. A Contribuables34-Citoyens34, le terme de lobbying sonne mal, très mal ! Surtout après la lecture du livre précité. Il est à la limite du conflit ou lien d’intérêts (vs. Pre. Karine Lacombe, Bazin p. 72).

3.1 Hydroxychloroquine vs Remdesivir

Nous avons sur ce site dénoncé l’acharnement de certaines autorités publiques et de certains professeurs et médecins contre le traitement du CoVid-19 avec des médicaments anciens et peu coûteux (traitement du Professeur Didier Raoult). D’illustres professeures et professeurs se sont exhibés pendant des semaines sur les plateaux de télévision pour vanter les mérites de médicaments vendus à 2.000 €uros la bôite. Ils-elles ont disparu du Paysage Audio-Visuel (PAV). Des professeurs ont reçu des menaces de mort (Pr. Raoult), d’autres ont été démis de leurs fonctions (Pr. Perrone, chef du srvice des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches) ou traînés devant l’Ordre des Médecins (Pr. Raoult). Ces derniers ont commis le crime d’avoir défendu des traitements qui ne raportaient rien à Big Pharma. Le médicament à 2.000 € la boîte s’appelle Remdesivir, il est produit par Gilead Sciences.

3.2 Remdesivir ou « Veklury » de Gilead

Le remdesivir (veklury) de Gilead Sciences, à 2.000 € la boîte, est qualifié de « médicament inefficace » (Bazin 2021, p. 69). Xavier Bazin n’y va pas de main morte, je cite « Le hold-up du laboratoire Gilead avec son remdesivir à 2000 € ». Comment ? Gilead n’a pas attaqué cet auteur pour diffamation ? 

Les résultats cités par Bazin le prouvent (p. 71) :

« On sait que depuis début 2020 que ce médicament est toxique pour les reins et le foie – cela avait été montré quand le remdesivir a été testé contre Ebola».

Remdesivir a dû être arrêté (étude de juin 2020 en France), sur cinq patients gravement atteints de la Covid-19 (à Bichat), je cite Bazin p. 71-72 : 

  • « Deux patients ont eu une insuffisance rénale grave, à tel point qu’ils ont dû être placés sous dialyse.
  • Deux autres patients ont dû arrêter le traitement, car l’état de leur foie était en train de se dégrader rapidement.

Deux mois plus tard, l’Organisation mondiale de la santé l’a confirmé officiellement : les pattients sous remdesivir avaient un nombre élevé de problèmes aux reins et au foie par rapport à ceux qui recevaient un autre médicament. »

Le 17 septembre 2020, la Haute-Autorité de Santé (HAS) publie son évaluation du remdesivir

« La commission de la transparence estime donc qu’une réévaluation est nécessaire sur la base les données de mortalité à 28 jours de l’étude américaine ACTT dès leur disponibilité et au plus tard en octobre 2020 dans un contexte de stratégies thérapeutiques très rapidement évolutives. Le remdesivir étant un antiviral, la HAS a également regretté l’absence de démonstration de son impact sur la charge virale. ».

C’est dit, une autorité indépendante certiée sans liens d’intérêt avec un quelconque laboratoire a donné un avis sur l’absence d’action sur la charge virale. Mais Gilead n’a pas attendu l’avis de la HAS et a retiré son produit (nous citons) :

« Le laboratoire Gilead a retiré sa demande de remboursement du remdesivir après avoir eu connaissance des conclusions provisoires de la commission de la transparence de la HAS. La HAS prend acte de ce retrait malgré un avis favorable au remboursement et publie son avis. ».

En octobre 2020, le constat est fait  de l’inefficacité du remdesivir. Celà n’a pas empêché la Commission Européenne de signer un contrat avec Gilead.

3.3 Commande de la Commission européenne

Xavier Bazin (p. 76- …) dénonce le fait que le 8 octobre 2020, la Commission Européenne a signé un contrat avec Gilead pour l’achat de 500.000 doses de remdesivir-veklury à 2.700 € la dose. Voyez l’article de France 24. Soit 1,350 Milliards d’€uros (je dis 1 Milliard 350 millions) pour un médicament inefficace contre le CoVid-19, et de surcroît toxique pour le foie et les reins. Nous citons Christophe Dansette de France 24 :

« Le coût de fabrication du remdésivir est de moins de 0,94 dollars par dose, soit 420 fois moins cher que le prix effectivement payé par Bruxelles. Et même si ce montant ne comprend pas le coût de la recherche, on peut en conclure que le laboratoire américain Gilead, qui fabrique le médicament a très bien négocié. Surtout lorsqu’on sait qu’un pays comme l’Ukraine a pu bénéficier d’un générique en septembre à 20,45 dollars la dose. »

Nous avons fait des recherches sur Google concernant cette commande européenne. Il y a eu une « Question avec demande de réponse écrite E-006511/2020 à la Commission (Article 138 du règlement intérieur) Virginie Joron (ID) ». La question met en lumière la position de Gilead, nous citons : 

« D’après l’agence Reuters, la Commission a signé le 8 octobre 2020 un contrat avec le laboratoire Gilead pour pouvoir acheter 500 000 doses de remdesivir, à 2000 euros la dose intraveineuse, soit 1,035 milliard d’euros au total(1)(2)(3).

Le 9 octobre 2020, l’Union européenne est informée des résultats négatifs(4) d’une étude réalisée dans 405 hôpitaux et 30 pays sur plus de 11 000 malades de la COVID-19 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette étude, rendue publique le 15 octobre 2020, conclut que «l’hypothèse que le remdesivir peut empêcher une fraction substantielle des décès est absolument exclue»(5). Le 20 novembre 2020, l’OMS déconseille officiellement «l’administration de remdesivir aux patients hospitalisés, quelle que soit la gravité de leurs symptômes, dans la mesure où rien ne prouve à ce jour que le remdesivir améliore pour ces patients les chances de survie et les autres résultats sanitaires».

1. Sachant que l’OMS a indiqué qu’elle avait informé​ Gilead de ces résultats négatifs le 23 septembre​ 2020, avant la signature du contrat, quelle procédure a été engagée par la Commission pour dénoncer le contrat et poursuivre devant les tribunaux la société Gilead?

2. Quelle autorité scientifique et quels experts ont identifié et confirmé le besoin de cette immense commande alors que l’OMS a retiré le remdesivir le 4 septembre 2020 de ses recommandations(6) et que les doutes sur l’efficacité de ce produit sont connus depuis février 2020(7)? ».

La réponse fait preuve d’une arrogance inouie de la part d’un fonctionnaire qui se doit d’être au service des contribuables dont l’argent versé par les états membres sert au fonctionnement de la Commission et en particulier au paiement des salaires (très élevés !) des dits fonctionnaires. Madame Kyriakides, nous citons : 

« La Commission n’envisage pas de renégocier le contrat, étant donné que le Remdesivir continue à bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle[1]. La quantité maximale prévue par le contrat-cadre[2] est déterminée par les besoins recensés, lors de la procédure, par les États membres de l’UE et les autres pays[3] participant à la passation conjointe de ce marché.

[1] https://ec.europa.eu/health/documents/community-register/html/h1459.htm

[2] https://ec.europa.eu/info/live-work-travel-eu/coronavirus-response/public-health_fr#ensuringtheavailabilityofsuppliesandequipment

[3] https://ec.europa.eu/health/preparedness_response/joint_procurement/jpa_signature_en# »

n’a manifestement pas compris la question ou joue à l’âne pour avoir du son. Nous espèrons que l’affaire ne va pas en rester là ! Gilead doit rembourser et avec les intérêts.

Conclusion

Il existe une cour européenne des comptes, auditeur externe et gardienne des finances de l’UE. Il s’agit d’un milliard d’euros dépensés en pure perte et d’un lobbyiste qui a commis une grave infraction. L’incompétence voulue ou inconsciente des fonctionnaires responsables frise la complicité de détournement de fonds publics qui plus est européens. 

La justice doit passer.

Le Père Spicace
Conribuable de l’Hérault

 




Piqûre de rappel sur l’hydroxy-chloroquine

Monsieur Emmanuel Macron est candidat au renouvellement de sa fonction de Président de la République. C’est pour bientôt, dans pas longtemps : le 2e tour de l’élection présidentielle est pour le dimanche 24 avril prochain.

Contribuables34 vous rappelle un certain nombre de casseroles que nous avons dénoncées ici, casseroles qui éclairent le quinquennat écoulé de ce banquier d’affaires, ex-ministre des finances de Monsieur François Hollande.

Les grosses casseroles

Les gilets jaunes : ce mouvement de protestation populaire qui s’exprimait tous les samedis après-midi.

L’affaire Benallah : une curieuse affaire de milice privée à l’Elysée.

Un Président ne doit pas faire çà ! Une honte ! Réaulf Flemming est un ancien braqueur récemment sorti de prison.

Les photos de Paris-Match avec un délinquant qui fait un doigt d’honneur  et un autre qui fait les cornes !

L’interview Bourdin-Plenel : une véritable insulte à la fonction présidentielle.

Un drôle de compagnon de voyage : le rappeur Vegedream. Drôle de fréquentations !

Nous avons dénoncé le recours aux bureaux de conseil comme MacKinsey. Un rapport du Sénat dénonce des marchés publics passés avec une entreprise qui ne paie pas ses impôts en France.

Et ainsi de suite ! Pour être respecté, il faut être respectable !

Une affaire qui interroge : hydroxychloroquine

Il y a l’affaire de l’hydroxy-chloroquine dénoncée par de nombreux ouvrages. Nous rappelons celui du journaliste scientifique Xavier Bazin « Big pharma démasqué » (Guy Trédaniel éditeur, 2021). Une ânerie de Monsieur le Ministre de la Santé Publique Olivier Véran. Le Pr. Christian Perrone (ex chef de service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches), un spécialiste internationalement reconnu des virus a été promptement sanctionné et viré de son poste. Pourquoi ? Il a osé dénoncer diverses décisions dont l’interdiction de l’hydroxychloroquine comme traitement préventif de la CoVid-19 (traitement IHU Marseille) et l’a dit dans son livre « Décidément, ILS n’ont toujours rien compris ! » (Albin Michel éd., 2021, pp.71- …). Il a aussi dénoncé un médicament qu’on voulait nous vendre, le remdesivir des laboratoires Gilead.

Affaire Gilead remdesivir

Début octobre 2021 : l’Europe achète pour plus d’un milliard d’euros de doses de l’antiviral remdesivir (500.000 doses). Ce médicament semble avoir été vu d’un bon oeil de la plupart des membres du Conseil scientifique (le nôtre). Quelques autres grand de la médecine aussi.

Le 15 octobre 2021 : , l’étude Solidarity de l’OMS revêle que (nous citons) :

« Les résultats provisoires de l’essai Solidarity ont été publiés le 15 octobre 2020. Il a été constaté que les 4 traitements évalués (remdésivir, hydroxychloroquine, lopinavir/ritonavir et interféron) n’avaient que peu ou pas d’effet sur la mortalité globale, la mise en route de la ventilation et la durée du séjour à l’hôpital chez les malades hospitalisés. ».

L’antiviral, ainsi que les trois autres, n’a aucun effet sur les malades ! L’Europe a commandé un produite de surcroît reconnu toxique pour les reins et le foie.

Le 20 novembre 2021 : l’OMS déconseille l’usage du remdesivir insistant sur la « possibilité d’importants effets secondaires » notamment sur les reins. Son coût important et son implication logistique (administration en milieu hospitalier par voie intraveineuse) sont soulignés. L’hdoxychloroquine ne coûte que 5 € la boîte contre plus de 1.970 € la boîte pour l’antiviral Gilead.

L’hydroxychloroquine

Nous ne résistons pas au plaisir de rappeler la diabolisation de l’hydroxychloroquine-chloroquine et la décision de Monsieur le Ministre d’interdire l’usage de cette substance « le medicament le plus prometteur » interdit de prescription en pleine pandémie. Ni sur le fait qu’une étude frauduleuse d’un bureau d’études publiée par deux éminents journaux scientifiques (The Lancet et New Journal of …) a servi de prétexte à notre ministre de la Santé Olivier Véran pour interdire ce médicament.

Qui est l’actuel chef ?

Qui est le patron de Monsieur le Ministre ? La pyramide des hiérarchies administratives de notre monarchie républicaine place Monsieur Macron au sommet : c’est lui qui a couvert ! Conseillé par qui ? Par des cabinets de conseil ? Pas besoin de MacKinsey chez nous. MacKinsey go home ! Fous le camp ! Nous n’avons pas besoin de payer la montre pour qu’on nous donne ensuite l’heure. Le chef est celui qui assume ! 

Nous citons le rapport sénatorial de Mme Eliane Assassi sur « Un phénomène tentaculaire ». Nous citons une partie :

« En 2021, l’État a dépensé plus d’un milliard d’euros en prestations de conseil.

Ces dépenses ont plus que doublé depuis 2018, ce qui interroge à la fois notre vision de l’État et de sa souveraineté face à des cabinets privés et la bonne utilisation de nos deniers publics.

Après quatre mois d’investigation et 7 300 documents recueillis, la commission d’enquête démontre que des pans entiers des politiques publiques ont été sous-traités à des cabinets privés : crise sanitaire, réforme de l’aide juridictionnelle, radars routiers, évaluation de la stratégie nationale de santé…

Le recours aux consultants est ainsi devenu un réflexe pour un État qui donne parfois l’impression qu’il « ne sait plus faire », malgré le dévouement de ses propres agents.».

L’important est la synthèse faite par la Commission d’enquête. Cette synthèse met en évidence les risques de conflits d’intérêts. Le nom de M. Olivier Véran est cité dans ce document. Pourquoi ? Nous citons une étrange phrase :

« M. Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé, l’a d’ailleurs confirmé devant la commission d’enquête : « si vous aviez voulu [les] documents estampillés McKinsey présents dans le dossier, vous auriez trouvé une feuille blanche ».» ???

Le ministre refuserait de livrer une information payée sur fonds publics, avec nos impôts ? Ou Mac Kinsey vendrait-il des feuilles blanches ? Celà ne doit pas rester sans sanctions. Au moins, vous, électeurs, pouvez infliger une sanction citoyenne contre un candidat Président qui permet de genre de pratiques.

D’autre part, le document de synthèse démonte le mécanisme qui permet de contourner le Code des marchés publics. Nous citons : 

« En pratique, le recours aux cabinets de conseil est facilité par des accords-cadres, dont celui de la Direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et de la centrale d’achat UGAP. Ces contrats mettent à la disposition des ministères un vivier de cabinets de conseil, dans lequel ils peuvent aisément piocher. »

Quelle suite à cette commission d’enquête ? Qui va sanctionner ? La réponse, chers contribuables français et en particulier de l’Hérault, c’est vous qui en avez le pouvoir avec votre bulletin de vote citoyen.

Ne vous abstenez pas, ne votez pas blanc

Ici on s'honore du titre de Citoyen
Ici on s’honore du titre de Citoyen

Alors qui voter ? Votez ! Voter est le devoir et la marque du citoyen. Pas d’abstention. Réfléchissez ! Il y a suffisamment de compétences dans nos militaires et nos fonctionnaires, des gens honnêtes ! Et après le 2e tour des élections, il y aura les élections législatives ! Il s’agit de l’avenir de nos enfants et petits-enfants. Pas d(abstention, pas de bulletins blancs ou nuls !

J’ai personnellement, depuis une cinquantaine d’années, essayé de ne JAMAIS manquer un scrutin. J’ai accepté de veiller sur des bureaux de vote, j’ai participé à des dépouillements. J’ai observé depuis quelques années les signatures se raréfier sur les registres d’émargement, l’abstention augmenter. J’ai extrait d’enveloppes bleues des carrès de papier hygiènique, des bulletins nuls. Plus jamais çà ! Votez !

Le père Spicace




Qui gouverne la France réellement ?

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Nous reprenons la contribution d’un de nos lecteurs sur l’ancien Forum.


Prologue-Introduction

Nous n’en pouvons plus depuis plus d’un an de cette pandémie. Le premier confinement le 19 mars 2021 a coûté cher, très cher à l’économie de notre pays. Celui-ci s’est privé volontairement d’un médicament qui pouvait aider à enrayer la propagation du virus, j’ai nommé la chloroquine et l’hydroxychloroquine.

Le petit livre noir du Professeur Christian Perronne publié en juillet 2020 pose une question sur l’hydroxychloroquine, une question à laquelle personne n’a répondu clairement (page 152) :

« Le Président du HCSP, Franck Chauvin, professeur de santé publique et membre du Conseil Scientifique Covid-19 signe l’avis. Et dans cet avis, qu’est-ce qui est écrit ? Qu’il faut réserver l’hdroxychloroquine aux formes graves de la maladie. Devant le tollé suscité par ce texte chez les médecins et dans la population, le Pr Chauvin déclare quelques jours plus tard dans le Canard Enchaîné qu’il reconnaît que cet avis est absurde mais qu’il a subi des pressions pour le signer. Des pressions ? Lesquelles ? De qui ? On aurait aimé en savoir plus ! »

Le Professeur Christian Perronne a été sanctionné, il a été démis de ses fonctions au CHU de Garches. Il a récidivé avec un nouveau livre « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! » (31 mars 2021). Nous citons le commentaire bibliographique :

« Sanctionné par le pouvoir, déchargé en 24 heures de son poste de chef de service, harcelé par ses critiques, Christian Perronne persiste et signe.

Mais dans ce nouveau livre accablant l’auteur va plus loin. Pourquoi ne peut-on plus débattre librement en France, notamment de tout ce qui touche à la santé publique ?

Comment expliquer la survie prolongée des incompétents qui font de la lutte contre la Covid-19 un spectacle tantôt pathétique, tantôt comique ? Certains ont disparu du paysage audio-visuel (nous ne les nommerons pas).

Pourquoi le ministre de la Santé, Olivier Véran change-t-il si souvent d’avis ? Jusqu’où va l’influence de Big Pharma sur son ministère ? … »

La question est posée, la réponse vient du livre écrit par un journaliste scientifique Xavier Bazin Big Pharma Démasqué ! : de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle de face noire de notre système de santé (Guy Trédanel éditeur, 2021, 2e édition, 247 p., préface du Dr. Eric Ménat) . Nous avons déjà signalé ce livre en vous encourageant à l’acquérir et à le lire, en déclarant que nous n’avons aucun lien d’intérêt avec l’auteur et l’éditeur.

La chloroquine est-elle vraiment dangereuse ? Qu’en pensent les experts en France mais aussi à l’étranger ? D’où vient cette étude qualifiée de frauduleuse par de nombreux auteurs de frauduleuse et qui a motivé une grosse ânerie médico-scientifique ? La littérature scientifique que nous citons ne donne que la partie émergée de l’iceberg. Wikipedia donne des résultats controversés. Une mise au point est accessible qui examine cette controverse.

1. – La Lancet-Gate

L’affaire de la prestigieuse revue scientifique dénommée « The Lancet-Gate » met en cause le sérieux ce ce journal prestigieux qui était une référence dans le monde médico-scientifique. Le livre de Xavier Bazin lui consacre de nombreuses pages (pp. 33 à 42). Wikipédia dévoile le nom de la firme US qui a publié une étude le 22 mai 2020 : Surgisphere and Co. Nous citons Wikipedia :

« Le 22 mai 2020, une méta-analyse des données médicales anonymisées collationnées par l’entreprise américaine Surgisphere et publiée dans The Lancet arrive à la conclusion que l’utilisation de l’hydroxychloroquine [HCQ] est corrélée à un risque d’arythmie ventriculaire et à un plus grand danger de décès hospitalier que d’autres traitements. L’article est vivement critiqué et rétracté le 4 juin 2020, la société Surgisphere ayant refusé de communiquer les données brutes pour un audit indépendant […] ¨» [nous soulignons}..

Cette étude vivement critiquée a été rétractée par l’éditeur de la revue The Lancet. L’étude est qualifiée de frauduleuse par Xavier Bazin (p. 44). Néanmoins, elle a été à l’origine de la suspension par l’Agence Nationale du Médicament des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, j’ai nommé Discovery. Pourtant, Xavier Bazin l’affirme (p. 44) :

« Les responsables de Discovery eux-mêmes ont décidé le 17 juin [2020], d’arrêter l’étude sur l’hydroxychloroquine, au moment où elle signalait un effet postif contre la Covid-19. »

Ce sont des faits. Wikipedia confirme que l’une des causes de l’arrêt de Discovery serait le manque de disponibilité du Remdesivir ? Que veut-on démontrer ? Qui commande en France ? La manipulation de la grosse industrie pharmaceutique est elle réelle ? Une étude frauduleuse et bidonnée a eu des conséquences graves en matière de mortalité chez des patients à qui les médias continuent de claironner qu’il n’y a pas de traitement contre la Covid-19 !

2. – Les chiffres qui sont cachés

Le journaliste scientifique Xavier Bazin démontre de manière difficile à contredire que les chiffres concernant l’action bénéfique de l’hydroxychloroquine (HCQ) ont été bizarrement occultés par des tours de passe-passe statistiques et des jeux de mots sur les résultats. Tout a été fait pour occulter les effets bénéfiques sur les patients, dans les tous premiers moment de l’infection CoVid19 et dissimuler les effets délétères de l’antiviral RemDésivir de Gilead, anviviral difficilement disponible, aux effets délétères reconnus par l’OMS sur le foie et les reins des patients traités avec ce produit à 2.000 € l’unité de traitement. Alors que l’HCQ, vieille molécule, ne coûte que quelques centimes le comprimé disponible en masse et administré par comprimé voie orale. Le RemDesivir doit être administrè en milieu hospitalier par perfusion médicalisée.

Pourquoi deux poids et deux mesures ? Le géant pharmaceutique Gilead Sciences a-t-il soudoyé tous les acteurs médiatico-médical ? Contre un traitement ne rapportant plus de juteux revenus (HCQ) dont l’efficacité a été minorée voire niée ? Le Lancet-Gate est un évênement fâcheux qui n’a portant pas ébranlé la conviction de nos Hautes-Autorités sanitaires françaises et européennes. Gilead Sciences gouverne-t-il la France et l’Europe ? La lecture attentive des sites Internet qui sont cités par l’auteur journaliste scientifique Bazin constitue un acte d’accusation grave contre l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (pp. 51-81) et son homologue européen, l’Agence Européenne des Médicaments. M. Bazin n’est pas le seul journalise scierntifique à s’être interrogé sur les scandales suscités pat ce que la justice pourrait qualifier de délit de favoritisme ! La controverse sur les conflits d’intérêt de l’ANSM-AFFSP fait l’objet d’un paragraphe des plus intéressants !

Les casseroles que traîne l’AFFSP-ANSM portent le nom de Médiator, Depakine, Levothyrox, etc. Cette agence renommée ANSM en 2012 traîneraît un lourd passif de conflits d’intérêt de ses experts !

Il s’agit d’un domaine touchant à la Santé des Français ! Face à une « gripette » mortelle qui a ravagé des pays (Brésil : 470.000 morts !). C’est une maladie mortelle si on ne prend pas les mesures adéquates pour empêcher la propagation.

La question se pose de savoir qui exerce réellement le pouvoir dans notre pays, face à cette pandémie et aux débuts hésitants de la réponse sanitaire face à la maladie Pour faire le point, les sites Internet ne manquent pas et les livres publiés par des professeurs de médecine. Pour faire face à une invraisemblable multiplication de comités et de conseils divers. Pourquoi ce foisonnement apparent de nids à bureaucrates ? Nous allons essayer de répondre.

3. – La dilution des responsabilités

3.1. – Le sommet de l’état ou la base : la Présidence

On peut considérer l’organisation administrative de notre pays vue comme une pyramide ou un gigantesque mille-feuilles. A la base (ou au sommet, selon comme on se place) est le Président de la République, Monsieur Emmanuel Macron (énarque et banquier élu avec une incroyable abstention 25,4%). Il dispose d’un cabinet bien garni en collaborateurs, chargés de mission et d’un cabinet militaire.

3.2. – Le Gouvernement, les ministres et consorts

Le Premier Ministre apporte son concours (il dispose lui aussi d’un Cabinet bien fourni en collaborateurs) et contrôle ce que font ses ministres, en particulier le Ministre de la Santé (un médecin neurologue avec son cabinet ministèriel). Celà fait trois hommes et leurs collaborateurs (faites le compte !). Le socle est déjà bien garni, il faut lui ajouter les directions opérationnelles techniques :

  • DGOS ou direction générale de l’offre des soins,
  • DGCS ou direction générale de la cohésion sociale,
  • DSS ou direction de la sécurité sociale,
  • CNAMTS ou caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés,
  • les 18 ARS ou agences régionales de la santé (le Préfet y siège mais son pouvoir de décision est à démontrer),
  • ASPF ou agence santé publique France,
  • ANSM ou agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé,
  • HCSP ou haut-conseil de la santé publique,
  • ANM ou académie nationale de médecine,
  • CNE ou comité national d’éthique.

Ce qui nous fait treize administrations censées être dirigées par le Président via le Premier ministre et celui de la Santé. Vous pourrez faire le compte de « compétences » en place. Mais il faut encore une couche au mille-feuilles. Le Président (Jupiter tonnant) en rajoute une couche spécialement créée pour le CoVid-19 :

  • CS ou Conseil scientifique,
  • CARE ou comité analyse, recherche et expertise,
  • Comité vaccin Covid19,
  • Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale,
  • CCL-COVID ou Comité de Contrôle et de liaison Covid-19,
  • Comité vaccinal des citoyens (tirés au sort : les 35 alibis !),
  • Task-force vaccins (vous connaissez ?),
  • Conseil de défense,
  • Cellule interministèrielle de gestion de la Crise COVID,
  • CTV ou Comité technique des vaccinations de la Haute-Autorité de santé.

Le Professeur Perrone (Décidément ils n’ont rien compris.- Albin Michel, 2021) y rajoute un conseiller communication de la crise, une ancienne de chez ENGIE proche de Xavier Bertrand. Il est vrai qu’après la communication catastrophique de Madame N’DIAYE !

Le Professeur Perrone résume :

« … Un Président, 2 ministres, 13 conseils, agences ou organismes existants spécialistes de la santé. On en a mis 10 de plus, et une conseillère. Ca fait du monde … » (pp.99-100)

La question se pose de savoir s’ils travaillent ou s’ils s’agitent dans le désordre ? Des personnalités (un Général de l’Armée assisté d’une inspectrice de l’administration) font un rapport (demande par le Primat des ministres) conclut à un manque de cohésion dans la chaîne de commandement, chacun travaille dans son coin pour un résultat nul (résumé Perrone 2021, p. 100). La liste est accablante, nous dirions une agitation stérile et une dilution des responsabilité ! C’est pas moi, c’est l’autre ! Aucune coordination ! Nous renvoyons aux pages 99 à 105 pour décrire ce qu’un certain autre général aurait qualifié de chienlit !

3.3. – Et les consorts

Le livre du Professeur Perrone (2021) est féroce. Il y a les autres, les souterrains plus ou moins visibles : des USAsiens, conseillers et profiteurs en tous poils ! (pp.

  • Société Bain & Company, une USAsienne qui est censée piloter la France dans le dépistage du Corona-Virus (Marianne, 4 avril 2020),
  • Microsoft et Cie récupère l’hébergement de l’intégralité des données de santé des Français (pourquoi ? où est l’appel d’offres international ? avant la passation d’un marché public d’état !),
  • cabinet de conseil USAsien McKinsey & Company en matière de communication (a-t-on besoin de communication ou d’opérationnels dans nos hôpitaux ?).

Le Professeur Perrone souligne le caractère multi-conseillé du Président de la République. Au cas où ? La dilution de la responsabilité joue : c’est pas moi, c’est l’autre ! La paperasse fait tampon. Et tout ce monde suce la mamelle financièrement généreuse de La Princesse : dos large et mamelle généreuse ! Quoi qu’il en coûte ?

Et il y a la couche Europe du mille-feuilles ! Le Parquet européen dont on nous annonce aujourdh’ui la création (1/06/2021) va avoir du travail. L’Agence européenne des médicaments va devoir certainement rendre compte de son action et dénoncer les responsables du scandale du Remdesivir (Xavier Bazin 2021, pp. 71-84), un remède inefficace et dangereux. Celà n’a pas empêché l’Europe.d’en commander pour plusieurs millions de dollars (des €uros ici). A suivre !

4. – Réponse : qui gouverne ?

La réponse à la question sur « qui gouverne la France ? » Son gouvernement, bien sûr, son pouvoir exécutif incarné par son Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON. C’est lui le CHEF, le multiconseillé : un général chef d’état-major général l’a appris à ses dépens. C’est un super key opinion leader (un KOL) ! Dans le cas de la santé publique et de la pandémie. Comme tel, il a le droit à toutes les attentions de ceux qui cherchent à imposer LEUR façon de voir. Les manipulateurs et les manipulés, les ILS des deux titres du Professeur Perronne. Xavier Bazin, le journaliste scientifique (mai 2021) n’hésite pas, il dénonce dans son livre BIGPHARMA, c’est à dire un certain conglomérat d’intérêts financiers gigantesques qui domine l’industrie pharmaceutique, plus particulièrement démonté (Bas les masques …, pp. 187-221). Et là, apparaît clairement la confusion entretenue sciemment ou par ignorance entre la recherche scientifique et l’art de pratiquer la médecine.

4.1. – La recherche scientifique

La recherche scientifique est l’action menée par des scientifiques en vue de produire et de développer des connaissances. Cette recherche est plurielle, menée par des grands organismes institutionnels (CNRS, CEA, INRAE, INSERM, ….) et des Universités. Les domaines sont les sciences physiques, mathématiques, biologiques, humaines, médicales, environnementales, … La Science progresse par observations, déductions, expérimentations, appuyée selon les domaines sur de modestes feuilles de papier et des tableaux blancs (en mathématiques essentiellement) comme de grands équipements coûteux (CERN). Nous nous intéressons particulièrement, ici, au domaine de la recherche médicale. Cette recherche s’exerce sans expérimentations sur l’être humain, c’est strictement interdit ! Les observations sont faites dans les centres hospitaliers universitaires autour desquels gravitent des centres associant médecins praticiens, chercheurs fondamentalistes et personnels techniques d’appui (ingénieurs de recherche, d’études, techniciens de laboratoires, …). Les observations sur les patients en cours de traitements, les autopsies de patients décédés, les expérimentations animales, … sont les seules sources de données. Alors qu’en est-il de la mise au point des remèdes, les médicaments ? Ces derniers sont produits par l’industrie pharmaceutique laquelle investit des sommes considérables pour développer de nouvelles molécules qu’il faut bien pouvoir tester. Ce sont les essais cliniques :

« […] qui permettent d’évaluer de nouveaux traitements […] ou de nouvelles modalités de soins. En effet, avant de proposer de nouveaux traitements à tous les patients concernés, il est impératif de prouver que ces nouveaux traitements sont efficaces et bien tolérés. »

Là se place le nœud du problème : le contact entre l’exercice de la médecine, l’art de guérir des patients et la recherche médicale ou à vocation médicale.

Une maladie peut être mortelle, le médecin qu’il soit généraliste sur le terrain ou le grand professeur et chercheur, a le devoir impératif (serment d’Hippocrate) de guérir son patient avant toute chose et de tirer le meilleur parti des remèdes existants (molécules existantes et éprouvées) sans effets secondaires mettant en danger la vie de ce dernier.

La recherche scientifique médicale est menée surtout par des médecins, des professeurs de médecine surtout. Là se pratiquent des essais cliniques qui obéissent à des protocoles dont le but n’est pas de guérir mais de mettre au point de nouveaux remèdes. Le pouvoir de guérison se fait en comparaison avec des groupes de patients à qui on donne de l’eau claire, salée ou sucrée (placebo) : une substance sans pouvoir soignant et qui dans le cas d’une maladie mortelle peut entraîner la mort de tout ou partie du groupe placebo. Il y a là une contradiction absolue avec la mission de guérison, l’essais clinique est une expérimentation de substances sur l’être humain et en cas de maladie potentiellement mortelle, le placebo est une absence de soins !

4.2. – L’art de guérir les patients

Le médecin, celui qui traite des patients exerce son art en diagnostiquant son patient et en lui prescrivant un traitement. Il peu aussi estimer que l’état de son patient nécessite une hospitalisation plus ou moins lourde en confiant son patient à un centre hospitalier privé (clinique, …) ou public (CHU, …). L’art de guérir va de pair avec la liberté de prescription du médecin lequel a suivi plus de 7 ans d’études générales sanctionnées par un Doctorat en médecine. Je passe sur les années d’internat, sur l’externat, les spécialisations. Des années d’études dont le sommet est le Professorat en médecine et une carrière avec des responsabiltés en centres hospitalo-universitaires.

Il fut une époque assez récente où le médecin délivrait une ordonnance et où un Docteur en pharmacie composait le remêde, le médicament, dans son officine !, sa pharmacie. On est passé au développement de grands laboratoires développant des spécialités pharmaceutiques issues de la recherche bio-physico-chimique, brevetées pour 20 ans en vue de rapporter des revenus aux laboratoires et à leurs actionnaires. Là, le profit vient corrompre le processus vertueux pour faire de l’industrie pharmaceutique un producteur de juteux dividendes (des dizaines de milliards d’Euros ou de Dollars). Xavier Bazin (2021) affime (p. 193) qu’ils forment

« un cartel anti-concurrentiel par définition, qui opèrent de surcroît un marché dans un marché administré dans lequel les États autorisent les médicaments, fixent les prix et, dans la plupart des cas, en assurant le remboursement ».

On est loin des sources, le cartel des industries pharmaceutiques (10 groupes, 50% du marché mondial) a pris la main sur la santé publique, notre santé. Nous vous laissons le plaisir de découvrir comment ce cartel, Big-Pharma, a pris le pouvoir mondialement et dans notre pays en particulier qualifié de « très perméable à l’influence » (exemple cité par Xavier Bazin Mme Agnès Buzyn, ancienne Ministre de la Santé et médecin, prédécesseur de M. Olivier Véran, lui aussi médecin (neurologue).

4.3. – L’influence au plus haut niveau

Le journaliste scientifique Xavier Bazin dénonce dans son livre (p. 194) un certain dîner (référence à un article de Médiapart) le 8 juillet 2019 où le Chef de l’État, en compagnie de son Ministre Buzyn, invite plusieurs représentants de l’Industrie pharmaceutique. Xavier Bazin souligne que, coïncidence, le lendemain 9 juillet, Mme Buzyn annonce le déremboursement de l’homéopathie (notre infra p. 195). Quelle coïncidence fâcheuse ! Un de nos lecteurs a décortiqué pour nous l’article de M. Mérôme Jardin (MEDIAPART) et a découvert le site de l’APM-News qui annonçait pour le 8 juillet 2019 la réception offerte à Big Pharma le 8 juillet 2019 à l’Élysée (La pharma mondiale reçue …). On découvre qu’une autre réception a bien eu lieu le 9 juillet 2018 « Un dîner à l’Élysée » la veille de la réunion du CSIS le 10 juillet 2018. On se demande pourquoi ces réunions au sommet de l’État ? La coïncidence entre ces réunions et certaines décisions favorables à l’industrie pharmaceutique bio-chimique est troublante. Si Jupiter domine bien depuis son poste de Président de la République, lui et ses ministres semblent entendre des murmures provenant de Big-Pharma, du cartel anticoncurrentiel dont nous avons cité ci-dessus le rôle joué dans un marché administré, régulé, financé par notre Sécurité Sociale, la Princesse au dos large qui paie champagne, vins fins et mets raffinés offerts dans ces dîners entre hauts-personnages !

Big-Pharma a trouvé là un ancien banquier dont l’action en ce début de pandémie en octobre 2019 a failli amener notre pays à la catastrophe économique et sanitaire. Est-ce une coïncidence si on trouve sur le site de SANOFI un point sur la situation du Plaquenil et une mise en garde contre le Plaquenil associé à … (hydroxychloroquine et azithromycine). Gageons que le Professeur Didier Raoult saura réagir à cette attaque contre son traitement qui marche si bien contre la CoVid-19 !

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