Thrombose administrative

Les médias ont commencé à bruisser d’une étrange rumeur, l’incapacité des administrations à faire face leurs obligations, une paralysie bizarre qui engendre des retards à peine croyables. Un exemple nous est donné par les délais incroyablement longs pour obtenir un passeport (plus de 2 mois dans les meilleurs cas) ou le renouvellemet d’une carte d’identité. Non, ne croyez pas que chez Contribuables et Citoyens de l’Hérault nous galéjons ! Aprés la paralysie qui a rendu notre administration victime d’une maladie auto-immune invalidante, paralysante : un syndrome de Guillain-Barré administratif ! Il en résulte une thrombose des circuits administratifs.
La cause ? Des sites internets (des robots) mal programmés, dysfonctionnants (volontairement ou par manque de maîtrise des procédures informatiques ou par manque de personnel qualifié ? Des sites supposés faciliter le travail du personnel administratif et qui ne fonctionnent pas (bouton valider absent !). On dépose un dossier, l’administration ne le trouve pas, il dort depuis un mois sans que rien ne se passe !
Ne venez surtout pas leur rendre visite, l’adresse est fausse et de toutes façons, les visites sont impossibles sauf rendez-vous que vous n’obtiendrez pas. Essayez une demande de rendez-vous en utilisant le courriel de ladite administration. Un logiciel parlant anglais (nous sommes en France, le français est la langue OFFICIELLE !!!), un certain « SIEVE » vous informe du rejet de votre courriel. Et puis, une réponse qui sent la thrombose administrative : nous avons trop de dossiers, soyez patient, le délai d’instruction est de 42 jours (6 semaines) soit 30 jours ouvrés ! Incroyable : un AVC administratif, un caillot bouche une artére, c’est la thrombose !
Soyez patients ? La réforme des retraites occulte tout dans le paysage audio-visuel !
Contribuables-Citoyens, vous pouvez agoniser en paix devant le lock-out d’une adminstration qui a fermé ses portes au public n’est pas capable d’assumer ses responsabilités !




Remboursez le trop perçu

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Contribuables de l'Hérault

 Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Info

« ILS TRICHENT SANS VERGOGNE SUR LA TAXE DES ORDURES MÉNAGÈRES ». C’est le titre d’un article du Mensuel CAPITAL. Selon le mensuel « CAPITAL » (n° 319 avril 2018 pp. 62-64), les collectivités territoriales chargées de recouvrer la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) ne respectent pas la loi ! Elles trichent et la sanction ne saurait tarder ! C’est un article que nous relevons sur le site de l‘ODAM .

Nous défendons les contribuables du département de l’Hérault. Ecrivez-nous au bas de cet article en réagissant à ce mail ou via le site de l’ODAM qui transmettra.

L’Association des Contribuables Actifs du Lyonnais (CANOL) demande le remboursement du trop perçu et attaque au Tribunal administratif. Cliquez ce lien.

Nous nous sommes mis en rapport avec CANOL. Nous attendons le résultat de leurs instances judiciaires auprès du TA de Lyon.

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Pillage de l’Etat avec les emplois aidés

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Introduction

Le mensuel CAPITAL (n° 319, avril 2018, pp. 60-61) dénonce le procédé de dévoyage des emplois aidés par des collectivités territoriales qui ont employé des contrats aidés pour embaucher à moindre coût.

1 – Les faits dénoncés

L’Etat a divisé par deux le nombre d’emplois aidés qu’il fiannançait à 70% d’un SMIC, pour 20 h de travail hebdomadaire, sur des postes à basse productivité, les collectivités de contentant d’un petit complément. Ces petit jobs représenteraient plus de 7% des effectifs locaux.

Pour de nombreuses collectivités locales, ces emplois étaient une véritable aubaine, les cris d’orfraies sont à la mesure de la déception de ces élus frustrés.

1.1 – Un exemple

CAPITAL cite la collectivité de Bruay-la-Bussière (Pas-de-Calais) employait, dans un service propreté de 30 agents, 17 agents en contrats aidés à 680 €/mois (dont 70% payés par l’état). L’opacité qui entoure les données relatives à ces emplois est maximale. La plupart des municipalités interrogées par CAPITAL n’ont pas répondu à l’enquête.

1.2 – A la décharge des élus locaux

Les gouvernements successifs de droite comme de gauche ont poussé à la consommation sous prétexte de traitement social du chômage.

1.3 – Le cas de l’Hérault

La commune de Frontignan (25.000 habitants) est épinglée. 80 emplois aidés dans les écoles; les centres aérés ou l’entretien des locaux.

A Montpellier, il faut souligner que la commune a toujours refusé de succomber à cette dérive.. La commune a embauché, elle en a les moyens, de solides postes de contractuels ou de titulaires; Ca a coûté plus cher à nos finances.

2 – Que faire ?

CAPITAL ne propose aucune solution, sinon d’envoyer les salutations du Président Macron aux édiles ! Les élus locaux cherchent fébrilement des nouveaux impôts pour remplacer leur cagnottes disparues ou en voie de subir un coup de rabot.

« Les dépensocrates à la lanterne »? Nous ne sommes pas en 1789-93 et sous la Terreur. Les dépensocrates locaux doivent suivre l’exemple de quelques rares bon élèves de collectivités qui ont réussi à baisser leurs dépenses. CAPITAL (n° 319, avril 2018, pp. 64-67).

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