Dépenses contraintes, dépenses inéluctables

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Information

Entendu au micro de J.J. Bourdin (RMC, 21/11/2018, 8h45). Le PDG de Nexity, M. Alain Dinin, déclare que le vrai problème n’est pas le prix des carburants mais le fait que le logement coûte cher et oblige les salariés à s’éloigner de leur lieu de travail et à utiliser leur voiture pour aller travailles. Le prix du foncier impacte le prix des logements. Se loger, pour les Français est une dépense contrainte (une dépense inéluctable !). Le problème est que là où le logement ne manque pas, l’activité économique et les emplois sont rares. Les salariés ne peuvent se loger à prix raisonnable et vice-versa : la loi de l’offre et de la demande.

M. Dinin a écrit au Président, à divers Ministres pour exposer son point de vue et ses solutions.

A Montpellier la surdouée, les immeubles de luxe surgissent comme des champignons : pour qui ? Pour des retraités de haut-niveau ou pour des chômeurs qui viennnent chercher le soleil ?

Les palmiers de l’avenue de la Mer veulent nous faire croire à une administration municipale dirigée par un écologiste ? La construction après démolition d’immeubles anciens pas forcément vétustes coûte cher en matière de CO2 (1 tonne de ciment produit = 1 tonne de CO2 émis !) sans compter les déblais de démolition produits (il avait fallu  produire du CO2 en leur temps pour la chaux ou le ciment !).


Le problème n’est toujours pas résolu en 2022. Le changement de municipalité n’a rien résolu, on continue à raser des villas et des jardins. On contruit à leur place des 6 étages !

Une gilet jaune

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen




Coups de feu sur le police à la Cité Gély de Montpellier

L’observateur Argos Panoprès est furieux et brandit sa matraque improvisée.


Argos Panoptés déchaîné

Argos panoptès

Info

Selon le site de Midi-Libre, aujourd’hui 17 juillet 2018 vers 16h28, des policiers intervenant dans le cadre d’une opération sur le trafic de drogue à la cité Gély (rue du Faubourg Figuerolles à Montpellier), ont essuyé une quinzaine de coups de feu. Le quartier a été bouclé et le SRPJ procède à des perquisitions.

Une nouvelle information du site Midi-Libre. Même s’il n’y a eu ni blessés ni victimes notamment parmi les policiers qui étaient vises : « Le ou les tireurs ont bel et bien visé les enquêteurs. Une source proche de l’enquête indique que 17 impacts ont été relevés sur la façade d’une résidence. Une vingtaine de douilles ont été récupérées et placées sous scellés. ». Le site précise « L’arme à feu utilisée n’est pas une Kalachnikov, selon nos informations, mais une arme de guerre. Fort heureusement, personne n’a été atteint. ».  Nous précisons que la kalachnikov est un fusil d’assaut d’origine soviétique, une arme de guerre (une ânerie du journaliste ?). Elle est connue sous le nom de AK47, produite dans une trentaine de pays. C’est l’arme favorite des terroristes. Certaines sont très usées, elle ne sont plus précises : des arrosoirs ! Calibre 7,62×39 mm,  cadence de tir 600 coups minute, tout de même ! 

Selon Midi-Libre, la cité Gély est habitée par une importante communauté gitane. Ce lieu est considéré comme « un haut lieu de l’organisation du trafic de drogue régional. ».  Il appartient aux habitants de faire eux-même la police de leur cité.

Depuis au moins un an, nous avions repéré un important trafic de puissantes voitures noirs allemandes aux vitre fumées qui empruntent un itinéraire de pénétration par la voie de la Liberté en provenance du sud (autoroute A 9) ou en provenance du nord (La Mosson) vers la rue Adam-de-Craponne, la rue Bouschet-de-Bernard et la rue du Faubourg Figuerolles. Ces voitures n’hésitent pas, venant du nord, à couper l’axe du boulevard de la Liberté et à emprunter à contre-sens la bretelle d’accès à la rue Adam-de-Craponne au risque d’une collision frontale. Le feu de circulation de la rue Adam-de-Craponne est régulièrement brûlé par la droite pour couper ver la rue Bouschet-de-Bernard, le tout à grande vitesse.

Merci aux forces de l’ordre pour leur travail, à Monsieur le Préfet et son DDSP et SRPJ ainsi qu’ à Monsieur le Procureur. Nous espérons que ce cloaque sera nettoyé et que les incivilités cesseront. Nous sommes persuadés qu’il y a là des citoyens soucieux de vivre honnêtement et en paix, comme le témoignent les tenues annuelles de cultes évangéliques sous chapiteau qui s’y déroulent quelques fois par an.

Consultez le compte Twitter de la Police Nationale de l’Hérault.

Encouragez nos policiers à faire leur devoir pour protéger vos familles et vous-mêmes.

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Les bons élèves de la fiscalité locale

Introduction

La revue mensuelle CAPITAL (n° 319, avril 2018, pp. 65-67) nous apporte un peu d’air frais dans le paysage peu rafraîchissant de la gabegie et de l’incurie des dépensocrates de nos collectivités territoriales.

Le Directeur de la Fondafip leur a consacré un livre, l’IMPGT (Aix-Marseille) donne aussi son avis. Il ne s’agit pas de licornes ou de loups-garous ni de monstres mas tout simplement d’élus territoriaux vertueux, des oiseaux rares, trop rares encore ! Ils ont fait baisser leurs budgets, se sont attaqués aux budgets de fonctionnement et ont comprimé leurs investissements sans les supprimer.

1 – La dépensocratie montpelliéraine

Rappelons pour mémoire le combat de plus de 20 ans de l’Association des Contribuables de l’Hérault contre les dépensocrates de tout poils et les écornifleurs. Ce combat est épuisant face aux célébrités disparues comme Georges FRECHE. Pour lui, rien n’était trop beau ni assez cher

. Associons lui au passage M. André VEZINHET, M. Jean-Pierre MOURE et Mme Hélène MANDROUS Tous ont leur heure de gloire dont a hérité Monsieur le Président actuel de la Métropole. De grands projets inutiles : Hôtel de ville, Amétyst, Maera, Pierres-VIves, le Prao, …

A des niveaux de responsabilité, nous ne citerons personne mais ils ont été nombreux à contribuer à dépenser nos finances. Les écornifleurs étaient bien attablés autour de la motte de beurre.

1.1 – La collectivité département épinglée

La collectivité qui gère le département (nous l’appellerons CD34) est épinglée dans le numéro 316 (janvier 2018, p. 667), dans un article comportant un florilège des collectivités les plus généreuses en congés de tout poils.

CD34, pour la durée du travail qui devrait être de 1.607 heures/an , est côté à 1.501 h/an (il est bien précisé département). CAPITAL dit « Grâce à leurs ponts et congés exceptionnels les 3.257 employés du département accusent un retard annuel de 343.939 heures par rapport à la durée légale, soit un temps de travail perdu pour la collectivité équivalent à 214 emplois à temps plein. ». Comme dit la chanson de Jacques Higelin « Poil dans la main payé à rien foutre … ».

1.2 – La Commune de Montpellier

La commune, l’agglo et la métropole qui lui a succèdé sont issus du même moule d’où sont sortis les personnels du CD34. CAPITAL n’a pas agrafé cette collectivité, dommage car du temps de Georges FRECHE, il y avait une prime d’assiduité pour le personnel assidu (ou peu absentéiste).

L’actuel maire ne semble pas prendre le chemin des économies vertueuses.

2 – Les décideurs économes et leurs cités

2.1 – Les collectivités vertueuses

Selon CAPITAL d’avril 2018 (p. 65–67) cette espèce raree existe mais n’est pas encore assez nombreuse. CAPITAL cite :

« la Région Ile-de-France qui déménage son siège en banlieue et résilie de nombreuses locations de bureaux dans Paris, taillant dans ses dépenses de prestige et arrêtant de financer des dispositifs hors compétences légales.

  • les départements alsaciens qui contrôlent mieux le RSA et accompagnent les bénéficiaires.
  • Cannes qui réduit son parc automobile de 25%.
  • Villeubanne qui investit pour économiser l’énergie,
  • l’Isère qui a augmenté le temps de travail des agents territoriaux.
  • Poissy nettoie ses rues avec l’eau gratuite d’une source non potable de son territoire.
  • Wesquehal a réduit son personnel et abaissé le budget de son personnel ; les frais de représentation des élus ont été rabotés voire supprimés. »

En cherchant bien, à MONTPELLIER la Surdouée, il faudra agir.

2.2 – Les grands projets inutiles de Montpellier

Depuis l’arrivée de feu Georges FRECHE (25 mars 1977), l’ère de communication coûteuse et du bling-bling a comlmencé. Professeur de droit (romain) ce monsieur a su tirer parti de toutes les failles du droit pour mettre en place une dépensocratie.

Les successeurs ont continué dans la voie dépensière et le clientélisme de fonctionnaires territoriaux.

3 – Il faut suivre les bons exemples !

Du temps de l’Association des Contribuables de l’Hérault, nous avions adapté les paroles du Ca Ira en remplaçant le mot aristocrate par dépensocrate. Nous n’irons pas jusqu’à pendre ceux-ci, ça ne se fait plus.

Il faut qu’une réforme profonde de l’Etat fasse que les avis des Cours des Comptes (nationale et régionales) débouche sur de vraies poursuites engageant la responsabilité personnelle des présidents des assemblées territoriales délibérantes. Il faut mettre fin à l’irresponsabilité ! ! !L

Signature du Citoyen-Contribuable 34




Remboursez le trop perçu

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Contribuables de l'Hérault

 Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Info

« ILS TRICHENT SANS VERGOGNE SUR LA TAXE DES ORDURES MÉNAGÈRES ». C’est le titre d’un article du Mensuel CAPITAL. Selon le mensuel « CAPITAL » (n° 319 avril 2018 pp. 62-64), les collectivités territoriales chargées de recouvrer la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) ne respectent pas la loi ! Elles trichent et la sanction ne saurait tarder ! C’est un article que nous relevons sur le site de l‘ODAM .

Nous défendons les contribuables du département de l’Hérault. Ecrivez-nous au bas de cet article en réagissant à ce mail ou via le site de l’ODAM qui transmettra.

L’Association des Contribuables Actifs du Lyonnais (CANOL) demande le remboursement du trop perçu et attaque au Tribunal administratif. Cliquez ce lien.

Nous nous sommes mis en rapport avec CANOL. Nous attendons le résultat de leurs instances judiciaires auprès du TA de Lyon.

observatoire phare

Le veilleur et lanceur d’alerte




Schizophrénie environnementale

Introduction

La commune de Montpelllier édite une luxueuse revue pour vanter la politique urbaine vertueuse, « revue consultable sur le site internet de la ville ». Cette revue (numéro sans date ni numérotation, distribuée début juin 2018) fait apparaître la schizophrénie entre l’action de notre maire dont la main droite ignore ce que fait sa main gauche de président de la métropole.

1 – L’édito

Le message habituel nous vante la politique vertueuse, « le cercle vertueux » de maîtrise des dépenses. La ville n’a pas augmenté ses taux d’imposition, c’est vrai ! Mais la base imposable, la valeur locative des logements, elle a augmenté et les rentrées fiscales y afférent ont augmenté mais c’est la faute de l’État : c’est lui qui fixe la valeur locative, c’est sa faute et non celle de la collectivité. A-t-on jamais imaginé de baisser le taux de prélèvement pour compenser la hausse de la base imposable ? Quelle utopiste pourrait imaginer que maîtriser ainsi les dépenses et faire baisser la pression fiscale. D’autant que nous dénonçons, avec le mensuel CAPITAL (n° 319 avril 2018 pp. 62-64) une pratique consistant à percevoir indûment un surplus sur la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères.
La tricherie n’est pas l’oeuvre du Maire de Montpellier et de ses services mais du Président de la Métropole et de ses services, en somme la main droite vertueuse ignore ce que fait la main gauche vicieuse. 1,5 millions d’€uros, combien de capacité d’investtissement supplémentaire ? Si cet argent était laissé aux contribuables, peut-être seraient-ils à même d’en faire meilleur usage ?

2 – La biodiversité : une longueur d’avance ?

Tout le monde le sait, dans le monde : Montpellier est la surdouée. Nous sommes heureux d’apprendre que nous avons pris une longueur d’avance dans le domaine de la biodiversité ! Notre coeur de contribuable-écologiste fait des bonds de fierté ! Monsieur Henri de Verbizier, adjoint au maire aux espaces naturels et au parc de Lunaret nous comble de joie. C’est une politique vertueuse et nous ne pouvons que nous en réjouir.
On sent derrière M. de Verbizier les bons conseils des botanistes qui depuis plusieurs siècles ont porté haut et fort le flambeau de la botanique. Faut-il rappeler aussi le combat des associations de défense de l’Environnement qui se sont battues et qui restent l’arme au pied devant les constructeurs d’immeubles en pur béton ! Sans eux, que serait devenu le parc Montcalm ? Le parc était menacé de nouveaux hlm desservis par la ligne 5 du tram. Le béton a reculé, merci à ceux qui veillent ! Mais, à côté de ces réalisations vertueuses, on trouve la calamité des déchets !

3 – La politique des déchets

En page 27, Mme Valérie Barthas-Orsal nous parle des déchetteries, c’est bien. Mais là, on atteint le comble car tout un quartier de Montpellier, un petit ilôt de verdure en limite de la ZAC de Garosud et la ZAC ont été délibèrement sacrifiés au traitement des ordures ménagères. Traiter des ordures ménagères dans une zone maintenant habitée de commerces, artisans et résidents, ce n’est pa vertueux : c’est vicieux ! Une verrue qui pue et odorise au delà du supportable et dont on oublie de nous parler !
Alors, au nom de l’environnement et de la biodiversité, un effort pour fermer cette usine vicieuse et instaurer un vrai traitement écologique des ordures ménagères.

Père Siffleur

Persiflez, persiflez, il en restera quelque chose




Pillage de l’Etat avec les emplois aidés

Contribuables de l'Hérault

Signature du Citoyen-Contribuable 34

Ici on s'honore du titre de Citoyen

Introduction

Le mensuel CAPITAL (n° 319, avril 2018, pp. 60-61) dénonce le procédé de dévoyage des emplois aidés par des collectivités territoriales qui ont employé des contrats aidés pour embaucher à moindre coût.

1 – Les faits dénoncés

L’Etat a divisé par deux le nombre d’emplois aidés qu’il fiannançait à 70% d’un SMIC, pour 20 h de travail hebdomadaire, sur des postes à basse productivité, les collectivités de contentant d’un petit complément. Ces petit jobs représenteraient plus de 7% des effectifs locaux.

Pour de nombreuses collectivités locales, ces emplois étaient une véritable aubaine, les cris d’orfraies sont à la mesure de la déception de ces élus frustrés.

1.1 – Un exemple

CAPITAL cite la collectivité de Bruay-la-Bussière (Pas-de-Calais) employait, dans un service propreté de 30 agents, 17 agents en contrats aidés à 680 €/mois (dont 70% payés par l’état). L’opacité qui entoure les données relatives à ces emplois est maximale. La plupart des municipalités interrogées par CAPITAL n’ont pas répondu à l’enquête.

1.2 – A la décharge des élus locaux

Les gouvernements successifs de droite comme de gauche ont poussé à la consommation sous prétexte de traitement social du chômage.

1.3 – Le cas de l’Hérault

La commune de Frontignan (25.000 habitants) est épinglée. 80 emplois aidés dans les écoles; les centres aérés ou l’entretien des locaux.

A Montpellier, il faut souligner que la commune a toujours refusé de succomber à cette dérive.. La commune a embauché, elle en a les moyens, de solides postes de contractuels ou de titulaires; Ca a coûté plus cher à nos finances.

2 – Que faire ?

CAPITAL ne propose aucune solution, sinon d’envoyer les salutations du Président Macron aux édiles ! Les élus locaux cherchent fébrilement des nouveaux impôts pour remplacer leur cagnottes disparues ou en voie de subir un coup de rabot.

« Les dépensocrates à la lanterne »? Nous ne sommes pas en 1789-93 et sous la Terreur. Les dépensocrates locaux doivent suivre l’exemple de quelques rares bon élèves de collectivités qui ont réussi à baisser leurs dépenses. CAPITAL (n° 319, avril 2018, pp. 64-67).

Shadoks taper sur les mêmes

Père Siffleur

Marianne a le dos large comme la Princesse

Marianne sur fond tricolore




Souvenir de l’abandon des harkis

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extrait bandeau IHEDN site institut

Un membre de l’ASAF

Association de soutien à l'Armée Française

Info

Le 12 mai 2018, une petite foule s’est rassemblée au monument aux morts de Montpellier. La commune de Montpellier est la seule en France à commémorer le 12 mars 1962, date à laquelle a été ordonné l’abandon de soldats supplétifs, les harkis.

Deux représentants de la Région Occitanie-Pyrénées, un représentant du Département et deux représentants de la Métropole et de la Commune étaient présents, trois gerbes ont été déposées. Le première a été celle de M. Rabah Bensaïdi, Président de l’association «Projet Avenir Harkis» qui a rappelé les faits qui se sont déroulés.

Après les accords d’Evian du 18 mars 1962 et le cessez-le-feu du 19, l’Algérie marque son indépendance en réglant ses comptes avec ceux qui sont qualifiés de «collaborateurs» du colonisateur.

Le site Médiapart rappelle que notre Président de la République a exprimé la volonté de faire de la date du 12 mai une journée nationale. Rappelons les faits qui se sont déroulés.

« Après les accords d’Evian, ces malheureux supplétifs, pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie, furent désarmés et renvoyés dans leurs foyers. Mais très tôt, et sans autre forme de procès, des massacres de Harkis ou supposés ont débuté et les représailles contre leurs familles se pratiquèrent avec tortures et actes de barbarie que rien ne justifiait. » (Nous citons Médiapart).

L’Armée française, sur ordre du Gouvernement (télégramme Messmer du 12 mai 1962) est restée dans ses casernes. Il y eut des ordres de ne pas intervenir et d’empêcher les Harkis de rejoindre la Métropole. Des officiers français indignés passeront outre et permettront à ces hommes et à leurs familles d’embarquer pour la France. Ils tenteront de minimiser les effets des ordres de M. Louis Joxe et de M. Christian Fouchet (nous citons)

« N125/IGAA – 16 mai 1962 /Ultra secret/Strict. Confidentiel ».

Le Ministre d’Etat Louis Joxe demande à Haut Commissaire rappeler que toutes initiatives individuelles tendant à installation métropole Français Musulmans sont strictement interdites. En aviser urgence tous chefs S.A.S. et commandants d’unités. »

Quitter l’Algérie était désormais interdit aux seuls Harkis. Pourtant, on ne leur dénie pas la qualité de Français ! Le qualificatif de musulmans était-il le prétexte ? Il s’agissait d’hommes ayant servi la France et versé leur sang : Français par le sang versé !

Quelle honte de la part du Gouvernement d’alors !  Des familles furent renvoyées en Algérie. Il en demeura en France où rien n’était prévu pour leur accueil. Ils furent parqués dans des camps, ils furent obligés à se soumettre à des demandes auprès du juge d’instance pour se voir reconnaître leur qualité de Français en payant un timbre fiscal ! Au moins, eux, étaient à l’abri des égorgeurs !

La honte de la France a commencé à être lavée pas ses Présidents :

  • 2001 : M. Jacques Chirac décide d’une journée d’hommage national fixée au 25 septembre et posa une plaque commémorative aux Invalides,
  • 2007 : M. Nicolas Sarkozy fera une déclaration qui ne sera pas suivie d’effet,
  • 2012 : M. François Hollande citera les harkis dans sa campagne.

Epilogue : selon un document du Service Historique de l’Armée de Terre (SHAT), 150.000 harkis sur les 200.000 engagés durent massacrés !

Honte à ceux qui portent la responsabiité de leur abandon ! Honneur aux survivants et à leurs enfants qui se sont intégrés citoyens français par le sang versé par leurs pères au service de la France.


extrait bandeau IHEDN site institut

Un Patriote indigné

Tableau de Delacroix la Liberté




La Commission Nationale du Dialogue Public

Logo CNDP

Problématique

Il existe dans notre pays et dans sa Constitution, une Charte de l’Environnement approuvée en 2004. C’est un texte de valeur constitutionnelle (voir Wikipedia). Le texte en est disponible sur le site « Légifrance« .

Les débuts ont été laborieux mais peu à peu, les tribunaux administratifs ont été saisis au nom de cette charte et des institutions se sont mises en place pour faciliter la démocratie participative et la démocratie de proximité, principes qui  découlent de cette charte.

La Commission Nationale du Débat Public (CNDP) est un de ces organismes.

<< La Commission nationale du débat public (CNDP) est une autorité administrative indépendante dont la mission est d’informer les citoyens et de faire en sorte que leur point de vue soit pris en compte dans le processus de décision : « Vous donner la parole et la faire entendre ». >>

La Commission s’est attelée à un chantier, « les 21 chantiers de la CNDP ».

L’entité Montpellier-Métropole vient de faire connaissance avec la Commission. A l’initiative de 4 associations réunies autour de France-Nature-Environnement (FNE : CIDES34, Attac-Montpellier et Eau-Secours34, lettre du 23 décembre 2017), Monsieur le Préfet de l’Hérault à décidé le 24 janvier 2018 que Montpellier-Métropole devait organiser une concertation préalable aux travaux d’extension-modernisation de la station d’épuration des eaux (STEP) Maéra. Monsieur Saurel voulait passer en force prétendant que sa réunion de présentation à Lattes et à Palavas (pêcheurs) était suffisante. Il a dû organiser deux mois après, le 28 mars 2018 une réunion publique ouverte à tous. Cette réunion lui a permis d’entendre, avec ses collaborateurs, le mécontentement citoyen qui gronde contre sa conception restrictive habituelle de la démocratie participative et de la démocratie de proximité. Le Préfet a tranché et donné acte à l’association France-Nature-Environnement de son droit d’initiative (courrier du 23/12/2017 reçu le 27/12/2017). Monsieur le Préfet a reconnu que « les impacts environnementaux, sociaux et économiques du projet sont importants ».


trois amis

Merci FNE, ATTAC-Montpellier, Eau-Secours 34 et CIDES34.


Logo CIDES34

Contribuables de l'Hérault

Citoyen-Contribuable 34

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